Elise Libertine 28 - Mon Adultaire 1/4
Bonjour je suis Élise aujourdhui cest moi que fais le récit Alan mon époux ne fait que la correction et la mise en forme et le découpage en plusieurs parties car mon récit est long (trop à son goût). Ce récit nest pas très basé sur le sexe je vous raconte une période difficile pour moi, pour lui et surtout dangereuse pour notre couple. Je ne savais plus où jen étais, jai trompé mon mari pour la première fois peu avant notre 30ème anniversaire de mariage. Heureusement Alan a été présent pour moi et par amour ma aidé à surmonter cette épreuve sans jamais me faire de reproche. Nous sommes toujours aussi complices
En septembre 2002 jai fait part de mon envie de reprendre une activité à temps partiel. Alan ma encouragée et ma aidée dans mon projet. Par relation il entre contacts avec des magasins de prêt à porter de Bordeaux susceptibles de me fournir du travail au vue de mon expérience dans le prêt a porter haut de gamme. Trois accepte de nous accompagner. Alan moriente vers un petit atelier de couture retouche qui vivote près de la rue Ste Catherine. Il me prépare pour négocier un temps partiel en échange de la clientèle des boutiques qui sont prêtes à me suivre.
Le 30 octobre je rencontre la patronne qui est intéressée à la fois par mon expérience et la clientèle que jamène. Deux jours plus tard nous signons le contrat définissant lorganisation de mon temps de travail : le lundi et le jeudi à latelier le mardi après-midi et vendredi à domicile ou dans les magasins suivant le travail à réaliser.
Quatre mois plus tard je mépanouie dans mon activité mon entente avec Edith la patronne est excellente de même quavec les deux autres retoucheuses. Il faut dire que les affaires marchent plutôt bien le chiffre daffaire est en nette hausse. La patronne a constaté ma compétence et ma force de travail. Elle ma nommée chef datelier sans que les autres employées ne trouvent à redire. Nous nous partageons la direction de latelier
Lorsque je passe en magasin je récupère les vêtements à retoucher.
Le 28 février 2003 (je men souviens cest lanniversaire de mon cadet 28 ans) je travaille chez moi. Vers dix heures Philippe un commerçant mappelle pour savoir si je peux passer de suite cest important.
Jenfile un chemisier blanc en mousseline sur mon redresse seins blanc puis un tailleur pantalon en lainage pied de poule. Un quart dheure plus tard je suis dans le magasin homme avec ma boite à ouvrage. Philippe maccueille « Bonjour Élise jai un problème. Un client a choisi des chemises et cinq pantalons quil faut retoucher pour ce soir »
« Ce nest pas un problème »
« Si! Il y a un pantalon pour lequel je nai pas sa taille. Pouvez-vous le diminuer de deux tailles ? »
« Je vais voir ce que je peux faire, où sont le client et le pantalon »
« Le client est dans le fauteuil là-bas au milieu, japporte les pantalons »
Lhomme en costume anthracite cravate bordeaux se lève à mon approche. Environ 45 ans il est de taille moyenne, carrure de rugbymen, un visage carré rasé de près, des yeux clairs, un regard franc et un sourire sympathique.
« Bonjour Monsieur! Je mappelle Élise nous allons voir ce que nous pouvons faire pour vous »
« Juste un miracle me faire grossir de deux tailles ce nest pas gagné » accompagné dun sourire charmeur
« Nous allons certainement trouver une solution plus simple » en lui rendant le sourire.
Philippe linvite à me suivre dans le petit local de retouche il dépose les pantalons à retoucher. Lhomme me regarde hésitant « je les enfile ici. »
« Si vous avez un sous vêtement et que cela ne vous dérange pas nous gagnerons du temps » il tombe son pantalon pendant que je prépare mon matériel. Je pose mon hérisson (porte épingle) sur mon poignet je me retourne et lui tend le premier des cinq pantalons. Il le passe, le pantalon est bien ajusté je dois seulement retoucher la longueur de jambe je me mets accroupie et lui demande :
« Vous allez porter les pantalons avec les mêmes chaussures » (à cause de la hauteur de talon)
« Le même modèle mais de couleurs différentes » je relève la tête et surprends son regard posé sur ma poitrine découverte par la veste de mon tailleur qui baille au niveau du croisé.
« Monsieur souhaitez-vous le porter bas légèrement cassé ou au ras du haut de chaussure sans casser »
« Je ne sais pas quen pensez-vous »
« Moi je trouve que le cassé fait beaucoup plus élégant Monsieur»
« Alors faisons comme cela, mais appelez-moi André.»
Je fais mon traçage pose mes épingles et nous passons aux trois suivants pour le même traitement. Cest arrivé au dernier que cela se gâte le pantalon est beaucoup trop large.
« André voulez-vous retirer votre veste que je puisse voir ce que je peux faire » je le fais tourner donne quelques coups de craie et pose différentes épingles pour ajuster la ceinture, les largeurs de jambes.
Ensuite je mattaque à la fourche et à la braguette. Pour ce faire je dois glisser la main entre ses jambes afin de pincer le tissus sous la région glutéale et le scrotum pour mesurer la quantité de tissus à retirer. Puis au niveau de la braguette. Ce faisant je peux sentir que le client semble est plutôt bien équipé.
Il retire le pantalon que je retourne de façon à voir la faisabilité de la retouche. Jen profite pour lobserver du coin de lil. La déformation du slip bleu marine que je vois répond à mon interrogation. André se rhabille le temps que jévalue le travail à effec (je dois reprendre la fourche, la braguette puis taille la ceinture et la largeur de jambe) Jen ai pour plusieurs heures si tout va bien.
Jinforme Philippe et le client « Je peux faire ces retouches en priorité mais il faudra quAndré fasse un essayage en fin daprès-midi avant de finir la longueur. »
Philippe « André pouvez-vous passer à latelier vers dix-sept heures.»
Moi « Je ne suis pas à latelier aujourdhui le vendredi je travaille chez moi »
André« Quà cela ne tienne, si vous voulez me donnez votre adresse je suis chez vous à dix-sept heures »
Philippe « ça ne vous dérange pas Élise »
« Pas du tout » Je prends une carte sur le comptoir je note mon adresse, mon 06 et la donne à André qui me tend sa carte en retour je la glisse dans la poche de ma veste.
Sitôt arrivée je me change pour être plus à laise je retire mon tailleur et mes sous-vêtements par habitude, jenfile une robe portefeuille en laine bordeaux. Je me mets au travail je commence par le plus rapide réduire la longueur des pantalons. Je trace, je coupe je couds, je brosse et repasse. Les quatre premiers pantalons sont terminés avant midi. Je monte prendre une salade vite fait avant de dattaquer le gros boulot une demi-heure plus tard.
Découseur en main jattaque le démontage je reporte mes mesures à la craie je trace et coupe je faufile et contrôle avant lassemblage définitif à la machine. Je laisse juste la possibilité de resserrer ou élargir un peu la ceinture. A seize heures jai terminé, je monte ranger ma cuisine en attendant mon client.
A peine dix-sept heures la sonnette retentit, jouvre André apparait sourire charmeur dans lencadrement de la porte. Il a troqué son costume contre un pantalon chino beige, un polo blanc et un blazer tabac
«Rebonjour Élise jespère nêtre pas trop en avance »
« Non je vous attendais pour terminer » je linvite à entrer. Je sens quil me détaille du regard. Je lui demande de me suivre, nous traversons la maison par le couloir jusquà la terrasse. Troublée jai limpression de sentir son regard dans mon dos.
Nous descendons dans ma pièce couture je lui demande dessayer le pantalon retouché. Il tombe le blazer et retire son chino. Jattends avec le pantalon retouché. Je constate quil a également remplacé son slip par un caleçon blanc à motif bleu fermé par deux boutons.
Je lui tends le pantalon « ne tirez pas trop sur la ceinture elle nest que surfilée » je le regarde passer le pantalon, je repère le geste pour glisser son paquet à lintérieur. Je tourne autour de lui contrôle la taille jépingle la ceinture à larrière. Je caresse ses fesses dun mouvement de main que je tente de faire passer pour un geste professionnel en ajoutant « il ne vous moule pas trop, êtes-vous à laise ? » je reviens face à lui et cette fois je touche le tissus au bas de la braguette pas de problème sauf que le contact de ma main semble avoir réveillé une partie de son anatomie qui se déploie le long de sa cuisse.
Je lentraine devant le miroir en pied fixé sur le mur « comment trouvez-vous ? »
Il me regarde avec un sourire charmeur « Vous êtes une déesse vous faites des miracles »
« Bien si cela vous plait je fais la retouche longueur ».
Je maccroupis pour régler la longueur de jambe en me déplaçant autour de lui. Occupée à mettre les épingles je ne vois pas ma robe portefeuille souvrir découvrant largement mes cuisses.
En regardant dans le miroir mon regard croise le sien qui est fixé sur mes cuisses et avec ma position il doit avoir une vue imprenable sur ma chatte dépourvue de culote.
Je pivote pour casser cette vue mais son regard cherche le mien. Je me sens traversée par ce regarde bleu acier. Au travers du miroir nos yeux restent plongés les uns dans les autres un moment.
Il me prend par les épaules pour me relever sa bouche se pose sur la mienne. Jaurais dû larrêter mais je suis sans réaction. Mes yeux se ferment, sa langue se fraie un passage entre mes lèvres, ma bouche consent à souvrir. Nos langues se caressent nos salives se mélangent. Jouvre les yeux à la recherche des siens.
Nos bouches se séparent, il se recule un peu «Élise je dois tavouer que je ne suis pas ici par hasard. Je tai déjà aperçue dans la boutique et tu mas troublé. Depuis plusieurs semaines javais envie de te rencontrer pour te connaitre. Jai imaginé ce stratagème avec la complicité de Philippe pour être un peu seul avec toi, en réalité il avait ma taille pour le pantalon. Je devais te le dire avant daller plus loin je ne veux pas que notre relation, sil y en a une, se construise sur un mensonge. »
Je suis sidérée il me faut quelques instant pour réagir « pourquoi ne mas-tu pas abordé directement » (sans men rendre compte je suis passée au tutoiement)
« Je ne voulais pas courir le risque dêtre éconduit avant de commencer à te connaitre »
« Tu sais je suis mariée »
« Moi aussi je le suis, mais pour ma femme seules les affaires comptent elle est toujours absente »
« Mais que veux-tu au juste »
Il mattire membrasse à nouveau, je fonds entre ses bras musclés. « Je veux juste taimer » sa main caresse mes fesses et colle mon bassin contre le mien je suis troublé par la protubérance que je sens contre mon ventre.
Mon sexe se liquéfie, la mouille coule entre mes cuisses. La raison me dicte de redevenir professionnelle. Je me recule « écoute je dois terminer le travail Alan mon mari va rentrer, donne-moi le pantalon que je le termine »
Un peu déçu il le retire, me le tend. Je mapproche prend le pantalon dune main, de lautre je lui caresse lentrejambe je pose un baiser sur sa joue et retourne à ma machine.
Il se rhabille me regarde déçu « dommage jaurai essayé »
« Ton pantalon tu le veux pour ce soir »
« Maintenant cela na plus dimportance je peux attendre »
« Demain nous sommes samedi si tu veux je peux te lapporter jai ton adresse sur la carte que tu mas donné »
« Je te recevrai avec plaisir ! Dix heures cela te convient ? Élise tu nauras pas de problème avec ton mari ?»
« André ne tinquiète pas cest une livraison pour le boulot » je me rends compte que jai mis le doigt dans lengrenage et je ne sais pas pourquoi. Je le raccompagne il membrasse sur les joues et me dis à demain.
A dix-neuf heures quinze Alan rentre. Je suis assise dans le salon essayant de comprendre ce qui marrive. Il vient membrasser et me trouve bizarre « que se passe-t-il tu as lair pensive »
« Non rien jai juste eu une journée chargée dailleurs je nai pas fini jy retourne »
« Que mange-t-on ce soir ? »
« Je nai rien prévu je nai pas eu le temps, commande des pizzas ! »
Je descends terminer mon travail ma pensée vagabonde jai du mal à me concentrer sur mon ouvrage. Je trace coupe et couds lourlet du pantalon je repose les passants et couds la ceinture.
Jentends Alan mappeler les pizzas sont arrivées il est vingt heures trente. Je monte nous dinons il me demande où jen suis. Je réponds que jai terminé que je dois juste donner un coup de fer avant la livraison demain matin.
« Ah bon ! tu livres le samedi matin maintenant ? »
« Oui cest Philippe qui me la demandé pour un bon client, il y a cinq pantalons »
« Je comprends quil nait pas voulu rater la vente »
Je lembrasse « bonne soirée je vais me coucher je suis crevée »
« Bonne nuit chérie fait de beaux rêves jessaierai de ne pas te réveiller en me couchant »
Je monte me coucher je narrive pas à dormir lorsque je ferme les yeux je me vois dans les bras dAndré je sens une douce chaleur dans mon ventre. Je sais ce que cest, ma main descend sur mon bouton. Je me branle jusquà la jouissance en pensant à mon client. Je fini par mendormir.
Cest lodeur du café qui me réveille à huit heures Alan pose le petit déjeuner au bord du lit il membrasse me sourit
« Bonjour chérie bien reposée je suis allé te chercher des croissants frais. Tu nas pas oublié ta livraison ce matin ? »
« Merci trésor jai bien dormi et je nai pas oublié que jai du travail » un peu ronchon (je ne suis pas bien réveillée)
Jengloutis rapidement mon petit déjeuner vais dans la salle de bain je me regarde dans le miroir je toilette ma petite chatte car je sens que je vais faire une bêtise. Une fois lavée coiffée je choisis ma tenue il me faut quelque chose de pratique, de sexy mais pas trop à cause dAlan. Je me rends compte que je trompe déjà mon mari par la pensée.
Je choisis une robe fuseau blanche en laine sur une fine culotte et un soutien-gorge blanc. Je descends donner le coup de fer sur le dernier pantalon. Il est 9h30 jappelle « chéri je vais faire ma livraison »
Il vient membrasser « Tu emmènes ta boite ? »
« On ne sait jamais »
« Cest pour cela que je taime. Tu es très belle dommage que lon voit la marque de tes sous-vêtements»
« Alan! Je vais au boulot »
Je saute dans la voiture et me dirige vers la sortie de Bordeaux pour rejoindre le domaine viticole dAndré sur la route je marrête pour retirer mes sous-vêtements que je glisse dans ma boite à ouvrage.
Quand jarrive au château (en fait une grande maison bourgeoise en L avec un étage) André mattend sur le perron. Je me gare, il est déjà à côté de moi et ouvre la portière. Je descends sans précaution consciente que ma robe est remontée sur mes cuisses. Je sais quil aura une vue magnifique sur le fruit défendu. Il me prend dans ses bras et membrasse à pleine bouche.
« Jai eu peur que tu changes davis et que tu me laisses seul avec mon chagrin »
« Idiot ! Cest vrai ce nest pas raisonnable et je ne sais pas pourquoi javais envie de te retrouver. Aide-moi ! »
Jouvre le coffre il att les pantalons et part vers la maison. Il mentraine à létage pose ses pantalons sur un fauteuil.
Il me prend par la taille et me conduit dans un petit salon joliment décoré. Sur un guéridon, près de la cheminée qui crépite, un seau à glace avec une bouteille de champagne et à coté sur un plateau une bouteille de rouge avec deux verres et deux coupes. Comme je préfère le champagne en dehors des repas il remplit les deux coupes. Nous trinquons « à notre amitié et peut-être plus ».
En trempant mes lèvres mon regard scanne la pièce. Outre les fauteuils sur lesquels nous sommes assis il y a une méridienne longue près de nous, sur les côtés un buffet bas et une commode, au centre quelques chaise autour dune table ronde.
Nous parlons de tout, de nous, de nos travails de nos conjoints, de sa femme qui ne pouvant avoir d se consacre totalement au travail au détriment de son couple. Je suis bien avec lui, il se montre doux et attentionné.
André se lève prend ma main « viens voir » nous approchons de la fenêtre. La vue sur les vignes au bout du jardin est magnifique. Il se colle derrière moi ses bras menserrent, ma respiration et mon cur saccélèrent. Sans un mot il me retourne membrasse je réponds à son baiser ses mains sur ma robe parcourent mon corps.
« Coquine tu nas rien sous ta robe cest de la provocation» « non André cest un cadeau »
Il reprend ses caresses, Je frémis, je mabandonne entre ses bras. Dun seul mouvement il me porte jusquà la méridienne où il mallonge. Sa bouche fouille ma bouche ses mains caressent mes seins qui pointent sous le lainage ses mains descendent sur mon ventre.
Je réagis ma mains stoppent les siennes sur mon ventre « nous ne devons pas »
« Chut ! Laisse toi faire tu en meurs denvie et moi aussi ! Tu obsèdes mes pensées depuis que je tai vu»
« Je sais moi aussi, depuis hier dès que je ferme les yeux je me vois dans tes bras, pour trouver le sommeil je me suis branlée en pensant à toi »
« Alors laisse-toi aller, passe à la réalité »
Il profite de cet instant pour passer sa main sous ma robe en caressant ma cuisse je sens ses doigts progresser vers mon sexe. Quand il touche mon bouton une décharge me traverse je suis désormais incapable de larrêter.
Il remonte ma robe je soulève les fesses pour lui faciliter la tâche. Il vient à côté de moi maide à soulever mon buste pour finir de retirer ma robe. Sa bouche parcourt ma poitrine descend sur mon sexe. Il me lutine, sa langue sait me conduire à lorgasme.
Souriant il se redresse membrasse avec un regard plein de tendresse « Élise tu es magnifique tu dégages tant de belles choses quand tu jouis je crois que je suis amoureux de toi»
Je ne sais comment réagir à cette déclaration je ne veux pas gâcher cet instant mais je me redresse je lembrasse et le regarde franchement « je ne sais pas vraiment quel sont mes sentiments pour toi mais jaime Alan mon mari, jai besoin de temps »
Je pose enfin la main sur sa braguette, son érection est imposante je maide de lautre pour dégager le vit de sa prison. Mon dieu! Quelle queue longue et épaisse environ 21 par 6. Je mempresse de sucer ce beau sucre dorge.
André minterrompt pour retirer ses vêtements il moffre à nouveau son organe je gobe les grosses couilles velues lune après lautre puis ma langue lèche la tige en remontant vers le frein avant de prendre en bouche ce sexe remarquable. Je me lance avec ardeur dans une pipe en gorge profonde. Après quelques minutes André ne peut se retenir et dans un grognement libère sa semence au fond de ma gorge.
Javale cette offrande en le regardant dans les yeux. Il me relève, membrasser « Élise chérie cest un magnifique cadeau que tu viens de me faire. Personne ne ma jamais fait cela. » Nos corps sont collés lun à lautre.
Je regarde la pendule elle affiche midi moins le quart « mon dieu déjà ! Je nai pas vu le temps passer, il faut que je rentre » jenfile ma robe je demande à passer par les toilettes je suis trempée cela me coule entre les cuisses.
André me raccompagne « Élise cest la première fois que jai une aventure mais jai envie de te revoir »
Il me tend une enveloppe « cest une invitation pour deux personnes à une soirée exposition dartisanats que nous organisons dans le grand salon au rez de chaussée jaimerai que tu sois présente. »
« Je ne te promets rien je vais y réfléchir »
Un dernier baiser et je prends la route du retour avant de sortir de la propriété jappelle Alan
« Chéri jai dû faire quelques reprises mai jai fini je rentre tu auras une surprise.»
Que vais-je faire? Je minterroge je dois en parler à Alan, finalement je lui dirai plus tard. je prends une pastille de menthe pour pouvoir ôter lodeur et le gout du sperme dAndré avant dembrasser mon mari.
Quand je rentre jembrasse Alan qui remarque de suite labsence de marque sur ma robe.
« Tu as oublié tes sous-vêtements chez ton amant »
« Idiot ! Je les ai retiré après le boulot pour te faire plaisir » jouvre ma boite à ouvrage pour lui montrer ma petite culotte et le soutien-gorge sous lesquels jai glissé linvitation dAndré. Je prends lenveloppe et la tends à Alan
« Tiens les clients mont donné une invitation »
Il ouvre lenveloppe sort le carton et lit à haute voix : « Madame et Monsieur André X ont le plaisir de vous annoncer que la deuxième édition de lartisanat dart au château X avec Monsieur B ferronnier dart, Monsieur D souffleur de verre, Monsieur T sculpteur se déroulera dans le grand salon le samedi 29 mars 2003 Nous serons très heureux de vous compter parmi nous à cette occasion Rendez-vous au château à partir de 19h00 »
Comme je rêvasse Il ajoute «Élise ! Tu as lintention dy aller »
« Je ne sais pas, mais pourquoi pas on verra » le reste de la journée passe je nai toujours pas eu le courage de parler de mon aventure à Alan persuadée que cela va sarranger
Les jours passent je ne parviens pas à oublier André linvitation pour samedi 29 trône toujours sur létagère de la bibliothèque
.à suivre
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