Denise Soumise De Nature : Après Son Beau-Frère, Le Voisin Marcel

Denise est une femme très bien conservée pour son âge, elle avait un physique plutôt agréable. Cette rousse d’un mètre soixante pour 52 kg avait de superbes jambes, un ventre plat et une poitrine qui faisait des envieux avec son 95D, elle attirait les regards. Par l’intermédiaire de l’auteur « Perruche » elle vous raconte son histoire.

Ce fut à son mariage que tout se déclencha vraiment, elle attendait cette nuit-là avec une grande impatience, elle allait enfin connaitre une nuit d’amour avec Alain son mari. Ce jour-là, Yves le grand frère du marié, avait faire boire Alain, plus que de raison, il s’était occupé aussi de la jarretière. Il était venu la chercher sous la robe de mariée et en avait profité pour glisser ses doigts dans la chatte de Denise, devant toute l’assemblée, elle était rouge de honte mais n’avait pu dire quoique ce soit, Yves était le chef de famille, même le père n’avait rien dit.

Puis après les festivités, Alain, était trop saoul, il avait dormi tout de suite. Son grand frère Yves les avait rejoints dans la chambre, il s’était dévêtu et se glissa dans le lit conjugal entre la mariée et son mari.
Il bandait comme un cerf, il avait une bite qui n’avait rien à envier à celle de Michel, elle était impressionnante :
— Viens me sucer avant que je t’encule. Lui avait-il dit

Denise appréhenda mais s’exécuta immédiatement, elle avait peur de lui, il l’impressionnait toujours autant et voyant qu’elle ne serait pas satisfaite par Alain, pressée de jouer avec une verge gonflée, elle la mit dans sa bouche. Elle faisait durer le plaisir, car elle retardait sa sodomisation :
— Ça suffit, salope ! Tu suces bien, ce con d’Alain doit être content mais maintenant donne-moi ton cul. Il t’a déjà enculée mon frère ?
— Non Monsieur, il ne m’a pas encore touchée. Répondit-elle avec une voix presque inaudible.

Yves se mit à rire en la mettant en position de levrette, il remonta sa chemise de nuit dans son dos et baissa sa petite culotte :
— Putain t’es trempée ! Tu mouilles sale petite catin.


Il passa son doigt sur son anus, l’enfonça avant d’en placer un deuxième, en écartement pour dilater son anus. Il présenta son gland et le glissa dans son fondement. Denise se retenait de crier, elle avait mal, il était gros, heureusement que Michel l’avait déjà bien doigtée, pensait-elle. Elle serrait les dents et les poings au fur et mesure qu’il s’enfonçait en elle.

Lorsqu’il était entré jusqu’à la garde, cela allait beaucoup mieux, la douleur était passée progressivement, pendant qu’il la labourait, elle se masturbait, ils avaient joui pratiquement ensemble, elle arrosait les draps pendant qu’il étalait son sperme sur ses fesses et sur sa nuisette. Il était redescendu, laissant la mariée satisfaite et comblée mais ce n’était pas de cette manière qu’elle avait pensé l’être. Alain dans son sommeil s’était douté que son frangin avait baiser sa femme. Il avait honte de lui qui n’avait jamais osé, même pas la doigter.

Ce ne fut que le lendemain, que Denise prit les devants, ce fut elle qui était monté dans la chambre, s’était déshabillée, l’avait dévêtu avant de lui faire l’amour. Quelle déception pour elle, non seulement Alain avait une toute petite bite mais il n’avait aucune expérience pour lui procurer du plaisir. Ni avec ses doigts, ni avec sa bouche. Pourtant elle lui disait tout ce qu’il devait faire mais il n’avait aucune technique et ne voulait pas lui faire du mal. Elle s’était positionnée pour la pénétration, Alain présenta sa petite queue en érection maximale, s’approcha de sa chatte et éjacula sur les poils de son pubis. Denise était malheureuse d’avoir un mari éjaculateur précoce.

Dans les années 80, après son mariage, Denise vivait le parfait amour avec Alain, ils s’aimaient tous les deux profondément. Mais elle était très malheureuse côté sexuel, lui étant un éjaculateur précoce maladif et étant sans aucune expérience, il ne lui procurait aucun plaisir. Le sexe lui manquait, elle avait toujours aimé cela et ses jouissances puissances, elle ne les obtenait pas autant dans la masturbation solitaire.
Elle ne pouvait même pas faire des fellations à son mari car il crachait son sperme tout de suite et ne bandait plus. Elle ne désirait pas tromper son mari mais elle en était presque à regretter la belle verge de son beau-frère ou les pipes, les cunnilingus et doigtés de Michel.

Le couple s’était installé dans l’habitation d’une petite ferme appartenant à Marcel, un ami des parents du mari, toujours présents à tous les repas dominicaux et à toutes les festivités de la famille. Alain avait des ambitions, il voulait racheter la petite parcelle de terre pour réaliser un rêve, un élevage de poulets labélisés mais le voisin refusait de lui vendre, prétextant que ce genre d’élevage ne fonctionnerait pas ici. Marcel était un homme puissant et riche très reconnu dans la région. Il avait une grande exploitation avec un élevage industriel de cochons et des terres qu’il cultivait. Il avait l’âge du paternel d’Alain 25 ans de plus que la jeune mariée. Il était grand et costaud tout le monde le respectait. Étant présent, notamment ce fameux jour de l’an et au mariage, il était au courant que Denise était toujours humiliée, rabaissée et que Yves profitait de la jeune femme sans que son mari ne lève le petit doigt.

Le samedi après le mariage, Alain était en train de travailler dans la ferme, Yves et le cousin voulant s’amuser un peu, étaient venus s’offrir du bon temps en profitant de la jeune mariée. Ils étaient repartis les bourses vides et Denise fut une nouvelle fois honteuse d’avoir baisé avec le bof mais désolée d’avoir pris du plaisir. Marcel le voisin qui avait sa ferme à 800 mètres, ayant une nouvelle fois vu le manège de l’ainé, était allé trouver Yves et le somma d’arrêter d’importuner Denise et Alain. Depuis ce jour-là, les jeunes mariés avaient retrouvé une vie presque normale.

Ce ne fut pas tout à fait le cas, Marcel vivant seul, était souvent à la maison et petit à petit, il s’incrustait, cette période fut cruciale dans leur vie de couple.
Denise l’aimait bien ce voisin, avec lui elle avait un peu retrouvé le père qu’elle n’avait pas connu et cet homme viril avait fait en sorte que son beau-frère ne vienne plus les importuner, il les avait sauvés du tyran. Dans un premier temps, il venait une fois par jour le matin boire le café, puis Denise l’invita quelques fois pour déjeuner les midis et pour finir il dinait de plus en plus souvent les soirs avec eux. En quelques mois, il était parvenu à les écarter de leur famille.

Jusqu’au jour où Alain étant aux champs, Marcel passa le matin boire le café, il se retrouvait seul avec Denise. Dans la discussion, il lui avait fait comprendre qu’elle avait besoin de lui, qu’elle n'avait pas le choix. Elle devait rompre avec sa belle-famille que ce n’était que des monstres d’avoir profité d’elle, de l’avoir humiliée. Puis il lui dit :
— Et toi tu n’as été qu’une petite salope.
— Heu !!! Fut la seule réponse de Denise choquée par les propos de Marcel qui continua en disant :
— Ton mari n’est qu’une lopette en fait, il a laissé son frère te baiser le soir de ta nuit de noce.
— Yves nous faisait chanter, je vous jure. Il l’avait .

Il avait poursuivi, en lui disant qu’ils avaient besoin de lui comme protecteur, que sans lui, ils ne tiendraient pas longtemps que tout le voisinage saurait que Denise n’était qu’une trainée qui trompait son mari parce qu’il avait un petit sexe et qu’il éjaculait avant même de la pénétrer, elle ne pourrait donc pas avoir d’ :
— Je vais te montrer ce qu’est un homme. Lui dit-il solennellement. Fout-toi à poil

Denise s’était mise à pleurer, elle protestait en disant qu’il ne pouvait pas lui faire ça. Il l'avait alors corrigé puis l’avait enlacée et l’avait embrassé pour la calmer. Dans ses bras puissants, Denise se sentait bien, elle accepta volontiers de se mettre nue devant lui. Il l’avait caressé et avait joui sous ses doigts. Il avait baissé son pantalon et d’elle-même, elle lui fit une fellation puis s’était donné à lui en prenant un bel orgasme :
— Dorénavant je te veux qu’à moi et tu n’as pas intérêt de laisser Alain, ce bon à rien, te prendre.


Le soir au repas, Marcel parla à Alain, lui expliquant qu’il allait l’aider à prendre son envol. Il lui céderait le terrain à un prix plus que raisonnable pour son exploitation de l’élevage de poulets et qu’il serait son protecteur auprès de son grand frère. En contrepartie, il disposerait de Denise à sa guise, toujours sous la menace du même chantage. Alain en avait parlé longuement avec sa femme, et d’un commun accord, ils avaient accepté la proposition de Marcel. Ce fut comme ceci que les deux jeunes étaient devenus les soumis du voisin, ils leur appartenaient. Il faisait tout ce qu’il voulait d’eux. Denise était même parvenue à avouer qu’elle aimait ce mâle viril et dominant, elle ne pouvait plus s’en passer tellement il lui apportait du plaisir sexuellement.

Marcel n’était pas né de la dernière pluie, Denise était gênée de baiser avec lui alors que son mari était à la maison. Elle préférait le faire lorsqu’il était aux champs où en ville. Marcel lui certifiait qu’Alain était heureux comme ça, que cela ne le dérangeait pas, il avait tenu à le lui prouver. Un soir Denise était pénétrée par la belle verge de son amant, il se leva et alla ouvrir la porte de la chambre brusquement. Alain se trouvait derrière, sa bite dans la main, il se masturbait. Surpris, il était resté là, tout penaud, il venait d’éjaculer dans une petite culotte de sa femme :
— Pourquoi ne viens-tu pas à l’intérieur, tu auras en plus du son, la vue d’une belle bite qui baise ta femme. Allez ! Rentre.

Denise retrouvait avec grand peine, l'ambiance de sa jeunesse où elle avait toujours connu déchéance et humiliation. Mais cette situation leur convenait bien car ils ne voulaient pas que tout soit dévoilé au grand jour, ils devaient lui obéir tous les deux.

Les années passaient et Denise était la petite femme de Marcel. Alain de son côté, doué de ses mains, après avoir acheté la ferme avait rénover la maison mais par faiblesse, il s'était laissé convaincre de construire trois bâtiments de 400 m2 pour son élevage de poulets label. Il avait vu beaucoup trop grand, il fut vite en surendettement, heureusement que Marcel, qui avait perdu un employé, l’avait embauché comme ouvrier car avec son élevage, il ne s’en sortait plus. Marcel l'avait bien compris et en avait ment profité.

Denise s’était habituée à cet état de fait, surtout que Marcel les assistait beaucoup financièrement, en les sortant toujours la tête hors de l'eau. En échange Alain qui ne devait plus toucher sa femme, s'épuisait au travail et sexuellement Denise était comblée mais cela ne lui suffisait pas, Marcel n’était pas violent mais demandait d’eux une totale obéissance, ils étaient à sa merci. Un jour, ils étaient au salon pendant qu’Alain faisait la vaisselle, une voiture arriva à la ferme, trois hommes venaient leur rendre visite. Denise fut surprise de reconnaitre les trois chasseurs dont le cousin de son mari, Alain arriva rouge de honte. Marcel avait ri et lui avait dit
— Toi le cocu va préparer l'apéro !

Tout ce petit monde était écroulé de rire, sauf Alain et Denise qui était habillée ce jour-là d’une jupe très courte, un petit chemisier presque transparent :
— Allez à poil salope ! Que l’on s’amuse un peu.

Ce fut la première fois qu’Alain entendait Marcel traité sa femme mais il n’avait absolument rien dit. Il ne fit rien d’autre que de regarder. Denise se déshabillait devant ces trois chasseurs qu’elle connaissait depuis l'enfance et qui l'humiliaient déjà dans la cour de l'école. Elle était nue, déshonorée, elle avait les larmes aux yeux et cela les excitait encore plus :
— Allez à quatre pattes maintenant.

Alain était dans un coin, Denise sans rechigner, obéissait et avait satisfait les trois invités en prenant du plaisir. Marcel l'avait félicité et pour la remercier, il l’avait laissée, seule avec son mari, pendant qu’il avait fini la journée dans un bar en compagnie de ses trois copains.

Les mauvaises langues se délièrent dans le village, il fut aperçu en compagnie de Denise. Marcel aimait danser, il n’hésitait pas à faire 80 km pour aller à la guinguette. Il habillait sa jeune soumise le plus sexy possible, l’empêchait de porter des sous-vêtements. Fier et désirant faire le beau auprès de tous les vieux de son âge, il la présentait ainsi vêtue. Denise était rabaissée mais la situation était assez excitante pour elle qui était toutefois un peu exhibitionniste.

Il allait même jusqu’à retrousser sa jupe afin de bien montrer qu’elle n’avait pas de petite culotte et lui enfilait ses gros doigts dans sa fente, toujours humide d’excitation. Pendant ce temps, Alain faisait ce que lui avait ordonné son patron : Les tâches à la ferme et le ménage.
La suite de l’histoire dès jeudi prochain, vous avez à votre disposition, la liste des précédents récits en bas de page. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.


Si comme Denise vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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