Marchandages

Je suppose que je devrais commencer par le début. Jonathan et moi étions en couple depuis un moment. 
La vie avec Jonathan était agréable. Il était gentil avec moi et j’étais amoureuse de lui. J’étais heureuse.
Puis, progressivement, nous avons commencé à parler de nos ex. Jonathan avait eu une relation précédente assez tumultueuse. Il est plus âgé que moi. J'ai 23 ans, il a 35 ans, donc je savais qu'il avait eu des relations antérieures. 
Mais j’ignorais à quel point le sexe avec son ex était particulier !

Nous avions des relations sexuelles satisfaisantes, mais rien de semblable à ce qu'il m'a décrit. 
Je n'ai eu que peu de partenaires avant lui. Un seul qui a compté vraiment. Les autres, c’était juste des passades.
Je peux le dire, je suis jolie. Mais sage. Je ne suis pas volage, ni frivole.
Je suis bien faite et je reçois beaucoup d'attentions, j’aime ça, mais je n'en profite pas.

Lorsque nous avons parlé de nos fantasmes, j'ai admis que j'avais un penchant pour les hommes plus âgés que moi. 
Il a demandé si c'était pour cela que je l'avais choisi et j'ai admis que cela en faisait partie, mais pas que ... 
Puis il m'a demandé quelle tranche d’âge. Je lui ai dit qu'il y avait des gars dans la quarantaine et même dans la cinquantaine au travail qui m'attiraient. Les tempes grisonnantes, les rides, je trouvais cela sexy.
Il a insisté sur la façon dont j’étais attirée. J'ai finalement admis que je fantasmais parfois sur eux.

Je pensais qu'il pourrait être choqué par mon fantasme. J’avais peur qu’il se moque de moi, ou qu’il me repousse.
Au lieu de cela, il est devenu tout excité et m'a dit que c'était très érotique. L’instant d’après, nous baisions comme des lapins pendant qu’il me posait plein de questions sur les hommes plus âgés et ce que j’aimerais faire avec eux. 
C'était un sexe intense et torride et j’ai joui comme une détraquée.



Un autre jour, nous avons recommencé à parler de nos fantasmes. 
Je lui ai demandé ce qui lui plaisait autant dans le fait que j'aimais m’imaginer dans les bras d’hommes plus âgés. 
Il m'a dit que son fantasme, c’était de me voir dans les bras d’autres hommes, et que l'idée d'hommes plus âgés rendait cette pensée encore plus excitante.

Au début, je pensais que son fantasme était étrange, mais je l'aimais et comme c'était juste un fantasme, je pensais que cela n’avait que peu d’importance. Puis, je lui ai demandé de m’en parler, de m’en dire plus. 
Il a commencé à me montrer en ligne des histoires de femmes qui allaient avec d'autres hommes. 
C’était toujours le point de vue du mari, les femmes semblaient accepter pour faire plaisir à leur homme.
Ils expliquaient combien ils aimaient voir leurs femmes ou leurs copines dans les bras d’un autre homme. 
Même si elles faisaient des choses avec d'autres, qu’elles n’auraient jamais accepter avec eux.

En lisant ces histoires, j'avoue avoir été émoustillée. Je pouvais m'imaginer dans les bras de certains hommes plus âgés que je connaissais. Je pouvais imaginer les laisser me prendre devant mon petit ami. 
Nous avons commencé à intégrer nos fantasmes dans notre relation.
Nous avons eu des relations sexuelles avec Jonathan en décrivant ce que nous imaginions.
À quoi ressemblerais mon amant, comment il aimerait me prendre, ce que j’accepterais de lui.
Cela devenait une escalade verbale, chacun rajoutait des détails croustillants, et on finissait par une baise torride.

Un jour, il a suggéré d'essayer de rendre le fantasme réel. Réel ? Pas question, pensais-je. J'avais mes arguments. 
Qui accepterait ? Comment le choisir ? Je ne ferai jamais de sexe avec quelqu'un que nous connaissons.
J'étais séduite par l'idée, mais la logistique me perturbait.  Jonathan a suggéré de publier une demande sur un site de rencontres, et de voir ce que nous avons récolté.
 Au pire, on en rirait. J'ai accepté.

Nous avons bien réfléchi à notre annonce, et il l’a publiée en ligne. Nous n'avons pas eu à attendre longtemps. 
Nous avons reçu des tonnes de réponses. Beaucoup d’obscénités, de photos de bites, de descriptions malsaines.
J'ai laissé Jonathan les trier. Finalement, il en a trouvé quelques-unes qui se démarquaient et qui lui paraissaient recevables. Je n’ai pas voulu les lire, mais il a commencé à correspondre.

L'un des gars a vraiment éveillé l'intérêt de mon petit ami. Il a commencé par nous écrire des histoires érotiques. 
J'ai d’abord pensé qu'il venait de les plagier d’un site quelconque, sauf que c’était assez spécifique pour nous. 
Jonathan me faisait lire ses histoires à haute voix. Tout n'était pas très excitant dans ses histoires, mais quand je les ai lues, je dois bien admettre que c’était avec émotion, sachant que cet homme les avait écrites pour nous, en décrivant les situations sur lesquelles nous avions fantasmé. La lecture d'une histoire a toujours abouti à un sexe brûlant.

Jonathan m’a annoncé qu'il allait commencer par appeler certains des gars qu'il avait sélectionnés. 
Je ne voulais pas paraître intéressée. L'idée de faire de nos fantasmes une réalité, m’angoissait et me grisait.
Jonathan ne m'a pas contrainte. Jonathan m’a demandé s'il pouvait envoyer une photo de moi. 
J'en ai choisie une où j’étais entièrement habillée, mais qui mettait ma silhouette en valeur. 
Le visage flouté, je lui ai donnée pour qu'il l’envoie. L'idée qu'il voulait me montrer à des inconnus était grisante. 
Je me suis demandée ce qu'ils allaient penser de moi.

Un jour, Jonathan a voulu me parler du gars qui nous écrivait les histoires érotiques. 
Il s'est avéré que Jonathan lui avait déjà parlé au téléphone et pensait qu'il était le candidat idéal. 
En gros, il avait choisi mon soupirant et il voulait que je valide son choix.
J'étais sceptique et intriguée. 
Jonathan m’a montré des photos de son champion. Il n'était pas magnifique mais il était certainement attrayant. 

Jonathan m'a dit combien ce gars aimait mes photos. J’étais contente de savoir que je lui plaisait.
Il me trouvait chaude et sexy, et il souhaitait me rencontrer, pour faire plus ample connaissance.
Ensuite, Jonathan a voulu discuter avec moi de sa personnalité et des histoires qu’il nous écrivait. 
Jonathan m'a demandé ce que j'aimais et ce que je n'aimais pas dans les histoires qu’il écrivait pour nous.

En discutant de ses histoires, cela m'a fait penser à l'homme qui les avait écrites. Je me retrouvais dans certains paragraphes. Ses histoires ont montré l’investissement, la réflexion en incluant mon couple, Jonathan et moi. 
Ce mec a évidemment compris que pour moi, le sexe ne se limitait pas à me caramboler simplement sur un matelas. 
J'ai commencé à me demander à quoi pouvait ressembler la personnalité de cet homme.

Jonathan me parlait de ses échanges avec cet homme. Il était clair que c'était le gars que Jonathan avait choisi. 
Il avait l'air gentil, plaisant, j'ai aimé ses histoires, mais je n’envisageais pas la prochaine étape. 
Je n'étais certainement pas prête à batifoler avec ce mec, ni même à le rencontrer.

Quelques jours plus tard, Jonathan m'a demandé une photo de moi pour envoyer à ce gars. 
J'ai répondu à Jonathan de piocher l'une des photos, dans celles qu'il avait, quelque chose de pas trop révélateur. 
Jonathan a dit que le gars souhaitait une photo personnalisée, prise juste pour lui, une exclusivité. 
Tout de suite, j’ai pensé : "Ce mec veut des photos de moi nue ! Va chier !"
Mais non, Jonathan a dit qu'il voulait des photos prises juste pour lui. Un cadeau personnalisé.

Je n'ai pas pensé à ce que je portais. Un short moulant et un sweater très échancré. 
J'ai laissé Jonathan prendre la photo.
 Que se passe-t-il ? Presque immédiatement, le gars a rappelé. 
Il nous a remerciés tous les deux pour la photo et il m’a complimentée, disant à quel point il me trouvait jolie. 
Il espérait avoir la chance de nous rencontrer. J'ai été flattée par le compliment. C'est agréable d'être admirée. 
J'ai souri et Jonathan a plaisanté en disant à l'homme qu’il avait beaucoup de goût.

Quelques jours se sont écoulés et Jonathan a demandé s'il pouvait prendre d’autres photos pour son nouvel ami. 
J'ai repensé à la première fois. J'avais aimé les compliments. Mais j'avais envie d’être mise en valeur. 
J'ai dit bien sûr mais j'ai demandé à Jonathan d'attendre une minute. Je suis allée me changer.

Grâce aux histoires, je savais ce qu’il aimait. Jambes longues dévoilées par une jupe courte
Haut sexy en dentelle. Ou très échancré, montrant une partie du mamelon. Découvrant le ventre. Bras nus.
Eh bien, j'en avais une pleine armoire, des vêtements comme ça. Je savais aussi prendre la pose.
Histoire de l’aguicher, de le taquiner un peu, qu’il se branle en pensant à moi !
Il aimait aussi les strings en dentelle et les shorts minis. Eh bien, pour ça, il pouvait se brosser. 
J'ai également réalisé que si je finissais par le faire, il en verrait beaucoup plus. Cette pensée m'excitait un peu.

Je suis allé dans ma chambre et j'ai sorti plusieurs tenues. Une jolie robe d'été. Je me suis regardée dans le miroir. 
J'étais jolie, sexy, mais pas salope. Pour le plaisir, j'ai décoiffé mes cheveux. Un peu plus de maquillage.
Maintenant, je ressemblais à une pétasse qui vient de se faire sauter. Parfaite pour le rôle, j’ai pensé.

Je me suis montrée à Jonathan en faisant un tour sur moi-même. Il a dit: "Waouh, tu es superbe !"
J'ai aimé le compliment. Je l’ai récompensé par un baiser langoureux.

Jonathan a dit "J'ai hâte de montrer à David quelle femme ardente j'ai dans mon lit !"
La pensée de Jonathan excité de me montrer me mettait vraiment en joie. 
Je me demandais si David se masturberait sur mes photos. J'ai réalisé que c’était ce que je voulais !

Jonathan a commencé à prendre des photos et j'ai commencé à prendre des poses suggestives. 
La main sur la hanche, 3/4 arrière, le regard, par-dessus ton épaule. 
L’épaulette du maillot, laisse glisser un peu sur ton bras, montre un peu le haut de ton sein. 
Sur une autre, jambe tendue, remonte l'ourlet, jusqu’à la hanche, ne montre pas ta culotte, juste ta cuisse.

Jonathan me motivait, me sublimait. Me disant à quel point j'étais sexy. En me traitant de coquine, de séductrice, prenant la pose pour un inconnu. Tout cela m'excitait. Puis, nous nous sommes assis et nous avons parcouru les photos. 
Nous en avons choisi cinq que Jonathan a envoyé à David. Nous avons eu sa réponse presque immédiatement.

Il a commencé par me dire à quel point j'étais magnifique et à quel point Jonathan était chanceux. 
Puis il nous a commenté chaque photo en nous disant ce qu'il préférait. 
Il aimait mes photos. Il aimait que je me montre pour lui. Il a dit aussi que j’étais bonne.

C'était trop pour moi. J'ai ouvert le pantalon de Jonathan et j’ai enfourché sa queue. 
J'ai tiré mon string de côté et j'ai commencé à le baiser. Tout le temps, Jonathan m’a parlé.
"Donc, tu aimes te montrer dénudée pour un inconnu. Tu aimerais lui montrer à quel point tu peux être vilaine ?"

Il m'a dit que David lui avait envoyé une photo de sa bite grosse et épaisse. Il m’a dit que cette grosse bite allait remplir ma chatte. Me gaver. M’écarteler. Je pouvais m’imaginer clouée sur le lit par cette grosse bite. 
Chevaucher David, rassasiée, remplie, bourrée, regarder Jonathan assister. Je suis venue. 
Un orgasme tonitruant. Dévastateur. J’ai hurlé. Tellement mouillée que j'ai dû jeter la culotte et la robe au lavage. 

Le lendemain, Jonathan était au travail, j'ai ouvert ce mail avec la photo de la bite de David. Sacré morceau !
Cela me comblerait probablement. J’ai mis un joli string. J'ai demandé à Jonathan si David aimerait.
Jonathan a répondu: "Voyons voir." Il a pris quelques photos en-dessous de la taille, devant et derrière.
"Lesquelles veux-tu lui envoyer ?" Je suis restée sans voix. Montrer mon cul ? À un inconnu ?

Encore une fois, la réponse a été rapide. David a dit qu'il aimait le string. Mon cul et mes jambes aussi. 
Cette fois, il a été un peu plus grivois. Il a dit qu'il voulait me dévergonder, m’arracher mon string avec les dents, se servir de mes jambes pour se faire un collier, et de me baiser la cervelle.

Il a dit qu'il m'imaginait à genoux, face contre terre, cul en l'air, et lui plongeant sa bite profondément en moi. 
J’ai parfaitement bien visualisé ces deux images. Elles m'ont fait picoter la chatte. 
J’ai lu et relu sa réponse à haute voix, je pouvais bien voir Jonathan se tortiller en devenant tout dur.
Par inadvertance, j’ai posé ma main sur sa bite. Ça a été du sexe sauvage !

Après cela, nous avons pris des photos tous les quelques jours. Je regardais les magazines coquins pour des idées de posture. J’essayais différentes tenues. Je me troussais parfois pour montrer ma culotte. Parfois, j'étais sans dessous.
Ni culotte, ni soutien-gorge. Je montrais mon cul joufflu ou mon sein pointu.
Ensuite, nous allions lire ses réponses. Je lisais à voix haute, pour Jonathan, en prenant une voix ine.

Prendre les photos m'a excitée. J’allumais ce gars sous la protection de Jonathan. Il ne pouvait rien m’arriver.
C’était gagnant-gagnant. Je l’allumais avec mes photos, il se masturbait. Il m’allumait avec sa prose, Jonathan me baisait comme un forcené. Presque tous les jours, il me disait quelle salope j'étais. J'aimais ça. Il a dit qu'il avait hâte de baiser ma petite chatte serrée. Je lui ai dit que s'il était sage, il pourrait me regarder quand je le ferais.

Le week-end approchait, nous n'avions rien programmé pour le samedi soir. 
À table, entre le fromage et le dessert, Jonathan a suggéré: "Et si on rencontrait David ?"
Mon estomac a chaviré. C'était le gars de nos fantasmes. Le gars à qui je me montrais en photo. 
C'était le gars avec cette grosse bite. Mais j’étais dubitative. Je ne me sentais pas prête à passer à l’acte.
M’amuser à chauffer un type que je ne connaissais pas, bien à l’abri chez moi avec mon copain, OK !
Mais une rencontre ? S’il posait ses grosses pattes sur moi ? S’il devenait méchant ?
J’exprimais mes doutes à mon copain. Il a reconnu que j’avais raison. Qu’il fallait prendre nos précautions.
Rencontrer David sur terrain neutre, en public … Tiens, pourquoi pas dans un bar ?
Je savais que je devais dire non, mais j'ai dit: "OK".

Cette nuit-là, Jonathan et moi avons baisé comme des malades. Il n'arrêtait pas de me dire quelle salope j'étais pour rencontrer un inconnu. Me disant combien il aimerait le voir me baiser. Comment il voulait me voir m’ sur cette grosse bite. Toutes ces images s’imprimaient dans mon esprit et j’aimais tout ce qu’il me disait.

Le samedi est arrivé, j'étais comme une adolescente à son premier rendez-vous. J'étais pratiquement sûre qu’il ne se passerait rien de définitif lors de cette première rencontre, mais quand même, je voulais être prête. 
Je cherchais quelle tenue serait la plus appropriée. J'ai choisi un string en dentelle rose et violet. 
Devant le miroir de ma chambre, je m’admirais, lorsque Jonathan est entré.
"Je te parie que David va adorer te voir comme ça !"
J'ai haussé les épaules : "Ne dis pas de bêtises ! Est-ce que je mets un soutien-gorge ?"
"Ne porte pas de soutien-gorge. Je veux qu'il voie tes seins sexy pointer à travers le tissu de ta robe !"
J'ai réalisé que je voulais cela aussi.

J'ai enfilé une jupe plissée très courte. J’ai marché, tourné, me suis baissée, penchée devant mon miroir pour être sûre qu’on ne voyait pas mon cul. Elle flottait autour de mes hanches sans se soulever.
En haut, j'ai choisi un pull à col en V sans manches, et très échancré. 
J’ai vérifié dans le miroir que l’on voyait bien mes seins lorsque je me penchais.

Jonathan m'a attrapé par la taille, m'a embrassé et m'a dit que j'avais l'air chaude. Il a dit qu'il avait hâte de me baiser. 
Je me sentais sexy et brûlante comme l'enfer. Je savais que des hommes allaient me reluquer, m’envisager, et que l'un d’eux penserait pouvoir me baiser. J'étais déjà mouillée.

Nous sommes montés en voiture. Jonathan avait donné rendez-vous à David dans un bar, à l’autre bout de la ville.
En m'asseyant, j'ai remarqué à quel point ma jupe remontait. J’étais obligée de garder mes jambes croisées pour ne pas montrer ma culotte. Jonathan a voulu vérifier, il a écarté mes cuisses pour jouer avec ma chatte.
"Waouh ! Qu'est-ce qui te rend si mouillée ?"

J'ai rougi. Je ne pouvais pas lui dire la vérité, que je m’imaginais déjà de retour à la maison, baisée par David, devant Jonathan qui nous regardait. Il me me baisait sauvagement, infatigable, et Jonathan se branlait en nous regardant. 
Je sais que ça n’arrivera pas, mais c'est à cela que je pensais.

Nous nous sommes garés sur le parking du centre commercial, proche du bar où nous avions rendez-vous, mais avec un peu de distance pour qu’il ne repère pas notre plaque d’immatriculation, au cas où …
Nous nous sommes dirigés vers le bar. Mes jambes étaient flageolantes. Je m'accrochais à Jonathan. 
J'avais envie de m’enfuir ou de courir vers David, je ne savais plus ce que je voulais.

Nous sommes entrés dans le bar. J'ai jeté un coup d’œil circulaire, anxieuse. L’établissement n'était pas plein. 
David était assis dans un box. Nous nous sommes approchés. Il s'est levé pour nous accueillir. Il était immense. 
Une carrure d’athlète. Mâchoire carrée, yeux gris, tempes grisonnantes, il avait un charme fou.
Mais il avait une bonne tête de plus que moi. Je devais lever les yeux pour lui parler.

Il a serré la main de Jonathan. Il m'a regardée. Ses yeux brillaient d’excitation. Il parlait à Jonathan en me regardant :
"Magnifique ! Votre femme est magnifique ! J’avais peur que les photos soient retouchées, mais elle est cent fois plus belle en vrai ! Splendide ! Vous êtes un sacré veinard !"
J'ai aimé le compliment et je l'ai remercié.
Il a dit: "Et le dos ? Puis-je avoir la vue de dos ?"
Sans même y penser, je me retournais. Je regardais Jonathan. Il a dit : "Un cul sexy. Elle est parfaite."
On aurait qu’il jugeait un animal à la foire aux bestiaux. Pour un peu, il m’aurait flatté la croupe.
David a dit à Jonathan : "Je suis très content, votre femme est magnifique"
Il a pris ma main. J’ai cru qu’il allait me serrer la main, comme avec Jonathan, mais non.
Il l’a retournée paume en l’air et m’a embrassée sur le poignet, longuement, les yeux dans les yeux.

Puis il a suggéré que nous nous asseyions. L’emplacement qu'il avait choisi était un box en U autour d'une table. 
Nous avons tous dû nous glisser dedans. Je me suis glissée la première, David d'un côté, Jonathan de l'autre.

La conversation était facile. David était drôle, intelligent, attentif, pas du tout effrayant. Il me faisait rire tout en balançant des tonnes de compliments. Certains compliments étaient un peu plus intimes. Il s’adressait à Jonathan à mon sujet.
En fait, je me sentais émoustillée qu’il parle de moi à Jonathan comme si j’étais absente. 
Comme une poupée sexuelle qui va être utilisée et qui n'a pas son mot à dire. L'idée m'a enfiévrée.

Tout en bavardant, David touchait mon bras, ma main. Chaque contact m’enivrait. 
Puis, sa main s’est posée sur ma jambe. J'ai regardé Jonathan. Jonathan a regardé où David avait mis sa main.
Leurs yeux se sont rencontrés. Jonathan a souri à David. David a commenté la douceur de mes cuisses. 
Je l'ai remercié et j'ai écarté un peu plus mes jambes. Sa main caressait ma cuisse, troussant ma jupette, effleurant ma chatte convoitée.

Tout cela me rendait nécessiteuse. J'ai demandé la permission d'aller aux toilettes. 
David s’est levé pour me laisser passer. Dans les toilettes des dames, je me suis appuyée sur le lavabo pour respirer.
Ma culotte était trempée. Mes mamelons durs poussaient contre mon pull. La tête me tournait.
Je me rafraîchissais et sortais des toilettes. David m’attendait là.

Je ne trouvais rien à dire, je regardais timidement le sol.
David a soulevé mon menton : "Tu es beaucoup plus que très jolie. Te faire l’amour serait pour moi un cadeau du Ciel."
J'étais effarouchée et séduite. Tout ce que je pouvais dire, c'était "merci"
Il a profité de son avantage : "Je meurs d'envie de voir cette petite culotte en vrai ..."
Il s'est reculé. Les yeux dans les yeux, il m’a dit: "Fais voir !"

L’ordre a claqué sèchement, d’un ton sans réplique, mon cœur battait la chamade. 
Nous étions dans le couloir des toilettes. N'importe qui pouvait passer. J'ai soulevé ma jupette. Jusqu'à la taille.
"Bien ! … Et derrière ? … Très bien !"

Il m’a prise dans ses bras. Je me sentais toute petite. Il me regardait intensément. Je lui ai tendu mes lèvres. 
Sa langue a pénétré profondément dans ma bouche. J’ai sucé sa langue. Comme un bébé tète le sein de sa mère.
Sa main soulevait ma jupette pour caresser mon cul, je ronronnais de désir. 
Alors que nous nous embrassions, une dame a dit : "Pardon ?" Elle voulait passer.

Le baiser s'est terminé et nous sommes retournés à la table. David avait passé son bras à ma taille.
David a dit à Jonathan: "J'ai une chambre à l’hôtel en face. J'emmène ta copine. Veux-tu venir nous regarder ?"
Cela semblait rapide mais c’était ce que j’espérais. J'ai aimé sa façon directe de traiter le problème. 
Je savais que Jonathan accepterais. Il n’espérait et n’attendait que çà !

Nous nous dirigeâmes tous vers la chambre. David n’a pas lâché ma taille. Affirmant sa possession sur la fille.
Dès que nous sommes entrés dans la chambre, David m'a embrassé. Longtemps, passionnément, voluptueusement.
Jonathan était juste à côté de moi. David s’est redressé. J’étais pantelante, à bout de souffle.
Toujours dans les bras de David, j'ai posé un bref baiser sur la bouche de Jonathan.

David a ensuite retiré mon pull. Lentement, il suçait mes mamelons. Jonathan nous regardait. C'était surréaliste.
David a regardé Jonathan : "Vous prétendez que c’est une bonne suceuse de bite ?"
Jonathan a dit : "La meilleure !"
Le regard de David me défiait de le prouver. Je suis tombée à genoux, j’ai ouvert son pantalon et j’ai sucé sa bite.

Jonathan est allé s'asseoir dans un coin. Tout le temps que je suçais sa bite, David parlait de moi à Jonathan. 
C'était étrange et excitant. Je me sentais comme sa pute, son animal de compagnie. 

En parlant de moi à Jonathan, David m'a appelée "ta salope". J'ai aimé.
Il commentait pour Jonathan ma performance, orientait ma tête pour que mon chéri voit bien comment sa bite pénétrait ma bouche, bien profond dans la gorge, demandait à Jonathan si il aimait me voir sucer sa bite, et lui disait quelle chance il avait d'avoir cette salope avec une grande bouche et une gorge profonde.
A moi, il m’a demandé : "T’aimes ça, sucer ma bite, hein, salope ?"
J’écoutais ses questions et les réponses de Jonathan. Je me sentais dispensée de commentaires. Je pouvais tout faire. Je pouvais être aussi salope que je voulais et personne ne me jugeait. J'aimais avoir cette bite dans ma bouche.

David m'a remise sur mes pieds en me faisant pivoter face à Jonathan. Il se tenait derrière moi.
David m’a dit: "Enlève ta jupe." Toujours le même ton sans réplique. Je l'ai dégrafée et elle est tombée au sol.

Ensuite, il m'a dit d’aller jusqu'à Jonathan. Je n'avais que mes talons et mon string. 
David a dit à Jonathan : "si tu veux que je baise ta copine, enlève-lui sa culotte."
Je regardais Jonathan dans les yeux. J'espérais qu'il le ferait, et j'espérais qu'il ne le ferait pas. 
Jonathan a lentement fait glisser mon string sur mes jambes.

Jonathan a ensuite regardé David et lui a dit: "Baise-la !"

J’ai entendu le froissement des vêtements que David ôtait. Je n’ai pas voulu me tourner pour le regarder.
Je me suis penchée en avant et j’ai posé mes mains sur les épaules de Jonathan, puis je l’ai embrassé.
David est venu derrière moi. Il a claqué sa bite sur mon cul. J’ai sursauté et je me suis cambrée.
J'étais courbée à la taille. Je tendais mon cul vers lui. J'ai senti la bite de David heurter ma chatte. 
Je me suis cambrée un peu plus en écartant les jambes, en attente, espérant la saillie.
David a frotté son gland dans ma fente. Je pouvais sentir sa grosseur écarter mes lèvres. 
Jonathan m’a regarder perdre mon souffle quand David est entré en moi.

Alors que David s’enfonçait complètement en moi d’une seule poussée rectiligne, je haletais :
"Oh, putain, il m’a remplie, d’un seul coup, le salaud ! "
J'étais bourrée jusqu’aux yeux de la plus grosse bite que j'ai jamais vue, effondrée sur mon copain, essayant de m’acclimater à cette monstruosité plantée dans ma chatte.

David m’a dit: "Demande à Jonathan ce qu'il pense de sa copine maintenant."
Je suis entrée dans son jeu en obéissant à ses directives.
"Qu'en penses-tu? Suis-je assez salope ? Ça te plaît de me faire prendre en levrette par un inconnu ? Debout, accrochée à toi comme ta pute ? Est-ce que ça t'excite? J'espère que oui, parce que moi, ça m'excite vachement ! "
Jonathan m’a attrapé par les cheveux, et m'a embrassée à pleine bouche, comme il l’avait vu faire à David auparavant.

David m’a saisie par les hanches pour me pilonner la chatte par derrière. J'ai senti arriver mon premier orgasme.
"Oh, mon dieu, je jouis. Vous me faites jouir debout comme une traînée, bande de salauds."
L'orgasme m'a éreintée. Mes jambes m’ont lâchées. David et Jonathan m’ont soutenue, sinon je serais tombée.

David m'a soulevée et m'a portée sur le lit. Il m’a agenouillée, le cul en l'air, la joue sur le matelas, comme une fille.
David est monté sur le lit derrière moi et il a commencé à me baiser en levrette, avec de grands coups profonds.
Jonathan est venu sur le lit et s’est assis à côté de moi.
Il regardait la bite de David, couverte de mon jus, entrer et sortir, et ma chatte qui s’accrochait après son arbre.

David a continué de commenter pour Jonathan, lui disant à quel point j'étais bonne, et quelle chance il avait de pouvoir baiser une si belle poupée tous les jours. J'ai adoré. Je voulais lui donner la meilleure baise de sa vie. 
J'ai grogné, j’ai gémi, j’ai haleté à chaque poussée pour qu’ils sachent bien que je prenais beaucoup de plaisir. 
Bientôt, j’ai senti venir les prémices de mon deuxième orgasme. David l'a senti aussi et s’est retiré.

"Tourne-toi !", a déclaré David.
Toujours à quatre pattes, je me suis tournée face à son sexe recouvert de mes jus.
"Suce-moi !"
Je l'ai fait. Je voulais le faire jouir dans ma bouche, sur mon visage, sur mes seins. Pendant que je le suçais, à côté de moi, Jonathan n’en perdait pas une miette. Plus je m’humiliais, plus les deux gars étaient heureux.

"Jouis sur moi !" le suppliais-je. "Où voudrais-tu jouir? Dans mon cul? Personne ne m'a jamais baisé le cul. Je suis vierge de ce côté ! Veux-tu me déflorer le cul et y jouir ? Tu seras le seul à avoir mon cul !"
En entendant cela, Jonathan a eu un hoquet. 
Il m'avait souvent demandé de lui donner mon cul, j’ai toujours refusé et voilà que je l'offrais à un inconnu !

David a été séduit par cette idée, d’être le seul, l’unique :" OK ! Je vais te prendre par le cul !"
Je me retournais. Cette fois face à Jonathan. J'ai mis mon cul en l'air. David était derrière moi. 
Il a commencé à fouiller ma chatte avec ses doigts pour récupérer mon jus et l’étaler sur mon sphincter.

J'ai regardé Jonathan, il était livide : "Oh mon dieu, Jonathan. Ce mec va me prendre le cul !"
David a commencé à éprouver mon cul avec son doigt.
Jonathan a sortit son sexe pour se palucher en le regardant procéder.
"Oh mon Dieu Jonathan, il a mis son doigt dans mon cul. Imagines-tu à quel point je suis serrée? Il est en train de m'étirer, il me prépare pour sa grosse bite !"
"Qu’en penses-tu, Jonathan ? C'est ce que tu voulais? Regarder ta copine se faire déflorer le cul ?"
Jonathan n’a pas répondu. Il a juste secoué sa bite un peu plus fort. Je lui ai dit de s’approcher. 
Il m’a tendu sa bite et j'ai commencé à le sucer.

Mon cul était maintenant bien lubrifié. Il a présenté sa bite. J'ai arrêté de bouger. J'ai gardé la bite de Jonathan dans ma bouche mais je n'ai plus bougé. J'ai senti mon cul s'ouvrir. Cela me cuisait, mais ça me plaisait bien en même temps. 
Il s'est arrêté et a attendu que mon cul s’habitue. Jonathan regardait David enfouir lentement sa bite dans mon cul.

"Oh mon dieu Jonathan. Je ne me suis jamais sentie aussi pleine, aussi comblée. Je vais jouir avec la bite de David dans mon cul !" Je suis venue sans que David ne modifie sa cadence, accroché à mes hanches, avec de longs coups profonds, comme quand il me baisait la chatte, sans mollir, concentré, gardant le tempo !

Sous la violence de l’orgasme, j'ai essayé de garder la bite de Jonathan dans ma bouche, mais je n’ai pas pu.
Jonathan a repris sa branlette. J'ai attrapé sa main libre. Il a tenu la mienne. J'ai vu Jonathan avoir ses premiers spasmes. "Jouis sur moi, Jonathan ! Jouis sur moi pendant que je me fais enculer !"
J’ai reçu son sperme chaud sur mon visage et sur mon dos.

J'ai senti David commencer à se crisper. Je savais qu'il était sur le point de jouir : "Jouis pour moi. Dans mon cul."
Il l’a fait. Je l’ai senti gicler en moi. David s'est retiré, et j'ai senti que son sperme s’écoulait de mon cul.

Je me suis retournée encore une fois. J’ai présenté mon cul à Jonathan.
"Tu vois, bébé? C’est le sperme de David qui coule de mon cul !"

David s’était allongé sur le lit à côté de Jonathan. J’ai pris David en bouche pour le faire durcir, en branlant Jonathan.
Ensuite, j’ai inversé les rôles. J’ai sucé Jonathan et branlé David.

Avec Jonathan et David, la nuit a été courte. Courte mais très satisfaisante.
Sur le chemin du retour, j'étais poisseuse de sperme.
"Alors, Jonathan, c’était ce que tu voulais ?"
Jonathan m'a regardé et m'a dit: "Mieux, tu as été parfaite !"

J'étais contente ! C’était ma première fois. Depuis, j’ai pris des kilomètres de bites dans tous mes orifices.
De toutes formes, de toutes tailles, de toutes les couleurs, et dans tous mes trous !

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