Samedi 27 Novembre 1981 - Soirée
Ainsi arriva le samedi, la soirée du club où nous retrouvâmes toute léquipe de nos amis. AL était en forme et dansait beaucoup, pour pouvoir linviter, il aurait fallu revenir au carnet de bal, mais jarrivais quand même à la récupérer. Alors que nous étions à la série tango « jambe coincée », je la sentais séchauffer gentiment. Alors que jen profitais pour la caresser dans le dos, elle se colla un peu mieux et me dit : « Pierre a fait le même chose,
toi cest pas la peine,
cest idiot, toi tu sais,
lui cherchait,
»
Moi : « Quoi,
quest ce quil a fait,
»
AL : « Idiot,
il parcourait mon dos,
pour savoir si javais un soutien-gorge,
mais je ne pense pas quil ait trouvé,
cest agréable,
la prochaine fois il cherchera encore,
»
Moi : « Mais tes en train de lallumer,
je pense quil va falloir que lon sen aille,
»
AL : « Tes pas chic,
ne tinquiètes pas pour moi,
mais encore une danse avec lui,
il est jeune,
laisse le rêver,
»
Moi : « Ça te chauffe de lexciter,
OK,
après on sen va,
»
AL « Tes un amour,
je lui fais faire un gros rêve,
»
Moi : « Mais tes vraiment,
et elle me coupa en disant : « Oui,
une salope,
que tu aimes,
qui fait ce que tu veux,
et dont tu aimes profiter,
je taime,
»
Elle refit une série de tangos et je décidais de linviter pour la nouvelle série de slow en lui disant : « Puis-je vous inviter ; chère Madame,
»
AL : « Avec plaisir,
» et nous étions sur la piste où AL mis ses bras autour de mon cou et se colla à moi. Son bassin se mit au rythme du slow, se frottant doucement, mais efficacement à moi.
Moi : « jespère que ces tangos ont été agréables,
»
AL : « Oui,
il a des idées dans son pantalon,
mais ne sait pas danser le tango,
mais il devrait apprendre à danser le tango,
il fera certainement de beaux rêves,
»
Tout en se frottant : « Je vois, chère amie, que vos avantages naturelles sont en liberté,
»
AL : « Toute la semaine ils sont enfermés, le week-end,
cest la liberté,
»
Moi : « Et votre mari, vous laisse toute latitude,
»
AL : « Oh, oui,
il aime ça,
il aime que je sois complètement nue sous ma robe,
»
Moi : « Il est comme moi,
il apprécie ces belles choses,
et je vois que vous avez une robe,
disons qui doit être pratique,
»
AL : « Tas fini de faire limbécile,
tu la connais cette robe,
taimes que je la porte,
»
Moi : « Exact,
et elle est fermée, de la ceinture vers la bas par quatre boutons,
»
AL : « Comme si tu ne le savais pas,
quest-ce que tu es entrain de manigancer,
»
Moi : « Ma chère amie,
tu vas déboutonner les deux boutons du bas,
»
AL : « Tu es complètement fou,
» et la série étant terminée, nous revenions à notre table.
Et passant mon bras autour des épaules de AL : « Tu devrais déboutonner, ces deux boutons,
et la prochaine série de tango,
Hum,
tu ne regretteras pas,
»
AL : « Arrêtes sil te plait,
dès que quon fera un pas on verra mes jambes,
»
Moi : « Ma petite chérie,
pas plus que quand tu es en mini jupe,
ou à la plage,
»
AL : « Ce nest pas la même chose,
Tu es fou,
cest de lexhibitionnisme,
»
Moi : « Je suis sur que ça te tente,
on ira dans le fond de la salle,
là-bas,
ça ne texcite pas,
ton cavalier menviera,
et la prochaine fois,
il sera plus entreprenant,
oses me dire que ça ne tente pas,
»
AL : « Tu es vraiment un horrible,
dis moi plutôt que ten as envie,
(et se penchant à mon oreille) dis moi que ça te fais bander,
»
Moi : « Un point pour toi,
dy penser,
ça me donnes des idées,
»
AL remonta, discrètement sa jupe et défit les deux boutons et lâchant les pans de sa jupe me dit : « Regardes,
» La jupe souvrit sur ses cuisses jusquau bassin, à la limite de la touffe : « Avec tes idées idiotes,
heureusement quil y a la table,
voilà la nouvelle série arriva,
invites moi,
» et de nouveau sur la piste pour une série de tango, très serrés et où quand sa jupe ne volait pas, elle cachait ses passages sur ma cuisse. Au deuxième et au troisième tango, la respiration de ma cavalière avait augmenté de rythme et elle sa laissait aller dans mes bras. La série terminait, elle resta quelques secondes collées et un peu essoufflée, me glissa dans loreille on sen va. Ce que lon fit rapidement.
Arrivé au 4*4, AL, se colla contre moi : « Embrasses moi,
on rentre vite,
tu as réussi,
jai envie de toi,
je te veux,
» Jouvris la porte arrière du 4*4 et avant quelle ne dise quoi que ce soit, je lui intimais lordre de monter, ce quelle fit. A peine entré, je mempressais de glisser une main dans le haut de sa robe et saisissait un sein, en même temps que je lui disais de déboutonner son haut : « Tu es fou,
je ne vais pas,
» Alors quelle se défaisait
Moi : « Mais si,
tu es toute chaude,
tu as les tétons qui pointent furieusement,
dis moi plutôt ce dont tu as envie,
»
AL : « Non,
je ne veux pas,
on rentre à la maison,
ou à la plage,
mais pas ici, .
Moi : « Toujours non,
et tu sais que tu vas le faire,
et jaime quand tu dis non,
alors que tu nas quune envie,
cest que jinsiste,
alors jinsiste,
et en plus,
tu vas complètement ouvrir ta robe,
je veux te voir nue,
avec le seul éclairage de la lune,
»
AL : « Non,
je ne peux pas,
tu ne peux pas me demander ça,
» c était le moment de prendre les choses en mains cest à dire décarter les pans de la robe déjà largement ouverte et daller à la source de nos plaisirs et voir où en était son minou, qui lui navait pas des pudeurs de jeune fille et je pourrais connaître, à son humidité, les réelles envies de sa propriétaire. Je glissais une main entre ses cuisses et remontais vers sa chatte. Il ny eu aucune résistance significative, cest à dire que ses douces cuisses souvraient à lavancement de ma main et jatteignis ainsi sa grotte damour, chaude et très humide. Ayant posé sur son minou et en commençant de la caresser, je pressentais que le dernier obstacle, mentale, serait passé. Et cest ce qui arriva avec un dernier essai dAL : « Non,
arrêtes,
non,
oui,
tu as gagné,
prends moi,
jen ai envie,
oui,
» Pour la maintenir dans cette bonne disposition deux doigts inquisiteurs la pénétrèrent entrainant une ouverture du compas de ses cuisses, et un léger avancement de son bassin, ce qui me facilita la tâche et mapportait son accord. Je la masturbais légèrement afin de la chauffer un peu plus, ce qui arriva par « : « Arrêtes,
prends moi,
comme tu veux,
arrêtes ce jeux,
prends moi,
» Alors que je lui disais de prendre appui sur les dossiers des sièges avant et de menjamber, je me défaisais rapidement et « popol » jaillit fier et dur. Elle le sentit dans ses fesses et le prenant en main, elle se redressa et le mit là, dans sa chatte. Alors, elle sempala dessus, le faisant pénétrer doucement dans son fourreau, et quand il fut bien enfoncé, cramponné aux dossiers, elle commença à monter et descendre, lenfonçant toujours complètement dans sa chatte : « Oui,
jaime que tu me prennes comme ça,
je te sens me remplir,
ne tarrêtes pas,
» en fait, elle faisait tout le travail et à son propre rythme.
Arrivés, je garais le 4*4 et rentrais. AL avait filé vers la salle de bains et je trouvais, jeté négligemment sur le dos dun fauteuil, sa robe. Je me dirigeais vers la chambre et me couchais, un petit quart dheure après elle arriva, entièrement nue, et vint se coucher contre moi avec un : « Prends mois dans tes bras,
» Ce que je fis, ma queue dans la raie de ses fesses et la main droite tenant son sein droit, lautre main sur sa hanche, cétait la position quelle aimait pour sendormir.
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