Import And Co : Épisode 1

Salut, c’est Bob ! Tout d’abord encore merci pour vos messages qui me vont droit au cœur. Sachez ensuite qu’hier même, alors que je venais de terminer le récit « au club libertin (épisode 3), nos ordinateurs respectifs à ma chérie et moi se sont mis à bugger et… Paf : plus de récit !
C’est bien dommage car je comptais bien répondre à celui que Virginie même vous a envoyé il y a quelques jours (épisode 2). J’espérais vous donner ma version des faits mais là je ne me sens pas la force de tout refaire. Maudite informatique quand ça ne fonctionne pas ! Je ne sais vraiment pas si je réécrirais ce récit. Tant pis !

Néanmoins, je vous ai parlé il y a quelques jours d’une histoire entre Virginie ma chérie et Olivier, le second homme de sa vie comme elle se plait à dire. Ça s’est passé à son travail. Bon, allez, je vous compte cette histoire, et comme le dit si bien une tendre lectrice « que ce soit vrai ou faux on s'en fout un peu. Le principal est l'histoire ».

Récit :

Cela faisait un mois déjà que Virginie s’était faite avoir par Phil et Yves, les deux compagnons qui lui avait proposé au cours d’une visite à Compiègne de faire un casting pour eux. Virginie y avait repensé au cours d’un week-end passé chez sa mère, depuis. Néanmoins, la vie reprenait son chemin : Bob n’était au courant de rien (pour Phil et Yves, dans la forêt de Compiègne) et Virginie travaillait toujours chez « Import and Co ».

Un mois après ces évènements de Compiègne, elle rencontra de nouveau Olivier, au sein de sa boite. Olivier n’était pas toujours là, au siège. La plupart du temps, il était en déplacement sur toute la France et souvent même à l’étranger ; Londres en particulier, pour y traiter des affaires de contrats avec une filiale de la société.

Ce jour Virginie rencontra Olivier dans les couloirs de sa boite :
- Virginie ! fit Olivier en chantonnant le prénom de sa belle, comment vas-tu ?
- Bien, super, et toi ?
- Pareil, ça fait un bail que je ne t’ai pas vue ?
- Oui, en effet.

Ça fait un mois ! précisa Virginie.

Virginie avait rencontré Olivier dans les couloirs de sa société, une semaine immédiate après les évènements de Compiègne. Olivier n’était au courant de rien. Sa belle s’était tapée deux mecs et il ne le savait pas non plus. Comme Bob !

Un mois s’était écoulé depuis la dernière rencontre avec Olivier. Il était 11 heures ce matin-là quand il revint au siège de la société où travaillait Virginie. La belle était alors occupée à photocopier un dossier client pour sa direction. Olivier la prit sournoisement par derrière en lui caressant les seins alors qu’elle était occupée à son travail :
- Non, Olivier, pas maintenant, pas là ! Et si quelqu’un nous voit ? lui fit savoir Virginie.
- Tu as raison, mais j’ai trop envie de toi. Ça fait un mois que je n’ai pas baisé.
- Retrouve-moi ce soir, dix-sept heures trente, ce soir, ici ! Là, je n’ai pas le temps, j’ai beaucoup de travail, lui précisa encore Virginie.
- Ok. On fait comme ça !

La journée passa et à l’heure prévue, Olivier retrouva Virginie au local photocopieur de la société. C’était un petit espace qui donnait sur le couloir principal. De part et d’autre, il y avait les bureaux des différents adjoints ou collaborateurs, un secrétariat, le bureau compta, bref toute la panoplie des différents services que l’on peut retrouver dans une boite. Le local en lui-même était séparé du couloir par une cloison vitrée. Une fenêtre donnait sur l’extérieur., Le tout était situé en hauteur, au cinquième ou sixième étage d’un grand immeuble moderne.

17h30. Olivier retrouva donc Virginie au local photocopieur. Elle était aussi belle si ce n’est plus que le matin même où Olivier la revit depuis plus d’un mois. La belle avait dégrafé un bouton ou d’eux de son chemiser blanc et s’était attachée ses cheveux en chignon avec un pic à cheveux qu’elle conservait d’ordinaire dans l’un des tiroirs de son bureau.

Olivier lui fit remarquer qu’elle était très belle, ce qui ne manqua pas de flatter la chérie.
Il s’approcha d’elle puis l’embrassa :
- Alors comme ça tu t’es ennuyée de moi pendant mon absence ? lui dit Olivier avec une pointe d’ironie. Ton Jules ne te satisfait plus ? ajouta-t-il avec un soupçon de provocation.
- Oui. C’est exact : répondit la belle. Je n’ai pas arrêté de penser à toi une seule seconde.

Tout cela, bien évidemment, était faux : Virginie avait quelques peu oublié Olivier pendant les jours qu’elle étaient à Compiègne et les jours qui ont suivi aussi. Leur rencontre furtive dans les locaux de la société, la semaine où Virginie avait dû rappeler plusieurs fois Phil, n’avait en rien changé leur relation.

Olivier embrassa sa belle (où la belle de Bob comme vous préférez) en la collant au gros photocopieur qui était devant lui. La belle avait ses fesses collées à la machine. « Trop haut pour la faire sauter dessus » pensa Olivier en imaginant soulever sa chérie pour la faire s’asseoir sur la machine. Il l’embrassa alors avec fougue comme cela pendant un bon moment en déshabillant autant qu’il le pouvait la belle aux cheveux d’or. Olivier embrassa ses seins, les caressais, les malaxait. Il avait complétement ouvert le chemisier blanc de sa belle qui laissa ainsi dévoiler un super 90C car je ne vous l’ai jamais dit : la belle fait du 90, ce qui plût beaucoup à Bob aussi.

A défaut de prendre sa belle sur le photocopieur, Olivier la retourna et lui souleva sa jupe. Virginie portait en effet une jupe droite avec un zip au dos. Olivier ne manqua pas de lui défaire et plutôt que de retirer entièrement la jupe, il la remonta au niveau de la taille de la chérie. Virginie portait en dessous une petite culotte ressemblant de très près à un string. Olivier en profita pour passer un doigt dans la fente de sa chérie qu’il introduit pleinement dans le vagin de la belle. Virginie susurra un « humm ! » de plaisir, long et lancinant.

Olivier s’accroupit devant les fesses de sa belle. Aussitôt, il fit semblant de les mordre.
Virginie gémissait de plaisir et se trémoussa comme pour inviter Olivier à continuer son affaire. Une envie soudaine prit son hôte à la rescousse : Olivier voulait baiser sa belle. Il était venu pour cela, et d’un coup il fourra sa dulciné d’une bite gorgée de vigueur et de vitalité. Virginie était secouée et prit appui contre le photocopieur qui était devant elle.

Virginie avait entre-temps dégrafé son soutif pour qu’Olivier profite au mieux de ses seins. A chaque secousse qu’Olivier infligea à la belle, il caressait les atouts merveilleux de sa belle. Les seins de Virginie ballotaient au-dessus de la vitre du photocopieur. Olivier eut alors une idée soudaine :
- Tiens, attends, dit-il à Virginie. « Ferme les yeux et tourne la tête sur le côté ».
Virginie obéit. Disant cela, Olivier la pénétra toujours et appuya sur le bouton de la machine pour lancer les photocopies.

- Appuie tes seins sur la vitre ! ajouta Olivier à Virginie.
Sans broncher ni réfléchir, Virginie s’exécuta et plaqua sa poitrine contre la vitre du photocopieur. Olivier n’avait pas vu que le nombre de photocopies était bloqué sur dix, et des seins de Virginie, il n’en sortit pas une photocopie mais plusieurs.

Virginie reçut alors à ce moment-là un appel de Bob :
-Mince ! se dit-elle, je n’ai pas appelé Bob pour le prévenir.

Elle avait en effet envisagé de l’appeler pour lui dire qu’elle rentrerait un peu plus tard que prévu, à cause du travail. Elle songea un instant à ne pas décrocher. Son instinct la poussa à répondre :
- Allo ?
- Virginie ?
- Oui !
- Bah alors, qu’est-ce que tu fais, je t’attends, tu es où ?

Bob avait projeté ce soir-là d’emmener Virginie au théâtre de la rue Montorgueil pour y voir une pièce de Feydeau. Bob avait déjà acheté les entrées mais il fallait arriver tôt pour avoir les meilleures places.
- Je suis au bureau, lui répondit Virginie. « Je n’en ai pas pour longtemps ; je… fais… des… photo-… copies ! » « Puis je rentre ! »

La voix de Virginie était saccadée, et pour cause : Olivier la bourrait bien, presque sauvagement.
La belle était toujours appuyée sur le photocopieur, les seins accolés à la vitre.

Soudain, ce fut l’extase pour Olivier :
- Je vais jouir ma chérie, je vais jouir !
- Oui, viens ! lui répondit Virginie.

Olivier déversa alors sa semence chaude dans le fond du vagin de sa belle.
- Bon, bah, je t’attends ! répondit Bob au téléphone.
- Oui, attends-moi. Je suis prête !


Fin du récit.

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