Mon Premier Solo Avec Mon Beau-Frère
C'était un mardi matin, 6 heures le réveil sonne, Alain s'approche de moi pour me faire le bisou traditionnel, je sens sa queue toute dure contre ma cuisse.
- "Je ne t'ai pas donné assez de plaisir hier soir ?"
-"Oh que oui, mais j'ai encore envie de toi et de ton minou" dit-il en glissant sa main sur ma chatte encore toute poisseuse de nos ébats de la veille.
Il me pousse délicatement sur le côté pour me faire comprendre qu'il veut me pénétrer en cuillère.
Il approche sa bite de mon minou et me pénètre sans difficulté. Je mets ma main sur ma chatte et sa queue, tout est bien humide.
-"hummmm ma salope que ton minou me donne envie."
Il accélère ses mouvements, je sens qu'il se raidi, et, déjà, inonde ma chatte de son nectar.
-"Tu as jouis un peu vite, moi je n'ai rien eu"
-"Désolée ma chérie mais je suis déjà en retard".
Il se lève et va à la salle de bain, me laissant sur ma faim. Je me caresse machinalement mais sans aller jusqu'à me masturber.
Je n'ai pas envie de me lever, comme je suis confinée et pas de télétravail prévu ce jour.
Je l'entends arriver dans le hall de nuit, puis plus rien....
Tiens où est-il passé ? J'apprendrai plus tard par Luc qu'Alain est passé lui demander d'éteindre le feu dans mon minou
Enfin il entre dans la chambre pour me faire la bise avant de partir, mais je le fais allonger sur notre lit.
-"Chéri, j'ai envie de ta bite, fait moi jouir avant de partir".
-"Je suis déjà en retard et puis tu n'as qu'à demander à Luc."
-"Salaud, pour te punir je ne vais pas m'en priver."
Il quitte la chambre avec un grand sourire, puis jentends la voiture démarrer.
Il n'a pas encore fait 100m que, déjà, Luc se présente à poil, devancé par une trique d'enfer.
Je dégage la couette, il s'allonge à mes côtés et nous nous enlaçons
Très vite, nos langues se mêlent et notre baiser se prolonge. Je me pends à son cou, ses mains parcourent mon corps, palpent mes fesses et se promènent sur mes hanches.
Je suis faible, m'abandonne, me liquéfie de désir quand sa main glisse entre mes cuisses et qu'un doigt passe dans mon sillon encore bien ouvert par la bite de mon mari, puis il le met en bouche en murmurant un plaisir certain.
-"Hier soir, tu m'as tellement excité quand ton orgasme à fait trembler la maison que je me suis masturbé."
Je le regarde dans les yeux, je vois qu'il pince les lèvres quand j'empoigne sa bite de la main droite. J'ai hâte de la sentir en moi.
-"Laisse-moi savourer ta bouche sur mon gland" implore Luc.
Je lui souris et il prend ma tête entre les mains et la descend vers son gland surmonté d'une très belle collerette. Ma langue effleure son frein, puis le suce avec gourmandise. Je sens qu'il apprécie car il pousse ma tête plus profondément contre sa queue tendue. J'essaie d'emboucher son gland totalement mais il est trop gros pour ma petite bouche. Je recule en déposant plein de salive sur sa bite. Il gémit et j'en mouille encore plus. Ma main gauche pétrit ses deux orphelines, tandis que la droite maintient fermement son manche pendant que je suce son frein avidement et fait courir ma bouche sur toute la longueur de son puissant dard.
Il me demande de m'allonger, ma bouche quitte sa queue en laissant pendre un filet de salive accroché à son gland. Il s'engage entre mes jambes, je sens son souffle sur l'intérieur de mes jambes, sa langue d'abord et sa bouche ensuite effleurent ma peau. Je frémis. Mon envie est trop grande et j'appuie sa tête sur mon minou.
Je sens son appendice lingual s'aventurer entre mes lèvres vaginales et me lécher le sillon, s'enfoncer au plus profond de mon antre. En ressortant, il lape mon jus abondant mêlé au sperme de son frère.
Puis c'est son doigt qui explore ma chatte et il sattarde sur mon point G, il me fait couiner, mon bassin ne peut rester immobile.
Sa langue besogne de nouveau ma chatte et je sens qu'avec deux doigts, il fait jaillir ma perle clitoridienne. Décalottée, je la sens prendre de plus en plus de volume, comme une petite bite qu'il me suce avec délectation. Ses caresses sont devenues trop excitantes et je me lâche dans des cris de plaisirs qui n'en finissent pas. Je perds toute notion de temps, mon bassin bascule dans tous les sens, c'est l'extase !
Je recule ta tête en criant ; "arrêteeeeee c'est trop fort !!!" J'ai l'impression que mon clitoris va exploser tellement le flux sanguin est important.
-"Viens chéri, prend moi avec ta grosse queue".
Il glisse vers mes seins, me suce chaque téton au passage, ses lèvres s'approchent des miennes et je sens son sexe devant ma grotte du plaisir.
J'ondule mon bassin, et mes chairs s'écartent. Ce n'est pas possible, sa bite n'entre dans ma chatte qu'à la vitesse d'un escargot. J'aimerai l'avaler d'un coup mais il est coquin et déterminé à me faire languir.
-"Chéri nonnnnn ne recule pas j'ai trop envie de ta bite au fond de moi."
-"Demande moi avec gentillesse d'enfoncer mon glaive dans ton minou."
-"S'il te plait enfonce....... ahhhhhhhh salaud ma chatte est écartelée, arrêteeee tu vas me déchirer le minou.... ahhhhh ouiiiiiiii que c'est bonnnnnn de la sentir au fond de moi, continue mon chéri".
D'abord avec beaucoup de précautions pour que ma chatte s'ouvre bien à ce monstre, il amplifie progressivement ses va-et-vient au fur et à mesure qu'il me sent me détendre. A chaque coup de buttoir, il me fait gémir. Il alterne les changements de rythme, tantôt il accélère, tantôt il ralentit et en profite pour sucer mes tétons durcis par ses caresses.
Je couine de plus en plus à le sentir pistonner ma chatte de plus en plus fort.
Nos gémissements sont synchronisés, je sens sa queue durcir et gonfler encore plus.
Je croise mes jambes dans son dos, et sa bite s'enfonce encore plus profondément. Elle ne fait plus de simples va-et-vient mais devient un véritable marteau piqueur.
Je suis basculée dans tous les sens, mes seins sont ballotés et mes organes internes se déplacent aux rythmes de ses puissants coups de reins.
Je serre encore plus fortement mes jambes autour de ses hanches, je me cabre, ma respiration est haletante, semblable à celle d'un chien qui vient de courir.
Nous avons tous les deux la bouche grande ouverte et nous crions de concert des ahhhhhh des ouiiiiiiiii des encoreeeeeee quand je sens les fortes contractions de sa queue et qu'il il largue ses missiles dans le fond de ma chatte.
Doucement nos respirations se calment et, les jambes croisées dans son dos, je donne des coups de bassin et j'adore quand il me crie "nooooon c'est trop fort ma queue est trop sensible".
Nos corps se détendent, sa bite reste bien plantée au fond de mon minou, nous nous embrassons, ses mains pétrissent mes seins. Nous sommes bien comme ça tous les deux.
Après quelques caresses réciproques, une bonne douche nous fait le plus grand bien.
Et voilà comment j'ai baisé en solo avec mon beau-frère pour la première fois.
Les jours suivants, pendant tout le temps qu'a duré le confinement, alors qu'Alain travaillait, Luc et moi avons quotidiennement recommencé ... Et le soir, quand mon mari me touchait et sentait l'état de mon minou, ça le mettait dans un tel état d'excitation qu'il me baisait comme un cerf en rut pendant que je devais lui raconter comment son frère me faisait grimper au septième ciel.
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