L'Évolution De Charlotte
Bonjour,
Moi cest Charlotte,
A 18 ans, le bac en poche, je suis inscrite à Lille en LEA. Lettres étrangères appliquées. Cest bien moi, il parait que la langue je maitrise, et pas seulement les langues étrangères. Je fais la fière, mais je ne suis pas une véritable experte. Avant mon bac je nai pas eu beaucoup dexpérience, un copain officiel et deux trois aventures juste pour chambrer les copines.
Bref, en septembre, arrivée à Lille, jai préféré une chambre en centre-ville pas loin de la gare plutôt quune résidence étudiant près de la fac.
Ma chambre, elle est super, un véritable petit appart avec un coin cuisine, un coin bureau, un coin salon chambre et une varie salle de bain. Pas loin de 35 m² pour moi toute seule.
Dans le vieux Lille, lappart est au 2ème étage, en dessous lappart des propriétaires et au rez de chaussée, un salon de coiffure et un salon de tatouage.
Je ne le savais pas au début, mais le couple qui est propriétaire se partage les deux salons. Madame la coiffure, monsieur le tatouage.
Il faut que je vous parle un peu de mes proprios
Elles, 35 ans, super pépète, un peu gothique, mais sans exces, toujours souriante et surtout le crane intégralement rasé. Pas coupé à raz, non, totalement à blanc. Original, mais cela lui va si bien.
Sinon 1m65, 55kg jolie poitrine, ni trop petite ni trop grosse. Bref sincèrement une jolie femme avec des traits fins et des yeux bleus. Déjà sympa au premier regard.
Lui grand plus d1m90, carré, costaud mais pas gros. Environ 40 ans. Lhomme qui rassure et qui donne envie de se réfugier dans ses bras.
Il est aussi très souriant.
Particulièrement tatoué mais sans provoc, ce nest pas le style à en avoir dans le cou ou sur les mains, et en plus sur son torse (je lai vu après, cest assez artistique).
Bref, en deux mots, tout est au mieux pour commencer lannée.
Lannée, ma première année de fac, ce nest pas trop ça.
Et puis même si je ne viens pas dun village pommé, mon éducation est encore très présente et je ne me sens pas très à laise
Tout va vite changer, un peu par hasard
Je navais pas vraiment de relations avec mes propriétaires, juste bonjour au-revoir dans les escaliers et puis début janvier, panne de cumulus dans lappart, je descends voir mes proprios et je men explique avec eux. Je les trouve sympa, on discute ensemble et ils me proposent leur salle de bain pour prendre ma douche. Je leurs dit ok et je prévois de revenir vers 19h pour la prendre.
Comme prévu, vers 19h30 je viens chez eux, la porte est ouverte mais il ny a personne. Je rentre dans la salle de bain, et je suis nue sous la douche. A peine installée les yeux fermés sous le jet deau chaude, jentends un bruit et je découvre le proprio à poil en train de se préparer devant le lavabo. Grand silence, nous sommes là à deux nus, lun face à lautre.
Après une première hésitation, il sexcuse et me dit, « ce nest pas grave, nous sommes naturistes » il sen va en minvitant à lapéro avec eux.
Je suis un peu rassurée, mais inquiète. Que dois-je faire ? Aller à lapéro ? Dans quelle tenue ? et eux quattendent ils de moi ?
Il est 20h je sors de la douche je suis enveloppée dans une grande serviette, mais nue dessous. Jarrive dans leur salon, et ils sont nus tous les deux. Lui tatoué et elle les seins et le nombril percé.
Choquée nest pas le mot, je my attendais un peu, mais surprise quand même.
Je reste avec ma serviette. Il sort le Champagne, (jadore et ça me désinhibe)
Une heure après, la serviette est presque ouverte, et mon corps respire le bon air de lappartement.
Mais ce soir, pas de brusquerie, ni de volonté daller trop vite, je retourne vers 22h dans ma chambre et je mendors avec des rêves libidineux.
Le vendredi suivant, petit carton sous la porte quand je rentre de la fac, invitation pour 20h30 pour diner avec eux.
Pour leur être agréable, je ne porte quune nuisette transparente, mais je mets des bas auto-fixant et des talons noirs.
Quand je rente, ils sont nus tous les deux, lui intégralement, elle avec un PJ et des bas.
On se fait la bise, enfin pas vraiment la bise, la sienne est appuyée, au bord de mes lèvres et sa main appuyée dans le bas de mon dos juste en haut de mon petit cul qui parait il est assez affriolant.
Je ne me dérobe pas, mais je vais vers son mari, (lui cest Hubert, elle, cest Caroline). Lui non plus ne me fait pas simplement la bise, mais tout est en douceur, juste pour me faire craquer.
Bref, moi petite coquine de 18 ans, je suis entre les mains dun couple de 35 et 40 ans. Moi sans expérience, je suis chez des libertins en plus classe et élégants.
Je ne sais pas vraiment comment sest déroulé la soirée, mais je me souviens juste dun bonheur absolu et du temps qui passe trop vite.
On a dormi à trois et samedi matin, ils se lèvent tous les deux tôt pour leurs salons et moi je traine dans un grand lit sans plus savoir qui je suis ni où je suis.
Jusquen février, les soirées se succèdent. A chaque fois, il veut que je me fasse un tattoo discret mais je refuse en lui disant en riant. Je suis excessive, alors cest rien ou lintégral. Sa femme me coiffe à son salon, tous les 15 jours environ, mes cheveux raccourcissent sans que je men rende vraiment compte, mais en décembre pour retourner fêter Noël avec ma famille (juste mon père, hélas maman est décédée il y a 5 ans et je suis fille unique) javais la nuque rasée et un carré plongeant vers lavant.
Bref tout allait pour le mieux, la petite greluche de province évoluait tous les jours, jétais déniaisée et jadorai cela, et en douce progression, sans autoritarisme, simplement un couple qui avait trouvé sa petite « « soumise » » qui ne savait pas encore ce quelle vivait et ce vers quoi elle allait.
15 mars, Confinement.
Salon de coiffure : fermé
Salon de tatouage : fermé
Fac : fermée
Et moi je suis là à ne rien faire, seule dans ma chambre, et eux sont là à ne rien faire, seuls dans leurs salons.
Comme jadore le dessin, Hubert m proposé à minitier au dessin corporel première étape du tatouage, chaque jour je dessinai un peu à la fois, et lui me demandait ce quil me plaisait de faire si je le faisais pour mon corps.
A chaque fois je lui répondais la même ritournelle, non, non, de tout façon si jen fais un cest un intégral de mon corps et à chaque fois je partais en souriant. Sauf quà chaque fois, je donnais plus dinformation sur ce qui pourrait me convenir.
Et puis de plus en plus nos séances de sexe étaient plus longues, plus fréquentes, à chaque fois jétais plus soumise et plus sexuellement offerte à leurs désirs et jadorais de plus en plus.
Mes cheveux raccourcissaient de plus en plus à chaque semaine ou jallais au salon de Caroline.
Et puis un jour, je ne sais pas comment cest arrivé, Caro memmène au milieu du salon, et je lui demande entre deux séances de sexe de me raser intégralement le crane. Un moment de folie, je ne sais pas. Je pense quau fond de moi la soumise salope prenait vraiment forme. Et puis je devais le faire, car je voulais leur plaire, être à elle. Je voulais lui ressembler.
La fac était fermée, mon père qui ne soccupait pas vraiment de moi à 300 Km, et moi seule entre les mains de ces deux pervers en qui javais toute confiance.
Et puis un lundi matin, avec Hubert, on discute de nos activités de la semaine, et il me propose de dessiner le départ dun grand tattoo qui dans labsolu me plairait.
Et je dessine un immense dragon, la tête sur mon épaule droite sa pate avant gauche sur mon épaule gauche, sa pate avant droite passant sous mon bras et mon sein dans sa main, deux de ses griffes pinçant mon téton, sa pate arrière gauche appuyé sur ma hanche gauche et sa pate arrière droite sur ma fesse droite.
Sa queue descendant sur ma fesse gauche et senroulant sur ma jambe jusquà ma cheville.
Ce coquin dHubert, pour renforcer le réalisme me propose de me le dessiner sur le corps pour que je me fasse une idée précise de ce que cela peut donner.
Le dessin à pris tout laprès-midi. Mais le soir, il était sur mon corps, sur ma peau. Ce nétait plus moi, mon dos était celui dune jeune femme différente. Mon dos ressemblait à celui dune femme qui a offert son corps à devenir vraiment soumise, et moi à lintérieur je ressentait le changement qui peut à peu prenait place.
Ensemble on rejoint Caro à lappart. Nus comme souvent, mais moi habillée du dessin. Son comportement vis-à-vis de moi a changé, elle aussi franchissait une étape dans notre relation, je nétais plus la petite étudiante qui découvrait le sexe, mais une jeune femme qui entrait dans un nouveau monde, peu à peu je leur appartenait, et le pire cest quau fond de moi javais limpression de le vouloir et de laimer.
Jai dormi avec la nuit, je nétais plus moi-même, jétais la soumise de Hubert et Caro, leurs objet dart, nuit difficile. Le lendemain matin, je ne lai pas su tout de suite, mais la cuisine sentait un peu le joint et jai dû en renifler un peu, peut-être trop, mais peu importe,.
Nous étions nus tous les trois, Caro et Hubert me caressaient de plus en plus et sans men rendre compte, je me suis retrouvée assise sur le fauteuil de tatouage. Hubert ma posé la question, et jai dit oui on y va et surtout je veux un intégral de mon corps, je pensais au fond de moi que cétait encore notre plaisanterie. Sans men rendre vraiment compte, sans vraiment le vouloir, jai donné le feu vert pour transformer mon corps de manière indélébile.
Il ma recouvert les parties concernées par des anesthésiants, et je nai pas arrêté de boire pendant toute la journée, jétais attachée avec des sangles, jétais ailleurs, mais lui transformait mon corps.
Le soir ils mont couché, je ne savais plus vraiment ou jétais.
Dans la nuit je me suis réveillée, mais habituée depuis une semaine à porter le dessin sur mon corps je nai pas fait gaffe. Le lendemain au petit déjeuner, il ma proposé de continuer. Là je me suis rendu compte de ce qui métait arrivé. Mais en même temps Caro me léchait le sexe et dans un orgasme ravageur, jai trouvé cela génial.
Ma transformation venait de démarrer, je ne serais plus jamais Charlotte la jolie petite étudiante, mais la soumise dun couple pervers qui avait su me faire évoluer totalement.
Au bout de deux trois jours, pleinement consciente de la situation, jai voulu faire un point avec eux.
Le soir au moment de lapéritif, je me suis avancé vers eux et je me suis agenouillée, et là je ne sais plus vraiment comment jai osé dire cela, mais cest presque sorti sans effort, je leur ait dit, vous avez commencé à prendre mon corps, je veux vous offrir mon âme.
Ils mont dit oui tout de suite.
Hubert ma proposé de modifier le tatouage pour y insérer mon appartenance, et Caro ma promis de mépiler intégralement et définitivement mon corps.
En quelques jours ma vie a basculée,
Lais-je fais consciemment ? surement pas, mais si cela navait pas été au fonds de moi je ne me serai pas laissée dominer ainsi. Cest que je le voulais vraiment.
Voilà, entre janvier et une panne de cumulus, et fin mars à cause dun coronavirus, ma vie à changer.
Et depuis il sen est passé des choses.
Nous sommes en juin, fin mai mon tatouage initial (le grand dragon) est terminé, et mon épilation définitive aussi.
Pour couvrir mon corps, surtout le devant et lautre jambe, Hubert est en train de dessiner un ensemble de serpents dont lun dentre eux aura mon autre téton entre des dents pointues.
Et puis ils ont prévu une cérémonie avec leurs amis proches maintenant que le dé confinement est en place.
Cest prévu semaine prochaine.
Sur ma fesse droite un tatouage est en cours, il est écrit
Soumise Zooée (cest mon nom de soumise) propriété de Hub et Caro
Et dessous je serai marquée au fer avec leur symbole, un H et un C enlacés
La brûlure sera faite au fer, et ensuite ils intégreront une encre noire et argent pour faire apparaître le motif en relief et en couleur.
Mon nom de baptême me sera donné ce même jour, vous avez compris, pourquoi, car je deviendrai officiellement une chienne.
Ma nouvelle vie va commencer vraiment, je nen sais pas encore grand-chose, mais jai tellement en moi les bonheurs des premières découvertes que jai hâte de vivre la suite
Carpe diem
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