Les Fantasmes De Sandrine 16

• 16 – LES CADEAUX
Les fêtes de Noël ont eu lieu. Nous les avons passées en famille, Alex, les s et moi. Pour nos acolytes, JP a passé Noël avec sa vieille mère et Morgane en Irlande. Mais nous avons décidé de passer le réveillon du jour de l'an ensembles. JP et Alex ont trouvé une soirée, à leurs dires, mémorable ! Nous devons être prêts du jour du réveillon, vers 14 heures. Morgane et moi, nous préparons nos bagages. JP et Alex gèrent le véhicule, le trajet et toute la partie technique… Il est 14 heures lorsque nous montons dans le Porsche Cayenne de JP. Le trajet est calme, serein et plaisant. Vers 17 heures, JP quitte l'autoroute. Quelques kilomètres dans une région de vignobles et une très belle allée s'offre sur notre droite. Le bruit caractéristique du clignotant nous informe que nous sommes presque arrivés. Au bout de l'allée, un grand portail bloque la progression. JP klaxonne. Un homme, vêtu de noir sort par une petite porte et s'approche. JP lui tend un bristol. L'homme le lit, puis repart. Le portail s'ouvre. Alors, une magnifique maison bourgeoise s'offre à notre vue. L'homme en noir guide JP. Il se gare face à une aile du bâtiment. Nous descendons. Il y a une bonne dizaine d'appartements alignés devant lesquels sont rangées des Mercedes, Jaguars, BMW et autres voitures de luxe… L'homme prend nos bagages et avance vers une porte. Il l'ouvre. Nous entrons dans une grande salle de vie. Une cuisine américaine garde le fond de la pièce. Un escalier est installé dans le fond de la pièce. L'homme monte. Nous le suivons. Deux chambres magnifiquement décorées, l'une en mauve, l'autre en vert, nous accueillent. Je choisis la mauve. Nous nous installons tranquillement. JP nous invite à rendre visite à notre hôte vers 21 h 00. Toutes les deux, nous faisons couler de l'eau dans nos baignoires respectives. Pendant ce temps-là, je déballe mes vêtements, prépare ma tenue pour cette soirée. La salle de bains est très bien équipée.

Les sels de bains et des huiles essentielles relaxantes sont présentes. Je plonge dans l'eau chaude et parfumée. Je mijote pendant une bonne heure. C'est JP qui me secoue un peu :
• Réveille-toi un peu, nous allons être en retard !
J'enfile un grand peignoir blanc. Dans la chambre, JP est déjà prêt. Je retire le vêtement blanc. Je suis entièrement nue et JP ne peux se retenir de venir me peloter, de découvrir mes rondeurs de ses mains baladeuses. Je le tance :
• Laisse-moi, je vais être en retard de ta faute !
Je m'équipe bien entendu en tenue de soumise : serre-taille de cuir noir, bas, collier, laisse… Vite, un tour dans la salle d'eau pour me maquiller discrètement, je reviens et passe mes escarpins vernis noirs hauts, très hauts, comme les aiment mon Maître. JP n'en crois pas ses yeux :
• Tu es merveilleuse…
Nous rejoignons Morgane et Alex. Morgane est vêtue elle-aussi en soumise. Nos maîtres nous tendent des capes noires et aussi des loups superbement décorés. Le mien est noir, en accord avec mes vêtements, celui de Morgane, vert. Nous couvrons nos épaules de nos capes. Elles dissimulent nos tenues. Nous sortons et à travers le parc. Le froid se glisse insidieusement sous ma cape et me gèle les fesses. Nous cheminons vers l'escalier à double volute de l’hôtel particulier en belle pierre de taille. La porte en bois patinée par les ans s'ouvre comme par enchantement. A croire qu'une personne nous guette derrière la vitre ! Un homme austère vêtu d'un smoking à queue de pie nous accueille :
• Bonjour mesdames, messieurs... Vous êtes attendus. Merci de bien vouloir patienter dans le petit salon… Mesdames, puis-je vous débarrasser de vos manteaux ?
Nous lui tendons nos capes, non sans une certaine appréhension. Nous patientons dans le hall, en tenue de soumise alors que nos maîtres sont en smoking. Une forte curiosité me traverse. Anxieuse, je comprends le trac des acteurs qui vont entrer en scène. L'homme revient et nous invite à le suivre.
Nous traversons un petit couloir et nous débouchons dans une très grande salle éclairée par de grands lustres vénitiens. Notre guide nous annonce :
• Maître JP et sa soumise, Sandrine…
• Maître Alex et sa soumise, Morgane…
Nous ne sommes pas les premiers. Il y a une bonne vingtaine de personnes. La pièce des hommes en smokings foncés et des femmes en tenue de soumise. De gros canapés et d’épais tapis complètent le décor de cette salle. Sur les côtés, des tables débordent de victuailles et de bouteilles de champagne. Derrière cet étalage, des jeunes femmes, uniquement habillées de guêpières, de bas et de talons hauts assurent le service. Elles s'empressent auprès des invités pour qu'ils ne manquent pas de boisson. Tout le monde est masqué. Le maitre de cérémonie arrive. C'est un bel homme. Il nous souhaite la bienvenue et nous invite à commencer les agapes. La fête est déjà commencée. Mais c'est loin d'être la fête guindée et classique à laquelle nous nous attendions. En fait c'est l'inverse : une musique très jazzy baigne la salle. L'assemblée se déride et doucement, la fête prend tournure.la musique change et nous nous retrouvons plus dans une ambiance boite de nuit. L'ambiance est chaleureuse, conviviale, insouciante, tous les invités s'amusent en chœur. C'est une toute nouvelle expérience pour Morgane et moi. Nous n'avons jamais participé à de telles fêtes BDSM. Nous sommes surprises de se retrouver dans une telle ambiance. Nous commençons à danser sur la musique. Nous nous trémoussons sur des airs à la mode. Brusquement, je sursaute. Une main vient de se poser sur mes fesses et me les caresse sans vergogne. Mon Maître sourit devant ma mimique et se penche vers moi :
• Tu n'es pas surprise, j'espère ?
D'un hochement de tête, je lui réponds :
• Quand même, je ne m'attendais pas à cette entrée en matière…
Ce à quoi, JP me répond :
• Ce n'est que le début !
• Comment cela ?
• N'oublie pas que c'est une soirée BDSM… ma ravissante petite salope !!!
La main continue d'explorer ma croupe.
Je jette un coup d'œil à Morgane. Un homme derrière elle, lui empaume les seins et lui triture les tétons. Les mains noires se détachent des seins blancs de Morgane. Sur mon corps, la main passe entre mes cuisses à la recherche de mon sexe. L'homme est tout contre moi et me chuchote à l'oreille :
• Alors soumise Sandrine, voyons voir si ta réputation de salope et de soumise est fondée !!!
La honte me monte aux joues. Heureusement le loup dissimule mon visage. Mais, pour moi, l’effet des mots crus est très stimulant, décuple mon envie de jouir et de plaisir. Ils déclenchent en moi l'envie d'aller plus loin, dans mon moi intérieur, à la recherche d’orgasmes plus violents, plus dévastateurs, plus cérébraux, mais aussi plus humiliants. La honte et l'humiliation me permet de lâcher prise, de me laisser aller. Ainsi seulement, j'arrive au point de non-retour et mon plaisir m'envahit, me submerge, me terrasse. Je laisse fouiller mon sexe par cet inconnu. Je me sens effrontée, salope, cochonne. Je lis dans le regard, la fierté de mon Maître, de m'avoir comme soumise. Je sais que je peux prendre mon plaisir, qu'il soit malsain ou sale, mais je sais qu'il sera aussi délicieux. Toute à mon plaisir, je découvre une personne qui danse à nos côtés. C'est une jeune femme, et vu sa tenue, elle est aussi soumise. Mais ce qui me surprend le plus, c'est la taille de sa poitrine : énorme, imposante vu la taille de son buste. Elle suit mon regard et comprend mon interrogation. Sans aucune gêne, elle répond à ma question silencieuse : quelle taille fait-elle ?
• 95 bonnets E !
Et en plus elle se tient droite ! C'est l'homme derrière moi qui me fait retomber sur terre. Il s'adresse à JP :
• Alors JP, tu as vu les nichons de ma soumise ? Superbes, non ?
• En effet, ils sont superbes !
• Tu peux les toucher, elle adore cela ! Depuis que je lui ai fait poser des piercings, je les trouve plus excitants ! Maria aime qu'on les maltraite ! Vas-y, n'ai pas peur !
C'est alors que je vois la main de mon Maître s'emparer d'un téton percé d'une barrette et le tordre, une fois à gauche, une fois à droite ! Maria ne peut retenir une grimace qui image la douleur qu'elle ressent.
Mais elle remercie aussitôt JP :
• Merci Maitre JP !
Je suis totalement sidérée. Je cherche une aide vers Morgane et Alex. Une sculpturale jeune black se trémousse au son de la musique. Elle aussi est une soumise. Sa tenue blanche tranche avec sa peau noire et soyeuse. Mais les doigts qui me tripotent commencent sérieusement à émouvoir mon corps. Les deux doigts emprisonnent ma vulve et la massent doucement, sensuellement. Les conséquences ne tardent pas à se faire sentir. Mon sexe s'inonde et je coule. Mon tourmenteur s'en rend compte et commente l'humidité de mon sexe :
• JP, ta soumise est une sacrée salope ! Elle me trempe la main !
JP sourit en me regardant et lance :
• Que veux-tu, c'est Ma soumise ! Profite, Pablo, profite !
• C'est que je vais fait JP, compte sur moi !
Et il part dans un grand rire. L'action de ses doigts ne cesse pas, bien au contraire. Le massage s'intensifie. Brusquement, le pouce rejoint ses deux amis et entre en jeu. Il appuie sur mes lèvres, les repousse et trouve enfin le chemin de mon antre humide. Il me défonce le sexe. Mes muscles vaginaux se contractent sur cette chose qui investit mon ventre. Mais j'avoue que le plaisir monte doucement au creux de mon ventre. Le pouce ne reste pas inactif. Il bouge, se trémousse, prend vie. Il s'agit vigoureusement en moi. Il effectue des allers-retours dans mon vagin. Les sensations sont de plus en plus fortes. Je n'ai plus qu’une envie, me laisser emporter par le plaisir. Subitement, je perds tout contrôle et laisse l'orgasme m'envahir. Je pense pouvoir freiner la montée du plaisir, mais je ne résiste pas longtemps. Le plaisir éclate dans mon sexe. Le pouce est malaxé par mon ventre. Je jouis. C'est Maria qui me soutient, évitant que je m'affale sur le parquet. Oui, c'est ainsi ! Je vis ma sexualité, une sexualité débridée. J'ose vivre mes fantasmes, je laisse mes pensées guider mes actes ! J'aime solliciter, crier, rire, pleurer, vibrer et jouir jusqu'à l'extrême ! Oui, découvrir l'extrême, pour profiter, pour me rassasier, satisfaire mon corps ! J'en suis arrivée là grâce à lui, mon Maître, JP. Tous les deux, nous aimons les rencontres, les aventures qui éveillent nos sens, qui nous apportent de la fantaisie pure dans nos vies. Dans ces aventures, seul le plaisir licencieux domine. Nous recherchons des activités sexuelles qui sortent de l'ordinaire. Nous aimons le BDSM. Je recolle lentement à la réalité. Une main lisse mon front, replaçant les mèches de cheveux chavirées par mon orgasme. J'ouvre les yeux. Je découvre le visage de Maria, tout proche du mien : un dessin régulier, des yeux d'un noir de jais, un nez droit et un sourire espiègle. Elle me regarde avec douceur. Son visage se rapproche du mien et insensiblement, nos lèvres se découvrent, s'effleurent. Elles sont comme je me les imaginais, sucrées et aussi exquises qu'un abricot bien mûr. Sa bouche se pose sur la mienne. Un baiser ardent et audacieux me suffoque. Je ne réfléchis plus. Je lui rends son baiser, passionnément, violemment. Nos bouches s'ouvrent, se mangent. Nos langues se durcissent, luttent et nous fouillent. Sa main se pose sur ma nuque et je m'abandonne contre elle. J'oublie tout. Pourtant, je n'ai jamais été tenté par mon propre sexe. Mais là, je succombe. Je l'embrasse avec violence. Le désir me bouscule. Aurais-je refoulé si longtemps un désir, une envie lesbienne ? Maria frissonne. J'avance mon corps et me presse instinctivement contre elle. Nos seins se pressent les uns contre les autres. Tout en embrassant, Maria glisse sa main pour caresser ma peau. Il n'en faut pas plus pour que je m'abandonne. Elle attend ça depuis le matin. Pour une novice Marie se débrouille très bien, Les mains de Maria se promènent sur ma poitrine. Je ne reste pas sans rien faire. J'empaume l'un des globes de Maria. Il est ferme. Au creux de ma main, son téton pointe. Maria frissonne au contact de mes doigts sur son flanc. De mon autre main, je saisis l'opulente chevelure noire. Maria quitte ma bouche et pose ses lèvres sur mon sein. Sa bouche happe mon téton. Mon téton s'érige. Je gémis et encourage Maria :
• Oui, continue… tu es très douée !
Notre rencontre attire les regards de l'assistance. Le torse nu, la chevelure de Maria cache ma poitrine. J'attire son autre main sur mon autre sein. Je laisse cette jeune femme me lutiner. Je n'ai pas envie de lui prodiguer des caresses trop précises. Je sens une main se poser sur mes fesses. Vu que Maria s'occupe de mes seins, cette main ne peut appartenir qu'à Pablo, son maître. Maria continue de me lécher les seins, encouragée par mon attitude. Mes seins sont pétris avec joie. L'action conjuguée de Maria et de Pablo, (enfin je suppose que c'est lui !) commence à me procurer des effets très dérangeants. Ma chatte est engluée de mes secrétions. J'écarte un peu mes cuisses pour m'apporter un peu de fraicheur intime. Maria, juchée sur ses hauts talons, se colle contre moi. La chaleur de nos corps se mêle. Nos seins s'écrasent contre nos corps. Maria m'att et me relève. Mon sexe se colle contre sa hanche. Maria glisse sa main sur ma fesse et l'écarte. La main sur mes fesses qui se contentait que d'agréables caresses, glisse entre les fesses et les doigts atteignent son sexe. Une voix que j'identifie cette de Pablo confirme ce que je sais depuis quelques minutes :
• Tu es déjà toute mouillée, petite cochonne…
Ses doigts glissent dans mes sécrétions. Je gémis en sentant un doigt pressé me pénétrer. Il me procure des caresses très douces et très agréables. Ma cyprine dégouline et inonde le doigt et la main de mon inquisiteur. Mais gluant de ma mouille, le doigt ne reste pas dans mon antre. Il revient en arrière, entre mes fesses pour atteindre mon œillet voisin. Le doigt humecte ma rondelle fripée. Je ne peux retenir un petit gémissement de plaisir. Pablo m'interroge :
• Et là, tu aimes aussi ?
• Oui…
• Ton Maître te le fait ?
• Oui, et j'aime beaucoup être prise par-là !
Pablo questionne JP :
• C'est vrai, JP, elle aime se faire enculer ?
JP se fait un plaisir de confirmer mes dires :
• Oui, Pablo, Sandrine est une gourmande du cul ! Si tu veux l'enculer, n'hésite pas !
Je suis sidérée. Pablo ne me pose pas la question à moi, pourtant la première concernée ! Mais il informe l'assistance :
• Grâce à toi, JP, je vais enfin pouvoir satisfaire mon envie… Maria refuse cette pratique !
Puis il ordonne à Maria de me mettre en position favorable.
• Maria, tiens là en avant et écarte lui les fesses !
Maria m'oblige à me pencher. Je pose ma tête sur son épaule et me cambre. J'écarte mes pieds. Les mains de Maria s'accrochent à mes globes et les tire de part et d'autre de mon corps. Des doigts plongent dans ma chatte. Mon ventre s'ouvre devant plusieurs doigts inquisiteurs. Je me cambre, m'ouvre au maximum. J'attends avec plaisir la double pénétration annoncée. Je me mords les lèvres pour ne pas crier à chaque fois que les doigts s'enfoncent dans mon ventre. Je remue mon bassin pour indiquer à mes tourmenteurs combien je suis prête à tout. Soudain, une sensation entre mes fesses m'annonce l'arrivée imminente d'un sexe. Un bout se posa sur mon ventre. J'accentue ma cambrure. Je relève la tête. JP est là et ce sont ses doigts qui ont investi ma chatte. Nos regards se croisent. Son regard me conforte dans ma décision de me laisser faire, de me donner en pâture à ce couple pervers :
• Tu es belle… Relève la tête, sois fière de tes envies…
La chose rigide glisse dans la raie de mes fesses. Il frotte de toute sa longueur contre mon œillet. Puis il revient se caler entre les grandes lèvres de mon sexe. Il prend une bonne dose de mouille. Ce contact me procure un spasme de plaisir. Un ventre plat et musclé se colle contre mes fesses. Des mains s'accrochent à mes hanches. A mon oreille, une voix me chuchote :
• J'ai très envie de te baiser et de t'enculer !
Le désir fait onduler mon bassin, mimant un coït. Ma respiration est saccadée. Mon corps attend les prochaines caresses précises. Je suis prête, j'ai envie. Je m'abandonne aux désirs de ce couple. Je dis à Pablo mes désirs :
• Moi aussi, j'ai envie que tu me baises, que tu m'encules !
Je sens le bout du sexe de Pablo se poser contre ma chatte, et lentement, le sexe me pénètre. Pablo me chuchote encore à l'oreille :
• J'aime prendre les femmes, les faire jouir… J'aime aussi les enculer ! Tu vas voir, je sais que tu vas aimer, toi aussi !
Les mains sur mes hanches et me tirent en arrière pour que je m'empale sur la matraque. Le sexe cogne au fond de son vagin. La pénétration dure longtemps. Seules, ma respiration haletante, mes soupirs et les "han" de bucherons de Pablo cassent le silence. Si je baisse la tête, Maria me la relève en tirant sur mes cheveux. Les mains sur mes hanches me forcent à me cambrer au maximum. Doucement, le sexe quitte mon ventre. Il remonte entre mes fesses. Le gland gluant et glissant s'appuie sur mon autre entrée. Je préviens Pablo :
• Doucement par-là ! J'aime bien, mais il faut y aller progressivement !
Pablo ricane et me demande :
• Tu es douillette ? JP, ta soumise est douillette ? Elle a peur que je lui casse le cabinet ?
JP lui répond du tac au tac :
• Sandrine aime se faire plaindre ! N'aie aucune crainte, son cul a déjà pris plus gros que toi, sans vouloir t'offenser !
Pablo rit et me prévient :
• Prépare ton cul, Sandrine, écarte ton petit trou du cul !
Je ne fais aucun mouvement, ne tente pas, pour autant, d'échapper à ce qui allait arriver. Sans ménagement, la vergue raide de Pablo frappe à l'orée de mes entrailles. Pablo prend en compte ma demande et pousse doucement. Le gland se fraye un chemin dans mes reins. Il s'applique, inondant de liquide lubrifiant ma petite rondelle. Il dilate au maximum, mon œillet, victime consentante. Je ne cherche à pas résister. Je me donne totalement. Je pousse sur mon anus pour laisser ma rondelle céder lentement. Oups ! Le Pablo est bien monté ! Moins que mon Maître ! La poussée devient plus forte. Et progressivement, mon cul cède et laisse le passage libre pour le sexe de Pablo. Il ne résiste pas au plaisir de faire savoir à l'assistance sa victoire :
• Mes amis, je vous annonce que le cul de Sandrine vient de céder sous la pression de ma queue ! Je vais pouvoir maintenant me vider dans ses entrailles !
Des applaudissements retentissent dans la salle accompagnés de félicitations. Les doigts de mon Maître continuent leur sarabande dans mon sexe. Maria m'oblige à me pencher encore plus. J'enroule mes bras autour de sa taille. Pablo doit avoir une vue imprenable sur mon cul dévasté et la pénétration de son sexe en moi. Doucement Pablo commence à bouger. Je gémis de bonheur. J'aime sentir une queue me limer le cul. Ma chatte dégouline de plaisir. Elle s'ouvre largement. Trois doigts glissent en moi. Ils disparaissent totalement. Un quatrième vient rejoindre les autres. L’humidité qui règne dans mon sexe facilite l’exploration de ses doigts. Ils glissent facilement dans ma chatte. Je suis trempée et les doigts de mon Maître vont et viennent librement. Mon sexe comme mon cul sont dilatés. Les doigts de mon Maître me fouillent un grand moment, me faisant accepter le mandrin qui me défonce le cul. Le plaisir commence à sourdre au tréfonds de mon ventre. Le mandrin continue sa sarabande, me pilonne l'anus. Soudain, les doigts de mon Maître quittent mon antre chaud et humide. Mon sexe libéré, reste béant, élargi de cette visite profonde et complète. Les doigts se présentent à ma bouche et l'ordre fuse :
• Lèche maintenant.
J'avale les doigts et les déguste les uns après les autres. Je recueille de ma langue, les sécrétions gluantes de ma grotte. J'aime mon odeur de chienne en chaleur et le goût de ma cyprine, épaisse et grasse. Les mains de Maria ont rejoint celles de Pablo. Elles écartent mes fesses, les pouces distendant ma rondelle, pour faciliter le passage du mandrin de son maître. Le rythme de Pablo est de plus en plus rapide. Je sens mon sexe prendre un volume certain, annonciateur de son éjaculation proche. Maria, d'une voix rauque, demande à son maître :
• Je veux que tu gicles dans son cul ! Allez lâche-toi, mon maître ! Vide-toi en elle !
Cette invective verbale me libère moralement. Je commence à gémir de plus en plus fort. Pablo accentue ses coups de son excitation finale. Il cogne au fond de mes entrailles et une douleur nait, vive et excitante. Continuant ses va et vient, il génère en moi une onde de plaisir. Je jouis. Puis, il pousse une dernière fois à fond en moi. Il me soulève du sol, ses mains accrochées à mes hanches. Je crie un coup sous la douleur et le plaisir que Pablo vient de me procurer. Il éjacule avec des soubresauts. Pablo est rassasié de plaisir. Il vient de me donner un orgasme violent et brutal. Pablo s'appuie sur mon dos pour récupérer. Puis son sexe quitte mon anus dilaté. Je m'accroche à la taille de Maria. Nous soufflons un peu pour nous remettre de l’étreinte que nous venons d'accomplir. Pablo me claque la fesse et me dit :
• Merci Sandrine ! Tu es une belle enculée !
Je me dois de lui répondre :
• C'est moi qui vous remercie, Pablo ! J'ai beaucoup aimé de quelle manière vous m'avez enculée ! Mon anus se souviendra de votre queue ! Mon Maître sait que j'adore la sodomie !
C'est Maria qui râle pour le fun :
• Eh vous deux, ce n'est qu'une expérience, pas un abonnement que vous prenez !
Et toute l'assistance rit de ces bons mots !
Pablo me prend la main et m'amène dans le hall puis par une porte dans une salle d'eau. Nous nous douchons, comme de vrais amis. A notre retour, l'ambiance est toujours aussi chaude. Morgane et Alex sont avec un jeune couple de noirs. Elle est agenouillée face à ce grand black et lui administre une fellation d'enfer, pendant qu'Alex baise la grande noire debout contre le mur. Je rejoins mon Maître qui me prend dans ses bras et me donne un baiser d'amour. La musique nous berce gentiment. Soudain à nos côtés, Morgane et Alex sont là. Nous sourions de nos aventures respectives.
Le maitre de maison et de cérémonie, prend la parole. Il demande le silence. Et soudain, il commence le décompte.
• 10, 9, 8, …3, 2, 1, Minuit ! Vive la nouvelle année !
Mon Maître JP me prend dans ses bras. Il m'embrasse fougueusement. Je lui rends son baiser. A nos côtés, Morgane et Alex font de même. Puis nous échangeons nos vœux avec nos amis. Mais le maître de cérémonie annonce une nouvelle activité !
• Mes chers amis et amies, nous venons de quitter une année. Certains d'entre vous, n'ont pas pu fêter Noël ensembles. Aussi, ce soir nous allons réparer cette journée. Je vais donc appeler certaines personnes sur cette estrade pour qu'ils puissent recevoir leurs cadeaux.
JP est passé derrière moi. Il me tient dans ses bras. Nous sommes emboités l'un dans l'autre et je sens son sexe se développer contre mes reins. Le Maitre de cérémonie commence la liste des heureux élus :
• Pierre, Jeanne, Morgane, Aline et Isabelle…
J'avoue être un peu déçue. Mon Maître n'a pas envisagé de m'offrir un présent… ce n'est pas grave, car le plus beaux des présents, c'est lui ! Les nominés montent sur l'estrade et disparaissent derrière le rideau. Que peut-il se passer derrière celui-ci ? Le rideau s'ouvre. Nous découvrons une table, un peu médicale, en inox, qui ressemble à une table de gynécologue. Les femmes savent de quoi je parle. Le premier appelé est Pierre. Le maître de cérémonie annonce :
• Pierre, ta maitresse, Sylvie souhaite te faire un joli cadeau ! Elle t'offre un Prince Albert !
Des rumeurs naissent dans l'assistance. Je chuchote à l'oreille de mon Maître :
• C'est quoi, un Prince Albert ?
JP sourit :
• C'est un piercing. Le Prince Albert est placé au bout du pénis. Il rentre dans l'urètre et ressort à côté du frein sous le gland. On y place en général un anneau, mais on peut également poser un circulaire. D'après la légende, ce piercing viendrait du mari de la reine Victoria. Le Prince Albert portait un anneau sur le bout du gland afin de maintenir son pénis de côté, attaché à la cuisse par un crochet cousu dans le pantalon, ceci car la mode de l'époque était aux pantalons extrêmement moulants avec une redingote ouverte.
Je suis horrifiée :
• Ce doit être douloureux !
JP me rassure :
• Pas trop à ce que l'on dit !
Pierre avance et baisse son string. Un homme arrive. On dirait un homme de Cro-Magnon ! Enorme et poilu, velu je devrais dire !!! L'homme saisit la verge molle, la nettoie avec un spray. Muni d'une pince, il introduit l'un des becs dans l'urètre et serre violemment. Pierre ne retient pas un cri. Aussitôt, l'homme lui insère un anneau. Puis il le prévient :
• Nettoyage régulier, antiseptique et dans 6 à 8 semaines, on ne parlera plus !
Le maitre de cérémonie demande à Pierre son avis :
• Alors comment trouves-tu le cadeau de ta maîtresse ?
Pierre est un peu sonné. Il répond quelques secondes plus tard :
• Ce cadeau est somptueux. Je remercie ma maîtresse de m'offrir ce piercing !
• Bien, tu peux la rejoindre !
Pierre descend de l'estrade en tenant son sexe pour éviter qu'il touche ses cuisses. Il se met à genoux devant sa maitresse et lui baisse les pieds. Décidément, cette attitude d'homme soumis ne m'a jamais plu et ne me plaira jamais ! Le maitre des lieux appelle Jeanne. Une jeune femme arrive. Longiligne, elle n'a aucune forme : pas de seins, enfin des œufs sur le plat, pas de fesses des cuisses de mouches ! Vous voyez le genre. L'organisateur annonce :
• Jeanne, ton maitre souhaite t'offrir un présent ! Un piercing à la langue !
JP se penche vers moi et me dit :
• En Amérique du sud, la perforation de la langue était populaire dans l'élite des civilisations aztèque et maya, bien qu'elle ait été effectuée en tant qu'élément rituel, donc non permanent, supposé permettre d'entrer en contact avec les dieux. Ils portaient alors des barres en or. Ces civilisations précolombiennes portaient des bijoux aux oreilles, au nez et à la lèvre inférieure. De tels ornements continuent d'être populaires parmi les peuples du sud de l'Amérique. Porter un piercing à la langue est aujourd'hui chose courante, spécialement chez les femmes qui ne sont pas sans ignorer ses vertus excitantes et le petit plus qu'un tel bijou peut apporter à une sexualité épanouie. Soi-disant que c'est très agréable d'avoir une fellation avec cela !
Je me tourne vers lui :
• Tu voudrais que j'en porte un ?
• Pourquoi pas ?
Je regarde de nouveau la scène et je rougis comme une tomate. Il faut bien que je me fasse à l'idée de porter un tel "bijou", pour le plaisir de mon Maître lorsque je le suce ! Jeanne tend une langue blanchâtre. L'homme de Cro-Magnon s'en saisit entre le pouce et l'index. Il tire sur cet organe. Il n'est pas des plus doux et une nouvelle pince en main, crac!, le trou est fait et le piercing posé ! Jeanne n'a pas eu le temps de se rendre compte de l'efficacité du perceur. Elle grimace un peu. L'organisateur l'envoie rejoindre son maitre. Aussitôt il la fait s'agenouiller et il sort son sexe. Jeanne ouvre grand la bouche. Saisie par sa chevelure, il force sa bouche et lui impose une fellation, enfin plutôt une pipe. Une fellation est un acte amoureux, pas une pipe ! Normalement c'est au tour de Morgane ! Quel est le cadeau d'Alex à Morgane ? Pourtant c'est Aline qui est appelée. C'est une jolie rousse avec une longue chevelure qui monte sur l'estrade. Elle ne porte que des bas et des talons démesurés. Elle s'avance et l'organisateur lui annonce :
• Le cadeau de ton maitre est un piercing de nez, un septum !
Quelle ignare je suis ! C'est quoi ça ? JP, sans que je ne lui demande quoi que ce soit, m'informe :
• Un piercing au septum est un piercing réalisé au niveau de l’espace entre le cartilage et le bas du nez.  A cet endroit du visage, la douleur est très douloureuse au moment du perçage. Il n’est pas très courant et reste très original. Certaines personnes peuvent être choquées par ce piercing original, qui traduit souvent un affranchissement du paraître ou même une soumission ouvertement affichée.
Je vois et n'aime pas du tout !
• Ce n'est pas très beau !
JP me chambre un peu :
• Pourtant c'est ainsi que l'on peut afficher ostensiblement sa soumission et son attachement à son maître…
Je lance mon coude en arrière, gentiment dans les cotes avec ce commentaire :
• Même pas en rêve !
Aline est avancée. Un homme lui prend les bras et les lui retourne dans le dos. Une sangle vient les lui attacher. Puis il passe ses bras sous les aisselles d'Aline et fait un signe de tête au perceur. Ce dernier relève le menton de la jeune femme. Une nouvelle pince est introduite dans les narines d'Aline. Le bruit caractéristique du perforateur retentit, accompagné d'un cri déchirant. Aline perd connaissance tellement la douleur est vive. Heureusement que l'homme derrière elle la soutient. Le piercing est posé. Son maitre monte sur la scène. Il sort de la poche de son costume noir, un martinet. Il siffle dans l'air à quatre ou cinq reprises. Aline sort de sa torpeur. Son maitre lui parle :
• Debout, chienne ! Tu me fais honte ! Tu es incapable de résister à une petite douleur de rien du tout !
Aline pleure à chaudes larmes. Elle redescend dans l'assistance, sous les quolibets et les injures humiliantes de son compagnon. J'ai pitié pour elle. JP se penche vers moi et je lui dis :
• Le salaud, je voudrais bien le voir se faire percer le nez comme Aline ! Je suis sûr qu'il tomberait dans les pommes !
JP me dit :
• Tu vois, la chance que tu as d'avoir un maitre comme moi !
• Vantard !
Il me couvre le cou de baisers qui me procurent une vague de frissons très excitants. A qui, le tour ? Morgane ou Isabelle ? C'est cette dernière qui est l'élue du moment. Son maitre lui a prévu un piercing labret… J'ignore ce que c'est. JP me renseigne :
• Le piercing labret se fait sous la lèvre inférieure, centré. Le terme labret correspond donc à l'emplacement du piercing, mais il peut aussi représenter le bijou en lui-même, c'est-à-dire une tige assez courte avec une extrémité plate (disque) et de l'autre une boule ou tout autre embout. Cela dit, au lieu d'avoir un labret à cet emplacement on peut choisir d'y mettre un anneau ou un autre type de piercing.
• Je n'aime pas !
Isabelle est aussitôt mise en position. La lèvre inférieure est tirée et aussi rapidement que pour le piercing septum, Isabelle se retrouve avec une tige qui lui perce la lèvre et elle arbore une petite boule noire sous sa bouche. Elle n'a rien dit : soit ce n'est pas douloureux, soit elle est très résistante à la douleur ! Enfin, c'est au tour de Morgane ! J'attends avec impatience, le piercing que va lui imposer Alex.
• Morgane est notre dernière récompensée. Alex lui offre un piercing… Qu'aimerais-tu avoir comme piercing pour faire plaisir à ton maitre ?
• Peut m'importe, pourvu qu'il plaise à mon maitre !
Morgane fanfaronne. Je le sens. Sa voix est un peu chevrotante.
• Le piercing que ton maitre t'offre est un piercing des tétons !
Morgane blêmit. Aussitôt, le perceur est près d'elle. Ses bras sont, elle aussi, attachés dans son dos. Une sangle passe sous ses aisselles pour lui maintenir les épaules en arrière. Un rayon rouge traverse la salle et balaie régulièrement les tétons de Morgane. L'homme s'en empare et les étire rudement. Il commente :
• Belle paire de seins, ronds, pointus et surtout des tétons proéminents à souhait !
Il ne cesse de tripoter les seins et les tétons de Morgane. Avec un feutre fin, il marque les passages du rayon lumineux. Ensuite, il la libère de ses entraves. Puis il couche Morgane sur la table en inox. Elle est aussitôt attachée par son aide. Elle est immobilisée, les épaules maintenues à la table, la taille sanglée. Elle ne peut pas bouger. L'homme se penche sur elle. Un écran de télévision nous renvoie l'image de Morgane. Elle ferme les yeux. Les doigts saisissent le premier téton, le désinfecte et la pince mord la tétine tendre est rose du sein de Morgane. La pince froide lui annonce la douleur imminente. Elle serre les lèvres. Le claquement du perforateur résonne dans le silence de l'assistance. Des larmes perlent aux coins des yeux de Morgane. Mais cette dernière n'a pas le temps de s'apitoyer sur son sort que son deuxième téton est déjà attrapé, pétri, malaxé, étiré. Le perforateur mord une deuxième fois. Morgane pleure maintenant vraiment. De petites gouttes de sang pointent au coin des tétons, vite essuyées par une compresse. Morgane est libérée et remise debout. Elle se cambre et arrière et offre ses seins ornés de petites barrettes à la vue de l'assistance et elle prend la parole :
• Merci mon Maître de ce cadeau magnifique… Je suis fière de porter ta marque, la preuve que je suis ta soumise… Merci encore mon maître Alex…
Mais cette petite peste va me faire pleurer si elle continue. Je suis heureuse pour elle. Elle redescend et nous rejoint. J'admire sans oser toucher les piercings. Je demande à mon Maître :
• Et moi, je n'ai pas droit à un cadeau ! Je ne suis pas assez soumise à mon Maître ?
• Tu aimerais, toi aussi être percée ? Arborer un piercing qui prouverait ta soumission et ton attachement à ton Maître adoré à toute personne qui pourrait le découvrir ? Il faudrait qu'il soit visible aux yeux de tous ?
Aie ! Cela demande réflexion… Dans quelle galère je viens de me fourrer ! Me faire poser des piercings, que je suis conne de demander cela à mon Maître alors qu'il ne me l'a jamais demandé ! Il est folle, ma fille, complètement folle ! C’est vrai que c’est joli, mais je n’ai jamais pensé faire cela sur moi. Il est vrai que quand on a de beaux seins ronds et fermes comme les miens, il est tentant de les mettre encore plus en valeur, si cela est possible ! Mais pourquoi pas ! Après tout, je suis la soumise de mon Maître. J'en suis fière et le revendique. Bon je me décide donc de me jeter à l'eau. La seule chose qui m’angoisse un peu, c’est la douleur. Mais après tout, j'aime avoir mal, alors cela risque bien d'être du plaisir à venir. Alors je me lance :
• Oui Maître, je le veux, enfin si le fait que je sois percée vous plaise !
• Nous verrons cela plus tard, Sandrine !
Nous poursuivons notre lunch tranquillement. Le buffet est d'une qualité rare et les mets servis sont excellents. Le champagne coule à flots. Le maître de cérémonie joue le rôle de monsieur Loyale et anime la soirée : jeux divers et variés, entrecoupés de séances de danse… Et puis, vers deux heures du matin, il annonce à l'assemblée :
• Mes amis, il nous reste une dernière surprise pour cette nuit. Nous allons entamer cette nouvelle année par une éducation assez rare. Une soumise de l'assistance va découvrir le cadeau de son maître. Elle ne sait pas qu'il a concocté cela depuis quelques temps. Cette soumise va être marquée pour son Maître. Alors, bien entendu, il y a mille et une façons de marquer sa soumise. Je peux vous dire par le port d'un bijou, par un tatouage, par un piercing et la fin du fin, par une marque au fer rouge !
L'assistance retient son souffle avec une crainte sous-jacente. L'organisateur poursuit ses explications :
• Donc, je crois qu'il va me falloir dévoiler le nom de la soumise qui va avoir la chance d'être marquée pour son Maître…
Il reste un long moment, sans rien dire, laissant les convives dans l'expectative. Qui va être l'heureuse élue ? Puis il se lance :
• L'élue pour ce magnifique cadeau est … Sandrine, la soumise de Maître JP !
Je n'en crois pas mes oreilles ! Je me retourne vers JP. Il me sourit et me dit :
• Tu ne crois tout de même pas que je t'avais oubliée et que je n'avais pas pensé à te faire un cadeau pour Noël !
Je me pends à son cou, enlace sa taille de mes bras :
• Merci mon bon Maître d'avoir pensé à un cadeau pour moi !
• Mais tu ne sais pas quel est ce cadeau !
• Je n'en moque, puisqu'il vient de vous !
• Alors dans ces conditions, monte sur l'estrade !
Je lui dépose un baiser sur ses lèvres et fière, je me dirige vers l'estrade. J'ondule des hanches pour aguicher tous les mâles de l'assistance et prouver si besoin est que j'aime mon Maître et que je suis sa soumise. Je gravis les quelques marches et me retrouve en pleine lumière. Contrairement aux autres soumis, c’est une jeune très jolie jeune femme, percée sur l'aile du nez, qui m'accueille, avec un grand sourire et me dit son prénom :
• Je m'appelle Barbara…
Elle regarde mes seins offerts sur le haut de mon serre-taille. Elle me dit :
• Quand on a des seins comme les vôtres, il ne faut pas hésiter ! J’espère que ton Maître a prévu de te faire percer les tétons !
Un frisson parcourt mon corps.
• Ils sont vraiment très beaux, fermes, ronds et ils se tiennent très bien !
Je rougis devant tant de compliments… Mais elle continue tout en soupesant mes globes. Elle passe ses pouces sur mes tétons. L'effet est immédiat. Ils se dressent. Elle m'interroge :
• Mais cette situation t'excite, non ?
• Heu… Non pourquoi ?
• Petite menteuse !
Je suis un peu honteuse, car en effet je suis excitée.
• C'est vrai je suis excitée par vos caresses et par le cadeau de mon Maître…
• J'ai rarement vu des tétons aussi allongés, proéminents ! C’est superbe !
• Merci…
• Mais maintenant il faut passer aux choses sérieuses ! Ton Maître a choisi pour toi, des barrettes magnifiques… Au début, tu porteras des barrettes provisoires et quand cela sera cicatrisé, je te poserais les définitives !
Il faut maintenant y aller.
• Viens avec moi !
Barbara me guide et je me retrouve devant la même table en inox. De près je constate que c'est une table de gynécologue, avec tous les accessoires : repose-pieds, poignées, etc. Debout, elle m'oblige à me cambrer, me tenir droite, les bras croisés dans le dos. Mes seins sortent de mon torse. Le rayon déjà utilisé brille de nouveau. Avec un stylo feutre fin, elle marque l'horizontale de chaque côté de mes tétons. Elle se recule pour vérifier le repérage. Elle fixe ma poitrine opulente. Des deux mains, elle dessine ma poitrine. Ses doigts sont doux, caressants. Mes tétons n'en peuvent plus. C'est comme s'ils étaient tirés par une force invisible. Ils sortent de mes seins. Elle dit :
• Ça va être un jeu d’!
Je panique. J'ai peur, car en me touchant les seins, elle m'excite beaucoup plus encore. Elle de demande d'une voix douce et agréable :
• Allonge-toi sur la table !
Je m’allonge sur la table qu'elle a protégée d'un papier de soins. Barbara s’approche de moi. Elle me sangle les bras au-dessus de ma tête. Une autre sangle me lie à la table au niveau de mes épaules. Une troisième me ceinture la taille et me cloue au mobilier. Mais alors que je m'apprête à subir la et la douleur du perçage, la jeune femme prend une de mes jambes. Elle installe mon pied dans l'un des étriers une sangle bloque mon pied, une autre serre ma cuisse sur le bâti. Elle fait le tour de la table et recommence la même opération. Je suis totalement immobilisée. Mais pourquoi immobilise-t-elle mes jambes pour me poser des piercings aux tétons ? Je ne sais pas ! Barbara prend un téton entre ses doigts. Ce contact plein de douceur et je ne peux retenir un gémissement. Barbara ne dit rien, pas de commentaire sur la satisfaction que me procure le contact de ses doigts sur la peau fripée de mes tétons. Elle sort une aiguille d'une pochette stérile. De nouveau, elle agace mon téton. Elle le tord doucement. Un autre gémissement glisse entre mes lèvres, encore plus fort que le premier. Prenant soin de bien aligner les repères, elle enfonce l’aiguille dans mon téton, en le tenant toujours entre ses deux doigts. Je serre les dents, car la douleur est certaine. Mais le plaisir est proche derrière cette douleur. Barbara prend son temps. Elle travaille avec art et donc elle prend son temps. Je commence à mouiller. Mon sexe est en folie. Barbara me fait subir un vrai supplice. En effet, Barbara tient mon téton entre ses doigts pour pouvoir trouer mon téton et génère dans mon bas-ventre des ondes de plaisir. Je suis dingue de ces caresses. Mon autre téton se dresse, pointe en avant. Barbara finit le premier piercing en introduisant la barrette provisoire de plastique blanc. Elle visse les deux boules qui empêcheront la barrette de sortir du trou de mon téton. Barbara se recule pour admirer son travail. Elle me sourit et commente :
• C'est superbe ! Bien horizontale, la barrette !
Elle s’attaque à mon deuxième téton. Il est tendu comme la corde d'un arc. Elle pose ses doigts sur la tétine qui se dresse au milieu de mon aréole. Je gémis de nouveau et malgré la sangle qui bloque ma taille, j'ondule doucement des reins. Ce mouvement est incontrôlable. J'ouvre les yeux et croise le regard de Barbara. Elle me sourit d'un air entendu et me dit discrètement pour qu'aucun des spectateurs ne puisse entendre :
• Petite salope ! Tu jouis juste lorsque je te tripote le téton !
Je lui réponds de la même manière :
• Oui, madame… vous avez des mains très douces…
Barbara s'est rendu compte que je prends un grand plaisir à ses attouchements. Mes gémissements sont de plus en plus forts, de plus en plus charnels, langoureux. Mon deuxième téton s'allonge sans que Barbara n'y touche. Je frotte mes fesses sur le papier. Le contact est doux mais quelque peu rugueux. Je ne conduis comme la dernière des salopes, une vraie pute ! Barbara sort une nouvelle aiguille, tire mon téton, perce et introduit la barrette de plastique blanc, visse les embouts. Le second piercing est posé. La pose de mes deux piercings est rapide et tout compte fait relativement peu douloureux. Enfin, Barbara m'a tellement excitée que la douleur a été estompée par le plaisir que j'ai pris.
• Voilà c’est terminé !
• Déjà ??
• Oui ! Tu es tellement excitée, que tes tétons s'allongent à vus d'œil ! C'est un jeu d’ que de les percer !
Elle me pose un baiser sur les lèvres. Je questionne :
• Pourquoi ?
• Pour effacer tes larmes…
Je m'aperçois que j'ai pleuré pendant que Barbara me perçait les tétons… Mais elle continue de me questionner :
• Je vais vérifier quelque chose ? Tu permets ?
Barbara passe entre mes jambes. Je la vois comme je vois mon gynécologue. Inconsciemment, j'essaie de serrer mes cuisses, mais elles ont attachées et mon sexe est à la vue de tous !
• Ne soit pas pudique, ni choquée !
D'un regard approbateur, j'autorise Barbara dans sa quête d'information sur mon corps. Elle pose une main sur l'intérieur de ma cuisse et de l'autre, elle écarte mes grandes lèvres. Je me demande ce qu’il mijote. Elle observe mon sexe et quelques secondes plus tard, elle s'exprime très clairement :
• Je ne me suis pas trompée ! C'est bien ce que je pensais !
Je rougis immédiatement devant ce commentaire. Je sais qu'elle vient de découvrir que je mouille comme une salope de bas-étage. Je bafouille une excuse, comme une gamine prise en faute, la main dans le pot de confiture :
• Je suis très sensible des tétons et dès que l'on me les touche, cela déclenche une sécrétion importante ! Cela m'excite, je deviens folle !
• Ce n'est pas grave et même très sain de mouiller quand on est excité ! Mais ce n'est pas cela qui guidait ma curiosité !
La honte me fait monter le rouge aux joues. J'ai honte d'avoir avoué à Barbara que je suis une salope !
• C'est quoi alors ?
Barbara plonge son regard dans le mien et me dit :
• Je voulais voir ton sexe…
Je réagis violement :
• Il n'est pas question que vous me posiez un piercing sur le sexe !
Elle me répond :
• Pourtant, il serait aisé d’y poser un piercing…
Je poursuis dans mon refus :
• Quand j'ai dit "NON", c'est "NON" !
Elle continue dans son idée :
• Je ne veux pas t'obliger à le faire ! Mais à ta place, je le ferai !
Je me mets en colère ! Ce n'est pas elle qui va m'imposer quoi que ce soit, surtout sur mon corps !!
• Tu n'es pas à ma place !
Elle insiste lourdement :
• Ton sexe est superbe, tes lèvres régulières… et des piercings le mettraient encore plus en valeur !
Je réagis encore une fois :
• Tu es tenace, mais moi aussi : j'ai dit "NON" !
C'est alors qu’elle me dit une chose terrible, incroyable :
• Et si c'est ton Maître qui te l'ordonne ?
Là je cède la place :
• Si c'est mon Maître qui me le demande, qu'il en ait envie et que cela lui fasse plaisir, c'est différent ! Mais pour l'instant, il ne me l'a jamais demandé !
Barbara avance sa main vers mon sexe. Je ne peux pas me protéger en serrant les cuisses. Elle prend le capuchon de mon clitoris, décalotte mon clitoris et saisit mon bouton d'amour entre son pouce et son index. Elle le roule entre ses doigts. La réaction est foudroyante, fulgurante. Un trait de plaisir me traverse le ventre. Je ne peux m'empêcher de feuler et ensuite de crier mon plaisir. Barbara reprend son travail de sape verbale:
• Bien entendu, un piercing pourrait être posé sur tes grandes lèvres, mais c'est classique…
Elle m'agace avec ses sous-entendus. Je me lâche :
• Où faut-il poser ce piercing ?
Elle me fait mijoter en attendant une bonne dizaine de secondes avant de me répondre
• Il y a un endroit parfait pour toi qui est plus que sensible…
Je m'impatiente :
• Où ?
Elle sourit avant de répondre à ma question :
• Un endroit qui te permettrait d'être excitée tout le temps, sans arrêt, dès que tu bougeras…
Je crie :
• Dis-moi !
Un franc sourire éclaire son visage. Elle sait qu'elle m'a presque convaincue :
• Le piercing idéal pour une femelle comme toi ! Ce piercing, appelé piercing Hood, est effectué de façon à reposer directement sur le clitoris. Il en résulte donc une stimulation permanente de l'organe érectile. D'après de nombreux témoignages, la sensation procurée est unique et justifie largement ce piercing. Il se compose d'une barrette en forme de banane courbe qui traverse de haut en bas le capuchon de ton clitoris. Ainsi la barrette frottera ton clitoris à chacun de tes mouvements !
J'ai un hoquet de surprise mêlée de honte quand elle prononce le mot "femelle". Mais j'écoute avec intérêt son explication.
• C'est vrai cela ?
Elle relève sa jupe :
• Regarde !
Je suis totalement scotchée. Barbara écarte ses cuisses et son sexe. Deux petites boules noires encadrent en haut et en bas le capuchon de son clitoris.
• Tu en as un ?
Elle éclate d'un rire franc :
• Tu n'en crois pas tes yeux ! Mais ceci dit, la décision ne t’appartient pas !
Je suis stupéfaite par son information :
• Et pourquoi donc, cette décision ne m'appartient plus ?
Elle me jette un regard dur :
• Parce que ton Maître m'a ordonné de te poser un piercing sur le capuchon de ton clitoris, pour que tu sois continuellement excitée et toujours prête à être baisée !
Je reste bouche bée… Mon Maître souhaite me voir avec des piercings ! Et il ne me l'a jamais demandé ! Les larmes me montent aux yeux. Je ne veux que le plaisir de mon Maître. Je vais être continuellement excitée pour mon Maître, me conduire en femelle, en chienne. Rien ne peut me faire plus plaisir. Alors je donne mon accord :
• Oui ! D’accord je veux bien, pour le plaisir de mon Maître !
Et le mien ! Car l'idée d'être excitée en permanence, me réjouit. Barbara sourit et me félicite :
• Bravo Sandrine, tu viens de prendre une bonne décision ! Mais je vais te faire une anesthésie locale pour ne pas que tu souffres !
C'est alors que je m'entends dire :
• Mais je ne veux pas que tu m'anesthésies ! Je veux souffrir pour mon Maître !
Barbara écarquille les yeux et m'avertit :
• Tu es folle, ce perçage est douloureux, il est inutile de t'infliger cela !
Avec fierté, je lui réponds :
• Je vous rappelle que je suis une soumise, celle de mon Maître ! Et je dois ajouter que je suis masochiste… J'aime avoir mal pour mieux jouir ! Alors allons-y !
Je sais que je vais souffrir, mais pour mon Maître que ne ferais-je pas ! Mais aussi, j'aurais droit au plaisir de ses doigts sur ma chatte. Barbara enfile des gants et désinfecte mon sexe. Elle me tripote le clitoris, tire sur le capuchon. Elle râle un peu :
• Si tu mouillais moins, je pourrais mieux tenir ton capuchon ! je vais être obligée de te le tenir autrement !
Elle se saisit d'une pince de chirurgie appelée clamp. La pince mord la chair tendre. Je plante des dents dans ma lèvre inférieure et je serre. Puis elle me prévient :
• Je commence ! Serre les dents !
Barbara m'explique et décrit d'une façon concise tout ce qu'elle fait. Pour débuter, elle insère un tube sous le capuchon du clitoris. Elle m'informe que mon clitoris est bien proportionné pour le piercing (comme si j'ai besoin d'apprendre cela !) Le tube est froid et inconfortable. Avant que je puisse me concentrer trop sur cette désagréable sensation, Barbara m'avertit :
• Tu vas ressentir une douleur vive ! Cela veut dire que le piercing est terminé. Ne bouge surtout pas quand la douleur arrive !
Elle me guide pour souffrir le moins possible :
• Prend deux grandes respirations !
Je découvre que Barbara ne ment pas. Quand j'expire la deuxième fois, la douleur arrive, indescriptible, inimaginable, incroyable. J'ai l'impression qu'on me déchire le sexe ! La douleur dure quelques secondes avant de se diffuser dans tout mon bas ventre, sans pour cela diminuer d'intensité. Je hurle ma douleur. Mon cri résonne dans la salle. Heureusement que Barbara m'a ligotée très serré sur la table. Je n'ai pas bougé d'un iota. J'essaie de me contrôler en respirant bien à fond et en me répétant :
• C'est fini, c'est fini !
Barbara repend la parole :
• C'est presque terminé ! il ne reste plus que les deux petites boules à visser et je te rends ta liberté !
Pour la première fois depuis que je suis allongée sur le dos, je redresse la tête et vois Barbara entre mes cuisses. Son visage est crispé. Et puis, d'un seul coup, la sérénité revient sur ses traits :
• Voilà, c'est fini !
Elle récupère sous la table une grande glace et me montre mon sexe. Je regarde avec intérêt ce qu'elle me montre. Mon sexe étalé, est orné du fameux piercing Hood ! Les deux petites boules sont terminées par deux fausses pierres bleues, du même bleu que mes yeux ! Merci mon aître adoré pour cette délicate attention… Elle me conseille :
• Reste allongée jusqu'à ce que la douleur s'estompe. Elle devrait diminuer rapidement, mais sans pour cela disparaitre !
Doucement, Barbara laisse la vue de mon sexe à toute l'assistance. Des applaudissements retentissent. Cela me fait chaud au cœur. Puis doucement, elle me libère des sangles qui m'immobilisaient. Elle m'aide à dégager mes pieds et me relève. Je descends de la table. Elle s'inquiète de moi :
• Tu as mal ?
Je lui réponds :
• Ça va !
Je reprends pied sur la scène. J'ai quelques hésitations. Barbara me tient sous le bras, et invective mon Maître :
• Le Maître de cette soumise pourrait au moins venir la chercher. Je lui rappelle qu'elle vient de souffrir le martyre pour ses beaux yeux !
Je crois que JP va terriblement accepter cette remarque ! Sa voix retentit :
• Je viens chercher ma soumise… Et fesser la coquine qui vient de me faire cette remarque !!!
L'assemblée rit à ce bon mot ! Mais je connais mon Maître et je sais que les fesses de Barbara risquent fort de lui chauffer d'ici quelques instants… A grandes enjambées, JP monte sur l'estrade. Il me prend dans ses bras et m'embrasse à pleine bouche, sous les applaudissements des spectateurs. Mais Barbara interpelle JP :
• Monsieur le Maître, Sandrine vient de souffrir pour vous, alors ne l'étouffez pas !
Des rires fusent ! JP se retourne vers Barbara et l'att d'une main. Il la fait tourner sur elle-même et au moment où elle lui tourne le dos, il lui assène une méchante claque sur les fesses… Barbara lui fait face, le toise et lui lance :
• Monsieur le Maître, je ne suis pas voir soumise !
JP saute sur cette occasion :
• Il ne tient qu'à toi de le devenir !
Barbara se rebiffe :
• Mais que fais-tu de Sandrine ?
JP lui explique son idée :
• Je garde ma soumise et je t'ajoute à mon cheptel !
Barbara blêmit :
• Je ne suis pas une femelle et encore moins la tienne… Mais ceci dit, vu que Sandrine va être indisponible pendant quelques semaines, je veux bien la remplacer, si bien sûr elle est d'accord !
Et elle part d'un grand éclat de rire… Nous rions tous. Mais JP reprend la parole :
• Vous n'avez pas bien vu ma soumise ! Je vais vous la montrer !
J'avoue craindre un peu ce qui va suivre. En effet, au fur et à mesure, si la douleur s'estompe quelque peu, je ressens de légères douleurs sur mon sexe. La douleur irradie et je ne peux dire si cela vient de mon capuchon ou bien d'ailleurs. J’ai hâte de voir ce que ça donne, un piercing sur le capuchon. Mais j'ai une confiance totale en mon Maître, je ferme les yeux. Il me guide jusqu'au bord de l'estrade. Je sens un certain plaisir de me retrouver nue, face à tout le monde. Je m'expose comme une soumise doit le faire. J'adore cette attitude de soumission. Je sens mes tétons légèrement tiraillés, ainsi que mon clitoris. Il me dit :
• Tiens-toi bien droite maintenant !
• Sur ta gauche, il y a une grande glace ! Dès que te l'autorise, ouvre les yeux !
• Oui Maître !
J'accentue ma position et me cambre au maximum.
• Maintenant ouvre les yeux!
J'ai peur de ce que je vais découvrir. Après quelques secondes d'hésitation, j'ouvre lentement les yeux. Je découvre une femme parée de beaux ornements. C'est magnifique ! Je me retourne vers mon Maître, les yeux pleins de larmes :
• Merci mon Maître adoré ! Je suis tout simplement magnifique !
JP vient dans mon dos et me chuchote à l'oreille :
• Je pense que tu es la plus grande et la plus belle salope du monde…
Mais les petites douleurs sont toujours présentes. Je constate que Barbara a mis un ornement supplémentaire. Une chaînette relie les barrettes qui percent mes tétons. Entre mes deux seins, cette chaînette est accrochée et plonge vers mon bas-ventre et est fixé au piercing de mon capuchon ! C’est merveilleux, c’est un appel au viol ! Cette coquine de Barbara a choisi des chaines un peu courtes. Aussi, quand je me tiens bien droite, des douleurs irradient mes tétons et mon clito. C’est un supplice de bonheur pour une maso comme moi ! Je comprends vraiment ce qu'est être enchainée, soumise ! Je suis heureuse ! Nous quittons la scène. Mon Maître me soutient sous le bras et m'aide à marcher. Le piercing au capuchon de mon clitoris me fait mal, mais je suis fière et c'est une soumise très heureuse avec son Maître. J'embrasse mon Maître et Barbara qui a rejoint notre petit groupe. Barbara est fière de son travail. Elle est heureuse que JP aime et que moi aussi je suis satisfaite ! De retour dans la salle, mon Maître s'inquiète :
• Beaucoup de femmes perdent de la sensibilité après une pose de piercing et prennent donc moins de plaisir. Il faut donc que je teste. Il faudra que tu me dises si tu ressens les mêmes effets qu’avant…
Oh non, ce n'est pas possible ! Si je ne peux plus avoir de plaisir, je préfère mourir ! JP me demande d'écarter mes jambes. J'obéis. La honte de cette attitude me fait monter le rouge aux joues. C'est Barbara qui va tester la sensibilité des zones percées. Elle m'avertit :
• Ne soit pas choquée par ce que je vais faire ? C’est uniquement pour savoir si tout va bien !
Je l'autorise à tester mon corps d'un hochement de tête. Elle caresse mes tétons du gras de ses pouces. Je pousse un léger gémissement.
• Tu as mal ?
• Oh non ! Je ne ressens aucune douleur !
C'est alors que Barbara saisit les tétons entre le pouce et l'index. Elle les tord de l'extérieur vers l'intérieur. La douleur est démente. Je n'arrive pas à retenir un gémissement de plaisir. Elle insiste, me procurant encore plus de plaisir. Je lui demande :
• Arrêtez !
• Je te fais mal ?
• Oh non, madame !
• Alors pourquoi veux-tu que j'arrête ?
• Parce que je prends du plaisir et que je n'ai pas l'autorisation de mon Maître !
Elle se tourne vers JP et l'interroge du regard. JP hoche la tête. Barbara me fait face de nouveau. Elle se penche vers ma poitrine et pose sa bouche sur mes tétons, les aspire, les suce, les mordille. Ma réaction est instantanée, violente, merveilleuse. Je ne suis plus sur terre, j'entre en transe. Je jouis comme une chienne, une salope, sans l'autorisation de mon Maître. Barbara me laisse pantelante. Je m'accroche au bras de mon Maître. Mais elle reprend :
• Prends-tu autant de plaisir qu’avant ?
Honteuse, je baisse la tête et réponds :
• Je prends beaucoup plus de plaisir !!
Avec un grand sourire, elle me regarde et me dit :
• Tu es une exception ! Les autres femmes ressentent moins de plaisir juste après la pose de piercings. Toi c'est tout le contraire !
Je regarde Barbara dans les yeux et lui dit :
• Vos caresses m’ont rendu folle, complètement avide de caresses et de plaisirs. En quelques secondes j’étais au bord de la jouissance !
Barbara, tout sourire me dit :
• Bien, je voudrais vérifier votre sexe !
Je me rétracte, ayant trop peur d'avoir encore mal :
• Non surtout pas ! Je vais avoir mal !
Barbara insiste :
• Mais il faut vraiment essayer !
J'accepte malgré mes craintes :
• D’accord mais doucement !
Barbara me rassure :
• Je fais faire doucement et si tu as envie de jouir, laisse-toi aller ! Comme cela nous aurions la preuve que tu as gardé toute ta sensibilité !
J'ai confiance en elle. Je ne réponds pas mais j'écarte mes cuisses. Sa main se glisse entre elles. Ses doigts débusquent le piercing. L'ai encore très mal, mais j'ai envie qu'elle se saisisse de mon clitoris et qu'elle joue avec.
Elle pose sa main sur ma chatte. Mon vagin se serre de désir. Je veux qu'elle teste ma sensibilité maintenant. Sa main arrive juste sur le bouton. Elle le frôle. Mes yeux se ferment. Je ne vais pas tarder à avoir un orgasme. A cet instant précis, elle saisit mon clitoris caché derrière son capuchon. Elle le serre doucement. Puis elle le lâche. Elle ne touche plus que l'extrémité basse de mon piercing. La barrette courbe joue avec mon clitoris. La sensation est indescriptible. Une vague de plaisirs m'envahit, déferle sur moi. Elle joue avec mon sexe sans cesse pour me faire gémir longuement. Elle me donne un maximum de jouissance. Je me crispe de plaisir. Son pouce me caresse. Elle me fait monter de plus en plus haut... c'est trop ! J'éclate de bonheur avec un cri de femelle en rut ! Mon Maître est là tout près de moi. Je tourne la tête vers lui. J’ouvre alors la bouche, il passe un bras autour de ma taille et me serre contre son torse. Sa bouche rejoint la mienne et nous nous embrassons dans une pelle des plus sensuelles. Barbara cesse de me tourmenter. Nous terminons la soirée rapidement. Nous montons nous coucher. La marche et la montée des escaliers n'est pas des plus commodes. La douleur est revenue. Après une douche et des soins réalisés par mon Maître, nous nous couchons. Je peine à trouver une place agréable. Sur le côté, les cuisses l'une devant l'autre, je somnole. Mais mon Maître n'a pas l'intention de me laisser ainsi. Son sexe frappe sur mes fesses. Je l'informe :
• Mon Maître adoré, je ne pense pas pouvoir vous satisfaire ce soir ! J'ai encore mal !
Ce à quoi il répond :
• Mais je ne veux pas utiliser ta chatte, je sais qu'elle est endolorie… Mais ton petit cul est comment ?
Je souris en entendant le prétexte de mon Maître :
• Mais si mon Maître veut bien se contenter de mon cul, il peut m'enculer à souhait !
Je n'ai comme réponse que le gland qui presse contre mon anus et avec un peu de bonne volonté de ma part, je pousse pour qu'il entre dans mes entrailles. C'est chose faite quelques secondes plus tard. La cavalcade commence. Mon Maître fait attention à ne pas me faire mal. Il a une envie d'enfer. Il se vide en de longues giclées crémeuses et chaudes. Fatiguée, je m'endors. Je garde son sexe dans mon anus qui le serre pour l'empêcher de ressortir.
Le lendemain, nous sommes toujours liés, sa bite dans mon cul. Nous nous séparons avec un peu de difficultés. Mais la fête est finie. Nous reprenons la route pour nos domiciles respectifs. Le trajet n'est pas des plus confortables. J'ai le sexe endolori et un peu tuméfié. Je n'ai pas de culotte et je voyage les cuisses écartées.

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