Sans Protection

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

J'ai essayé d'écrire cela en termes médicaux, cliniques, sans y parvenir. Alors, je l’écris comme ça me vient. 
C’est l’histoire d’un viol, que cela vous plaise ou non !

J'allais à mon bar préféré, retrouver mes potes. Il était entre 22 et 23 heures. Peut pas être plus précis.
Tout de suite, en entrant, je l’ai vue, assise au bout du bar. Elle était délicieusement resplendissante.
Très belle, un peu voyante, cheveux bruns très longs, robe noire très courte et très moulante.
Et quand elle s’est tournée, très décolletée aussi, avec une poitrine fantastique.
Et toute une bimbeloterie de colliers, de bracelets, et de trucs qui lui pendaient aux oreilles.
Elle n’avait pas l’air à sa place, les putes sont au bout de la rue, elles ne viennent jamais ici, le patron les fout dehors.
En plus, elle avait un verre de vin, personne ne boit du vin, ici.

Quoi qu'il en soit, en voyant une poupée aussi bandante, je m'en fichais vraiment de quoi elle avait l’air. 
Elle n'était visiblement pas là depuis longtemps, son verre de vin était intact. 
Je l'ai regardée pendant un moment pour voir si son petit-ami revenait des toilettes ou quelque chose comme ça.
J'ai remarqué qu'elle regardait l'horloge souvent. Peut-être qu'elle attendait quelqu'un? 
Même si elle reluquait les gens dans la salle comme si elle les évaluait. "Elle cherche" je me suis pensé.
"M’en fiche si je me prends un râteau, cette nana-là, elle vaut le coup", pensais-je en me dirigeant vers elle. 

Puis, j'ai réalisé que lorsqu'elle observait les gens entre deux coups d’œil à l’horloge, elle ne s’intéressait qu’aux filles. "Ah. Merde. C’est bien ma veine. Une gouine !"
J’étais assez près pour la mater à loisir, alors je suis resté. Magnifique, il n’y a pas d’autre mot pour la décrire !
La fille a de nouveau regardé l'horloge, et elle m'a aperçu en train de la mater.

 
Son regard a continué de se déplacer automatiquement, comme si je n'étais pas la personne qu'elle convoitait.
Mais ensuite, elle a eu une sorte de sursaut et son regard est revenu sur moi. 

Elle m’a regardé, dubitative, un petit sourire naquit sur ses lèvres, puis elle m’a examiné de la tête au pied et, apparemment satisfaite de ce qu’elle voyait, m’a adressé un sourire enjôleur.
Visiblement, il était évident qu'elle voulait établir une connexion. Eh bien, je ne suis pas stupide. 
Je n'ai pas perdu de temps : "Salut, moi c’est Robert !"

Elle avait fière allure de près. Avec peut-être un petit ventre, mais je ne l’aurais pas remarqué si sa robe n'avait pas été aussi moulante. J'ai essayé de ne pas bloquer mes yeux sur ses seins, et ce n'était pas facile.
"Salut. Moi c’est Jenny !" répondit-elle. "On va faire un tour ?" Elle posa son verre de vin en commençant à se lever.
"Putain de merde, elle est rapide, celle-là, et elle sait ce qu’elle veut !"  Je me suis pensé.

J'ai rapidement fait mes adieux au bar de mes amis, pensant qu'elle aimerait peut-être un dîner avant une promenade romantique au clair de lune. Jenny a regardé de nouveau l'horloge. Non, elle voulait aller directement chez moi !
Je ne sais pas pourquoi, mais cela ne m'est pas venu à l'esprit sur le moment que c’était probablement une prostituée, ou même une occasionnelle. J'étais un peu sous le choc, je suppose. De toute façon, elle m’aurait demandé du fric, j’aurais accepté. N’importe quoi, plutôt que ça ...

Je ne dirais pas qu'elle était salope sur le chemin du retour à mon appartement, mais il était assez clair qu'elle en voulait. Elle s’était assise de guingois sur le siège passager, jambes ouvertes, tournées vers moi, impossible d’ignorer la couleur violette de sa culotte. Déjà son décolleté me donnait des vertiges, en plus la chaleur de sa main posée sur ma cuisse, très près de mes bijoux de famille, gênait mon attention à la conduite.

Ce dont je me souviens, c'est qu’elle se frottait souvent le ventre, plus précisément cette bosse au-dessus du pubis. 
J'essayai d’alimenter la discussion, mais elle n'était pas très loquace, elle voulait surtout savoir si on arrivait bientôt. 
Jenny semblait cependant vraiment amusée par quelque chose.

Arrivé à l’appartement, j'étais heureux de découvrir que mon colocataire était parti pour la soirée. 
J'ai fait mon baratin habituel pour dire que l'endroit était en désordre, mais Jenny s’en fichait.
Elle a commencé à enlever ses bijoux et ses chaussures dès que nous sommes entrés. 
Comme cela ressemblait beaucoup plus à un film porno qu'au genre de premier rendez-vous habituel, pendant un court instant, j’étais désemparé. Mais Jenny a réglé le problème en se pendant à mon cou.

Elle m’a embrassé, que dis-je, roulé un patin, avec une bouche façon ventouse, durement, profondément, mon cerveau a tilté et quand elle m’a relâché, je n’avais plus ma chemise. Peut pas me rappeler si c’est moi qui l’a enlevée.
On aurait dit une nympho, ses mains partout sur moi, j’avais une tornade entre mes bras.
J'ai réussi à faire glisser la robe de Jenny de ses épaules et j'ai commencé à sucer ses seins, mais ça a eu pour conséquence de la faire éclater de rire.

En une demie-seconde, elle a enlevé la totalité de ses vêtements. 
Putain de merde, elle était chaude, épilée, rasée, aucune marque de maillot, totalement impudique. 
Seul défaut apparent dans cette vision idyllique, une petite bosse sur le petit ventre, juste au-dessus du pubis.
C'était comme un deuxième renflement juste au-dessus de son mont-de-vénus. Pas beaucoup plus gros qu’une hernie. Compte tenu de la perfection du reste de sa personne, je ne me suis pas plaint.
Alors Jenny m'a traînée, ou je l'ai traînée, dans ma chambre, elle a enlevé mon pantalon et m'a sucé un peu la bite. 
C'était en fait assez curieux, parce que Jenny n'était vraiment pas si bonne que ça pour sucer la bite, un peu comme si elle ne l'avait jamais fait auparavant.
 Mais son regard était intense. Je ne sais pas comment le décrire. 
Comme si elle était trop excitée, à la limite un peu hystérique, presque démente.

J'ai déjà connu des filles qui avaient des jouets vibrants dans leur sac à main, j’en ai connu aussi qui pratiquait le SM.
Mais j’ai été surpris qu'elle ait des menottes dans son sac. J’ai été compréhensif, si elle voulait être attachée ...
Non, elle voulait m’attacher, moi ! Je ne voulais pas prendre le risque de la vexer, et qu’elle s’en aille. 
Je l'ai laissée me menotter au cadre du lit, elle l’a fait curieusement, en croisant mes bras. 
Elle a beaucoup ri pendant toute l’opération, mais elle s’est calmée d’un coup quand j’ai été attaché.
Son curieux sourire, ses yeux un peu fous, elle me rendait un peu nerveux. 
Je n'avais jamais été avec une psychopathe, mais vous entendez de ces histoires ...

Jenny m’a chevauché pour me caresser et sucer ma bite pendant un moment, puis elle s’est soulevée en grimaçant, comme si elle s’était froissé un muscle. Elle m’a sourit : "Retourne-toi, chéri !"
"Quoi ? Pourquoi ?"
"Allez, sois gentil. Je veux essayer quelque chose." 
Elle a commencé à pousser et tirer jusqu'à ce que je comprenne qu'elle voulait que je me mette à quatre pattes. 
À bien y penser, je suppose que c'est pourquoi elle m'a menotté les bras croisés, à l'envers. 
Je n'étais pas vraiment excité par l'idée d’être accroupi sur le lit dans une position bizarre, menotté, mais quand une poupée nue et excitée vous demande de faire quelque chose, hé bien, vous le faites. 
Une fois en position, j'ai regardée par-dessus mon épaule, attendant qu'elle commence son expérience.

C'est alors que c'est arrivé.

Elle poussa un grand soupir de soulagement, détendit son cou et ses épaules, puis elle s’est caressée la chatte pour en faire sortir, et je ne plaisante pas, une bite. Une bite de mec est sortie de sa chatte, s’est dépliée, a poussé, je ne sais pas l’expliquer ! Jenny souriante, a fait trembler ses hanches, un peu comme si elle essayait de se débarrasser d'une culotte.
 Il y a eu une sorte de bruit humide, ses abdominaux travaillaient, elle a grogné et tout a jaillit. 
Ça ressemblait à une bite ordinaire, dressée et humide. Sauf qu’elle sortait de sa chatte, entre les grandes lèvres.

Je suis resté tétanisé pendant une seconde, puis j'ai crié: "C'est quoi ce bordel ?"
Jenny semblait s'attendre à cette réaction et elle s’est mise à rire. Elle a mis ses mains sur ses hanches et elle a regardé sa queue : "C'est un ..." Je n’ai pas compris le mot qu'elle a utilisé. Je crois que c'était "dépotoir" ?

J'ai alors commencé à donner des coups de pied, me débattant en espérant lui en coller une entre les dents ou sur sa bite monstrueuse, ou même détacher ces putains de menottes. Mais pas de chance. 
Jenny a esquivé mes jambes et, en me déplaçant trop, je me suis retrouvé à plat ventre, jambes tendues.
D’un bond, Jenny s’est retrouvée sur mon dos et s’est laissée glisser sur mes jambes pour les bloquer.
J’ai essayé de la désarçonner, mais pas moyen. Son sexe suintait un liquide clair qui coulait sur le bas de mes reins et en haut de ma raie culière. Après un moment, j'ai commencé à m’engourdir de la taille aux pieds. 
Pas comme un anesthésiant, mais comme si mes jambes étaient trop fatiguées pour bouger.

Puis j'ai commencé à paniquer. J’ai essayé de lui crier : "Éloigne-toi de moi, putain de salope!", mais j’avais du mal à articuler, ma mâchoire se paralysait. J’ai pensé que j’allais mourir, et Jenny riait comme une folle.

À présent, allongée sur moi, elle frottait sa bite dans ma raie culière, répandant son liquide odorant.
Sans rien dire, avec ses doigts, elle étalait ses jus sur mon cul, insistant dans mon sphincter.
J'ai bien essayé de serrer les fesses, mais mes muscles étaient déjà trop engourdis à ce moment-là.

"Désolé, chéri" me dit Jenny. "Tu es mon ticket pour quitter cette planète de merde." 
Incompréhensible, quelle qu’elle soit, cette fille était probablement folle.

"Je pensais ne pas pouvoir ... je n'allais pas y arriver … presque avant minuit", les yeux fixés sur l'horloge. 
Elle s’est agenouillée au-dessus de moi, j’ai tourné la tête pour voir.
Elle prit sa bite en main en frottant doucement cette bosse en bas de son ventre. 
Cela semblait ferme comme un muscle, ne tremblait pas comme de la graisse. 
Un sourire narquois sur son visage, elle se pencha pour caresser mes fesses : 
"Allez, bébé, sois gentil, ouvre-toi. Ça fait trois jours que je porte cette charge, maintenant." 

Jenny s’allongea sur moi de nouveau. Sa bouche près de mon oreille, ses seins pointus dans mon dos, et sa bite calée dans ma raie du cul. Elle me chuchotait :
"Tu veux sympathiser ? T’as déjà eu les boules bleues d’abstinence ? Alors, maintenant tu vas me faire une très grande faveur." Avec ses douces mains, elle a écarté mes fesses et plongé deux doigts dans mon cul.

"Aïe !" Ai-je réussi à articuler, un peu sous le choc.
"Parce que je suis désireuse. J'ai besoin de te baiser dans le cul, chéri," ronronnait Jenny. 
"Maintenant, ouvre-toi et sois un bon garçon pour moi."
Sa bite heurta mon anus, et je me figeais sous le choc.

Maintenant j'ai bien compris ce qu’elle voulait faire. J'ai essayé de m'échapper, mais mes jambes étaient si engourdies que c'était désespéré. Sa prise sur mon cul était invincible. J’étais un pantin de chair, livré aux fantasmes d’une folle. 
Elle laissa échapper un grognement étrange alors qu'elle poussait sa bite en moi, cela ressemblait plus à du soulagement qu’à du plaisir. Je pouvais sentir sa bite humide progresser en moi, m'étirant le passage. 

Je regardais par-dessus mon épaule du mieux que je pouvais, et je voyais ce grand sourire extatique sur son visage.
Sa bite était bien chaude et épaisse en moi, bien meilleure sensation que ce que j'avais redouté. 
Je pouvais réellement sentir battre son pouls, mes terminaisons nerveuses, ma prostate, je découvrais le monde.

Jenny a éclaté de rire, heureuse : "C'est très différent avec un homme, mon chéri ! Tu es si serré !"

Elle a glissé son genou entre mes jambes, m’a écarté, et je pouvais sentir son sexe s'enfoncer plus profondément,
Le liquide qui continuait de sourdre de sa bite agissait comme un anesthésiant et comme un lubrifiant.
Elle glissait en se tortillant en moi, elle m'étirait largement, mais je n’avais pas mal, pas exactement. 
Je me sentais vraiment plein, rempli, bourré, farci. Finalement, Jenny a glissé une main sous moi pour attr ma bite.
J’ai cru à une caresse, je me suis laissé faire. Mais elle m’a tordu la bite.
Sous la douleur, j’ai essayé de m’échapper en cambrant mes reins, et comme je tendais mon cul vers elle, elle a enfoncé sa bite d’un coup sec, bien au fond de mon cul.
J'ai gémi sourdement, mais elle m’a marmonné : "Voilà, chéri ... Ton petit cul est bien rempli, non?" 

Elle s’est pressée complètement contre moi, je pouvais sentir ses gros seins reposer sur mon dos. 
Son ventre collé à mes reins épousait étroitement mes fesses, ses jambes entre les miennes, je me demandais si elle voulait être tendre, ou pas ?

"Et ça fera dix", dit-elle en riant, mais je n’ai pas compris ce qu'elle voulait dire par là. 
Puis elle a commencé à me baiser vraiment, des coups longs, durs, et de plus en plus vite. 
Jenny a commencé à gémir presque immédiatement : "Oh, oui ... oui ... je prends ça, salope ..." marmonna-t-elle. 
Elle était complètement en transes, collée à moi, elle avait glissé ses mains sous moi pour caresser mes mamelons.
Appuyée de tout son poids sur mon dos, juste ses hanches s’agitaient frénétiquement, me baisant comme si elle était désespérément dans l’urgence. Visage fermé, elle se mordait les lèvres.

J'étais ... au début, je me battais pour essayer de me débarrasser d'elle. Ensuite, j'étais un peu trop abasourdi pour faire quoi que ce soit. J'avoue que, après un moment, j’ai commencé à me sentir mieux.
Ce n’était pas aussi douloureux que je redoutais, sa bite enfouie en moi, frottant sur mes parois, ma prostate. 
Entre ses gémissements dans mon cou, la sensation de sa peau nue sur moi, et ses efforts frénétiques, ça a commencé à me chauffer aussi.

Cela ne lui a pas prit longtemps, je ne sais pas, quelques minutes, et j’ai senti sa bite s’épaissir. 
Gonfler en moi, dilater mon canal, augmenter de volume. À ce moment-là, ses gémissements se sont arrêtés.
Sa prise sur moi s’est resserrée. Jenny a rit de nouveau et elle conduisit sa bite plus lentement et plus fort. 
"Ouais ... ouais, ça y est, mon chéri !" siffla-t-elle. "Putain, ça va être bon. J'ai traîné cette charge depuis trois jours, je l’ai brassée toute la journée. Tu es si bonne, petite pute ... ton cul est si doux ... si bon! Cramponne-toi, bébé ... j’en ai besoin, j'en ai besoin, ton cul m’appartient, salope ... " Elle babillait, me claquait si fort en me secouant. 
Puis elle a ri encore : "Oui, bébé! Maman a une grosse charge pour toi ... ça vient, ça vient ..."

Puis elle a éjaculé. Certaines personnes parlent d’un torrent de sperme. 
C'était comme lorsque vous ouvrez le robinet et qu'il y a de l'air dans la conduite. 
Je pouvais sentir une pulvérisation mousseuse chaude, puis un jet de sperme à haute pression m’a poignardé. 
Ensuite, un sirop chaud, épais, gluant, puis encore une giclée gazeuse, comme un pet foireux.
Elle avait resserré son emprise puissante sur moi et hurlait à pleins poumons.

"Putain, oui! … C'est ça, bébé, prends tout. Je vais le farcir, ton joli petit cul de pucelle !" 
Elle tortillait ses hanches d'avant en arrière, ses doigts crispés sur mes tétons. Elle continuait de couler en moi, un flot de liquide gluant jaillissait de sa bite profondément en moi, jusqu'à ce que je sente mon ventre gonfler. 
Impossible de regarder sous moi, mais je pouvais réellement sentir mon ventre se dilater lentement. 
J'ai alors essayé de lutter à nouveau, mais j'avais l'impression qu'elle avait déjà tellement giclé en moi qu'elle me pesait.
Une masse chaude et épaisse de crème gluante garnissait mes tripes. 
Elle riait, gémissait, frissonnait puis jaillissait de nouveau, un autre jet de crème projeté en moi. 
Mon ventre distendu devenait douloureux : "Allez, bébé, encore un effort, prends tout, mon chéri, sors-moi toute cette merde de là !" Jenny gémissait, semblait à bout de forces. "Je dois ... je dois me vider tous ces trucs ..."

Finalement, elle se bloqua au plus profond, haletante, épuisée, et je sentais un renflement épais et douloureux progresser lentement le long de sa bite. Que se passait-il? 
Jenny a commencé à faiblir et se tortiller, se balançant un peu d'avant en arrière, comme si elle s'efforçait de se libérer. "Putain de saloperie ..." grinçait-elle, sifflant entre ses dents avec l’effort. "Allez … Putain … Allez ..."
Finalement, elle parvint à décharger le truc profondément dans mon cul avec un ploc qui fit vibrer mes entrailles.
Un énorme gémissement, un soupir de soulagement géant, le truc était coincé en place dans le liquide séminal contenu dans mes intestins. Enfin, Jenny pouvait se détendre et se laisser aller avec un soupir d’aise.

Elle a lâché mes tétons avec un petit rire de confusion et m’a saisit par la tignasse pour m’embrasser.
Visiblement ravie d’avoir terminé cet exercice épuisant, elle avait besoin de tendresse.
La fille se pencha et m'embrassa sur le dos. Puis elle a commencé à retirer sa bite en détumescence. 
Je m'attendais à une inondation de foutre, dans ces circonstances, mais non, il ne s'est rien passé. 
C'était comme si elle m’avait colmaté hermétique, tout sa merde restait à l’intérieur de mon cul. 

Jenny s'assit sur le lit à côté de moi, pour reprendre son souffle, je suppose. 
Son attitude avait beaucoup changé, elle avait l'air vraiment fatiguée, mentalement aussi. 
J'étais encore trop médusé pour parler, toujours accroupi là sur le lit avec mon ventre boursouflé.

"Merci, mon chéri," dit Jenny, souriante, presque en s'excusant. Elle regarda à nouveau l'horloge. 
"C’était proche. J'avais l'impression que j'allais éclater si je conservais cette charge plus longtemps!" 
Jenny se tapota le ventre redevenu plat. La petite protubérance avait disparu.

Ça m'a mis en rogne. J'aurais voulu la , j’essayais de me relâcher, de me vider de ce qu’elle m’avait rempli le cul.
Tout ce que j'ai réussi à faire, c’est de me balancer le ventre d'avant en arrière en tirant fort sur les menottes. 
Je suppose que j'avais probablement l'air assez stupide avec mon gros ventre qui gigotait. C'était vraiment bizarre. 

Pour la première fois, je réalisais ce qui venait de se passer. 
Jenny m'avait baisé et elle avait déchargé son foutre en moi. Mais pas que … Elle m’avait aussi laissé un souvenir. 
Je pouvais le sentir maintenant, à l'intérieur de la bouillie gluante, il glissait lentement d'avant en arrière. 
C'était comme une boule chaude logée dans mes entrailles.

J'ai crié une série de borborygmes incompréhensibles. Ma mâchoire anesthésiée refusait de fonctionner correctement.

Jenny a fait la moue : "Mon chéri, tu n’est pas gentil !" Elle s’est levée pour ramasser ses vêtements. 
Elle a tourné le dos quand son sexe a disparu, mais je l'ai vue se tortiller à nouveau, comme quand il était sorti. 
"C’était si agréable, chéri. Ton cul était si serré, j’ai eu beaucoup de plaisir !" 
Jenny enfila sa robe et commença à rassembler ses affaires. 
"Désolé de te quitter si vite, chéri, mais tu sais ce que c’est, maintenant que j’ai tiré mon coup … J’ai pas envie de rester pour te tenir la main. En tout cas, sache que j’ai bien aimé ton petit cul et ta façon de te donner. C’est pas souvent que je baise une pute aussi docile !" Elle gloussa en m’envoyant un baiser du bout des lèvres.

J'ai commencé à paniquer un peu et j'ai secoué les menottes.

"Oh, c'est vrai, j'allais oublier !" Elle plaça soigneusement les clés des menottes à portée de main sur le lit.
J'ai commencé à essayer de les saisir avec mes doigts. 
Jenny me sourit tendrement, s'appuya sur le lit et caressa mon ventre proéminent. 
"Bon garçon !" dit-elle, palpant très doucement, avant d’accen sa pression. 
Je grimaçais sous la contrainte, sentant la pâte épaisse remuer. 
"Tu iras mieux dans quelques mois" a déclaré Jenny, son sourire narquois m’horripilait. 
"Les choses se prendront alors en charge toutes seules, un peu de patience !" 
Je ne savais pas de quoi elle parlait alors, et je ne le sais pas plus maintenant. Puis elle est partie.

Il n'y a pas grand-chose d'autre à dire. Je me suis détaché et j'ai commencé à me lever quand deux choses se sont produites. Tout d'abord, j'ai découvert qu'avec mon ventre gonflé de son sperme, mon équilibre était précaire. 
Deuxièmement, j'ai eu un vertige. Mon colocataire m'a trouvé par terre quand il est rentré à la maison.
Il a appelé les pompiers. Je n'ai pas revu Jenny depuis.

Voilà donc l'histoire. Les examens que j’ai subi, radio, scanner ou IRM, je ne sais plus, disent que j'ai une énorme chose.
Une sorte de gelée de gomme douce qui ressemble à un gros ver blanc, et qui grandit dans mon intestin. 
Je ne sais pas à quel point ça va grandir. Je ne le sens jamais bouger, mais il est cuisant et définitivement vivant. 
J'ai déjà l'air ridicule après deux mois avec ce gros ventre de femme enceinte qui pointe, et qui devient lourd. 
Je dois porter des pantalons de survêtement et des t-shirts amples tout le temps. Et boire beaucoup. 
Entre les hormones de grossesse et cette chose qui fait pression sur ma prostate, j'ai besoin de me branler cinq fois par jour pour éviter de devenir fou. J'ai les sensations d'un taureau qui doit se faire traire.

Donc. Pour les raisons ci-dessus, je souhaite faire appel du refus de ma réclamation. 
Mon régime de mutuelle comprend clairement une couverture de maternité (voir la section D, sous-sections 1-3). 
Cela ne précise rien sur le fait d'être ou non une femme.

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