Collection Cocu. Le Poulain. Saison Iv (15/16)
La petite dinde que jétais en arrivant au haras dirigé dune main de maître par Duc, mon beau-père et amant dans les derniers jours de sa vie, a pris de lassurance depuis quelle sait quIsabelle sa belle-mère la piégé.
Elle savait lors de notre mariage que Louis son fils avait des murs dites contre nature avec un jeune androgyne.
Jai donc pris ma vie en main, mais dans un même lieu il est impossible quil y ait deux femelles dominantes se partageant le même terrain de chasse.
Lord Cromwell est lun deux, cest mon amant et puérilement elle organise une soirée en son honneur espérant le récupérer dans son lit.
Pour lemmerder, pardon, je suis une dame et ce mot est mal placé dans ma bouche.
Pour lembêter, jinvite mon jeune amant Xavier à venir participer à ce dîner simplement pour la contrarier.
Javais découvert quelle était superstitieuse et que 13 à table ça serait trop pour elle.
Xavier qui lui aussi sans quelle le sache est mon deuxième amant avec qui hier jai baisé dans ma grange en double pénétration avec John mon Lord.
Cest en allant boire un verre deau que John tenait à boire un verre de Scotch.
Je découvre que Xavier au lieu de parti est venu se garer derrière le manoir et est de nouveau parmi nous.
Qui a souhaité conduire Xavier vers les toilettes ?
Belle-maman.
Jentraîne le lord vers sa chambre dans laile que le Duc lui a réservée lorsquil a fait le partage de ses biens.
Javais raison, ils sont bien là.
Isabelle est couchée sur le ventre, Xavier sur elle qui la pénètre la faisant roucouler.
Jassiste à une baise de ma belle-mère, ce qui me chamboule un petit peu.
Il est vrai que jai couché avec sa fille et sa maîtresse Poupette, gendarmette de son état.
Elles viennent de nous annoncer quelles avaient décidé de profiter de la nouvelle loi et de se marier à la fin du contrat avec larmée de Poupette.
John vient se coller à moi me mettant ses mains sur mes seins.
Il veut que je vienne, mais je sens quil faut que je reste un peu, des choses vont se passer.
Il la fait jouir et il glisse à ses côtés.
- Cétait divin, ta queue est fantastique.
Quel nez creux jai eu de taccompagner aux toilettes et de te caresser la verge.
Tu bandais déjà pour moi, tu es un garçon formidable.
Il bandait, il bande sans discontinuer, la gloutonne quelle est, va vite sen apercevoir.
- Tu pourrais me rendre service, je ten serais éternellement reconnaissante.
- Si je peux venir te baiser chaque fois que je le veux sans problème.
- Je voudrais que tu tarranges pour rencontrer ma belle-fille et la séduire.
Quand je disais que les choses deviendraient intéressantes.
- Donne-lui rendez-vous et baise là, jignore la jalousie.
Avec le mari que jai eu, je me serais coupé les veines des centaines de fois.
Bien sûr, quelques photos seraient nécessaires pour mon plan.
Je les enverrais à Lord Cromwell pour lui faire voir la salope quelle est.
Je sens John qui séchauffe à avoir sa verge sur mon cul.
Incroyable est-ce la situation avec ce que dit ma belle-mère qui le fait bander, car il cherche son chemin en moi.
Dans ma grange, dans le lit où jai baisé avec Duc à Dieppe et après des amants, debout appuyé au chambranle de la porte entrouverte de la chambre de celle que je sens être de plus en plus mon ennemie, il entre dans ma chatte.
- Pourquoi fais-tu ça, tu as des vues sur son amant ?
- Avant oui, mais mavoir sexé divinement, je désire simplement la casser pour reprendre le pouvoir sur ma maison.
- Je comprends, tu te sens dépouillée.
Dans ma chatte la verge me pilonne et jai un petit gloussement.
John me met la main sur la bouche me muselant.
- Après tous ce que jai fait pour mes s, quune petite pétasse comme elle, fasse ce quelle ma fait ce soir à me tenir deux pas derrière elle alors que je recevais mes amis, pour moi, cétait humiliant et impardonnable.
- Et surtout quelle mait invité pour éviter de nous retrouver 13 à ta table.
Une sueur froide passe dans mon dos, elle va se rendre compte que linvitation que je lui ai faite sétait avant de venir dans sa chambre et de la clouer le long de la porte de son armoire.
Par chance le sexe de Xavier est de nouveau son centre dintérêt.
Il faut dire que nous le voyons nettement être tendus vers le ciel.
Je pourrais écrire des livres, jai déjà des titres.
« Ma belle-mère se fait tringler par un cul-de-jatte. »
« Ma belle-mère fait des fellations. »
En attendant.
« Ma belle-mère se fait enculer. »
- Je mexcuse de tavoir interrompu bien que ta bouche soit divine.
Tu me disais tout ce que tu as fait.
- Quand jétais jeune, jétais très ambitieuse et très portée sur le sexe.
À 16 ans, javais un amant le docteur Franck.
Je me suis retrouvée enceinte et ma mère ma fait épouser le fils de sa cousine pour garder mon honorabilité.
Quand mon fils est né, il avait un successeur et il a fait sa vie.
Il a appris que sil avait eu un fils, javais des amants et cest par malchance que jai eu Sonia.
- Malchance ?
- Problème de contraception.
Il savait donc que le père sétait un autre sans savoir que cétait Franck que je voyais toujours.
Les aveux de ma belle-mère devenant tellement passionnants que John arrête de me sauter, mais sa queue reste en moi.
Je tourne ma tête, il membrasse.
Je secoue ma main lui montrant lintérêt des aveux de belle-maman.
- Tu as été franche avec moi et je ten remercie.
Je vais te faire une confidence, ton fils et ta fille sont mes demi-frère et sur.
Maman avant de mourir ma avoué que le docteur était aussi son amant et que jétais le fruit de leur amour.
- Et dire que cétait le Duc mon mari qui passait pour un chaud lapin.
On est en famille, vas-tu maider ?
- Comment la joindre, as-tu son portable ?
- Je te le donnerais après avant je veux profiter de ce morceau de choix que tu me présentes.
« Ma belle-mère vient sempaler sur la bite de son amant. »
Je me suis trompée quand je me retire avec John, lenculage, ce sera certainement létape suivante.
Nous rejoignons ma chambre et cest de nouveau dans mon lit que je baise avec John.
Ouahou, cest divin.
- Marie, cest Xavier !
Le Lord après un derrière baisé et avoir récupéré sa fille au grand dam de Jules qui voudrait partir avec elle, me quitte après ma promesse de venir à leur fête de novembre.
Quand Xavier mappelle, je sais pourquoi, comment va-t-il se comporter ?
Quel camp va-t-il rejoindre ?
- Comment as-tu eu mon portable ?
- Je te dirais tous à 14 heures, peux-tu me rejoindre chez moi ?
- Non, à la grange, je sortirais un cheval pour faire travailler.
À midi Isabelle est charmante, elle est en déshabillé.
Chaque fois quelle se fait baiser, elle se lève tard, car elle se contente doisiveté depuis la nuit des temps.
Wanda me prépare Gazelle, une jeune pouliche de six ans que son propriétaire nous a confiée pour la retaper après un problème de santé.
- Monte Marie, je suis en haut.
Jai laissé Gazelle dans lenclos où nous avions enfermé nos chevaux quand jétais venue me faire sauter par mes deux amants.
Je monte à léchelle, Xavier est assis sur une botte de foin.
Tient cest plutôt drôle, il bande.
- Marie, cette nuit, jai été lamant dIsabelle, ta belle-mère.
Nous y voilà, les Athéniens satteignirent, de quel côté va-t-il faire pencher la balance.
- Je lai si bien baisé quelle était langoureuse et ma fait des confidences.
Cest elle qui ma donné ton numéro de portable pour que je tappelle et que je te piège.
- Comment ?
Le plateau de ma balance vient de tomber de mon côté.
Son sexe est sorti de son pantalon et je le suce avidement.
Je me place les seins sur la botte de foin ayant simplement enlevé mes pantalons de cheval.
Xavier a bien gagné le droit de me baiser après ce quil vient de me révéler.
Quand il est au fond de moi, à travers les fibres de mon chemisier les petites pointes des graminées stimulent agréablement mes pointes de seins, mes bourgeons explosent.
Il me prend et une nouvelle fois memporte sur les cimes de mon plaisir.
Je reprends mon aspect respectable avant de quitter mon amant et celui de celle qui va se souvenir de moi.
De retour au haras, je dépose Gazelle et je prends mon portable.
- Bonjours maîtres Alain, je vous attends au haras, nous avons besoin de vos services.
- Oui, madame Marie 17 heures, ça vous va, jaurais quelques moments à vous consacrer.
- 17 heures sans problème, merci.
- Isabelle, peut-on se retrouver à 17 heures dans mon bureau sil te plait.
- Pourquoi ?
- Tu le sauras, mais tu peux venir accompagné de ton avocat.
- Nul besoin dun avocat, je sais me défendre seule devant une petite arriviste.
Ma fin de journée se précise.
- Monsieur Claude ?
- Oui, que puis-je pour vous ?
- Vous êtes un jeune avocat qui vient de sinstaller à Dieppe et qui mavait donné une carte professionnelle lors dune soirée passée ensemble ?
- Oui, cest bien moi !
Cest toi Marie, que deviens-tu !
Jai cherché à te revoir, impossible de te retrouver.
- Jaimerais que vous me vouvoyiez !
Ça sert davoir eu des amants placés dans certaines professions.
- 16 heures, jai pris note, je serais à ladresse que vous venez de me donner.
Jai couché avec ce jeune homme, mais avec mes « vous » je le remets à la place que je veux quil se trouve dans les heures prochaines.
Pourquoi tous ces rendez-vous ?...
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