Cadeau De Départ...

Sitôt arrivé dans le quartier, j’abandonnais mes deux compères pour m’empresser d’aller rejoindre mon antre dans la cave. Mais alors que je me dirigeais en direction de ce dernier, j’entendis un bruit qui venait de l’intérieur. Emporté par ma curiosité, je m’approchai au plus près de la porte où filtré toujours des rires et des voix, celle d’un homme et d’une femme. Voulant savoir qui pouvais bien violé mon espace intime, je forçais sur la porte la faisant pivoter sur ses gonds, jusqu’à ce que l’ouverture me permettre d’y jeter un œil à l‘intérieur.
Et là surprise, j’y trouvais Brigitte, la voisine du bas, debout près du sommier en mailles. Elle portait un corset porte-jarretelles à balconnet rouge translucide, maintenu par de fines bretelles et agrafé dans le dos. Qui lui serrait la taille, laissant apparaître son ventre au travers d’une bande de tissu en dentelle qui se finissant par un petit voile. Des bas couleur pêche et une culotte assorti au corset, laissant apercevoir un triangle de poils.
Cette femme en n’avait jamais assez, question cul ! Me lançais-je pour moi-même. Se tapant homme après homme, et cela alors que l’époux travaillait. D’ailleurs ce dernier était la risée de l’immeuble, au point d’être surnommait « le cocu du 32 », le numéro de notre hall.
Il était à l’époque, routier international, donc toujours sur les routes, et par la même occasion absent, pour le plus grand désarroi de son épouse, qui elle, de taille moyenne, châtain clair aux cheveux longs, une énorme paire de seins et un fessier assez large, était cantonner au foyer, s’occupant de ses jumelles.
Donc sous mes yeux, Brigitte était en compagnie du cantonnier, qui bandait comme un taureau. Une grosse queue épaisse, au gland violacé, que la voisine grimpant sur le sommier commença à le branler doucement, déposant parfois de petits baisers sur le gland. Puis avec sa langue, elle remonta le long de sa queue pour la prendre dans sa bouche et se l’enfoncer toute entière dans cette dernière.

Le cantonnier, puisque je ne connaissais pas son prénom, poussa un long râle de satisfaction. Ce que je compris aisément.
Je profitais de leur débauche, pour me rincer l’œil, et pour ça je posais mon regard sur le gros cul de Brigitte qui s’agiter. Ce qu’elle m’offrir était des plus fascinant.
Mais cela ne dura pas, malheureusement pour moi, puisque rapidement elle monta sur lui et, d’une main dirigea la queue à l’entrée de sa chatte. Elle devait avoir du mal à la faire entrée, parce qu’elle si prit à plusieurs reprises et quand enfin, elle y arriva, elle s’embrocha doucement, tout en poussant de petits soupirs. D’abord face à lui, ce qui me permit une fois encore d’admirer son gros cul en mouvement. Le faisant Monter et descendre sur une belle hampe de chair gonflée de sang.
Après quelques branlages, elle se retourna, offrant à présent son dos à son baiseur, avant de reprendre sa chevauchée fantastique.
-Putain la salope ! Fit la voix qui me fit sursauter, que je reconnus étant celle de Manu.
Il se tenait à mes côtés. Je ne l’avais même pas entendu arrivé. C’était lui mais ça aurait pu être quelqu’un d’autre. J’étais tellement inspirer par ce qui se dérouler sous mes yeux, que j’en avais oublié les dangers. Ma mère par exemple. Et juste cette pensée me fit froid au dos !
Je jetai un œil sur Manu et qui pour sa part fixait la scène. Il me semblait qu’il se frottait la braguette avec la paume de sa main, mais je me disais que je me faisais peut-être des idées. Cette situation de voyeurs à deux me subjuguait complètement.
Je portais de nouveau mon regard à l’intérieur du local pour apercevoir Brigitte chevauchait de plus belle la queue, les yeux fermés. Une main sur son sein droit, puis le gauche, entamant des caresses alternativement sur les deux. À un moment, il me sembla qu’elle se pinçait le téton. J’étais au bord de l’explosion et cela sans même me toucher.
Tout à coup, Manu éternua. Sale con ! Fut les mots qui sortirent de ma bouche, alors que le regard de Brigitte se porta dans notre direction.
Pris de panique, ils nous en fallut pas plus pour abandonner notre poste d’observation, nous réfugions le plus vite possible dans un autre local en le chevauchant pas le haut. Je profitais d’être à l’abris pour avoiner Manu.
-Mais qu’est-ce que tu voulais que je fasse ?
-Mettre ta main sur la bouche, tiens !
Alors qu’il s’apprêtait à répondre, je lui mis la main sur sa bouche pour qu‘il se taise, j‘avais entendu du bruit. Effectivement, le couple quittait le lieu. Nous les vîmes passer tout près de nous sans nous apercevoir, avant de disparaître, comme avalé par l‘entrée.
Ce ne fut que lorsque nous fûmes sûrs qu’ils soient réellement partis que je donnais la parole à Manu.
-Quelle salope celle-là !
-Tu vois de toi à moi, je ne serais pas contre de me la faire.
-Et moi donc, elle m’a mis dans un de ces états, j’ai une trique d’enfer.
Devant mon absence de réponse, il laissa tomber :
-Pas toi ?
Je ne pouvais guère nier l’évidence. Il me regarda avec un sourire cabalistique et me demanda :
-Montre !
-T’ai dingue ? Répondais-je.
Il se plaça face à moi et s‘exhiba. Je vis la forme de son sexe bien visible sous l’étoffe de son short.
-Allez, vas-y, assista-t-il, montre-moi si tu bandes.
Troublé et terriblement excité par tous ce que la journée m’avait apporté, je baissais mon short et lui exhibais mon sexe bandé. Il la regarda intensément, puis il approcha sa main pour la poser dessus.
-T’es con ou quoi, fis-je dans un mouvement de recul.
-Quoi ! Lâcha-t-il en exhibant la sienne, plus imposante que la mienne.
Il se passa le doigt doucement sur le bout du gland luisant, puis fit des petits cercles avec l’index. Je ne pouvais détacher mon regard de ses caresses.
-Tu sais quoi Alain !
-Non, mais je pense ne pas attendre longtemps pour le savoir.
Il se mit à rire avant de laisser tomber :
-Et bien je suis certain que tu aimerais me la toucher.

-Tu as trouvé ça tout seul ?
-Vas-y, cela restera entre nous, promis !
L’argument était insidieux, mais malgré tout, pourquoi pas ! Alors je cédai. Mon cœur battait la chamade, alors que je me saisissais de sa verge à pleine main et restai ainsi sans bouger. Je le sentais palpiter entre mes doigts, alors que Manu fermait les yeux. Dans cette circonstance particulière, partagé entre la peur de l’interdit et l’excitation provoquée par ce même tabou, je me penchais pour poser mes lèvres sur son gland. Avec le bout de la langue, je goûtai la perle de liquide séminal qui pointait sur son méat. Ça avait un goût assez neutre, légèrement plus salé que le mien.
Je relevai la tête quand soudain je sentis à nouveau sa main sur mon sexe. Contrairement à tout à l’heure, je me laissai faire. Il me fourra la main dans mon short, et se mit à caresser ma queue. Je m’inclinai à nouveau et, tandis qu’il me branlai, je posai plusieurs baisers sur sa verge.
Submerger par une sale excitation, je ne cherchais même pas à me retenir de jouir. Lâchant sans prévenir un jet de sperme qui souilla ses doigts ainsi que mon bas-ventre. Plusieurs autres éruptions suivirent, j’avais l’impression que jamais je ne m’arrêterai. L’excitation évanouie, je me relevai, honteux de mon éjaculation, le short qui entravait mes chevilles. Manu passa un doigt sur mon ventre taché, ramassa quelques gouttes de sperme. Alors, à ma stupéfaction, il se lécha le doigt avec un air gourmand et vicieux.
Très vite l’excitation vint de nouveau au rendez-vous, au point de me dicter l’ordre d’enrouler la paume de ma main droite autour de son membre et entamai un va-et-vient très lent et très doux aussi. De mon côté mon sexe se raidit à nouveau, tant la situation m‘excitait. Manu restait les bras le long du corps, m’encourageant à voix basse, par des « Oui, c’est bon, continue ».
Je m’exécutais, gardant le même rythme. L’instant était des plus divin, surtout qu’il se mit à nouveau à caresser mon bas-ventre.
Durant quelques minutes, je découvrais tout un tas de caresses formidables et c’était mon meilleur pote qui me les procurait !
Pour mon plus grand désarroi, il se recula, assez pour que ma main abandonne son sexe, qu’il s’empressa de se saisir, et commença un mouvement de branle beaucoup plus rapide que le mien. Je vis qu’il voulait arriver au bout. Je le regardai sans bouger, et il m’invita à faire de même. Au point où j’en étais, je me sentais plus libéré, et je me suis laissé aller. J’étais tellement excité que quelques mouvements suffirent pour que j’éjacule à nouveau, et cela avant Manu. Mais tandis que ma semence allait se perdre sur le sol de terre battues, Manu se tourna vers moi et dirigea sa verge vers mon ventre, grimaçant, il poussa de petits cris à chaque fois qu’un jet fusa de son gland et venait s’écrasé sur moi, moi qui ne cherchais même pas à les éviter. L’excitation consommée, on se regarda bêtement quelques instants, incapable de dire quoi que ce soit. Puis il enfila son short et dit :
-Je pense que je vais entrer.
-Oui, répondis-je, je vais en faire de même.
Le lendemain je trouvais Maria toute seule au bas de son bâtiment.
-Et Manu ? Lui fis-je après l’avoir embrassé.
-Il dormait quand j’ai quitté l’appart.
-J’aimerai bien avant ton départ que tu me fasses un petit cadeau.
-Ah oui ! Et lequel ?
-Que tu pisses de nouveau devant moi.
- C’est dégueulasse. Fit Maria, dégoûtée, mais résignée à tout.
- On s’en fout. Après on se verra plus.
Sans attendre sa réponse je la saisis par le bras et l’attirai jusqu’à ma garçonnière. J’avais eu un pincement au cœur en passant devant la cave où Manu et moi avions pris notre pied.
Je me couchais sur le sommier en mailles. Sur le dos. Les jambes tremblantes d’impatience, et demanda à Marie de s’exécuter. Elle me chevaucha alors, accroupie en canard.
Je vis la fente rouge bâiller devant mon visage. J’étais cramoisi d’excitation. C’était la première fois que je voyais une chatte de si près, par-dessous. Un spectacle inoubliable ! Et que dire quand elle s’abaissa en un semi-accroupissement, l’anus mauve s’évasa devant mon visage. Son bassin était si proche que je pouvais respirer toutes ses odeurs échauffées de son intimité.
Elle fut prise d’un blocage. Trop gênée pour se laisser aller. N’osant pas me pisser à la figure. Alors j’attendais patiemment qu’elle veuille bien s’exécuter, l’aidant en l’encourageant. Lui exposant mon besoin de me faire souiller par la pisse d’une femme. Presque aussitôt, des gouttes chaudes tombèrent sur mes lèvres, avant qu’à nouveau Maria se bloque. J’en profitais pour lécher les quelques gouttes salées, et comme toujours sans être plus écœuré que ça. Ça avait un goût acidulé, comme celui d’un jus de pommes vertes. Une nouveau encouragement la rappela sur le droit chemin. Mais aussi à l’obéissance. Elle eut un rire hystérique et lâcha les vannes. Je m’abandonnais sous la douche tiède en serrant ma pine à travers mon short. Le débit était trop puissant pour que je puisse tout boire. La source giclait sur ma bouche, coulait dans ma nuque me faisant frissonner d’excitation, au point de me faire gicler dans mon slip et cela alors que Maria se vidangeait.
Le lendemain, avec l’aide de Manu, on l’obligea à faire dans sa culotte. La forçant à le faire debout, devant nous. Elle mouilla comme souhaiter sa culotte, mais aussi sa robe, ses socquettes et ses sandales.
Elle resta au soleil, jusqu’à ce que ses vêtement sèchent naturellement sur elle. L’odeur de pipi qui se dégager d’elle m’excita. Au point de me branler. Ce que fit de son côté Manu.
Maria était incapable de résister. On pouvait l’obliger à tout faire. Plus l’exigence était avilissante, plus elle prenait de plaisir à se soumettre et cela jusqu’à la fin de son séjour…

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