Marion Et Camille Sortent En Boîte.

Bonjour, c’est Marion, suite à notre première expérience avec Camille et notre enthousiasme à faire des pipes, nous avons réfléchi a la meilleure façon de reproduire ce plaisir ensemble sans se prendre la tête et être importunées par des garçons trop pot de colle, et voici le récit de notre première expérience que nous avons organisée, mais qui ne fut pas la dernière.

Pendant l’automne 2018, à nos 18 ans passés de quelques mois, en début de soirée je me rends chez Camille pour nous apprêter pour sortir en boîte, mais pas vraiment dans le but de danser vous allez le voir tout à l’heure.

Au préalable, nous commençons par notre physique, et principalement à toiletter notre coquillage: un rasage complet, pour cela un petit cabinet de toilette est attenant à la chambre de Camille, très pratique pour nous car ensemble nous nous déshabillons complètement sans risque d’être surprise dans cette tenue et nous allons mutuellement préparer notre crèche. Pas le moindre poil ne résiste, et à deux c’est plus facile surtout près du petit trou. Et après une petite douchette pour nettoyer les restes de l’opération, nous nous enduisons d’une crème adoucissante. L’étendre sur la chatte de l’autre nous donne les premières sensations de bien-être de la soirée, sans compter que nos langues en profitent et jouent sur les lèvres et le clito de l’autre pour être dans un état d’excitation qui permettra, dans un petit moment, de vaincre notre timidité naturelle afin d’oser exprimer nos propositions indécentes aux inconnus que nous sélectionnerons.

Nous arrivons dès le début de l’ouverture de la boîte pour étudier l’éventail des possibilités qui s’offre à nous: nous cherchons un groupe de garçons composé en général de 4 membres pas plus mais pas moins, malgré que certaines autres fois il nous arrivera de nous contenter de 3 voir 2 membres, si je puis dire. il faut bien sûr qu’ils ne soient pas accompagnés afin d’éviter tout problème, et dernier critère: que physiquement ils nous plaisent.



Ce soir là nous avons la chance que ça fonctionne comme nous espérons, à savoir designer 2 groupes de 4 garçons, car nous renouvellerons l’opération au cours de la soirée. Nous étudions encore un peu avant de nous lancer définitivement , en suivant ces garçons pour être sûr de ne pas tomber sur des abrutis de première. Et nous validons ensemble avec Camille le choix de ces groupes.

Une seule de nous va voir un des garçon, et là, c’est moi qui commence, tout à l’heure. ce sera à Camille.
Mon cœur fait boum boum, en m’approchant d’un garçon rieur qui m’a l’air sympa.

- Excusez-moi, j’aimerai vous parler, mais dans un endroit où nous pourrons discuter et nous comprendre, un peu plus loin où la musique est moins forte.

Il me sourit, et me suis prêt du bar où effectivement nous pouvons nous entendre.

- Voila, avec ma copine la-bas, si cela vous dit, nous souhaiterons sucer des garçons ce soir, et vous en avez l’occasion, vous et vos 3 copains, si cela vous tente, nous sommes vierges et comptons le rester pour l’instant, mais vous pourrez bien sur nous caresser et nous lécher. Si vous êtes tous d’accord, nous irons à notre voiture dans le parking, elle est garée un peu à l’écart dans un lieu discret. Je vous laisse répercuter cette offre à vos camarades et revenez me donner votre réponse.

- Bien, moi je suis hyper pour, me dit-il, et je vais demander si eux aussi veulent venir.

En attendant, ça m’angoisse un peu, mais avec l’expérience, nous avons jamais eu de refus par la suite. A ce moment là, nous ne faisions que des pipes, mais après notre dépucelage, au printemps 2019, nous avons pratiqué la même méthode mais en faisant en plus des pénétrations dans la minette. ( Si vous le souhaitez, je pourrais vous le raconter dans une prochaine histoire, après vous avoir narré notre deviergination, n’hésitez pas à me laisser un commentaire ).

Pour ce genre de sortie, Camille et moi avons adoptée une tenue jupe assez courte sans rien dessous, au moment de passer a l’action, nous relevons jusqu’au dessus des seins mais sans la retirer complètement afin de pouvoir être rhabillées en un clin
d’œil, si un problème inattendu survient.


Camille m’a rejoint en attendant la réponse des garçons, elle aussi est anxieuse et appréhende cette première, par la suite nous serons plus sereines.

Le temps nous a paru long, mais en fait au bout d’une à deux minutes, l’ensemble de la troupe est la.

- Nous sommes tous plus que d’accord, nous dit le garçon à qui j’ai parlé, nous vous suivons alors.

Et donc nous sortons, et les conduisons à notre voiture, garée de manière à pouvoir bénéficier de l’éclairage d’un réverbère, tout en étant caché du bâtiment et à l’abris des regards de clients ou de membres du personnel de la boîte qui mettraient le nez
dehors.

Voilà, les 2 portes latérales de la voiture à l’opposé de la discothèque étant entre-ouverte, Camille et moi, nous prenons un siège, la jupe remontée totalement, les pieds dans l’herbe du parking. Les garçons peuvent maintenant admirer nos abricots bien lustrés qui commence à mouiller. A voir leur yeux écarquillés et leurs regards ébahis, nous sommes sûr qu’ils sont abasourdis.

- Qui se dévoue pour goûter notre zezette? Demande Camille.

Ça se bouscule au portillon, mais nous ne pouvons accueillir qu’un chanceux chacune, pour faire patienter les 2 malheureux perdants, nous leur demandons de nous montrer leur petit oiseau pour le caresser et le mettre en forme. Le premier quartette que nous testons est composé de garçons de 25 ans en moyenne et déjà expérimentés, et il sont doués pour jouer de la trompette avec notre fente. L’embout subit un traitement de choc, les garçons se succèdent au chevet de notre mounette toute lisse, et pour eux comme pour nous, c’est un vrai enchantement, je sens couler dans ma fente ma cyprine, j’espère qu’ils aiment en goûter.

Les quatre commencent à nous présenter des popauls des plus intéressants. Nos doigts, experts maintenant, savent les flatter pour les faire grimper. Le temps est venu de nous en occuper exclusivement.


Et donc à genoux, sur un petit coussin, Camille et moi, nous prenons soin d’eux, un dans la bouche, un autre dans la main, nous les faisons tourner pour goûter aux quatre.

Mais maintenant l’heure est grave, nous sentons que la fin est proche, il ne faut pas rater notre sortie, Camille s’arrête pour me regarder et admirer ma manière de faire jouir nos partenaires d’un soir.

La première bite qui va me ravir dans un instant est peu poilue et bien redressée, un peu courbée, le gland pas trop épais.
Je la lèche doucement pour ensuite accélérer le mouvement de va et vient de ma main et du gland entre mes lèvres, je le sens vibrer dans ma bouche, et l’attente est courte, il se libère et des jets puissants inondent ma bouche. Hummm je le laisse se vider en le branlant fort puis avec mes lèvres et ma langue je fini de recueillir les moindres traces de son plaisir en le regardant, j’avale sa semence avec un beau sourire et je passe tout de suite au 2ème pour continuer à rester au top de l’excitation sans redescendre. Et par la même technique, j’ai ma double ration de potion magique, cette bite est plus grosse que la première et épilée comme je les aime, l’intensité qu’elle me procure me fait encore monter d’un cran, comme c’est bon! Je finis toujours en débarbouillant toute la tige, je me relève , ouvre un peu la bouche pour montrer aux garçons et à Camille le résultat de mon libertinage, et avec une énorme banane, j’avale et passe ma langue sur mes lèvres pour exposer ma satisfaction.

Camille, pendant ce temps continue à branler les deux derniers garçons afin de les maintenir prêts pour la dernière ascension émotionnelle, le premier qui va souffrir le martyr a une bite plutôt petite, lisse aussi et assez mignonne, Camille la prend toute en bouche et va de plus en plus vite en flattant les couilles de sa main. Il a les yeux en l’air, ça y est, il est cuit et ne peut plus se retenir et je ressens l’inondation que doit recevoir Camille dans sa bouche, elle garde précieusement ce membre à l’intérieur le temps de le vider complètement, et la cochonne, sans avale, passe directement à la 2ème, une bite avec un gros gland qu’elle introduit et suce avec le sperme du 1er.
Elle ne va pas trop vite pour profiter de ce moment plus longtemps, mais arrivé à l’extrême limite de ses possibilités, malgré que Camille ai stoppé son mouvement et ai ouvert la bouche, nous apercevons la semence se déverser doucement mais sûrement et se mélanger avec celle déjà présente.

Les spectateurs sont époustouflés de sa performance quand elle avale le tout d’un seul coup sans en perdre une seule goute.

- oui, c’est succulent, dit Camille, un petit bisou les garçons!

Et nous finissons par d’énormes patins qui doivent leur donner une légère idée du goût du sperme dans la bouche, et nous nous séparons, ils retournent à la boîte plus que satisfait de leur 1ère partie de soirée, et nous, après une petite toilette, nous y retournons aussi pour nous reposer un peu et avoir une redescende de tension avant de s’occuper de notre second groupe.

Nous avons sélectionné cette fois-ci des garçons beaucoup plus jeunes qui ont sans doute juste passé les 18 ans, cela nous fait plutôt plaisir d’initier un peu des ados après l’avoir été, peut être que ce sera le cas ce soir.

C’est à Camille d’aller formuler notre demande, elle s’approche du groupe et saisi le bras de l’un d’eux et à l’oreille lui susurre quelques mots. Après un temps de surprise, il répercute à chacun de ses compagnons qui sont ébahis à leur tour mais font un oui de la tête et Camille revient vers moi suivi des quatre avec un air du devoir accomplit.

Nous sortons pour la 2ème fois et retournons à la voiture. Cette fois nous commençons par leur donner un avant goût de ce que nous appelons des sucettes, ayant tous sorti leur matériel excité au possible, un par un il passe dans ma bouche et celle de Camille, mais pas trop longtemps de peur d’en faire exploser une en vol. Nous relevons notre jupe comme tout à l’heure pour leur faire admirer la beauté du spectacle, tous nous touchent partout où cela fait du bien, nous nous mettons en place pour recevoir les bienfaits d’une langue de garçon sur notre cramouille, et il nous faut les guider pour qu’ils apprennent à bien donner du plaisir à des filles, je pense même que deux d’entre eux ne connaissent pas ce qu’est un clito, mais ils apprennent vite et finalement ils nous font remouiller agréablement.

Nous nous relevons, et nous nous penchons pour les sucer chacun leur tour, peu à peu leur queue se durcie, et ils sont bien contents qu’un autre prennent la place car sinon ils pourraient pas se retenir.

Et pour les libérer vu l’état de leur queue cramoisie, nous nous mettons en position à genoux devant eux, et leur demandons de se branler et de juter sur nos visages, évidemment nous ouvrons la bouche aussi pour goûter leur liqueur.

Ce qui serait un miracle c’est de les recevoir en même temps, et c’est pas tout à fait le cas, mais pas loin, ils nous éclaboussent admirablement partout sur notre faciès et nous recueillons une quantité suffisante pour bien apprécier le goût de leur jeune foutre.

- C’était bien les garçons, demande Camille?

Tous sont aux anges et nous remercient de ce moment formidable pour eux.

- levez la main ceux qui n’avaient jamais fais ça, demandé-je

Timidement une puis 2 puis 3 puis 4 mains se lèvent. Quel bonheur! En prenant un énorme plaisir nous même, nous avons aidé à faire découvrir à des jeunes garçons, des amusements qu’ils pourrons reproduire avec d’autres filles.

Et nous nous séparons définitivement, nous allons rentrer dans cet état tout couvert de foutre, ce serait génial de se faire arrêter par des gendarmes, malheureusement ce ne fut pas le cas.

Nous avons donné du bonheur à 8 garçons ce jour-là et ce ne fut pas la seule fois.

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