De Soumis À Cocu Sandra Et Karim Part1

Cela fait plus de deux semaines que l’histoire avec Karim et Ludo s’est passée, et je n’ai eu aucune nouvelle des deux. J’ai fini par croire que Karim avait oublié où renoncé, mon histoire avec Sandra se portait à merveille, nous avions même laissé de côté cette histoire de drague, pas pour me déplaire loin de là.
Jusqu’au jour où, alors que j’avais fini mes cours à la fac, je consultai mon téléphone et y vit un message vocal d’un numéro inconnu.
Mon sang se glaça, c’était Karim, il me rappelait notre marché et voulait s’assurer que je ne me défilerai pas. Il me donnait rendez-vous chez moi le week-end prochain et j’avais plutôt intérêt à tenir ma promesse, il m’a même, dit-il, laissé un message sur mon téléphone pour que je n’oublie pas.
J’étais comme figé dans les couloirs de l’université, je regardai autour de moi pour m’assurer de ne pas être vu et consulta le message envoyé par Karim. C’était une photo de moi, le visage couvert de sperme avec la bite de Karim à côté, on ne voyait que moi et cette bite sur l’image. Je restai bien plusieurs secondes bouche bée devant avant de reprendre mes esprits. Je décidai de rentrer vite chez moi.
Une fois à la maison, je fis les cent tours dans mon appartement. J’étais bel et bien piégé, Karim était déterminé à parvenir à ses fins et je ne voyais pas comment l’en empêcher, la photo envoyée était un avertissement on ne peut plus claire. Il était mercredi et je n’allais pas revoir Sandra avant vendredi, cela me laissait un peu de temps pour échafauder un plan si j’y arrivait, car si ma copine n’acceptait pas de coucher avec Karim, s’en était fini de ma réputation. Ce soir-là je ne dormi presque pas et c’est tel un zombie que je me rendis à la fac le lendemain.
Je traversai ce jeudi tel une ombre, je ne m’intéressai peu au cours et mes camarades me trouvèrent distant et complètement dans la lune, pour cause. La journée finie, sur mon canapé traînant mon spleen comme une merde, je reçu un appel d’un numéro inconnu, je décrochai la boule au ventre me doutant de sa provenance.

C’était bien Karim, je sentais son sourire narquois au téléphone, il m’appelait Pierrette, ce qui avait le don de m’agacer. Il voulait être sùr que j’avais bien reçu son message et que tout était prêt pour samedi. Je parvenais à peine à prononcer quelques mots tellement j’avais peur. Il me menaça de tout balancer à ma copine si ça ne se passait pas comme prévu. J’eus toutes les peines du monde à lui répondre que oui. Il raccrocha, en me disant à samedi ma lopette et je t’envoie un nouveau message pour te mettre en condition, le tout avec un rire de macho.
Juste après son appel, je reçu un message que je consultai avec appréhension. C’était un extrait vidéo de la soirée, j’étais à quatre pattes sur le canapé entrain de me faire sodomiser par Karim et je criais qu’il allait baiser ma copine. Je me maudis de n’avoir rien tenté pour l’empêcher, je me convainquis même que c’était ma faute et que je n’avais que ce que je méritais.
Cette nuit encore fut longue, je regardai plusieurs fois la photo et la vidéo que Karim m’avait envoyé. Me voir me faire baiser et le visage recouvert de sperme me dégoûta et m’excita à la fois. Je finis par me branler en me traitant intérieurement de pervers.
Le lendemain trop fatigué par ces deux nuits sans dormir. Je n alla pas à la fac et épuisé, je dormis toute la journée. En fin d’après-midi, Sandra me rejoignit à l’appart, je fis tout pour paraître normal. Sandra me trouva bizarre, je mis ça sur le compte du boulot à la fac, un exposé qui me prenait beaucoup de temps et qui comptait beaucoup pour mon année. Elle en prit compte et fis même tout ce qui était possible pour me changer les idées. Je m’en voulais de lui mentir, mais pour le moment c’était la seule solution que j’avais.
Une idée me vint même à l’esprit, je me servais de mon état pour lui dire que j’avais pensé me changer les idées ce week-end et que j’avais proposé à un ami de passer samedi soir. Elle accueillit l’idée chaleureusement, toute joyeuse de rencontrer un de mes amis.

En revanche elle fut surprise quand je lui dis que c’était Karim qui viendrait, elle s’attendait plutôt à voir Ludo, dont je parlais tant alors que je ne lui avais jamais parlé d’un Karim. Je m’en sortis en lui disant que Ludo n’était pas dispo cette semaine et Karim était un ami commun qui était très sympa lui aussi. Sandra ne vit pas d’inconvénient et me proposa même de faire la cuisine pour demain. C’est à la fois soulagé et craintif que je passasse la nuit. Je me défilai même pour faire l’amour prétextant une grosse fatigue. Je passai, une nouvelle fois, une nuit agitée, rêvant de ma copine et Karim.
Plus la journée de samedi passée, plus une boule au ventre grossissait dans mon ventre.
Karim m’avait envoyé deux textos, le premier pour confirmer que c’était d’accord pour ce soir et le deuxième suite à ma réponse affirmative qu’il était content d’avoir deux salopes pour lui ce soir, je lui répondis que pour que toutes les chances soient de notre côté pour réussir qu’il devait s’habiller sexy pour plaire à Sandra, je pensais bien faire, il me répondit pas que pour Sandra je suppose. Encore une fois, Karim profitait de la situation pour assoir sa domination et m’humilier.
Je suis sorti avec ma copine pour faire des courses, de quoi manger, Sandra a opté pour une salade au poulet, idéal en ces temps de chaleur, moi je me suis chargé de l’apéro et du vin, autant vous dire que j’ai eu la main lourde. J’espérais que l’alcool aiderait à détendre l’atmosphère et rendre cette dernière plus propice au sexe.
Nous sommes ensuite rentrés à l’appart, je ne me sentais pas fière, j’allais piéger et donner ma copine à un homme pour protéger ma réputation. Sandra ignorait tout de ce qui se tramait et était très jovial, contente à l’idée de passer la soirée avec un de mes amis. Pendant que nous faisions les préparatifs, moi la table et elle la cuisine, je me suis dit en la regardant que si elle était plus sexy, elle portait un simple t-shirt et un jean, elle se sentirait plus désirable et désirée.

D’un air innocent je lui demanda si elle n’avait pas des affaires plus festives à se mettre parmi les affaires qu’elle a pu laisser chez moi, appuyant que ce serait pas mal de faire bonne impression à mon pote pour une première fois. Elle ne perçut aucune perversité dans mes paroles et me répondit d’un air taquin, quelle avait de quoi me rendre très fière d’avoir une jolie copine.
Elle alla se changer et revint habillée d’un cache-cœur couleur beige qui descendait au-dessus de son nombril et laissé apparaître son ventre plat et ferme, ses seins semblait vouloir sortir de ce haut qui paraissait petit par rapport aux volumes de ces seins. Pour le bas, elle avait opté pour une jupe en daim marron foncé mi-cuisse et fendue sur le côté, mettant en valeur ses jambes et ses fesses. Elle était terriblement excitante, Un homme comme Karim devrait la trouver à son goût, il ne restait plus qu’a espérer que la réciproque soit vrai
Je ne pouvais m’empêcher d’avoir des remords, j’avais l’impression de livrer un agneau au loup, et le plus terrible d’entre-eux, qui plus est.
Il ne restait plus qu’à attendre l’arrivée de ce fameux prédateur.
Et celui-ci se fit attendre, j’avais dit à Sandra qu’il serait là pour 2OH, il arriva avec une heure de retard, ajoutant encore du stress pour moi, Sandra me trouvait bizarre, je ne tenais pas en place et pour cause, plus e temps passait et plus je stressai à l’idée de cette soirée.
Il était 21 h quand Karim arriva tout sourire, il avait pris note à sa manière de mon conseil vestimentaire, habillé d’un simple marcel comme maillot de corps et d’un short très court couleur sable pour le bas, sa tenue était minimaliste, je me mettais à la place d’une femme et de pensais qu’il était très attirant, pourvu que Sandra pense pareil.
Karim rentra dans l’appartement me serra la main de manière viril en me comprimant bien les doigts pour me faire mal,
-Ca va mon Pierrot, ça fait longtemps hein ? tu m’as manqué tu sais.
Mais qui voilà, en regardant Sandra, dis donc ma louloute tu m’avais pas dit que t’avais une si jolie copine, il s’approcha de Sandra et la serra dans ses bras la maintenant près de son corps pour lui faire la bise. Il en profitait pour se coller à elle et presser ses seins contre son torse.
Karim la relâcha, Sandra paraissait troublée par tant de familiarité, elle rougissait et partie à la cuisine.
Karim se retourna vers moi, le sourire de l’homme sûr de lui ne quittait pas son visage.
-Ben alors elle est toute timide ta copine, je lui fais peur à moins que ce soit autre chose, hein ma louloute !
-arrête de m’appeler ma louloute, elle va se douter de quelque chose à force et puis doucement avec ma copine, tu vas lui faire peur
-ouais ben arrange toi pour que ça se passe bien, il mit sa main sur mon épaule et la serra, son regard en disait assez sans qu’il eût besoin d’en rajouter, j’avais très bien compris le message.
-je vais m’installer dans le salon, je vous attends, ne te dérange pas pour moi, je le connais bien ton appart maintenant.
Je me rendis dans la cuisine voir Sandra, elle préparait les amuses gueules pour l’apéro, je passas derrière elle et l’enserra en me collant à elle.
- Ca va ma chérie, on va passer une bonne soirée tu vas voir, il est très sympa Karim.
- Ah bon, tu trouves, il est un peu rustre, et il a l’air d’aimer les femmes si tu veux tout savoir.
- Comment ça ? feignant d’ignorer l’évidence
- Quand il m’a dit bonjour ton copain, il s’est bien collé à moi, t’as remarqué quand même ?
Excité je remontais mes mains vers ses seins que je prenais dans les mains
- Oui, mais ça doit être son coté méditerranéen, tu sais ils sont chaleureux les gens du sud.
- Ah c’est sur que la chaleur je l’ai bien senti et elle était concentré à un endroit si tu veux savoir
Mon bas ventre collé contre ses fesses, je commençais à bander, je serrais encore plus ses seins entre mes mains.
- Mmmmm, moi aussi tu me rends tout chaud habillé comme ça.
- T’es con, on dirait que ça te plait que j’excite ton copain, je vais peut-être me changer, faudrait pas que ton copain pense de travers.
- Non non surtout pas, tu me plais.
- Oui mais pas qu’a toi, c’est ça le problème.
- Ca aussi ca me plait, tu sais, je posais mes mains sur ses cuisses et pressai mon entrejambes contre ses fesses
- Arrête tu me donnes envie.
Karim mis fin à notre conversation, Eh les tourtereaux je me sens seul dans le salon, vous venez ou je vous rejoins !
Sandra me précéda et on rejoignit Karim, bah alors vous faisiez quoi dans la cuisine, des cochonneries, hein !!
Sandra se pencha, pour déposer sur la table ce qu’elle avait apporté, j’étais derrière les verres et bouteilles à la main, la position de ma copine permettait à Karim de se rincer l’œil.
Sandra se redressa, elle voulait s’asseoir mais hésita, Karim était au milieu du canapé, elle aurait voulait s’assoir à coté de moi mais la position de Karim l’en empêchait, il lui sourit et posa une main à côté de lui, viens t’assoir là ma belle, on va faire connaissance tous les deux, tu vas voir je mords pas.
Ma copine s’assit donc à coté de lui, mon canapé étant bas, la position de Sandra, relevait la jupe et sur le coté fendu permettait de voir très haut au niveau des cuisses, Karim étant grand, il avait une vue dominant sur Sandra et pouvait mater à loisir sa poitrine. Je voyais bien que Sandra n’était pas à l’aise. Karim lui était tout sourire et en profitait pour mater ma copine sans se cacher.
Pour mettre un terme à cette situation, je proposais de servir à boire. Karim n’avait pas l’air content d’être dérangé, Sandra elle paraissait soulager. Les verres servis, je m’asseyais de l’autre côté de Karim. Et on commença la soirée, on discutait de choses et d’autres, chacun parlait de ses activités, du dernier film qu’il avait vu. Karim s’adressait plus à Sandra qu’à moi, je savais bien qu’il en profitait pour la mater, la télévision en face faisant office de miroir, il avait même collé sa jambe à celle de ma copine, elle tentait de se dégager, mais Karim continuait son manège, si bien que Sandra se retrouva bloqué contre l’accoudoir, ne tenant plus elle se leva et prétexta qu’elle allait chercher la salade, elle était toute rouge et paraissait géné ou énervé je n’aurais pu dire, Karim la regarda partir, le sourire satisfait et ne se géna pas pour la dévisager, son regard tomba sur le mien. Il attendit que Sandra soit à bonne distance.
- Miam, Miam, il y a de quoi manger dis-moi.
Je le regardais sans rien dire
- Je vais me régaler, c’est toi qui as eu l’idée pour les vêtements ?
- Oui, je pensais que…
- T’as bien fait elle m’excite grave
- Attention quand même, je lui ai rien dit alors sois pas trop brusque d’accord
- Sois pas trop brusque, tu me fais marrer toi, tu sais ce que tu risques non ? alors arrange toi pour que ça marche sinon…
- Euh oui mais c’est pas évident…
- Trouve un moyen je te dis, sinon ta meuf je la viole devant toi, compris lopette !
Son ton était ferme et ne laissait pas de place à la négociation, j’avais peur et lui répondit en bégayant.
- On On On n’a qu’a parler de cul et puis tu fais du sport, elle aussi ça pourrait vous rapprocher
- On va essayer ça, il me caressa les cheveux et me mis des tapes sur la joue, si ça marche selon ton plan je te promets du grand spectacle, je sens qu’elle a du potentiel.
- Pierre ! c’était Sandra qui m’appelait, tu peux venir m’aider pour les assiettes ?
- Oui oui ma chérie, j’arrive, content d’être libéré de Karim pour un moment, je rejoignais Sandra dans la cuisine.
Elle versait la vinaigrette dans le saladier et mélangé la salade, des assiettes creuses étaient disposé à côté attendant d’être rempli, sans me regarder, elle me dit :
- Tu veux bien ouvrir la bouteille de vin ? je m’exécutai sans mot dire
- T’as remarqué la quand même, non ? Elle voulait surement parler du comportement de Karim
- Oui non je sais pas, il s’est passé quelque chose.
- Attends tu te fous de moi, la voix se faisait plus haute, ton pote m’a coincé contre le canapé, c’est limite s’il n’allait pas me poser la main sur mes cuisses pour me peloter, en plus il arrête pas de mater mes seins, je vais me changer, c’est pas agréable comme ambiance pour moi.
- Non fais pas ça, il va trouver ça bizarre si tu te changes.
- Oui bien sûr, il va surtout comprendre que j’aie pas envie d’être reluqué comme une pute par un mec dans son genre.
- C’est pas à ce point-là, quand même, ma chérie tu te fais des idées
- Ah ouais je me fais des idées, dis que je suis folle pendant que tu y es, on va bien voir si tu penses que j’affabule.
Elle mit la salade dans les trois assiettes, les prit et partie dans le salon.
- Prends les verres et la bouteille et rejoins-nous.
Je la suivis, elle posa mon assiette sur la table basse devant ma place, donna son assiette à Karim et s’assit à sa place, arrivait juste après, je posai les verres et versa à chacun du vin.
Assis je jetai un coup d’œil à Sandra, son décolleté semblait encore plus ouvert qu’avant, l’avait-elle remarqué ou fais exprès, en tout cas elle n’y prêtait pas attention.
Karim commença à manger.
- Pas mal, elle est bonne cette salade, c’est qui qui l’a préparé ?
- C’est moi Karim, lui répondit Sandra, c’est vrai elle te plaît.
- Elle est très bien, pas trop grasse en plus, équilibré comme il faut.
- Oui faut faire attention à sa ligne.
- Je vois que toi aussi tu fais attention à toi.
Ca y est la conversation était amorcé.
- Oui, c’est vrai, je fais ce qu’il faut. Répondit Sandra en regardant son ventre plat impeccable.
- Tu le fais bien, tu fais quoi comme sport.
- Bah comme beaucoup de filles, de la salle, du cardio, du fitness.
- Tu dois y aller souvent, combien de fois par semaine ?
- 2 à 3 fois en moyenne
- Seulement, à te regarder on aurait dit plus
Sandra gloussa bêtement devant le compliment de Karim, elle semblait se détendre, surtout que chaque coup de fourchette était accompagné d’une gorgé de vin, elle me montra son verre vide que je le remplisse.
Karim la matait toujours, mais ça avait l’air de moins la déranger qu’avant, j’avais comme l’impression qu’elle voulait me faire payer mon inaction.
- Et toi Karim, un beau-gosse comme toi, tu fais quoi comme sport, et me dis pas que t’en fais pas, parce que je sais, en me montrant du doigt, ce que c’est qu’un homme qui fait pas de sport.
Karim tourna légèrement la tête vers moi en souriant, comprenant bien la pique que Sandra m’avait lancé.
- Je peux rien te cacher ma belle, comme de la salle, mais je suis plus à soulever de la fonte, je cours aussi le but c’est d’améliorer ma force et mon endurance.
- Et c’est quoi le but de tout ça ?
- Bah y’en a plusieurs, je participe à des compètes type triathlon.
- Ah ouais, faut en avoir sous le capot pour participer à ça.
- C’est sur que c’est pas le premier venu qui peut finir un Iron Man.
- Wooh carrément, tu fais ce genre d’évènement, tu dois être sacrément endurant.
Karim faisait le humble, mais je voyais bien qu’il était fier de l’effet qu’il faisait sur ma copine en se vantant de ses performances sportives.
- Bah tu sais je le fais pour moi avant tout, c’est important de se sentir bien dans ton corps, t’es pas d’accord avec moi, Sandra ?
- Oh si si, moi aussi je fais en sorte de me sentir bien.
La discussion continua comme ça pendant un bon moment, conversation dont j’étais exclu, n’étant pas familier avec ce type d’activité. J’avais aussi l’impression que Sandra avait décidé de jouer avec moi, en se rapprochant de Karim.
- Et puis y ‘ a les filles, on va pas se mentir, elles préfèrent un mec musclé, ça les rassurent.
- Et c’est tellement plus beau qu’un corps tout flasque, répondit Sandra.
Je me sentais blessé par Sandra, je n’étais pas gros bien au contraire, mais c’est clair que je n’avais pas une musculature développée. Karim prit son verre et celui de Sandra et me les tendit encore pour les remplir, super je faisais le serveur, bonjour l’ambiance.
- Donc tu plais aux filles ?
- Bah ouais , mais toi tu dois plaire aux garçons ?
- Oui c’est vrai, mais je suis pas une fille facile, j’ai certains critères
- Pas physique en tout cas, non mais quel connard ce Karim, je lui dirais bien mes 4 vérités mais c’est pas possible, l’enfoiré il en profite pour me rabaisser devant ma meuf, me sachant impuissant.
- Ah ah t’es con, il est pas mal mon pierrot, il mériterait de se remplumer un peu c’est vrai.
Le repas se termina, Sans demander je pris l’initiative de débarrassé, je faisais exprès de le faire en plusieurs voyages, histoire de surveiller l’évolution, au dernier voyage Sandra me rejoignit dans la cuisine.
- Je viens chercher une autre bouteille
- Ok comme tu veux, je faisais un peu la gueule, Ok ca m’excitait et j’étais prisonnier de la situation mais j’aurais préféré que Sandra soit moins ouverte.
- Bah qu’est-ce qui se passe mon bichou, tu fais la tête.
- Non non, ca va, me renfrognant
- Ca fait un moment qu’on t’entend plus.
- En même temps vous avez l’air de bien vous entendre avec Karim
- Oh mais c’est qu’il est jaloux, elle se colla dos à moi.
- C’est toi aussi, tu dis que tu le trouves relou et la t’es toute souriante, elle enroule ses bras autour de ma taille.
- Y’a pas de mal à avoir une passion commune, et plus tôt tu m’as dit que ca te plaisait qu’il me drague, c’est pas vrai ?
- Ouais mais la je sais pas trop, Sandra se colla encore plus a moi et baissa une main vers mon entrejambe.
- Mmmm, c’est pas ce que dit cette grosse bosse mon coquin, je disais noir mais ma bite disait blanc. J’étais désarçonné de me faire prendre ainsi.
- Ca veut rien dire, c’est parce que tu m’excite aussi.
- Ah oui, c’est pas la situation, avec ton pote qui me drague et c’est toi qui m’as demandé de m’habiller comme ça, quel genre de mec demande à sa nana de s’habiller Sexy devant un pote comme Karim mmm ?
- Je sais pas, ma voix était hésitante
- Moi je pense que tu sais
- Pense ce que tu veux, je m’en fous. Sandra serra encore plus fort mon sexe
- T’aurais pas envie que je m’envoie en l’air avec ton pote ? c’est pas en rapport avec tes petits phantasmes de ces derniers jours, hein ?
Ca y est c’était gagné, en tout cas pour Karim, elle avait compris la raison de sa venue ici, mais je ne voulais pas l’avouer.
- Peut-être.
- Peut-être, répondit Sandra, elle desserra l’étreinte sur mon sexe, me décolla de mon dos et partis avec sa bouteille.
Je restais sur place pour accuser le coup, quand une main posée sur mon épaule me fit sursauter.
- Eh je t’ai fait peur ? c’était Karim, il était tout sourire, je sais pas ce que tu lui as dit à ta meuf, mais je sens qu’on tient le bon bout, où plutôt que c’est elle qui va le tenir bientôt, ah ah.
Quel connard, il se plaisait à m’humilier.
- Je pense qu’on n’est pas loin de la transformation, et j’ai une petite idée derrière la tête.
- Ah oui c’est quoi ?
- Tu verras bien, je peux compter sur ton soutien hein, le salaud comme s’il avait oublié que j’étais son obligé.
- Oui évidemment.
- Y’a pas à dire t’es vraiment un pote toi.
Il se retourna et alla dans le salon, je marchais dans ses pas, tête baissée et l’air penaud.

Sandra attendait assis sagement dans le canapé, Karim reprit sa place au milieu, celle du seigneur pensais je.
- Tiens ma ptite poule, vu que t’aimes bien le sport, je vais te montrer des photos de mes performances.
Voila maintenant qu’il lui donnait un surnom, Sandra, au lieu de réagir s’est contenté de hocher la tête et s’est rapproché de Karim, il sorti son téléphone et lui montra des photos.
Karim fait du Surf, Karim fait du jet ski, de la course à pied et j’en passe… Il était toujours à son avantage même le visage marqué par l’effort. Sandra le félicitait de faire autant de sport, c’était limite de l’admiration. Karim me mettait des coups de coudes peu discret pour me montrer que Sandra mordait à l’hameçon.
Une photo de lui fut particulière, il était à la plage en slip de bain, bien rempli, avec des jeunes filles à coté de lui, elles avaient tiré en avant son slip et regardaient dedans avec l’air de faire Wahou. Karim qui savait surement ce qu’il faisait fit semblant d’être gené. Sandra rit en voyant la photo.
- Ah ouais, Monsieur est un tombeur en plus, deux nanas à la fois attention ça rigole pas,
Karim haussa les épaules et « humblement » répondit.
- Non mais moi tu sais, c’est pas ce que je recherche, mais que veux-tu, montrant des mains son corp musclé, quand elles voient ça elles cèdent à leurs pulsions.
- Oh mon pauvre petit Karim, qui se fait violer, ça doit pas être facile dis-moi. Sandra riait aux éclats, j’enrageait intérieurement de la voir succomber aussi facilement à la drague de Karim.
- Ehhh c’est pas faux, hein ! c’est un statut que je dois assumer, on attend beaucoup de moi après tout.
- Tu penses 2 nanas en même temps, faut du souffle, je comprends mieux tout ce sport maintenant.
- Oui, c’est pas mon genre de laisser une meuf sur sa faim après mon passage
- Ouais ouais, l’endurance, c’est bien beau mais si on a pas le matos…
Sandra regarda Karim, regarda son short, bien rempli du reste, qu’elle pointa du doigt, et regarda une nouvelle fois Karim dans les yeux, elle avait le regard brillant de celle qui désire plus.
Karim tourna la tête vers moi, me fit un clin d’œil, il se recula vers le fond du canapé, de manière que nous pouvions tout les deux le voir.
- Ça me dérange pas de te montrer ce que j’ai en magasin, il déboutonna le premier bouton et ouvrit la fermeture éclair laissant sortir une bite au dimension plus que respectable, l’ayant vu je savais qu’elle avait encore du potentiel.
- Alors t’en penses quoi, tu crois que ça peut contenter une fille ?
Sandra regardait le sexe de Karim, se mit un doigt à la bouche. Elle regarda Karim et ne semblait pas du tout désarçonné ou timide.
- La taille c’est une chose, mais ça sert à quoi d’avoir une voiture de sport si tu sais pas conduire vite.
Voila qu’elle le provoquait maintenant, connaissant le Karim, il n’allait pas en rester là.
- Toi tu parles, tu parles, mais est ce que t’es de taille à monté un tel engin, tu t’en sentirais capable, Karim disait cela toujours avachi sur le canapé il avait son bras droit posé sur le haut du canapé de mon coté et la main gauche caressait les épaules de Sandra.
Sandra regarda le sexe Karim, qui commençait à gonfler, ensuite Karim, et enfin moi le regard toujours posé sur moi.
- C’est vrai que c’est tentant tout ça, on sait jamais de quoi on est capable tant qu’on a pas essayée.
- MMMM, moi je sens que tu es capable de grande choses…
Sandra me regardait toujours, elle avait posé une main sur la cuisse gauche de Karim, lui avait levé son marcel, laissant apparaitre des abdos de compèt. Sandra s’en mordit les lèvres, elle avait l’impression d’être devant une glace ou un truc de ce genre.
Elle retira sa main de sa cuisse, le regardait.
- Mais ca va pas être possible, j’ai un copain, je vais pas le tromper encore plus quand il est là. Allez remballe moi ça bellâtre.
Karim ne remballa rien, me regarda moi et Sandra.
- Il est peut être pas contre ton copain, hein Pierre.
- Un fantasme c’est une chose, le réalisé c’est autre chose, on sait pas ou ça peut mener, dit Sandra.
J’avais les mains moites et très chaud, j’avais des bouffées de chaleurs, je ne savais pas ou me mettre, jusqu’à maintenant j’avais regardé tout ça d’un œil presque extérieur, mais voila qu’on me demandait de participer et pas pour le meilleur des rôles, celui de cocu consentant.
- T’as qu’a lui demander, il te dira ce qu’il veut vraiment
Sandra reposa sa main sur la cuisse de Karim, avec l’index elle remontait et redescendait sur la peau se rapprochant de plus en plus de son sexe, Karim soufflait de plus en plus fort.
- Pierre je crois que c’est à toi de décidé de la suite maintenant, qu’est ce que tu veux qu’on fasse ?
Je ne répondais pas, mon cœur battait à cent à l’heure, je ne savais même pas quoi penser, je le voulais ou pas ? j’étais excité ? j’étais obligé par le chantage de Karim.
Sandra continua son manège, elle posa ses deux mains sur le haut du short de Karim et fit mine de tirer dessus, ne voyant pas de réaction de ma part, elle fit mine d’enlever ses mains.
Je compris que c’était le moment ou jamais et trouva le courage de lui dire.
- Vas-y, baisse lui le short !!
Karim rigola mais n’en perdit pas le nord il souleva son bassin du canapé pour aider Sandra. Elle se mit à genou devant lui et lui retira le short complètement, elle se retrouvait devant le sexe de Karim devenu un véritable braquemard, qu’elle regardait d’un œil gourmand.
- Je fais quoi maintenant, les yeux rivés sur Karim qui la regardait lui aussi avec envie.
- Prends ça bite et branle le !! ses mots sortit machinalement et soudainement de ma bouche, nous surprimes tous, Karim rit, il me tapota la tête comme on le ferait à un bon toutou.
- Ah des potes comme Pierre, on en trouve pas tout les jours, j’en ai de la chance.
- Oui, mais y’a pas que toi qui en as de la chance. Sandra prit les couilles de Karim dans une main qu’elle malaxa et branla son épaisse tige de l’autre…
- Je fais quoi, Pierre, tu veux que je suce ton pote ?
- Oui, s’il te plaît…
A suivre




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