L'Autre Belle-Fille
Lautre belle-fille,
Elle a 41 ans, célibataire et malheureusement pour elle souffre dun léger handicap,
Sans vie sociale depuis le début du Covid, elle avait pour habitude daller en boite le vendredi et où le samedi en recherche dune relation sexuelle furtive,
Javais eu avec elle un souci il y a quelques années, pensant être allumé par son attitude je métais autorisé à poser ma main sur son sein et elle mavait éconduit non sans avoir parlé à sa mère qui mavait fait une scène,
Depuis je lévitais, vivant seule elle informe sa mère dun problème avec le tiroir dune commode, celle-ci me demande si je veux bien aller voir et solutionner lincident, sur le coup je suis un peu réticent mais elle me dit : personne ne le fera !
Jarrive en début daprès-midi, en fait il suffit de mettre un point de colle et le problème nest plus, le tiroir de cette commode est celui de ses sous-vêtements, jessaie de détendre latmosphère en plaisantant sur quelques dessous tout en lui disant : personne nen profite !
Elle me fait part de sa solitude affective, nous en discutant un peu et je lui propose de lui faire un câlin en la prenant dans mes bras, elle sapproche de moi et passe ses bras autour de mon cou, les miens se posent sur sa taille,
La situation ne me laisse pas insensible et un début dérection pointe dans mon boxer, elle ne peut pas ne pas sen apercevoir, je la plaque un peu plus contre moi, ses seins quelle mavait refusés sécrase sur mon torse,
Je lui chuchote quelques mots à loreille, elle se détend et au travers de nos pantalons nos deux sexes sont en contact, je me lance en lui faisant quelques bisous sur la joue puis glisse de plus en plus vers ses lèvres, elle ne se dérobe pas et nos bouches se soudent,
Dans le même temps je me frotte contre son sexe et à ma grande satisfaction elle accompagne mon mouvement,
Je ne veux pas brusquer et notre duo dure plusieurs minutes, je finis par lui glisser à loreille : ça te fait du bien ?
- Un petit oui suivi de mais ce nest pas bien !
Ne pense quà toi, tu veux la sentir un peu plus ? je parle de ma queue qui est à létroit dans mon boxer,
Je nattends pas sa réponse, mes mains quittent ses hanches, je déboutonne son pantalon et le descends un peu, je déboutonne le mien extrait ma queue, le positionne entre ses cuisses, elle écarte celles-ci et nos deux sexes sont en contact, le fin tissus de sa culotte empêche pour le moment un contact plus tactile,
Elle sactive davantage sur mon membre, je sais à présent que je peux aller plus loin, jattends un peu, puis crochète sa culotte qui descends, empoigne ma queue et me frotte contre son pubis qui à mon contentement est légèrement poilu, elle souvre davantage si bien que je pourrai presque la pénétrer debout, mais je veux autre chose, je lui propose de faire peau à peau, elle ne dit rien, je lui retire son tee-shirt, ses seins mapparaissent dans son soutien-gorge, je lui retire, fait de même avec mon polo et nos deux corps sont nus, je peux enfin sentir ses mamelons plus volumineux que je ne le pensais contre mon torse, je lui dis : quand je pense quil y a quelques années tu as fait un scandale !
A présent, je peux lui malaxer et je ne men prive pas, ils sont durs et ses têtons bien dressés, elle continue à frotter sa chatte sur ma queue, je ressens même sa mouille qui huile notre joute, des petits sons séchappent de sa bouche,
Sa bouche justement je souhaite linvestir, le reste aussi !
je lui glisse à loreille : tu veux que je te baise ? pas de réponse alors je répète, elle redit : oui mais ce nest pas bien
dis moi : que tu veux que je te baise ? elle finit par dire oui mais pas assez fort à mon goût, alors je lui redemande et elle dit : baise moi, baise moi !
mais avant je veux quelle me suce, je la fais sagenouiller et devant elle se dresse fièrement mon sexe, avec son handicap elle ne peux pas la prendre en main, mais pas grave, ce que je veux cest être dans sa bouche, je suis convaincu quelle est une bonne suceuse et je ne suis pas déçu, elle fait cela remarquablement bien, jen profite ! je menfonce jusquà sa gorge, limite à la faire vomir et ressort pour mieux linvestir, elle hoquette mais ne sinterrompt pas, je suis au bord de lexplosion aussi je la préviens que je vais éjaculer, quelle doit tout garder en bouche avant de déglutir,
cest à cet instant que mon téléphone sonne, cest sa mère, je lui dis de ne pas cesser sa fellation, je réponds en disant à ma compagne : jen ai pour une petite heure encore, elle demande sa fille et je lui dis : elle est partie faire une course, je lui demande de te rappeler ?
pas la peine me dit-elle, je glousse de la situation et je raccroche,
durant cet intermède elle a continué à me sucer et lorsquenfin je libère mon foutre elle fait comme je lui ai demandé, elle va même plus loin en ouvrant sa cavité buccale et avec sa langue fait malaxer mon jus avant davaler,
ma queue a perdu de sa dureté, je la rassure en lui disant : tinquiète tu vas lui redonner la forme, je la redresse et lui intime de sucer mes couilles, elle sexécute, cest délicieux et elle reprend forme,
viens sur ton lit, on serra mieux, je la déleste de son pantalon de sa culotte qui nest pas terrible et cherche dans le tiroir une plus sexy que je lui enfile, sur le dos je lui demande une capote car même si elle prends la pilule je ne souhaite pas la saillir sans,
jenfile le caoutchouc sur ma queue dressée, lui fait écarter les cuisses, tire sur le côté cette nouvelle culotte puis je positionne mon gland à lentrée de sa grotte, je joue un instant à la frotter, ses lèvres vaginales sentrouvrent et lui redemande si elle veux que je la baise,
- oui je le veux,
- tu sais que tu cocufies ta mère
- men fout
Dun coup sec je la perfore, elle pousse un petit cri puis ce sont des râles qui sortent de sa bouche, je macharne sur ses seins, vu que jai déjà éjaculé je peux profiter un max de son corps,
Je lui demande si elle a déjà pratiqué la sodomie, sa réponse est oui,
tu veux que je tencule ?
Ce que tu veux, mais baise moi la chatte dabord !
Je mactive dans son fourreau gluant de sa mouille, je me couche sur elle et lembrasse, je linsémine aussi avec ma salive, elle ne se dérobe pas et avale,
Finalement la capote mempêche de bien me sentir dans son nid damour, sachant quelle na pas baisé depuis plus de deux ans je la retire et linvestit à nouveau, à priori elle préfère également, je continue à mactiver en elle, à un moment je me retire, lui relève les jambes et lorgne sur son illet plissé, je frotte mon gland sur lorifice qui semble lappeler et mintroduits très légèrement puis abandonne et reviens dans son nid humide, quelques allers retours je menfonce au plus profond de son vagin et libère mon venin en elle, elle est prise de spasmes et jouit sur ma queue,
Dix minutes plus tard, elle a repris ses esprits et me dit : nous naurions pas dû le faire !
Je la regarde et lui demande : tu nas pas aimé ?
Quest ce que tu as pensé quand jétais avec ta mère au téléphone,
De lexcitation et du dégoût !
Pas pour autant que tu as arrêté ?
Pas de réponse de sa part, ma queue elle a repris de la vigueur, je la fais se mettre en levrette, les genoux bien écartés, sa croupe bien en vue et son cul aussi,
Je saisis ma queue et réinvestit son nid douillet, récupère un mélange de sperme et de mouille pour lubrifier son illet, je positionne mon gland et mintroduit dans ses intestins, je suis compressé mais quel plaisir, je vais et viens, elle accompagne ce nouveau coït en poussant des râles de contentement, il ne men faut pas plus pour me libérer à nouveau en elle,
Avant de quitter sa couche je lui dis quà lavenir je veux quelle vienne chez sa mère quen jupe où robe, que les pantalons sont proscrits et que son sexe me soit accessible,
Comme elle ne travaille quà mi-temps, je passe très régulièrement chez elle,
Jai déjà des idées de soumissions lorsquelle pourra à nouveau aller en boite, on en parle lors de nos joutes sexuelles et cela lexcite énormément !
Souvent lorsquelle vient chez sa mère, jen profite pour la caresser dans le dos de celle-ci !
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