La Motarde - 1
Agenouillée sur le lit, jambes écartées, croupe haute, seins écrasés contre le matelas, Carole recula davantage les fesses pour se faire sodomiser plus complètement par lhomme qui la besognait vigoureusement, enfonçant au plus profond son sexe tendu dans son anus dilaté.
Entre deux halètements de jouissance, elle eut une pensée amusée pour les hommes qui croyaient que la majorité des femmes rechignaient faire lamour ainsi. Cétait exactement linverse : la plupart des femmes adorent se faire pénétrer par derrière, pour peu que leur partenaire sache sy prendre. Les habituées de la sodomie profonde jouissent davantage par le rectum que par le vagin et beaucoup deviennent vite des adeptes du sandwich : un sexe devant, un autre derrière, soit avec deux partenaires masculins, soit avec des sexes artificiels.
Son amant du moment était visiblement un sodomisateur expert, un maître des plaisirs de la rosette, Carole lavait pressenti dès les préliminaires qui les avaient jetés haletants lun contre lautre aussitôt entrés dans la chambre dhôtel.
*
Ils sétaient rencontrés au bar de lhôtel où la jeune femme faisait halte sur la route de ses vacances. Après un dîner convenable mais sans plus - comme souvent dans les chaînes de trois étoiles du bord des routes - Carole était passée au bar pour siroter un café et un digestif en lisant un roman, mais surtout pour observer le cheptel masculin présent et voir si elle pourrait y dénicher un étalon pour la nuit. Verre à la main, elle faisait semblant dêtre absorbée dans sa lecture, jetant de fréquents coups doeil aux mâles qui passaient dans le hall ou venaient sinstaller au bar.
Alors quelle sétait presque résolue à se contenter dun rapide plaisir solitaire avant de sendormir, un homme était entré au bar pour saccouder au comptoir. Il était grand, bien découplé, brun et viril, le visage agréable, environ la trentaine. Un candidat tout à fait possible sil nétait pas accompagné.
Il faut dire quelle en valait la peine.
Un peu moins dun mètre soixante pour quarante-cinq kilos, elle avait tout dun tanagra sexy, dun sablier fait pour lamour. Ses cheveux presque noirs, raides et coupés courts faisaient ressortir le bleu faïence des yeux en amandes qui éclairaient son visage déjà bronzé. De longues cuisses minces et galbées sortaient de son mini short noir moulant, réplique de ceux des années 70. Sa taille était mince, faisant mieux ressortir lextraordinaire cambrure de sa croupe. Des petites fesses rondes et très rebondies, comme on nen trouve que chez les noires du centre de lAfrique, séparées par un profond sillon sévasant vers le haut et vers le bas. Ses amants en étaient fous, on ne pouvait la voir de dos sans penser immédiatement à la sodomiser, ce qui ne la gênait pas le moins du monde, bien au contraire. Devant, la matière légère et élastique du mini short moulait son mont de Vénus avec une précision presque anatomique et il était impossible dignorer quelle ne portait rien sous ce vêtement réduit.
En haut, la chaleur de ce soir de juillet lautorisait à ne porter quun léger caraco de soie noire, retenu par deux fines bretelles, et qui découvrait la moitié de ses seins pommés. Sa poitrine était relativement importante pour sa taille : 90C. Les seins ronds et fermes se silhouettaient nettement sous la fine étoffe du bustier dont les coutures étaient mises à rude épreuve. La soie moulait les masses tièdes, révélait leurs formes et épousait le moindre mouvement. Les mamelons toujours en érection annonçaient un tempérament incendiaire. Au repos, ils saillaient déjà très visiblement, même sous un pull épais.
Carole décroisa et recroisa les cuisses, exhibant ses jambes fines chaussées de spartiates dont les lanières entrelacées mettaient en valeur le galbe de ses mollets délicats.
Lhomme ramassa au jugé le demi de bière que le serveur venait de poser à coté de lui et porta un toast silencieux en direction de la créature de rêve qui continuait à le détailler. Elle lui rendit son geste et sécha son marc de Bourgogne dun coup sec, sans le lâcher des yeux. Linvitation était évidente. Il se leva, verre en main, sapprocha de la femme assise dans un canapé bas et lui offrit de remplacer son verre désespérément sec par un autre, plein celui-là. Elle accepta et linvita à sasseoir sur le canapé den face.
Un verre après lautre, ils se présentèrent. Il sappelait Hervé, était ingénieur informatique et travaillait pendant lété. Elle était conseil en relations publiques free-lance, elle descendait sur la Côte passer une semaine de vacance chez des amis. Puis se racontèrent des choses sans importance sur leurs vies respectives. Le hasard les avait réunis dans cet hôtel anonyme au nord de Lyon. Peu importait, lessentiel se passait de mots, leurs regards se disaient leur fringale sexuelle lun de lautre.
Après un moment, ils ny tinrent plus et se levèrent ensemble, les mamelons de Carole lui faisaient mal et menaçaient de crever la soie de son bustier tendu. Elle sentit son clitoris turgescent se frayer un chemin entre les lèvres de son sexe et pointer fièrement entre elles. Le Docker dHervé était largement déformé par une érection impressionnante. Il plaça devant lui le pull léger quil tenait à la main, pour dissimuler le gros sexe qui se découpait de façon indécente sous le tissu beige.
Après un bref conciliabule, ils se dirigèrent vers la chambre de la jeune femme.
*
Aussitôt entrés, le désir les plaqua lun à lautre. Bouches soudées, langues entrelacées, le souffle court, ils se palpaient par dessus leurs vêtements. Il lappuya contre un mur pour libérer le bras qui la maintenait contre lui. Sa main gauche caressait alternativement les seins dardés, incroyablement fermes pour leur masse. La paume englobait tour à tour les dômes galbés sans autre protection quune fine couche de soie glissante, le pouce et lindex faisaient rouler les tétons en érection, augmentant encore leur volume et leur tension, arrachant des gémissements à la femelle en chaleur qui se tordait sous les mains expertes.
La main droite descendit sur une cuisse à la peau douce et remonta sans plus perdre de temps pour empaumer le sexe charnu à travers le short. Le mont de Vénus était rebondi et chaud sous ses doigts. Elle écartait les cuisses pour lui faciliter la tâche. Il ne chercha pas la fente du sexe sous létoffe, mais au contraire laissa sa main à plat pour mieux frictionner lensemble de la vulve de haut en bas et de bas en haut. Les grandes lèvres, écrasées lune contre lautre, massaient puissamment le clitoris qui bandait désespérément, saillant hors de la fente humide.
Carole mouillait abondamment. Folle de désir contenu, elle projetait spasmodiquement son bassin vers lavant pour mieux profiter de la caresse musclée de la main de celui à qui elle brûlait dappartenir. Elle ne restait pas pour autant inactive. Ses petites mains sactivaient sur le mâle qui la pelotait, elle déboutonna fiévreusement la chemise de toile pour promener ses ongles acérés sur son torse velu.
Descendant dun geste vif, une de ses mains vint envelopper le volume sans cesse grossissant de la virilité de lhomme.
Tous deux sentirent quil était urgent de passer aux choses sérieuses sils ne voulaient pas jouir bêtement debout et tout habillés. Ils se séparèrent comme on sarrache et enlevèrent frénétiquement leurs vêtements.
*
Dès quils furent nus, dun seul mouvement il ouvrit largement le grand lit et y coucha la femme consentante. Leur fièvre, qui avait un peu baissé pendant leur déshabillage express, les reprit aussitôt. Ils se frottaient furieusement lun contre lautre pour que leurs peaux se reconnaissent. Après sêtre un peu masturbés réciproquement, comme pour vérifier leur désir, le garçon la coucha bien à plat sur le dos et recula dun saut de carpe pour venir placer sa bouche entre les cuisses largement écartées.
Carole était demi-épilée, le canyon de son sexe était lisse et dégagé, seul un petit toupet triangulaire au-dessus de sa fente rappelait sa toison originelle. Hervé colla sa bouche gourmande aux lèvres bien serrées qui ne laissaient échapper que lextrémité du petit dard clitoridien, pointant rageusement dans sa fureur de jouir. Il commença par embrasser cette bouche inférieure comme on embrasse lautre, les quatre lèvres étroitement soudées et sa langue sagitant dans la cavité féminine. Il goûtait ainsi les nymphes et lentrée du vagin, dans lequel il faisait parfois une incursion plus poussée.
Puis, il changea de position pour venir emprisonner le clitoris entre ses lèvres, il laspira pour létirer et nen conserver en bouche que le gland. Il fit alors rouler la boule minuscule sous le bout de sa langue durcie. Les halètements de Carole se muèrent en cris dont le rythme suivait celui de la caresse buccale. Par des va-et-vient frénétiques, il fit monter la pression et elle jouit dans un hurlement dagonie. Adoucissant la tension de ses muscles labiaux, il accompagna la fin de son orgasme dun léchage plus tendre.
Quand la respiration de la fille fut devenue plus régulière, il redonna plus dénergie à ses succions, la faisant remonter vers le plaisir. Il la fit pivoter sur le flanc et se plaça tête-bêche pour lui offrir sa verge, tendue à se rompre. Elle comprit immédiatement et saisit à deux mains le sexe érigé. Elle le masturba doucement, lentement et profondément faisant apparaître et disparaître tour à tour le gland congestionné de son amant en rut. Le mouvement ample de ses mains fit encore grandir le mandrin déjà énorme. Enfin, de lanneau formé par son pouce et son index, elle décalotta complètement le membre imposant, la peau du prépuce vint le pourtour de la collerette épanouie. Après avoir contemplé un bref instant le résultat de son application experte, elle le prit en bouche et senfonça le membre chaud jusquà la glotte.
Sa bouche était distendue par les dimensions du champignon quelle réchauffait de son souffle et elle commença à pomper religieusement. La fellation était pour elle un acte de foi rendant hommage à linstrument qui pouvait la faire tant jouir, quel quen soit le possesseur. Quand elle suçait, le monde nexistait plus, ou plutôt se limitait à ce bâton frémissant dans sa bouche et aux sacs doux et velus quelle caressait en même temps. Lhomme dont elle pompait le dard disparaissait même pour nêtre plus quune trique dont elle allait faire jaillir le sperme dans une apothéose de jouissance. Sa dévotion buccale était si grande quelle pouvait jouir elle-même, sans se toucher, rien quen suçant. Une fois en bouche, la tige nen ressortait quaprès avoir éjaculé. Sachant que priver le sexe de son partenaire de la chaleur qui lentourait ne pouvait être que frustrant, elle ninterrompait jamais une fellation pour se livrer à des agaceries qui ny apportaient rien. Bouche de velours, on ne sentait pas ses dents, mais la caresse de ses lèvres pulpeuses et le jeu adroit de sa langue laissaient à chacun des hommes dont elle soccupait un souvenir sans égal.
Dans dautres circonstances, et dans une autre position, elle pouvait aussi jouer les Gorge Profonde, engloutissant la totalité du sexe masculin dans sa bouche, jusquà larrière-gorge, ses lèvres touchant les poils du ventre de lamant sucé. Mais cétait un autre genre dexercice, qui se prêtait mal à lurgence des premières jouissances du début de nuit.
Pour linstant, elle soupesait dune main les gros testicules qui roulaient lentement sous ses doigts. De lautre, elle masturbait la partie de la queue qui dépassait de sa bouche. Le gland turgescent et la moitié supérieure de la verge disparaissaient dans sa bouche active. Parfois, dune pression plus appuyée de ses lèvres, elle recalottait lhomme gémissant pour aussitôt repousser le prépuce vers le bas dune langue habile et retrouver le contact soyeux du dôme épanoui.
Bientôt, elle sentit monter la jouissance de son partenaire, dont les râles étouffés par sa vulve devenaient plus pressés. De son côté, il activa le rythme de son cunnilingus alors quelle le pompait plus rapidement et plus profondément. Carole, sur le point de jouir elle-même, sentit le gland pulser dans sa bouche, la queue se contracter et se dilater spasmodiquement entre ses joues, tandis que le mâle éjaculait à long traits un sperme brûlant et épais quelle aspira avidement. A peine les dernières gouttes laiteuses avalées, le bâillon quelle ne voulait pas déjà régurgiter étouffa les cris de lorgasme fulgurant qui lui tordit les entrailles.
Provisoirement rassasiés par cette première jouissance qui allait leur permettre de prendre tout leur temps pour la suite, ils restèrent un moment dans leurs positions respectives avant de se lover dans les bras lun de lautre.
*
Sa joue tendrement appuyée sur les pectoraux puissant de lhomme qui venait de partager son orgasme, Carole jouait doucement avec les poils de son amant. Inconsciemment, sa main se perdit sur les abdominaux détendus quelle caressa langoureusement, sans vraie arrière pensée érotique. Soudain, elle sentit un contact sur sa main, doux et humide et qui développait rapidement sa pression. Il bandait à nouveau.
Elle saventura à effleurer le sexe tendu pour vérifier sa raideur. Pas de doute, il récupérait vite, la verge était redevenue presque aussi dure quavant sa première éjaculation. Très doucement, elle lentoura de ses doigts fuselés et commença un branle imperceptible, pas plus de quelques millimètres, juste pour le faire bander davantage. La muqueuse huilée du gland subissait les doux allers-retours du prépuce sous leffet de la masturbation de la main féminine. Parfois, de lindex, elle allait frotter délicatement le dôme congestionné quelle avait découvert et elle sentait alors la puissante barre de chair pulser dans sa main distendue. Son massage sexuel obtenait leffet recherché.
Pour ne pas être égoïste, Hervé entama à son tour de lentes caresses. Il sintéressa dabord aux seins lourds qui commençaient à sortir de leur torpeur momentanée. Passant le plat de sa main sur leur galbe il vint les soutenir par en dessous avant de remonter cueillir le mamelon qui lattendait impatiemment, à en juger par son développement. Il y posa alors sa bouche et suça tour à tour les pointes érigées qui se développaient sous ses lèvres et sous sa langue. Passant de lun à lautre, il eût tôt fait de les faire darder comme deux petits pénis, incongrus sur ces douces mamelles.
Jugeant sa partenaire à point, il fit lentement descendre une large main en direction de la cible quil devinait brûlante entre les cuisses qui sécartaient irrésistiblement sous la montée du plaisir. Il ne sétait pas trompé, ses doigts découvrirent une inondation qui ne devait rien aux orgasmes passés. Carole mouillait comme une source, mais pas au point de ne pas penser à ralentir son mouvement sur la tige ardente de son partenaire. Pas question quil arrose le persil, quil jouisse vainement dans sa main engluée. Elle le voulait en elle, cette fois. Le plus loin et le plus longtemps possible.
Hervé commença à lui masser le sexe. Du majeur, il écarta les grandes lèvres qui sétaient resserrées, approchant le plus doucement possible du clitoris qui avait déjà repoussé son capuchon pour réclamer son dû. Il leffleura à peine, faisant aller et venir son doigt en un contact presque imperceptible. Il sentit à la crispation de la main sur sa mentule que la fille était folle dimpatience. Il appuya lentement sur le bouton gorgé de sang jusquà le coincer contre le plan dur de los pubien. Il entama alors une rotation dabord lente, puis plus rapide, changeant parfois de sens, au gré des réactions de sa partenaire.
Sous le charme de cette masturbation intense, la jeune femme agitait son bassin en un mouvement giratoire qui complétait celui du doigt magique qui la faisait jouir. Tantôt senfonçant dans le matelas, tantôt venant à la rencontre de la main dispensatrice de plaisir, parfois partant à gauche, parfois revenant à droite, elle se branlait sur son branleur. Sentant le moment venu, son amant accéléra sa caresse et elle cria un orgasme étoilé, sans pour autant cesser les va et vient de sa main sur la verge.
Il nabandonna pas non plus le sexe trempé quil se mit à lisser à grands gestes, comme pour lapaiser. Très vite, son médius repartit à lattaque, et cest là quelle comprit quil maîtrisait tous les aspects de la sexualité, y compris et surtout celui de la sodomie. Elle allait se faire prendre par derrière et elle adorait ça.
Lhomme commença par frotter lentrée du vagin, glissant sur tout le pourtour de lorifice pour en repérer les points sensibles superficiels. Petit à petit, il entreprit de brèves pénétrations digitales, immédiatement interrompues, puis recommencées. Introduisant la totalité de son majeur dun geste coulé dans le sexe avide, il massa la paroi antérieure si sensible, trouva le point G et le masturba vigoureusement. Carole repartait vers le septième ciel à toute allure, lorsquelle sentit que lhomme remplaçait son majeur par son pouce, pour pouvoir masturber la paroi postérieure de son vagin. Cest alors quelle sût.
De son pouce légèrement fléchi, les autres doigts étendus à frotter la raie chaude qui séparait les fesses féminines, Hervé massait puissamment larrière de la cavité vaginale. Il en vint bientôt, sans en avoir lair, à malaxer le rectum de la femme, dont seule une fine membrane le séparait. Prenant appui sur ses autres doigts, il enchâssait progressivement le boyau culier dans une tendre pince et le pressait doucement. De temps à autre, il fléchissait davantage son gros pouce pour élargir directement lanus depuis lintérieur du vagin et en éprouver la souplesse. Repliant son index, il lintroduisait ensuite dans la rosette joignait ses doigts pour palper la fine paroi séparant les deux orifices. La jeune femme, ravie, râlait de plaisir et ruait violemment pour accen la pénétration de ses deux puits damour.
Devant ses supplications de la prendre, il arrêta ses jeux de doigts et dégagea son membre raide de lemprise la main féminine. Il se coucha sur elle et pénétra son sexe dune seule poussée, jusquà ce que leurs bassins sentrechoquent. Elle poussa un long gémissement sous la pénétration si longtemps attendue.
Il simmobilisa un court instant pour profiter de létreinte des muqueuses intimes sur sa verge emprisonnée. Comme à chaque fois, cétait le meilleur moment, surtout la première fois avec une femme inconnue. Il décida alors de la surprendre. Se retirant presque complètement, il ne laissa que le bout de son gland entre les chaudes parois humides et lembrocha à nouveau dun coup sec et brutal, bien à fond, jusquà buter contre le col de sa matrice. Sous leffet de la surprise et du plaisir dêtre défoncée par un tel engin vibrant dexcitation, Carole poussa un hurlement qui dut sentendre dans tout létage. Son amant commença alors ses puissants va et vient, la baisant profondément, de toute sa longueur, frottant la collerette de son gros gland contre les fragiles remparts de sa grotte trempée, quelle serrait comme un étau pour mieux le sentir. Le prépuce comprimé sétait entièrement retiré et le plaisir nen était que plus fort pour le mâle sabreur. Variant le rythme et alternant la profondeur de ses pénétrations, il la fit jouir une première fois sans se donner la peine de ralentir ses coups de bélier. Elle repartit aussitôt dans une montée chromatique vers lorgasme, accompagnée de râles puissants au gré des irruptions du mandrin qui la défonçait. Elle jouit encore sans quil la laisse souffler davantage. Au contraire, il augmenta lamplitude de ses coups de reins pour maintenir la pression sexuelle dans le sexe de cette femelle en chaleur.
Voyant quelle réagissait bien, il passa à létape suivante. Dun seul mouvement, il la retourna à quatre pattes sur le lit et réinvestit aussitôt son vagin en levrette. Un bref instant déçu par son retrait éclair, Carole rugit sous le violent retour du membre, tandis que ses fesses claquaient contre le ventre de son partenaire. Elle mordait loreiller à pleines dents pour ne pas hurler sa jouissance. Tout à coup, il ralentit son mouvement perforateur pour regarder son épieu entrer et sortir du conduit ardent quil investissait avec une régularité de métronome. Il pénétrait la jeune femme bien à fond, puis se retirait jusquà entrevoir le pourtour de son gland en feu. La fine muqueuse entourant lorifice quil défonçait puissamment accompagnait ses mouvements, faisant un petit manchon clair qui sétirait autour de la verge qui sortait et disparaissait à nouveau dans le vagin en folie lorsquil senfonçait derechef. Cest comme cela quil la fit jouir une troisième fois.
Comme elle continuait ses mouvements de bassin pour lui signifier de continuer, il comprit quelle lui donnait le feu vert. Poursuivant son mouvement de piston, il se lécha brièvement le majeur droit pour lhumecter, lappuya un court instant sur lanus froncé et ly fit pénétrer bien à fond. La salive était inutile, la fille mouillait du cul autant que dailleurs. Son doigt éprouva un instant lintérieur du sphincter et se retira pour laisser la place.
Sentant venu linstant de la pénétration ultime, celle quelle préférait, la femme simmobilisa, enfouissant sa tête dans loreiller pour mieux faire saillir sa croupe, pour mieux écarter ses fesses rondes, pour mieux exposer le petit trou secret quelles abritaient et que le dard sodomisateur allait défoncer. Elle recula pour mieux se faire enculer. Elle lui tendit sa rosette frémissante dimpatience, regrettant presque quil lait explorée dun doigt précurseur, tant elle aurait voulu sentir directement sa queue épaisse dilater sans préambule son sphincter, avant de lui perforer le rectum et de venir senfouir dans ses profondeurs intestinales. Prosternée dans une attitude de chienne soumise elle tremblait danticipation, attendant le membre brûlant qui se préparait à la combler complètement.
Le mâle se retira en douceur, pour pointer aussitôt sa colonne de chair excitée à lentrée du cul avide. Son gland violacé couvrit complètement le petit trou fripé qui semblait bien trop serré pour laisser passer une masse aussi imposante. Sans sémouvoir, il vérifia quil était bien dans laxe et poussa un peu. Le délicat orifice frémit légèrement en réponse. Il savoura le contact un instant, puis pénétra puissamment le derrière féminin exposé. Au début, rien ne se passa, tant la femme était étroite. Le manche fléchit un peu sous la pression de plus en plus forte, puis lanus commença à éclore autour du bélier qui lenfonçait. Petit à petit, le sphincter cédait sous lattaque, la rosette souvrait autour du membre qui poussait davantage, le muscle se distendait pour laisser passer la verge massive.
Lhomme regardait son sexe se frayer un chemin dans les entrailles quil convoitait. Lanus était maintenant étiré au maximum autour de ce calibre peu commun. Lanneau de peau blême du petit trou glissait lentement sur la peau carmin du gland en pleine érection. Soudain, sous une poussée plus forte, la verge pénétra dun coup et Hervé se trouva avec la queue délicieusement enserrée par le sphincter anal qui lui pressait le dard juste en dessous du rebord du gland. La sensation fut si forte quil faillit éjaculer immédiatement. Il se retint de justesse, çaurait été dommage den finir si vite. Il marqua un temps pour savourer létreinte nerveuse quexerçait létroit conduit sur la tête de son sexe.
Maintenant bien emmanchée, Carole prit son temps pour apprécier la sensation décartèlement que lui procurait la première phase de cette sodomie quelle devinait devoir être longue et complète. Elle remua imperceptiblement sa croupe autour du pivot qui lenfilait pour faire comprendre quelle était prête pour la suite. Elle sentit la pression saccroître alors que le membre reprenait sa progression. Ayant passé le sphincter externe, celui de lanus, la tige senfonçait en force dans son rectum, avançant par petites secousses en direction de lautre muscle circulaire, le sphincter interne qui représentait une autre barrière délicieuse à franchir.
Cétait le meilleur de la sodomie, cette pénétration par à-coups, ces obstacles successifs qui cédaient les uns après les autres devant limpérieuse poussée de la verge roide, déclenchant à chaque fois un aveuglant éclair de jouissance. Lorsque le gland prenait appui sur la résistance à vaincre, commençait la délicieuse expectative, passera ? Passera-pas ? Puis les muscles cédaient et cétait le flash, la ruée soudaine du bélier vers lavant, vers la porte suivante de ce château fort sans limite, dont la profondeur de la conquête nétait limitée que par la puissance de larme de lassaillant.
Pour expliquer cet effet de bonds successifs du membre dans ses entrailles, Carole savait bien quon ne mouillait pas de la même façon derrière et devant, que la surface des muqueuses était dun grain différent. Ce qui provoquait ces retenues progressives et ces percées soudaines, génératrices de mini orgasmes à répétition. Décidemment cétait bien ça quelle préférait : se faire défoncer lanneau par une barre chaude et musclée.
Derrière elle, lhomme maintenait sa pression, luttant contre la montée du sperme, quil sentait proche. Il appréciait la sensation exquise de son sexe simmisçant peu à peu entre les muqueuses brûlantes de la femme consentante. Tandis quil investissait le cul étroit de sa maîtresse, il sétonnait quune fille dapparence aussi frêle puisse laccueillir sans encombre par ce petit trou serré. En même temps, il devinait quelle était une habituée des plaisirs postérieurs et sémerveillait quelle soit restée si étroite, on aurait juré que cétait la première fois quelle se faisait ramoner par derrière.
Il jouissait des brèves ruées en avant de son mandrin et des sensations transmises par le frottement. Enfin, il sentit que son gland butait contre le sphincter du fond du rectum. La vicieuse était bien empalée. Il tâtonna du gland pour sassurer quil était toujours bien dans laxe et, sans sarrêter, poursuivit sa pénétration. Dun violent coup de reins, il défonça le muscle qui résistait et passa dans le boyau culier proprement dit, encore plus chaud que le conduit précédent. Un regain de jouissance éclata derrière ses paupières, alors que la sodomisée éclatait dun long râle quelle ne pouvait plus arrêter.
Cétait trop fort, il allait la faire mourir, exploser de plaisir autour de cet épieu qui la défonçait au plus profond. Il avait franchi toutes ses barrières et continuait à senfoncer, repoussant les valvules de son intestin en feu, déclenchant à chaque fois un nouvel orgasme. Elle hurlait maintenant sans discontinuer, extériorisant ses sensations inouïes à pleins poumons, des poumons quelle finissait par croire quil allait transpercer en sengageant si loin dans ses entrailles. Il commença alors ses va et vient, sur quelques centimètres seulement, pour bien profiter de la chaleur autour de son vit et du serrage musclé de ce cul accueillant. La femme émettait un feulement continu rythmé par les coups de bélier qui lui astiquaient le conduit. Quand le foutre jaillit de ses couilles contractées, il donna une dernière poussée et gicla en elle.
Carole se sentit partir et le cri sétrangla dans sa gorge, tandis quelle perdait presque connaissance sous leffet du lavement de sperme brûlant. Son pourfendeur, enfoncé dans ses fesses de toute sa longueur, éjaculait par jets saccadés dans son fondement, augmentant encore sa jouissance.
Épuisés, ils sabattirent lun sur lautre, sans se séparer. Elle toujours consciente de cette présence dans son cul, de son rectum dilaté qui palpitait encore de la ramonée quelle venait de prendre dans lanus. Lui douillettement enserré par ce chaud boyau quelle contractait spasmodiquement pour le branler encore un peu, traire ses dernières gouttes de sperme et remercier son enculeur génial.
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