Premières Amours 03
PREMIÈRES AMOURS 03
Quand on s'est revu le lendemain je me posais beaucoup de questions. Lisa arrivait accompagnée de sa complice de la veille sa copine Mathilde.
Lisa : Salut Charly, tu as bien dormi.
Elle me donnait un baiser d'une tendresse à laquelle je ne m'attendait pas.
Mathilde : Tu as trouvé facilement hier.
Je faisais oui de la tête.
Moi : Mais vous étiez chez qui ?
Mathilde : On était chez une vieille cousine que mes parents n'aiment pas.
Lisa : Ils ne veulent pas que Mathilde la voie.
Mathilde : Des histoires de famille.
Lisa était dans mes bras et je ne sais pas pourquoi mais brusquement je ne me posais moins de questions. C'est vrai que je ne connais pas le quartier, Lisa m'avait attendu devant une maison mais ça veut pas dire que c'est là qu'elle était
Et puis Mathilde
La fille que j'avais vu la veille ne lui ressemblait pas tant que ça finalement et de plus je ne l'avais vue que de dos ou presque
'' Moi et ma curiosité, je me fais vraiment du cinéma dans ma tête. J'aurais pu avoir des ennuis si on m'avait trouvé dans le jardin d'un inconnu. ''
'' En tout cas il y a des mecs qui ne s'ennuient pas ! '' . C'est ainsi que je m'expliquais l'histoire de la veille. J'en restais là !
On reprenait nos habitudes
Quelques temps plus tard, c'est au téléphone avec sa copine Mathilde que j'entendais ma douce colombe discuter
Lisa : Mince alors on est coincées, et ta voiture tu vas la récupérer quand ?
Lisa : Mais comment on va faire alors ?
Lisa : C'est ennuyeux, vraiment très ennuyeux ?
Lisa : Qui ça ? ... Il sera là aussi ! Il faut trouver une solution !
Moi : Tu as des problème ma puce.
Lisa : Rien de très grave
Elle me prenait alors dans ses bras et me donnais un baiser comme elle ne m'en avait jamais donné.
Puis sur un ton timide
Lisa : Mathilde voulait sortir voir sa cousine ce soir.
Moi : Et quel film devra-t-on regarder ?
C'était la ruse, si jamais son père me parlait du film que Lisa et moi étions sensé avoir vu ensemble, nous aurions elle et moi la même histoire à raconter.
Ce soir là, c'est moi qui les ai conduit en voiture. C'était bien le même quartier mais pas la même rue, je m'étais donc bien trompé de maison l'autre jour quand j'étais revenu. Lisa m'embrassait et me laissait repartir.
Plus tard dans la nuit elle me téléphonait pour que j'aille les chercher.
Lisa : Le film était bon ?
Moi : Je l'avais déjà vu mais avec toi à côté de moi c'était un plaisir de le revoir.
Lisa : Tu es un amour.
Elle m'embrassait avec encore beaucoup de passion, elle sait faire disparaître tout soupçon ! Je ramenais les deux filles chez elles.
Le week-end suivant Lisa avait prévu de passer voir sa cousine avec son amie Mathilde puis de terminer la soirée avec moi. Je devais la déposer dans le quartier que je commençais à connaître et aller la rechercher plus tard dans la nuit.
Comme prévu je la déposais, toujours dans une autre rue et d'un autre quartier cette fois. Je m'en étonnais.
Mathilde : Ma cousine est chez une de ses amies ce soir
Je n'insistais pas. Aussitôt je rentrais chez moi et j'attendais. Elle me téléphonait bien plus tôt que prévu, il n'était pas encore minuit. C'était ce fameux soir
On est alors rentré chez moi, mes parents n'étaient pas à la maison pour tout le week-end. C'est ce jour là qu'elle avait voulu dormir avec moi.
C'était la première fois.
Dans la semaine qui suivait elle me demandais encore une fois de la couvrir. Toujours la vieille cousine, puis la semaine suivante encore
Ce n'était jamais la même adresse.
Encore un peu plus tard, je portais à l'époque mon dispositif depuis plus de quatre mois si je me souviens bien. Je la laissais seule à l'adresse qu'elle me donnais.
C'est ce soir là que j'ai eu le premier doute. Mathilde n'était pas là et c'était sa cousine à elle
Je me posais des questions. Je laissais Lisa en face d'une maison et je repartais en prenant bien mon temps, je repérais ou elle entrait pour qu'il n'y ait pas de doute et je m'éloignais. J'allais garer la voiture un peu plus loin et je revenais discrètement.
Tout comme la première fois je me glissais dans le jardin, assez facilement je parvenais à voir ce qui se passait par une fenêtre. C'était la bonne maison, il y avait deux hommes jeunes et Lisa dans un salon. Je ne savais pas si c'était les mêmes que j'avais vu avec Mathilde quelques semaines plus tôt.
Je dis avec Mathilde, parce qu'à ce moment ça ne faisait plus aucun doute il s'agissait bien de Mathilde l'autre soir, c'était évident. J'avais été ridicule. J'étais très en colère mais malgré tout j'espérais qu'il y ait une explication. Je me disais que je m'était fait rouler mais quelque part en moi il restait toujours un espoir que tout s'explique jusqu'au moment ou un des jeunes hommes se plaçait devant Lisa ouvrait et baissait son pantalon, il bandait et sans plus de formalités il enfonçais sa queue dans la bouche de ma copine qui le recevait avec facilité.
L'autre jeune home : Alors comme ça Mathilde ne peux pas être avec nous ce soir ?
Le premier : Heureusement que toi tu es une grosse gourmande !
Ils rigolaient de bon cur.
Elle m'allumait et moi je restais chaste. Elle s'envoyait en l'air avec tous les mecs qu'elle voulait et moi je restais sous clé. Frustré, je ne pouvais même plus me branler. La colère montait en moi. J'avais presque envie de chialer.
Je ne bougeais pas, je regardait la scène, je vous garanti qu'il ne fallait pas la pousser pour qu'elle suce la Lisa. Je pouvais voir qu'elle aimait ça. Le second garçon s'approchait, pendant ce temps il avait retiré ses vêtements et il bandait. Sans aucune hésitation Lisa lui caressait l'intérieur de la cuisse de la main, la remontait, s'attardait un moment sur ses couilles puis le masturbait doucement.
Quelques instants plus tard, elle se retournait vers lui, le tirait doucement vers elle en prenant sa queue dans la bouche. Là je la voyais faire de profil, elle était belle pourtant, la queue du mec était de très belle taille. Ah oui juste avant je parlais de Lisa quand je disais qu'elle était belle, la queue du mec aussi était belle, bien longue, bien large, bien grasse. Il était circoncis et il avait un très beau gland.
Je voyais cette queue entrer sans difficulté jusqu'au fond de la gorge de Lisa puis ressortir. Je me demandais comment on pouvait arriver à faire un truc pareil, non mais franchement c'est trop gros, bien trop gros. Ou alors il fallait se rendre à l'évidence
Ma copine Lisa était une grosse pute !
Je me sentais humilié. Mais la scène était stimulante et je sentais comme une pression dans ma cage de chasteté. Je bandais, c'est un truc qu'on ne contrôle pas toujours et là ça échappait totalement à ma volonté.
Le mec lui tenait fermement la tête et la tirait vers lui avec force et vigueur. Il balançait son bassin en avant et je devinais son gland qui s'écrasait contre la gorge de ma copine. Elle aimait ça la garce, elle retirait sa tête et masturbait le mec avec un plaisir visible. Elle relevait la tête et lui souriait. L'autre s'approchait, Lisa tournait la tête vers lui et de nouveau prenait sa queue dans la bouche. Là je la voyais de dos.
Lisa se relevait pendant qu'un des deux hommes se déshabillait totalement, l'autre qui était déjà nu prenais Lisa dans ses bras et lui retirait ses vêtements un à un, il était rejoint par son camarade et c'est ensemble qu'ils retiraient les derniers vêtements qu'elle portait. J'avais tenu ce corps dans les bras quelques semaines plus tôt, mais moi il fallait que je porte un dispositif de chasteté pour avoir le droit ne serait-ce que de l'embrasser.
Ils se serraient contre elle, leurs mains passaient partout sur le corps de Lisa, elle se laissait faire. Celui qui était devant elle se laissait tomber à genoux et son visage disparaissait entre ses cuisses. Elle relevait la tête en arrière, le second l'embrassait tendrement dans le cou. Elle se penchait contre lui, il la retenait. Le premier se relevait et se glissant entre ses cuisses il la pénétrait. Elle se cambrait et gémissait de plaisir
La garce !
La ma cage était devenue trop petite, ma queue se sentait à l'étroit la dedans et protestait. Surtout que le spectacle, outre le fait que le personnage féminin était une garce, me stimulait et m'excitait, je respirais fort et je commençais à trembler. Je me serais damné pour pouvoir prendre la place d'un des garçons. Ils étaient plus vieux que moi mais pas tant que ça, il devaient avoir moins de vingt-cinq ans. La première fois je n'avais pas pu voir leur visage mais là je les voyais bien.
Le mec enfonçait bien sa bite en Lisa, il la retenait en passant une mains sur ses reins, elle se penchait en arrière et le second mec la retenait lui caressait les seins tout en l'embrassant. On ne me fera pas croire qu'elle n'aimait pas ça. Ça explique pourquoi elle avait voulu jouer avec ma bite en plastique l'autre jour.
Lisa finissait par s'allonger sur le lit, le gars qui la retenait jusque là s'allongeait sur elle. Elle ne laissait pas les chose se passer comme ça, elle écartait les cuisses, passait ses jambes dans son dos et refermait ses bras sur lui. Il la pénétrait à son tour et commençait sans attendre des mouvement de bassin.
Je les voyais, les deux corps se caressaient l'un l'autre. Il relevait son bassin puis le rabaissait longuement en l'avançant vers Lisa, avec ce mouvement il enfonçait sa queue bien à fond, il prolongeait ensuite le mouvement vers Lisa qui refermait ses jambes en le tirant vers elle. Elle relevais le torse en s'appuyant sur ses coudes, il passait un un bras dans son dos et son visage disparaissait dans sa poitrine.
Je respirais fort, mon cur battait à tout rompre, ma queue protestait dans sa cage. J'étais en rage. Je ne savais pas quoi faire, ni à ce moment ni plus tard avec Lisa. Je vais rompre, je pensais à la clé que son père gardait. Et si je la dénonçait à son père
Que comprendrait-il ? Sa fille est tout pour lui, elle le mène par le bout du nez, elle lui donnerait une explication et il l'accepterait. Et moi je passerais pour le méchant, il ne me donnerait pas ma clé.
Je ne vais tout de même pas rester dans cet état toute ma vie moi !
Je tremblais, mes muscles tremblaient et mon pied glissait, il tapait sur le sol, faisait du bruit. Lisa et le mec ne remarquaient rien, ils étaient en pleins ébats. Il relevait et rabaissait son bassin avec vigueur maintenant, elle gémissait, il râlait. Par moment il accélérait le mouvement, par moment il ralentissait, ses mouvements devenaient plus lents mais plus amples puis plus rapides et plus courts.
Je tremblais de tout mon corps en voyant ça, je chialais à moitié. J'étais perdu, je ne savais plus quoi faire, j'étais trahi. Elle s'était moqué de moi depuis le début. Là je comprenait tout. Un porteur du dispositif donne confiance, j'en portais un. Les parents des jeunes filles sont rassurés de voir leur fille sortir avec un mec comme moi
Il n'y a plus de risque !
Lisa m'avait manipulé depuis le début, grâce à moi elle pouvait facilement sortir et se faire sauté par n'importe qui comme c'était le cas. La méfiance de ses parents était éteinte, grâce à moi ! C'était une garce !
A ce moment une main s'abattait sur mon épaule.
'' Alors mon petit père on joue les voyeurs !''
Je hurlais de surprise, Lisa et son lascar tournaient les yeux vers la fenêtre. De l'intérieur il ne pouvaient pas me voir mais il pouvaient m'entendre. Je tentais de me dégager, je recevais alors une gifle violente, j'étais sonné, je n'entendais plus rien de l'oreille gauche. Il était plus fort que moi.
Il m'agrippait par mon blouson, je ne pouvais pas résister, il me tirait vers lui. A ce moment je pouvais le voir, c'était le deuxième mec que j'avais vu avec ma copine, il était toujours à poil et de prêt il était impressionnant. Plus large que moi, plus musclé que moi, il avait une queue plus grosse que celle que je m'étais moulé, il était plus grand que moi également et il me tirait vers la terrasse de la maison, j'étais obligé de suivre. Il appelait les autres.
Il me tirait dans le salon, à ce moment Lisa et le second mec arrivaient.
Le gars : Regardez ce que j'ai trouvé, il est plutôt mignon en plus il pourrait se trouver une copine ou un copain facilement. Mais apparemment il préfère jouer les voyeurs.
A cet instant je ne sais pas si c'était un sentiment de honte ou de colère qui dominait en moi. Lisa me regardait
Lisa : Mais qu'est ce que tu fous là toi ?
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter
@CharlyChast
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