Photoshoot
À lépoque, jhabitais dans le midi et j'étais toujours fauchée. J'avais besoin d'argent pour vivre.
À 24 ans, je devenais désespérée de ne pas pouvoir profiter de la vie en me privant de tout.
J'avais besoin d'argent rapidement, alors j'ai regardé les petites annonces dans les journaux gratuits et sur la toile. Je n'avais jamais rien fait de tel, mais ce nétait pas difficile à trouver, et j'étais probablement un peu naïve à ce moment-là.
Je suis tombée sur une annonce bizarre publiée par deux hommes qui cherchaient un modèle pour poser.
Les photos devaient être prises par l'un des hommes qui était photographe, tandis que le deuxième homme peignait une sorte de tatouage dans le bas de mon dos. Ils offraient 100 pour la session dune heure. J'avais vraiment besoin d'argent et cela ne me paraissait pas trop difficile. Au moins, une peinture, ce n'était pas un vrai tatouage.
En ce temps-là, je ne gagnais pas autant en une heure.
Sachant ce que je sais maintenant, j'aurais dû me méfier et savoir que ce n'était pas aussi simple qu'il y paraissait.
J'en ai discuté avec eux et ils semblaient originaux mais sincères, ou du moins autant que je pouvais le vérifier, compte tenu de ma situation et de la rapidité avec laquelle je me suis décidée.
Je navais pas de copain à cette époque, même si je sortais et que je rencontrais des gars, je navais pas de relation sérieuse. J'étais un peu plus pulpeuse que je voulais, et je n'avais probablement pas assez de confiance en moi.
Cela affectait probablement mon potentiel davoir un copain. J'espérais plaire à ces deux gars.
Je suis allée à l'adresse indiquée, c'était dans un immeuble de bureaux. J'ai frappé à la porte.
Un type dans la cinquantaine a ouvert la porte. Il était chauve et bedonnant. Il portait une petite caméra autour du cou.
Il m'a invitée à entrer, et j'ai vu l'autre gars, qui devait être l'artiste.
Il avait une meilleure apparence, plus mince, avec des cheveux mi-longs.
À mon arrivée, ils m'ont dévisagée et ils semblaient satisfaits de ce qu'ils voyaient. J'ai pensé que cétait bon signe.
J'avais décidé de m'habiller un peu, alors j'avais mis un chemisier léger, une jupe courte et des talons bas.
Ils se sont présentés, mais par discrétion, je vais les appeler Jacques et Robert.
Jacques cétait lartiste peintre, et Robert le photographe libidineux.
Le bureau était un espace ouvert assez large, mais sans fenêtres. Il y avait un petit réduit à droite.
Au milieu du bureau ouvert, trônait une caméra sur un trépied.
Robert m'a parlé de la peinture du tatouage.
Ce serait dans le bas de mon dos que lartiste composerait des idéogrammes devenus populaires.
Ils n'utilisaient rien de permanent, donc après quelques douches, cela sen irait au lavage.
Il prendrait des photos de la progression du travail jusqu'à ce que se soit terminé.
Puis Robert m'a tendu une blouse en tissu de type médical.
"Tiens, enfile ça. Ça te laissera le dos accessible et nous pourrons juste défaire un lacet si le besoin sen fait sentir. Jacques pourra peindre plus facilement. Enlève tous tes vêtements pour ne pas les tacher, ne garde que la blouse."
Il regarda mes pieds et continua : "Mais garde tes talons. Ça fera plus sexy sur les photos."
Je l'ai regardé. Il me voulait nue sous la blouse. J'avais désespérément besoin d'argent et je nétais pas pudique donc j'étais prête à le faire, mais à un coût supplémentaire. "Tu me veux nue avec juste la blouse et les talons?"
"Ouais, ça te pose un problème?" Robert semblait un peu agressif, probablement ennuyé que je m'enfuie.
"Non, pas de problème pour 200 !" J'avais augmenté le montant. J'avais besoin d'argent et je n'étais pas bégueule.
Robert regarda Jacques et sourit.
À la vitesse où il a accepté, jai pensé que j'aurais dû demander plus. Ils semblaient contents de payer 200 .
Je suis entrée dans le réduit et j'ai regardé la blouse.
C'était une blouse en coton à nouer dans le dos, comme celle quon donne à lhôpital pour passer des examens.
Elle était courte, le tissu mince, et difficile de cacher mon cul dodu là-dedans.
Je navais pas de solution de rechange, j'étais un peu anxieuse, mais aussi un peu émoustillée par tout cela.
Jallais être pratiquement nue devant deux hommes à la fleur de lâge. Je savais déjà quà la cinquantaine, cest là que les hommes sont les plus vicelards. J'ai souri et je me suis rapidement changée.
Comme prévu, impossible de fermer le dos, quoi que je fasse on voyait mes fesses, et si je me penchais
Je l'ai attaché du mieux que j'ai pu, en espérant avoir affaire à des gentilshommes.
Il n'avait que trois liens. Puis je suis sortie. Le dos entrebâillé à cause de mes gros seins qui poussaient sur le devant.
Mais jai réussi à leur sourire, parce que je nétais pas pudibonde.
Robert et Jacques semblaient ravis à mon retour. Robert a dit: "Délicieuse !"
Une petite table et deux chaises avaient été placées au milieu de la pièce.
Robert m'a montré ce quil attendait de moi : "Place-toi ici, juste derrière cette chaise, prends appui pour te pencher dessus, ainsi tu donneras à Jacques une belle surface pour sa peinture."
J'ai pris la pose désirée en réalisant que j'allais leur donner une vue imprenable sur mes fesses dans cette position. Jacques allait devoir délier la dernière boucle de la blouse à ma taille pour peindre sur mes reins.
Une profonde inspiration ma prouvée que j'étais plus allumée par cette perspective que je ne l'aurais cru.
Mes mamelons sérigèrent. Respectant les consignes, je me penchais sur le dossier de la chaise.
"Tu as une jolie peau, Louisa.
"Je vous remercie."
"En fait, tu es une très jolie jeune femme."
"Merci."
"Laisse-moi prendre quelques photos, Jacques, avant que tu commences ton travail."
J'ai essayé de me stabiliser en me cramponnant avec mes mains sur la chaise, j'étais à la fois un peu excitée et un peu effrayée, et j'avais peur de me mettre à trembler.
J'ai entendu plusieurs déclics de la caméra, et puis Jacques sest approché de moi.
"Je vais juste ouvrir la blouse pour avoir accès à ton dos."
Jacques détacha le dernier lacet, bas sur mes reins et je le sentis écarter les pans de ma blouse, me dénudant de la taille jusquà
plus bas !
Ils pouvaient déjà voir lintégralité de mon postérieur, et je me sentais plus que nue maintenant.
La blouse fermait mal et n'était maintenue en place que par les lacets au milieu du dos et au niveau des épaules.
J'étais de plus en plus nerveuse à l'idée que deux pervers comme eux aient libre accès à mon cul nu.
"Peux-tu positionner tes pieds pour les photos?" Me demanda Robert.
Javais un peu de difficultés à comprendre ce quil voulait exactement.
Robert sest approché, il a saisit mes chevilles et les écarta légèrement pour me placer en position correcte.
Dans cette position, il avait ses yeux à trente centimètres de mon cul et j'ai entendu la caméra cliqueter.
Je savais que, comme il était placé, il pouvait voir ma chatte par dessous maintenant.
Jacques sest positionné pour commencé à peindre sur mon dos.
"Cambre-toi un peu plus les reins pour rendre l'endroit où je peins très plat et presque horizontal."
Jacques a délié le lacet au milieu de mon dos et, en faisant cela, il a caressé avec sa main mon dos et mes fesses.
J'ai frémi un peu. Des papillons bruissaient au fond de mon ventre.
J'ai cambré mon dos et jai tendu mon cul vers lui. Maintenant jétais sûre qu'ils avaient une belle vue sur ma chatte.
Je n'avais pas anticipé cela, et c'était un peu la jungle, là-bas en bas.
Je ne m'étais pas rasée le bikini depuis un moment, et je ne m'étais encore jamais épilée complètement.
Puis Jacques a délié le dernier lacet dans mon cou. La blouse sest ouverte complètement.
Je pouvais imaginer le sourire des deux pervers. J'avais de gros seins et maintenant ils pouvaient tout voir.
Jacques a posé sa main sur mon dos nu juste au-dessus de l'endroit où il peignait.
"Surtout, ne bouge plus maintenant."
Puis j'ai senti Robert saccroupir entre mes jambes. Oh mon dieu, il rampe entre mes jambes pour prendre des photos de ma chatte sous moi. Je mouillais. J'ai été un peu surprise dune réaction aussi rapide de ma sexualité, mais je me sentais très sexy, séduisante et je voulais qu'ils madmirent. Je voulais qu'ils me désirent.
Robert a pris des photos pendant un moment en disant: "Louisa, tu as une très belle chatte, très sexy, et naturelle."
Ma chatte senfiévra, suite à cela. Jattendais, jespérais maintenant que quelque chose d'autre se passerait.
J'étais assez excitée pour accepter daller où je pensais quils voulaient aller.
Plus de photos ont été prises, puis Jacques a arrêté de peindre.
Je pouvais entendre des froissements de tissus et j'ai réalisé qu'il retirait son pantalon.
Puis j'ai senti une main sur ma cheville. Robert avait posé sa main sur ma cheville et la remontait lentement sur mon mollet. Il me testait et j'ai gémi doucement pour lui montrer mon assentiment.
La main remontait lentement le long ma jambe et j'attendais avec impatience que quelque chose se passe.
J'avais totalement oublié la peinture et lexcuse bidon qui mavait attirée ici. Je sentais la chaleur irradier dans tout mon corps. Robert sest déplacé légèrement, puis il y a déposé un baiser léger à larrière de ma cuisse.
J'ai gémi en réponse à son audace et ils savaient à présent que j'étais d'accord avec tout ce qui se passait.
Je pressentais le prochain mouvement quand Jacques se pencha et m'embrassa.
Dans le même mouvement, il a glissé sa main sous moi pour se saisir de mon sein gauche.
C'était une prise de palpation et je sentais que mon sein lui plaisait.
Puis j'ai senti la langue de Robert me lécher le long de ma chatte. Maintenant, mon émotion était à son comble.
Mon souffle a commencé à s'accélérer lorsque Robert a insisté sur ma chatte, Jacques m'embrassait à pleine bouche et jouait avec mon sein, et je voulais les deux. Je gémissais entre les baisers de Jacques et la langue de Robert.
Cela a duré un certain temps. Jacques membrassait en pétrissant mes seins et en pinçant mes tétons.
J'étais mouillée par la salive de Robert et par les jus de ma chatte. Sa langue devenait plus pressante, creusait ma fente.
Puis, il a commencé à sintéresser à mon clitoris. Il ma léché un peu et, le sentant réagir, la sucé goulûment.
J'étais au paradis, en transes, en surcharge émotionnelle.
Je respirais fort et je me tortillais tandis que Robert me tenait par le cul et broutait ma chatte.
Je gémissais et je geignais dans la bouche de Jacques en frottant ma chatte sur la bouche de Robert.
Jacques retira sa bouche pour me regarder fermer les yeux, pantelante, me branler sur la bouche de Robert.
Jacques était toujours agrippé à mes seins, les pétrissant vigoureusement, tirant sur les bouts.
Mes genoux ont presque fléchi et je tremblais en jouissant sur le visage de Robert.
Robert a continué, moccasionnant une série de petits spasmes en léchant ma chatte devenue sensible.
Jacques ma demandé : "Est-ce que Robert est excellent pour manger la chatte ?"
"Oh, putain, oui. Le meilleur !" J'étais prête à pour quil continue. Je geignais constamment sous ses coups de langue.
Jacques sourit, ôta ma blouse devenue inutile, me prit par la main pour me conduire vers une petite causeuse.
Il m'a entraînée dans le coin, là-bas, ma assise, puis sest assis à côté de moi.
Je n'ai pas opposé de résistance, je me suis laissée guider vers la petite causeuse que je navais pas vue en arrivant.
Robert, sans se lever, avait rampé jusquà moi pour me remettre entre mes jambes.
Sans délicatesse, Robert a écarté mes jambes pour prendre place comme le propriétaire des lieux.
Les lèvres de ma chatte trempée se sont ouvertes, lui donnant un bon aperçu de ma fleur rosée
Robert ma regardée : "Ta chatte est tellement douce et mouillée. J'en veux encore."
Et il a recommencé à manger ma chatte. Je jetais ma tête en arrière en gémissant.
Mais Jacques ma saisi par ma tignasse pour pencher ma tête vers sa bite.
J'enroulais ma main autour de son sexe tendu et levais les yeux vers lui avant de commencer à le sucer.
Jouvrais mes lèvres autour de lui et commençais à le pomper. Jacques posa sa main sur ma tête pour me guider.
C'était la bonne taille pour moi et je pouvais le sucer sans être étouffée.
Robert a continué de manger ma chatte en m'amenant quelques émois supplémentaires.
Je ne pouvais pas continuer de sucer Jacques chaque fois que jatteignais mon apogée, et je le branlais, haletante et gémissante. Jacques attendrait patiemment que je recommence à sucer sa bite, mais je savais qu'il n'attendrait pas éternellement avant de me baiser.
"Tu aimes sucer la bite, Louisa ?" Jacques parlait cru, et je découvrais que j'aimais ça.
"Hum !" Jacques maintenait ma bouche sur sa bite, donc c'est tout ce que je pouvais répondre.
C'était la première fois de ma vie que je baisais avec deux salopards, suçant la bite de lun pendant que l'autre dévorait ma chatte. C'était vraiment fabuleux et j'ai adoré.
Cela n'a duré quune demie heure, et même si j'ai eu plusieurs orgasmes, j'étais prête à plus. Beaucoup plus.
Puis Jacques m'a reculé la bouche de sa bite : "Assieds-toi sur ma bite et baises-moi, poupée !"
Je me levais et Robert retomba sur ses genoux. Je me positionnais pour m'asseoir sur le sexe de Jacques.
Il me tenait et me guidait par les hanches pour minstaller sur ses genoux.
J'ai écarté largement les cuisses et jai tenu sa bite en masseyant. Je suis descendue mempaler sur son sexe dressé.
Lentement, je l'ai senti pénétrer ma chatte très humide. "Oh, oui. Putain. Ça fait du bien."
C'était délicieux de s'asseoir sur cette bite bien raide et de la baiser.
J'ai regardé Robert qui souriait en s'agenouillant devant moi lorsque j'ai commencé à baiser Jacques.
"Ta chatte humide est si jolie, étirée par cette grosse bite, et tu as des seins plantureux."
Il tendit sa main pour capturer mon mamelon droit.
Je gémissais et me stabilisais un peu tandis que Jacques commençait à sencastrer en moi.
Robert suçait mes seins, d'abord le droit puis le gauche. Il m'a embrassé langoureusement sur la bouche.
Robert avait une bouche incroyable avec des lèvres pulpeuses faites pour sucer et embrasser.
C'était une sensation incroyable d'être baisée par un mec, tandis que lautre tétait mes seins et ma bouche.
Je sentais un orgasme féerique arriver, et je savourais ce délicieux moment.
"Continue de jouer avec mes mamelons, Robert, ta bouche est fantastique !"
Robert se recula et me fixa directement dans les yeux pour taquiner mes seins, pinçant légèrement et tirant sur les bouts. Je ne pouvais plus retenir de petits grognements en sentant approcher un orgasme prodigieux.
Je fermais les yeux, me laissais envahir par les poussées furieuses de Jacques.
Sa bite s'enfonçait durement dans ma chatte qui ruisselait de ravissement.
Robert pétrissait mes seins et Jacques me pilonnait fort. Les yeux fermés, je me délectais de la double stimulation.
Pantelante, gémissante et geignante, jai accompagné de petits cris lapproche de mon orgasme.
J'ai ouvert les yeux et Robert ma attrapé la tête pour me regarder dans les yeux tandis que Jacques me baisait.
J'étais pantelante d'anticipation et Robert souriait en me regardant défaillir.
Soudain, c'était là. Une vague énorme. Mon corps sest tendu comme un arc. Mes jambes battaient lair.
Je suis venue sur le sexe de Jacques, les yeux fermés, le corps arc-bouté en arrière, secouant ma tête en tout sens.
Je ne pouvais plus m'arrêter de jouir sur la bite de Jacques.
Robert a recommencé à malaxer mes mamelons, prolongeant mon orgasme.
Ils mont fait jouir longtemps, mon corps était secoué de spasmes, ma chatte crachait mes jus.
Lentement, les vagues de plaisir décroissantes mont permis de reprendre pied dans la réalité.
J'ai ouvert les yeux et j'ai regardé le monde merveilleux qui mentourait.
Je navais jamais rien vu de plus beau que ce vieux bureau crasseux.
Épuisée, pantelante, je nétais plus quune poupée de chair entre les mains de ces deux vieux salopards.
Mon corps brisé était maintenant à vif, chaque petit contact résonnait en moi.
Robert avait son appareil photo en place et me mitraillait pour la postérité!
Jacques voulait continuer de me baiser et essayais de me faire rebondir sur sa bite. Mais je navais plus la force.
Jai essayé de méchapper, mais Robert ma raisonnée : "Tu sais, jai fait un paquet de photos de toi et de ta chatte écartelée par la bite de Jacques. Ce genre de clichés se vend très cher sur les sites spécialisés. Si tu veux faire ta farouche, tu vas te retrouver avec des photos de toi en pleine jouissance placardées partout. Ça tamuserais que tout le monde voit ta gueule en plein effort ?"
J'ai également réalisé quils ne mavaient pas payé davance, et que je risquais de tout perdre.
Tandis que je pensais à ce qui marrivait, Jacques mavait attrapé solidement par les hanches et recommençait à me faire sauter de haut en bas, me baisant durement, cherchant à jouir en moi.
C'était comme si sa bite était devenue plus dure et plus grosse à mesure qu'il me baisait.
Je nai pas fait ma bégueule, docilement je l'ai laissé me baiser.
"Allez ! Baise-moi fort, Jacques. Jouis en moi. Vas-y, Jacques, défonce-moi !"
Robert a pris quelques photos de plus, puis s'est dressé devant moi en se caressant.
"Regarde ma bite comme elle est belle" ma dit Robert. "Je vais me branler sur tes gros nichons pendant que Jacques te baise."
Jacques sexclama : "Ah ! Je vais jouir dans ta chatte !"
Il a enfoui son sexe au plus profond de ma chatte et a envoyé la purée, commençant à me remplir.
"Oh, putain, ta chatte est tellement bonne, tellement serrée !"
Je pouvais sentir sa bite me combler, et ma chatte débordait et coulait sur sa bite et sur ses couilles.
Soudain, Robert a annoncé son arrivée proche : "Jarrive ! Je vais tout balancer sur tes seins !"
Mais jai été prise dune envie subite : "Non! Viens dans ma bouche !"
Et il l'a fait. Robert a saisi ma tête à deux mains, crochant ses doigts dans ma tignasse, et ma enfoncé sa bite dans la gorge. Il est venu immédiatement, déchargeant une grande quantité de sperme.
Je nai pas pu méchapper, il pressait mon visage contre lui avec beaucoup de force, jétais obligée davaler pour ne pas m. La quantité était trop importante, les jets saccadés trop proches, je nai pas pu tout avaler et le trop-plein coulait de la commissure de mes lèvres sur mon menton et sur mes seins.
Quand il a retiré sa bite en détumescence, jétais toute barbouillée de sperme épais et crémeux, en haut et en bas.
Tout le monde était essoufflé maintenant que les deux coquins mavaient arrosée de tout leur sperme.
Robert s'est reculé et a pris quelques photos supplémentaires de moi assise sur la bite de Jacques avec un gros gâchis de sperme dégoulinant de partout.
Cest Jacques qui a eu le dernier mot : "La prochaine fois, je te casserai le cul, poupée !"
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