Les Fantasmes De Sandrine 17
17 - MA NOUVELLE VIE ET NOS RENCONTRES
La semaine reprend et le travail est important. La douleur s'estompe. Mais je dois vous dire que les piercings ont un effet étonnant sur ma libido. Quand mon Maître m'a offert mon piercing de sexe, après la douleur du perçage, j'étais impatiente de voir le résultat et de jouer avec ! Comme je suis assez maso, j'ai adoré le piercing en soi. Mais de voir mon sexe avec ce bijou délicat, j'ai encore plus apprécié le cadeau de mon Maître. J'admets que la première semaine de guérison a été longue, difficile, et douloureuse. La marche, le fait de s'assoir impose une douceur de mouvements. Mais, de savoir que mon Maître est fier de moi et de mes piercings m'emplit de joie ! Je me souviens de la mine réjouie de son visage souriant quand l'aiguille a pénétré mes tétons et le capuchon de mon clitoris et de l'installation des bijoux. La semaine passe et les sensations changent. Chaque mouvement provoque un frottement sur mon clitoris. Au fur et à mesure, la cicatrisation se fait. Les mouvements de tous les jours me procurent de violentes bouffées de plaisirs merveilleux. Maintenant, le piercing bouge facilement et caresse si doucement mon clitoris. Mon Maître m'a formellement interdit de jouer avec en dehors de sa présence. Mais l'avantage, c'est que lorsque je porte un string, un pantalon collant, les sensations sont garanties. Une fois la cicatrisation faite, les sensations de titillement et d'excitation par frottement du piercing sur le clitoris lorsque je marche ou lorsque je croise les jambes sont délicieuses. Je ne peux pas marcher trop longtemps car je ne peux pas me retenir. Les sensations sont extrêmes. Je jouis très souvent sans pouvoir me contrôler. Le bijou que je porte a été bien choisi. Il frotte perpétuellement mon clito et je suis excitée en permanence. Mais lorsque mon Maître joue avec, le seul mot que je peux utiliser est
merveilleux, électrique, dévastateur
Mon Maître est depuis le début de l'année en déplacement sur toute l'Europe.
Je contacte un premier couple, Alain et Catherine. C'est un couple légitime. C'est Alain qui me répond. Le contact est bon. Il nous fixe rendez-vous dans une boite échangiste à une cinquante de kilomètres de chez nous. J'en informe mon Maître chéri. Le samedi soir, je m'habille comme je le dois, c'est-à-dire en soumise BCBG. Pas de signes ostentatoires de ma soumission. Tout est caché en dessous de vêtements très chics : une jupe noire longue mais fendue plus haut que le milieu des cuisses, un chemisier noir dont les trois boutons du haut ont été négligemment oubliés d'être fermés, des bas noirs et mes escarpins noirs. Dessous, mon serre-taille et c'est tout ! Comme à chaque sortie de ce type je ne dois avoir ni slip ni soutien-gorge. Quant à JP, il est très sobre dans sa tenue : pantalon noir, veste noir, chemise noire avec une cravate au nud desserré !
Dans la boite, le décor est très en accord avec la réputation de la boite : Néon de couleur, sono assourdissante ! En entrant dans la salle, mon Maître m'ordonne de déboutonner mon corsage jusqu'à la base de mes seins Il y a déjà beaucoup de monde. Nous entrons et arrivons sur la piste de danse. Quelques couples se trémoussent. L'hôtesse nous guide vers une pièce à l'écart. Une table basse, 4 fauteuils et notre couple est là. La lueur des bougies éclaire faiblement la pièce. Nous nous asseyons. Suivant les ordres de mon Maître, je m'arrange pour que l'on puisse voir mes cuisses et deviner que je porte des dessous sexy. Je découvre Alain. D'entrée, il me déplait : pas très grand, assez fort, 45 à 50 ans, une chevelure noire un peu gominée, une chemise blanche largement ouverte sur la poitrine velue, un collier en or ou doré soutenant une dent de requin, vraie ou fausse, un pantalon de cuir moulant, une gourmette en or ! Tout cela respire l'arriviste soi-disant arrivé ! Catherine, elle est une jolie femme, d'une quarantaine d'années, blonde coiffée au carrée, elle porte un chemisier de dentelle noire qui laisse voir ses seins lourds, une mini-jupe de cuir noir découvre largement des cuisses rondes gainées de bas résille, des talons hauts la grandissent.
Vas-y JP, tu peux tâter ! C'est du solide !
En même temps, il ouvre largement le chemisier de Catherine, dévoilant les seins blancs, marqués par le soutien-gorge de son maillot de bain. JP sourit. Il répond :
Et qu'en pense Catherine ?
Catherine ne dit rien. Elle penche la tête et regarde ses cuisses. Alain la tance :
Tu ne vas pas me faire honte ! Montre-toi !
Catherine obéit à contre cur. Elle se cambre. Ses seins bougent. Elle écarte les cuisses. La jupe remonte laissant voir le haut de ses bas. Elle montre un entrain contraint et . Je regarde JP. Il a compris l'attitude de Catherine et je sais qu'il va en tenir compte. Aussitôt, il dit à Catherine :
Viens Catherine, laissons Sandrine et Alain papoter ensemble ! nous allons voir dans le box à côté !
Catherine regarde Alain qui lui ordonne :
Suit-le et obéit-lui !
Catherine se lève. Elle a l'air d'un chien battu. JP la prend par la taille, me lance un clin d'il et ils sortent de notre salon. Je me tourne vers lui et lui fait un grand sourire. Je parle alors de tout et de rien avec lui et m'arrange pour guider la conversation hors des sujets un peu chauds. Alain de son côté, ne l'entend pas ainsi et il ne perd pas de temps. Il se presse contre moi. A plusieurs reprises il pose sa main sur mon genou. Je lui repousse gentiment la main. Mais je pense à JP. Si je me refuse à Alain, je risque d'en subir les conséquences ! A la quatrième tentative, je laisse sa main sur mon genou.
Je ne bouge pas. Je regarde du côté du box où sont partis Catherine et JP. S'imaginant que mon impassibilité est du consentement, il commence à remonter le long de ma cuisse.
Attends, ne soit pas pressé ! Faisons connaissance !
Il me demande :
Décris-moi ton fantasme actuel, ce dont tu as envie ! Je le ferai pour mieux te soumettre !
Il est un peu prétentieux. Je le remets en place gentiment et poliment :
Il n'y en qu'un qui peut me soumettre, c'est mon Maître JP ! J'accepte les jeux BDSM qu'avec lui et je ne jouis que s'il me l'autorise !
Aussitôt, il cherche à pénétrer ma chatte. Je le freine :
Doucement ! Nous ne sommes pas aux pièces ! Séduit-moi avant !
C'est alors qu'il part dans des conversations sans aucun intérêt pour moi, sa vie professionnelle, sa jeunesse et ses performances sexuelles ! Cela dure environ une demi-heure. Puis enfin JP revient avec Catherine. Elle baisse la tête, en totale admiration de ses escarpins. JP ne s'assoit pas et lance :
Tu viens Sandrine, nous partons !
Sans attendre, je retire la main d'Alain et me lève, salut d'un hochement de tête le couple.
En bas et vite !
J'emprunte le petit escalier qui conduit au donjon. JP me passe devant et ouvre la lourde porte de bois qui condamne l'entrée. Je regarde au sol. J'entends le mécanisme de la serrure fonctionner. La porte s'ouvre. Nous entrons dans le hall, et très vite JP me conduit dans la deuxième pièce, le vrai donjon. Sur le sol carrelé, mes talons claquent. Je repère aussitôt la marque au centre. Je m'y installe, les bras croisés dans le dos, cambrée, la tête haute et le regard au sol. Les murs de pierre accentuent l'impression de donjon. L'éclairage est adapté à une séance de BDSM. JP vient devant moi et commence :
Tu sais pourquoi tu es là ?
Oui Maître !
Pourquoi ?
Parce que Catherine et Alain ne correspondent pas aux critères que vous m'aviez demandés !
Alors pourquoi as-tu accepté cette soirée ?
Je n'en sais rien
Je pensais que
Tu pensais !
Je m'excuse, Maître !
Je vais te dire ce qui s'est passé avec Catherine ! Dès que nous sommes allés dans le box à coté, Catherine s'est effondrée en larmes. Elle m'a immédiatement informé que son mari l'obligeait à ces séances. Elle n'aime pas être donnée à d'autres hommes et encore moins être corrigée. Je l'ai consolée et lui ait donné tes coordonnées téléphoniques au cas où elle aurait besoin de quelque chose ! Donc n'ayant pas pu me défouler sur elle, je vais me libérer de mes tensions sur toi !
C'est normal, Maître ! Faites comme bon vous semble !
Commençons par le commencement ! Déshabille-toi !
Je ne peux retenir une exclamation :
Comment ?
L'ordre fuse à nouveau :
Déshabille-toi ! T'as pas entendu ce que je te demande ? A poil soumise !
Je vacille quelques instants l'ordre dur et l'insulte. Mais je sais que je n'aurais aucun pardon. Je sais que je dois m'exécuter. Je n'ai pas grand-chose sur moi. Je pose mon manteau et me retrouve en serre-taille, bas et escarpins. Je reprends la position favorite de mon Maître : cambrée, les pieds écartés, les bras croisés dans le dos, la tête haute et le regard au sol. Il fait le tour de moi et m'inspecte comme un maquignon sur un champ de foire. Comme à chaque fois que cela arrive, la honte me monte aux joues, la honte dans toute son acceptation, l'humiliation totale, mais un plaisir malsain m'envahit ! Il profite de ma surprise pour me pétrir très durement les seins et de tirer sur mes tétons. Puis, il m'ordonne d'écarter les cuisses autant que je peux. A peine ai-je écarté les pieds, qu'il plonge ses doigts dans ma chatte et exécute de violents aller et retour. Le plaisir est immédiat. La tête rejetée en arrière, les reins cambrés, les yeux mi-clos je jouis comme une folle. Je me mords les lèvres pour éviter que mes gémissements perturbent le silence de notre donjon. JP me demande :
Quelle serait- pour toi la punition que tu mérites ?
J'hésite de répondre. Si la punition n'est pas assez dure, JP accena celle-ci. Si elle est plus forte que celle qu'il imaginait, il prendra la mienne. D'une manière ou d'une autre, je serais sévèrement punie.
Vous pouvez me laisser dans cette tenue sur le trottoir, à faire la pute
Ou bien ?
Vous pourriez me laisser au milieu d'une foule de mecs complètement déjantés.
Ou bien encore ?
Vous pourriez me donner dans une messe noire où je serais torturée avant d'être violée par un nombre incalculable d'hommes
Tous les propositions que je viens de faire, m'excitent au plus haut point, je suis trempée. Mon Maître ne rêve pas comme moi:
Les bras le long du corps ! reprend JP d'une voix sévère.
Vaincue, je laisse retomber mes bras. Je remarque qu'une énorme boursouflure marque l'entrejambe de mon Maître. Mais, sans attendre, il m'installe aux poignets et aux chevilles, 4 bracelets de cuir noir, munis chacun d'un gros anneau. Il me pousse en arrière. Je sens le bois de la croix de St André. JP attache chaque bracelet aux anneaux. J'ai maintenant les bras bien écartés. JP me dit :
Donne tes chevilles !
Je lui obéis car je sais que je vais prendre du plaisir à être offerte à lui, à ses caprices, à ses quatre volontés de Maître. Je suis maintenant entièrement à sa merci. JP me fixe avec un sourire sadique. Sans me quitter des yeux, il me caresse doucement les seins puis le pubis. Il parcoure mon corps sans défense, sa main dans ma vulve, une vulve qui à ma plus grande honte est déjà copieusement trempée
J'imagine la vision que j'offre à mon bourreau, mon Maître : une image inoubliable, une superbe bourge de 40 ans, en serre-taille, bas et talons aiguilles, les seins nus et le pubis épilé, entièrement offerte à tous ses caprices. Et je connais bien mon Maître. Des caprices, il en a à revendre ! JP s'approche maintenant, un sourire aux lèvres :
Que crois-tu qu'il va se passer maintenant, ma soumise ?
Vous allez me corriger pour ne pas avoir choisir le bon couple pour la rencontre de ce soir !
Bien tu as deviné
Je vais te fouetter à la cravache !
JP se campe devant moi, la cravache à la main.
As-tu envie que je te corrige ?
Oui, Maître !
Avant, je vais d'abord procéder à quelques vérifications
Tu mouilles ?
Je réponds un mélange de honte et de plaisirs :
Oui Maître !
Beaucoup ?
Je ne sais pas, Maître !
Je vais donc vérifier !
JP lance sa main entre mes jambes. Ses doigts s'insinuent dans ma chatte. Ils ressortent trempés.
Je vois que cela t'excite beaucoup
Oui Maître !
Alors, je vais devoir te punir encore plus
Faites comme vous le souhaitez, Maître
JP fouille dans sa poche. Il passe sa main entre mes cuisses. Un contact froid me surprend sur la rondelle de mon anus. Le plug ! JP pousse doucement. Je m'ouvre pour laisser la voie à ce délicieux objet de . Il entre entièrement sans difficultés, m'emplissant le fondement. Le froid du métal est surprenant mais très vite, ma chaleur réchauffe l'objet. JP me questionne :
Te voilà fourrée comme une petite dinde !
Je rougis sous l'appellation.
Oui, Maître !
Mais maintenant attention ! Je vais te corriger et gare à tes fesses si par hasard tu le laisse tomber !
Mon Maître me connait bien. Il sait que, lorsque je jouis, j'expulse les plugs qui me garnissent.
Oui Maître !
Bien, on y va !
JP a de drôles d'expressions pour me corriger. Du bout de cuir de la cravache, JP me caresse délicatement tout son corps. Malgré moi, mon corps se tend sous la caresse. Le plaisir s'intensifie et je mouille de plus en plus. Mon pubis a envie de jouir. Il se contracte sans cesse. Je me retiens de jouir. Mon bas-ventre part en avant à la recherche improbable d'un sexe en érection. Je connais mon Maître. Il va me corriger avant de se délecter de mon corps. Soudain des "flip-flop" résonnent dans notre donjon. Je me rends compte que c'est moi qui produis ces bruits incongrus. Mon sexe n'est pas étanche et ma mouille tombe dur le carrelage. Devant cet état de fait, je suis morte de honte. Mon Maître sourit devant cette situation. Le tableau de cette superbe femme liée sur une croix, dont le sexe avoue le plaisir qu'elle ressent, est à la fois captivant, ridicule et déshonorant pour cette femme que je suis ! Mais mon Maître est un connaisseur. Il sait mélanger la terreur et le sexe, la souffrance et la douceur... Prenant un léger recul, JP ne peut se retenir de commentaires ironiques et blessants...
Eh bien ma chère soumise, on fuit ? On n'est plus étanche ? On ne peut pas se retenir ?
Mais aussitôt, JP commence ma correction méritée. Avec sa cravache, il s'attarde sur chacun de mes seins. Il tapote mes tétons, les fait osciller et vibrer à son plaisir. Je ne peux me retenir. Ma jouissance monte dans mon ventre. J'essaie de me contrôler. Mais rien n'y fait. Mais mon Maître sait me tenir en haleine. Il cesse tout contact. Je reprends mon souffle et aussitôt, mon entrejambe est fouetté. La cravache cingle mes grandes lèvres. La douleur est intense, violente. Je me mords les lèvres pour ne pas crier. Mais JP continue. Je crie de douleur, je le supplie de cesser. Autant essayer de discuter avec une porte de placard. Il continue de plus belle. Mais la douleur s'estompe et le plaisir monte de nouveau. Je ne contrôle plus rien. La jouissance arrive, fulgurante, ardente. Je ne retiens pas mes cris. Je hurle. Ils résonnent dans la pièce. Des spasmes me secouent le ventre et bien sûr, ce qui devait arriver, arriva. Je jouis et l'orgasme me fait expulser le plug anal qui tombe sur le carrelage avec un bruit significatif. J'ouvre les yeux. JP est en face de moi et arbore un sourire sadique. Sans rien dire, les coups pleuvent. Mes seins sont visés, les tétons en particulier. Je ne peux pas compter le nombre de coups de cravache que je reçois. Mais la correction s'arrête d'un seul coup. Mon Maître me demande :
Alors que penses-tu de cette fouettée ?
Elle était méritée ! Merci Maître !
Je croyais m'en tirer à bon compte. Mais JP me saisit les tétons et me les pince très fort entre le pouce et l'index. J'ouvre la bouche pour crier de nouveau, mais JP me bâillonne de sa bouche. Je réponds à son baiser. La pression sur mes tétons cesse. La pulpe des pouces caressent amoureusement mes fraises tuméfiées. Le baiser cesse lui aussi. JP me regarde dans les yeux :
Je t'aime ma soumise.
Je fonds en larmes. JP me libère et me conduit dans la chambre. Il me douche avec douceur et enduit mes seins de crème apaisante. Il me couche et s'allonge à mes côtés. Nous nous endormons rapidement. Mais mon Maître est une personne qui a de la suite dans les idées.
Le lundi qui suit, il me rappelle à l'ordre en me disant :
Tu n'as pas respecté ton engagement ! Alors fait le nécessaire pour ce week-end !
Mais, Maître
Je n'ai pas le temps ni le droit à la parole.
Ma soumise, tu dois m'obéir. Le week-end prochain, nous devons rencontrer un couple, ou une soumise ou bien un Maître
Je prends l'attitude d'une vraie soumise. Je me cambre, mets mes mains dans mon dos, baisse la tête :
Bien Maître, je vais essayer de trouver ce que vous souhaitez !
Bien Sandrine !
JP quitte la maison pour toute la semaine, il part en Allemagne. Toute la semaine, je cherche je fouine, pour trouver la perle rare. C'est complexe et pas toujours facile. Enfin, jeudi soir, j'ai un contact. Un Maître et ses deux soumises acceptent de nous rencontrer le vendredi soir vers 21 h. Nous avons rendez-vous dans un bar connu de la métropole de la région. Et puis, un couple souhaite nous rencontrer samedi soir. Je suis contente. Mon Maître ne pourra pas dire que je n'ai pas fait mon maximum. Pour parachever les rencontres je réserve un appart-hôtel à Paris.
Dès la fin de l'après-midi nous prenons la route pour la capitale. Nous avons rendez-vous avec Serge, Nathalie et Hélène vers 20 h 00 à notre appartement. Vers 20 h 00, un appel téléphonique résonne. Serge nous prévient d'un léger retard dû aux embouteillages sur le périphérique. 21 h 00, Serge nous annonce son arrivée. Il vient de se garer dans le parking souterrain de l'hôtel. Quelques minutes plus tard, on sonne à la porte. JP va ouvrir. Devant lui, un homme assez rustre lui parle tout de go :
Salut JP ! Comment vas-tu ?
JP, sans être bégueule, supporte mal le fait de tutoyer les gens sans les connaitre. Il répond sèchement :
Bien et toi ?
Bien, mais Nathalie est retenue pour son travail et Hélène est souffrante. Je suis donc venu seul.
JP ne perd pas facilement le nord.
On peut les contacter par téléphone ?
Serge répond :
Nathalie n'est pas joignable et Hélène est au lit avec une très forte migraine.
Je vois les mâchoires de JP se contracter. La réponse est instantanée et féroce :
Je comprends et je pense légitiment que tu retournes t'occuper d'Hélène. Nous sommes capables de passer la soirée tous les deux sans vous ! Au revoir !
JP ferme la porte et revient dans le salon. Je me précipite et me jette à ses genoux :
Excusez-moi, Maître !
Pourquoi faut-il que je t'excuse ? Tu n'y es pour rien si ce pingouin souhaite profiter de femmes sans en avoir !
JP décroche son portable et compose un numéro. Deux sonneries et une voix en sourdine :
Salut JP ! Comment vas-tu ?
Salut Mickaël ! J'ai envie de passer une soirée sympa avec ma soumise ! Tu peux nous organiser cela très rapidement ?
Oui ! Pas de problème ! Quel genre de soirée ?
Tu t'en doutes un peu, je pense
La réponse est chuchotée. Je ne peux pas comprendre ce que dit l'interlocuteur de mon Maître.
Bien OK ! Je te fais confiance ! A ce soir 19 h00 !
JP raccroche sans me donner d'explications.
Quel genre de soirée me concocte mon Maître ?
Tu le verras, ce soir !!
Je n'insiste pas. Je sais que JP ne me donnera pas plus d'explications. Il ne me donne que quelques instructions :
Nous avons juste le temps, la soirée commence à 19 h 00.
Comme convenu, je m'habille de mon serre-taille de mes bas et de mes escarpins. Et, comme à chaque sortie de ce type je ne dois porter ni slip ni soutien-gorge. JP m'équipe de mon collier et de ma laisse, des poignets et des chevillières de cuir. Il me tend une pochette d'un grand magasin parisien très connu. Dedans, une robe tube en lainage. Je l'enfile sur ma tenue de soumise. Le tube commence juste à mes seins et termine en me couvrant jusqu'à mi-cuisses. JP m'aide à enfiler mon imper noir, prend la mallette et nous voilà dans la rue. Nous nous dirigeons vers la station de taxis au bout de la rue. Pas un taxi en attente. JP sourit et m'entraine vers la bouche de métro à quelques mètres. Nous voilà dans une rame bondée. JP s'est installé au fond du wagon, le dos à la cloison. Il m'attire vers lui. Un instant de panique me saisit lorsque je sens sa main passer entre les boutons de mon imper noir. Ses doigts trouvent vite l'entrée de ma grotte secrète. La honte d'être tripotée par mon Maître dans une rame de métro bondée m'excite au maximum. J'écarte mes cuisses pour laisser le passage libre. Je suis trempée. Les doigts connaissent bien mon intimité et débusque rapidement mon clito et mon piercing. C'est violent et rapide. Je jouis comme une folle. Je m'appuie sur l'épaule de mon Maître pour ne pas choir. Les doigts me quittent et la main remonte vers mon visage. JP présente ses doigts à ma bouche. Je n'hésite pas. Je suce les doigts imprégnés de ma liqueur d'amour. Nous laissons passer une dizaine de stations avant que mon Maître m'ordonne de descendre. Il me suit et me guide vers la sortie.je ne connais pas le quartier. Très vite, JP se repère et guide nos pas. Nous arrivons face à une grande porte. JP sonne. Quelques instants d'attente et la porte s'ouvre. Un grand homme mince nous demande d'entrer :
Bonjour JP ! Tu as trouvé sans difficulté ?
Bien sûr ! Je te présente Sandrine, ma soumise !
Mickaël me détaille :
Alors voilà la fameuse Sandrine dont tout le gratin BDSM parisien parle
J'ai un peu honte et je baisse la tête. Mais très vite Mickaël nous invite à avancer dans son appartement. Nous entrons dans un salon richement meublé : fauteuils de cuir fauve, table de marbre blanc
JP et notre hôte s'installe et je reste debout. On ne m'invite pas à m'asseoir. Mickaël interroge JP :
Sandrine est-elle au courant de cette soirée ?
Mon Maître répond :
Non, elle n'a pas à le savoir ! Elle est ma soumise, donc accepte toutes mes envies !
Bien, je la prends en charge !
Pas de problème, tu as carte blanche !
Mickaël m'ordonne immédiatement :
Enlève ton imper !
Je me dépouille de mon vêtement. L'ordre suivant claque :
En position !
Je m'installe rapidement, les pieds largement écartés, mes cuisses tendent ma robe tricot, les bras croisés dans le dos, la tête haute et le regard baissé. Mickaël s'approche de moi. Il att le bord haut de ma robe et découvre l'un de mes seins.
Joli piercing ! On peut jouer avec ?
JP le conforme dans sa question :
Elle adore cela !
Aussitôt, notre hôte saisit mon téton découvert entre le pouce et l'index et le tord d'un quart de tour. Je me mords les lèvres. C'est parti ! Je ne peux pas contrôler mon corps. Dès que l'on touche à mes tétons, je me mets à mouiller ! Mickaël s'amuse avec mon téton, tordant une fois dans un sens en fois dans l'autre.
Elle a des tétons incroyablement développés ! Et sensibles !
Mon Maître l'informe de ma sensibilité et surtout de la réaction immédiate sur mon entrejambe :
Dès qu'on lui tripote les seins et en particulier les tétons, Sandrine ne se sent plus ! Elle n'est plus étanche et son sexe fuit comme un vieux robinet !
Mickaël rit et annonce :
Je vais vérifier !
Sa main glisse sous ma robe tricot entre mes cuisses et remonte rapidement. Notre hôte rit de nouveau :
En effet, c'est trempé ici !
Je baisse la tête. Mickaël me reprend aussitôt :
Redresse-toi ! Tu as honte de mouiller comme une chienne ?
Oui, Monsieur !
A genoux !
J'obéis. Il cherche la fermeture de sa braguette et descend le zip. Il fouille dans son pantalon et extirpe un sexe court, violacé et d'un bon diamètre. L'ordre suit :
Suce-moi !
J'ai juste le temps d'ouvrir la bouche que sa main se place derrière ma nuque et il pousse. J'avale brusquement son sexe. Il m'oblige à ouvrir largement la bouche, tirant sur les commissures de ma bouche. Heureusement qu'il n'est pas en proportion de longueur que de diamètre. Il m'aurait fait avaler tout son sexe au risque de me faire rendre mon déjeuner ! Mickaël me baise la bouche. Je ne lui pratique pas une fellation. Quelques minutes plus tard, il se vide en moi. Je déglutis avec peine la quantité de sperme qui inonde ma bouche. Il n'a pas dû se vider les couilles depuis un bon moment. Je le nettoie consciencieusement et il rentre son sexe pendouillant. Il prend ma laisse, me relève et tire doucement :
Viens, petite chienne !
Il me pose mon bandeau sur les yeux et installe correctement ma robe tricot. Je le suis. Une porte s'ouvre en grinçant un peu. Un air frais me fait comprendre que nous changeons de lieu. Il m'explique :
Nous allons descendre un escalier, je te guide, n'aie pas peur !
Nous arrivons sur un palier. Un brouhaha m'informe qu'un grand nombre de personnes sont présentes. Notre arrivée fait taire le chahut. Mickaël annonce :
Mes amis, si je vous ai fait venir en urgence ce soir, vous n'allez pas le regretter ! Voilà ce que je vous amène et surtout ce que je vous offre !
Il me fait avancer. Je dois être dans un halo de lumière. Un flot de commentaires parvient à mes oreilles :
Ouah là là ! C'est de la bombe que tu nous amènes !
C'est du surchoix ! De la grande qualité !
A cet instant, Mickaël passe un doigt dans mon décolleté entre mes deux seins et tire sur le côté, offrant à la vue de tous, mon sein orné de son piercing. C'est un concert de louanges :
Ça c'est magnifique ! Elle est toute comme cela ?
Mickaël prend mon téton et lui fait subir la même que dans son salon :
Elle aime que l'on joue avec ses seins et en plus cela l'excite comme une folle !
Il remonte ma robe couvrant mon sein. Les cris appellent à en voir plus :
Montre-nous en plus !
La main de Mickaël saisit le bas de ma robe et remonte celle-ci, dévoilant mon minou nu et surtout glabre. Encore une fois les compliments pleuvent sur mon anatomie. La robe retombe. Nouveaux cris de dépit ! Mickaël me fait faire un demi-tour et relève ma robe, offrant mon cul aux regards concupiscents des hommes. Mickaël annonce :
Je vous l'amène !
Puis pour moi :
Attention aux marches !
C'est étonnant comme un homme qui est prêt à me faire subir les derniers outrages, à me livrer en pâture un groupe d'hommes assoiffés de sexe, puisse être aussi prévenant pour me faire descendre un escalier. Au bas de l'escalier, les hommes m'entourent. Déjà, ils sont chauds. Ils ne se gênent pas. Une main saisit mon sein à travers ma robe et le pétrit pour en estimer la tenue. Une autre main découvre l'autre sein et le soupèse, apprécie son volume son poids et de l'index, joue avec mon piercing. Ma laisse me tire en avant. Mes seins sont délaissés mais aussitôt repris par d'autres mains avides. Ma robe est baissée sous ma poitrine. Mes seins sont offerts aux mains masculines. On joue avec et soudain, une bouche se pose sur l'un d'eux. Mon téton est aspiré, sucé, mordillé. La réaction, bien connue arrive. Je mouille mon sexe. D'autres mains flattent mes fesses, les massent. Mais déjà, une phrase annonce le début des hostilités :
Amène-la vers la table !
Ma laisse me tire vers l'avant. Dans mon déplacement, ma robe est descendue à ma taille et remontée au-dessus de mes fesses. Les parties attirantes de mon anatomie sont disponibles à la vue comme au toucher. Mes genoux buttent comme un objet. C'est la fameuse table. Elle est basse et on m'installe à genoux sur celle-ci. Des doigts saisissent mon sein et le triture. Une main sur ma nuque m'oblige à me pencher. Mes épaules entrent en contact avec le bois de la table. Mon cul en l'air, excite les hommes. De savoir un groupe d'hommes s'exciter sur mon cul, je ne me retiens pas. Mes mains attachées dans mon dos me permettent de saisir mes fesses et de les écarter, offrant mon anus à la vue des mâles sur excités. Une main cramponne ma chevelure et m'oblige à me redresser. Mickaël me retient en me tenant par les bras. Un sexe bat mes joues. Je sais ce qu'il attend. J'ouvre largement ma bouche et gobe le gland. Puis je le lèche. Il est massif. Le propriétaire commente ma prestation :
Oh là là ! Les mecs, je ne vous dis pas comme elle suce ! Un vrai régal ! Elle a une langue qui fait des miracles !
D'autres se manifestent :
Et nous ?!
Un autre sexe arrive et s'impose à ma bouche. Je l'embouche et lui fait subir les mêmes caresses que le premiers. Mais derrière moi, on s'occupe. Des mains pelotent les fesses. Soudain une claque s'abat me faisant avancer et gober au plus profond de ma bouche le sexe que je suce. Des doigts trouvent l'entrée de ma grotte secrète. Les doigts découvrent aussi que je porte un piercing au capuchon de mon clitoris :
Putain, la salope ! Elle est percée là aussi !
Mais les doigts ne restent pas inactifs. Ils me tripotent vigoureusement. Ils ne cherchent pas à m'exciter, ils cherchent à me faire mal. Là encore, cette rudesse me convient et affole ma libido mes fesses sont largement écartées et en même temps, les lèvres de mon sexe sont étirées, ouvrant la voie à d'autres doigts. Combien me fouillent ? 4, 5, 6 ou plus ! Je n'en sais rien. Mais c'est bon ! Un commentaire arrive :
On fait tourner !
Je me demande ce qu'il va m'arriver en entendant cette instruction. Mais non, cela ne se borne qu'à me donner un autre sexe à sucer, que d'autres doigts fouillent mon sexe. Les sexes se succèdent dans ma bouche. Toutes les tailles passent : des gros courts, des longs minces, des recourbés en haut, des droits
Dans mon sexe, les doigts me pénètrent. Mais depuis quelques instants, ce sont les mêmes qui uvrent. Quatre doigts entrent et sortent avec vigueur. Ils me dilatent le sexe. Je sens qu'ils entrent en moi jusqu'aux articulations de la paume. Puis soudain, le vide. Pas pour longtemps, un sexe trouve mon entrée et me défonce. Le propriétaire de ce sexe imposant, accorde son rythme ave celui que je suce. Quand j'avale le sexe, l'autre ressort et ainsi de suite. Les couilles de mon baiseur cognent contre les lèvres de mon sexe et m'excitent. Des mains ne laissent pas mes seins. Mes piercings attirent des doigts qui jouent avec. Mon excitation s'enfle copieusement. J'ai désormais, deux sexes offerts à ma bouche. Je les suce alternativement et les embouche à tout de rôle. L'homme qui me baise est monté sur la table et me pistonne avec fermeté. Son bas ventre entre en contact avec mes fesses et ce claquement résonne dans la pièce. Un main se cramponne à mes cheveux et m'oblige à enfourner au maximum le sexe que je suce. Je suis asphyxiée par le membre. Il se vide en moi. Le sperme envahit ma bouche et je ne peux pas tout avaler. Un haut le cur me fait tousser et le sperme trop abondant ressort par mon nez. Je me fais copieusement sermonner :
Comment cela, petite salope soumise ! Tu ne peux pas tout avaler ?
Aussitôt une volée de claques tombe sur mes fesses cambrées. Je peine à reprendre mon souffle. Je m'excuse platement :
Excusez-moi messieurs, j'ai été surprise par le volume de sperme ! Je vais faire de mon mieux !
A peine ai-je fini de prononcer ma phrase, que deux sexes se présentent à ma bouche. Ils veulent que je les suce ensembles. Ils sont très gros. En me distendant les mâchoires, je réussis à engober les deux glands. Mais impossible d'aller plus loin. Entre temps, mon baiseur se vide en moi. Mon vagin n'a pas le temps de s'habi au vide. Une autre queue m'investit et commence un pilonnage intense et profond. Une autre queue force sur mes lèvres. Je ne résiste pas à la poussée et ouvre largement ma bouche. Le sexe entre fortement et entièrement. De ma langue, je le bloque pour ne pas rééditer ma mauvaise expérience précédente. Mais le possesseur de ce chibre ne le considère pas ainsi. Il me saisit par la nuque, m'obligeant à redresser la tête et m'impose une pénétration plus profonde. Je sais qu'il vaut mieux accepter que de résister. Je le laisse faire et commence une fellation digne de ce nom. Entre temps, mes seins ne sont pas en reste. Des mains me malaxent, me triturent les tétons. Des doigts jouent avec mes piercings, accentuant mon excitation et la lubrification de mon vagin. Mon nouveau baiseur devait être très excité. Il ne tient pas la marée. Il se vide en poussant comme un bucheron. Une nouvelle queue me pénètre. Les va et vient s'accélèrent et me propulsent vers l'avant. Ma bouche reçoit une dose de semence. J'avale consciencieusement ce don. Mon baiseur continue son uvre. Ses poussées m'obligent à me tenir au bord de la table pour ne pas m'affaler sur la table. Puis, la queue me quitte. Je suis brutalement retournée et je me retrouve à plat dos sur la table. Une queue trouve l'entrée de mon sexe et me cloue à la table. Les bras de mon baiseur se glissent dans la pliure de mes genoux et me relèvent les jambes. Mes genoux touchent mes épaules. L'homme pèse de tout son poids. Je suis totalement immobilisée et ouverte à la pénétration. Une main tourne ma tête et une bite frappe sur ma joue. J'ouvre grand ma bouche et le sexe investit durement ma cavité buccale. Jentends farfouiller derrière et je suppose que un homme va me faire subir autre chose. Une seconde après, je sens que l'on introduit un objet dans mon anus. C'est rond froid et assez gros. Puis jentends un petit bruit de moteur. C'est un gode, il ma mis un gode dans le cul. Je suis donc allongée sur le dos, avec une queue dans la bouche un sexe dans le ventre et un gode dans le cul. Mon violeur de bouche donne des coups de reins maintenant faisant coulisser sa bite entre mes lèvres.
Je le repousse de la langue, lui tête le gland, lui lèche la hampe et avale le tout de nouveau. Les vibrations du gode me font mouiller comme une folle, je nen peux plus
Je gémis. Un homme me demande :
Tu aimes cela la baise ? Tu aimes te faire défoncer ?
Jhésite
une fraction de seconde
Oui
Oui
Baisez-moi ! Défoncez-moi !
Je sens sa queue qui me pénètre et je gémis, la bite d'un autre homme dans ma bouche
Je suce de plus belle la belle queue qui me viole la bouche. Mon baiseur mes saisit aux hanches et me pilonner violemment. Sa queue va et vient dans ma chatte. Il senfonce très loin, et je gémis à chaque coup de reins. Son ventre claque contre mes fesses. Je suis complètement excitée maintenant. Lhomme me bourre sauvagement comme je l'ai rarement été. Jai un premier orgasme
Je pousse un long gémissement plaintif sous les ricanements pervers de mon violeur ! Mais les hommes lâchent des commentaires :
Salope de bourgeoise ! Tu n'attendais que ça dêtre traitée en chienne, en salope ! Tu es une vraie pute
Comme à chaque fois que l'on m'insulte, que l'on humilie, un plaisir malsain me prend et ces mots provoquent en moi un orgasme, un deuxième en quelques minutes. Malgré cet orgasme qui me terrasse, javale toujours la queue. L'homme me tient par les cheveux et fait coulisser sa bite rapidement entre mes lèvres. Un autre homme annonce :
Fini le gode, une vrai queue va te sodomiser !
Je frémis mais ne dis rien. Une pression contre ma rondelle fripée. Je me décontracte au maximum. Sa bite senfonce dans mon anus. Il est énorme. Je serre les dents. Comment ont-ils fait pour me prendre ainsi ? Je n'en sais rien mais ils ont réussi ! Les hommes me défoncent le bas ventre en ahanant, en soufflant, en m'insultant.
Putain de salope !
Tu es une belle enculée ! Il y en a peu que dont je peux casser le cabinet ! Mais toi ton cul avale tout ce qui se présente !
Il sactive de plus en plus vite dans mon cul et je gémis tout en continuant de sucer une queue. Est-ce la même ou bien une autre, je n'en sais rien ! Je lui donne des coups de langue sur le gland. Je suis maintenue par les cheveux, lui permettant de senfoncer le plus loin possible. Lhomme se retire et éjacule, libérant une belle quantité de sperme qui me souille le visage. Jen ai dans les cheveux, les lèvres et les yeux m'aveuglant. Mais des mains me pelotent méchamment les seins. Elles me font mal. Je proteste en vain. L'un des hommes me presse le sein et le prend en bouche. Devant la douleur de la succion, je m'agite. Mes seins ballottent à lair. Un commentaire fuse :
La salope, elle remue ses seins comme une mousmée qui se trémousse !
Une queue se présente à ma bouche. Le propriétaire me lance :
Allez, vas- y pompe et à fond, salope !
L'odeur de la queue n'est pas engageante et me dégoute un peu. J'hésite à la prendre une bouche :
Si tu refuses je vais être obligé de te forcer !
Dune main il me pince le nez bloquant ma respiration et de lautre il appuie sa verge contre la bouche. Je résiste quelques instants mais j'ai besoin d'air. J'ouvre la bouche, mais au lieu que ce soit de l'air qui s'engouffre dans ma bouche, c'est un gros chibre qui force mes lèvres et emplit ma bouche. Et il me commande :
Maintenant tu suces !
Je suis surprise par le volume du membre, mais je n'ai pas le choix et j'accepte et le fait coulisser la hampe entre mes lèvres. Lhomme enfonce son membre au maximum m'étouffant à chaque poussée. Il commence à gémir et croyant me récompenser, il me malaxe sans doucement les seins, avec la remarque :
Vas-y, fais-moi jouir salope !
Je le suce avec un maximum d'ardeur et l'homme ne résiste pas à ce traitement. Je sais que je suis une bonne suceuse, on me le dit régulièrement dans ce type de soirée. L'homme jouit et se vide dans ma bouche. J'avale consciencieusement la liqueur de corps d'homme. On me saisit les mains et me les maintient à coté de ma tête. Une personne me parle :
Nous savons que tu es une bourgeoise soumise, qui adore être jetée en pâture à des groupes d'hommes en mal de rut ! Tu es ici pour sucer, te faire baiser et te faire enculer un maximum de fois et de préférence par des grosses queues !
Comme à chaque fois, outragée par ces propos odieux, je bafouille quelques mots inaudibles. La boule dans mon ventre se forme de nouveau et un orgasme monte. Mais on me chuchote encore à l'oreille :
Alors, on va te baiser pour te montrer ce que tu es vraiment !
Latmosphère sexuelle devient vraiment grandissante. Un sexe impressionnant, presse mes lèvres. Je le laisse entrer. Je suis envahie dimpressions et dimages. J'écarte mes cuisses largement, espérant attirer une queue pour satisfaire mon envie. Le pénis durcit et grossit dans ma bouche. Je le suce mais je ne suis plus très lucide. Après quelques instants, le désir et la volupté me crispe le ventre. J'accélère la cadence. Lhomme gémit de plus en plus, senfonçant bien dans sa bouche. Bientôt entrainée par le plaisir, je gémis de plaisir. Mais à ce rythme, lhomme ne tient pas longtemps. Il jouit dun coup et éjacule dans sa bouche, avec des râles de jouissance puis dégage brusquement son membre gicle plusieurs fois et longuement. De nouveau, le sperme léclabousse et coule sur mon visage, sur mes lèvres. La réaction est violente. Un orgasme se déclenche et je crie mon plaisir. Une remarque vient perturber le silence :
On dirait quelle aime ça, cette garce !
Un autre ajoute :
Il faut la baiser maintenant !
Un autre commentaire fuse :
Il faut lui défoncer lanus à cette chienne !
Une autre voix proclame :
De toute façon on va lui faire la totale, on va en faire une trois trous, pas vrai les gars ?
Je n'ai pas le temps de réagir, que je suis retournée. Un homme est déjà là allongé. Je l'enjambe. Son sexe bat mon entrejambe et trouve vite l'entrée gluante de mouille et de sperme ! Un autre derrière moi, s'écrie :
Mais défonce là, elle mouille ! Je vais la prendre par le cul !
Envahie par le désir et l'envie d'être prise par tous les trous, je mabandonne. Dans cet état de passivité et d'adhésion, je prends dans ma bouche, une grosse banane de chair pour une nouvelle fellation. Je fantasme un peu : Quelle queue, il va m ! Le désir me conduit à sucer ce membre entre mes lèvres en accélérant le rythme toujours de plus en plus vite. Lhomme donne un coup de rein et sa trique courbée senfonce dans ma gorge. Je tousse presque étouffée. Il va me décrocher la mâchoire. Un homme commente :
Vas-y gicle, elle va tout avaler !
Dun coup lhomme hurle son plaisir. Son gros pénis tendu quitte ma bouche et éjacule plusieurs fois sur le visage déjà bien aspergé. Il m'en finit plus déjaculer. Un autre orgasme me submerge. Je ferme les yeux. Le visage complètement inondé, je savoure alors mon plaisir. L'homme se retire. Je reste allongée sur le dos, les cuisses béantes. Mais je suis de nouveau retournée. Une bite de belle taille s'enfonce dans mon cul et me pilonne. La scène excite les participants. L'un d'eux sexclame :
C'est la première fois que je vois ça ! Cette pute est un hangar à bananes, une éponge à sperme, une serpillère ! Elle suce à merveille, baise comme une vraie pute et se laisse enculer comme la dernière des trainées ! Cest une vraie salope qui aime le sexe !
Ces compliments me remplissent le cur de bonheur, de honte et de ce fameux plaisir malsain. Je les laisse profiter de mon corps comme bon leur semble. Ils me tripotent, me pétrissent, me pincent les seins. Ils m'enfoncent les doigts dans la bouche, le sexe et lanus en même temps. Les insultes pleuvent.
Garce, salope, putain, trainée, chienne !
S'ils croient m'abaisser, ils se trompent. Bien au contraire je prends du plaisir à être humiliée, à être rabaissée au rang de salope, de chienne de bas étage ! Pour la première fois de ma vie, je subis mais aussi j'apprécie ce viol collectif que mon Maître m'offre. Ce gang-bang, puisque cen est un, m'entraine malgré moi, dans de grandes voluptés. Je jouis encore plusieurs fois. Puis on me relève. Je suis coincée entre deux hommes bien montés. Ils me prennent en sandwich, lun me pénètre le vagin jusqu'au col de l'utérus, lautre me dilate le cul en largeur et en longueur. Ils défoncent mon corps brutalement, avec une ardeur sauvage et accompagnent leurs actes avec des commentaires graveleux :
Salope, tu aimes ça hein ?
Je suis tellement secouée que je ne peux construire une phrase cohérente. Je gémis de plus belle, les jambes bien écartées et jouis en plaintes voluptueuses. Ils alternent leurs mouvements. Quand me pénètre le sexe, l'autre sort de mon cul et vice-versa. Pendant quelques minutes, le ballet de nos corps provoque des claquements de peaux, des bruits de corps mouillés par la transpiration. Puis, ils éjaculent presque en même temps, hurlant comme des bêtes, inondant mes entrailles. Je me cambre, rejetant ma tête en arrière, mes yeux révulsés, et ma bouche grande ouverte. Lorgasme me tétanise. Je hurle un long cri rauque. Il me surprend tellement il vient du fond de mon ventre. C'est alors que je perds toute notion de réalité. Je me sens devenir molle comme une chiffe. Je reviens doucement à la vie. Depuis combien de temps, des queues usent de mes orifices, de tous mes orifices ? Je ne sais pas ! Toujours est-il que plus d'hommes ne cherchent à m'utiliser comme vide-couilles ! Plus de queues à sucer, plus de queues à me baiser, plus de queues à m'enculer. Je reprends mon souffle calmement. Un instant de calme me permet de prendre un peu de repos. Mickaël me saisit par les cheveux et le lève de la table. Il m'impose de me mettre à quatre pattes. Il tire sur ma laisse et me dit :
Maintenant que tu t'es bien fait tirer par tous les trous, il faut remercier tous tes baiseurs !
Il me guide et me demande de me mettre à genoux, les mains croisées dans le dos et me dit :
Remercie ton baiseur !
J'hésite et balbutie :
Merci Monsieur de m'avoir baisée !
Mickaël me tance :
Il n'a pas fait que te baiser !
Je reprends mes remerciements :
Merci monsieur de m'avoir baisée, de m'avoir enculée et d'avoir accepté de vider vos couilles dans ma bouche !
Voilà, c'est bien, continue !
Je répète mes compliments devant onze autres jeunes hommes. Ensuite, Mickaël me guide avec ma laisse, toujours à genoux. Je fais ma fière. Je me cambre et roule des hanches. Des commentaires fusent :
Regarde comme elle roule du cul !
C'est une vraie salope !
Une vraie chienne plutôt !
Je remonte l'escalier à quatre pattes. En haut, mon guide me relève. Je veux parler. Il me laisse faire :
Messieurs, je vous remercie tous encore, mais la prochaine fois, je demanderai à Mickaël de me donner à des vrais hommes ! Je cherche mes limites et ce soir, c'est vous qui avez trouvé les vôtres ! J'aurais encore pu éponger encore au moins une vingtaine de vos compatriotes !
Ders rires fusent. Mickaël me tire vers la maison. Nous franchissons une porte. Soudain, JP est près de moi :
Alors ma petite soumise, Comment vas-tu ?
Bien Maître ! Je vous remercie de m'avoir offerte à ce groupe d'hommes...
JP me retire mon bandeau. Heureusement la lumière est douce et ne n'aveugle pas. JP me contemple :
Tu es dans un drôle d'état ! Regardes-toi dans la glace !
Je fais un quart de tour et me voit. Je suis souillée de partout. Des traces jaunes blanchâtre maculent mes cheveux, mon visage et ma poitrine. JP relève le haut de ma robe tube et Mickaël baisse le bas. Là encore des traces salissent ma robe. JP annonce :
Merci Mickaël de ta prestation ! Nous rentrons !
JP prend ma laisse et me guide vers la sortie. Juste avant la porte d'entrée, il me retire mon collier et ma laisse. Il ouvre la porte. Devant, le Cayenne de JP attend. JP m'ouvre la porte, m'installe confortablement, incline mon dossier me couvre d'une couverture polaire et démarre silencieusement. Je m'endors sereine et apaisée. Le 4x4 ralentit. Nous sommes arrivés. JP me conduit à notre chambre. Il me déshabille délicatement, me guide jusqu'à la douche. Je suis nettoyée, avec douceur. Séchée il me ramène à notre lit. Il me demande de me mettre sur le dos, les cuisses relevées et largement écartées. Il veut certainement me prendre à son tour. Bien au contraire, il enduit mon sexe et mon anus de crème apaisante. Il m'allonge et je m'endors comme petite fille !
Il est plus de 10 heures lorsque j'ouvre un il. J'enfile mon peignoir court de soie et descends dans la cuisine. JP est là, il m'a préparé mon petit déjeuner. Je suis servie comme une princesse et nous décidons de passer un dimanche calme chez nous. Nous déjeunons tranquillement. Au café, mon Maître me demande :
Alors ma soumise, tu as été bien punie, hier soir ?
Non Maître, ce n'était une punition, mais un plaisir d'avoir des hommes à mon service pour se vider dans ma bouche, pour me baiser, pour m'enculer, pour me saillir comme la chienne que je suis ! J'ai jouis merveilleusement ! Merci mon Maître adoré !
Tu es une vraie salope, Sandrine !
L'après-midi, j'ai envie de bouger un peu. Je propose à JP de nous rendre en vélo à notre verger. Il accepte. Mais avant de partir, je passe me changer. Je m'habille d'une robe courte d'été et surtout j'enfile un slip blanc bien couvrant pour éviter des traces. En effet, depuis que je porte mon piercing au capuchon de mon clitoris, la pratique du vélo est devenue un délicieux supplice. La première fois que j'ai fait du vélo après mon piercing, j'ai cru défaillir. Le frottement des cuisses l'une sur l'autre ne cesse de faire bouger la barrette. Mon clitoris est donc, à chaque coup de pédale caressé par la barrette. J'inonde donc mon entrejambe et bien entendu le fond de ma petite culotte et aussi ma jupe ou ma robe ! Nous partons. Trois kilomètres de pur plaisir ! Arrivés, nous entrons dans l'abri de jardin. Nous sortons une échelle et nous dirigeons vers le cerisier. JP dresse l'échelle et me dit :
Monte ma soumise !
Insouciante, je grimpe et commence à cueillir des fruits rouges et juteux. Pas un instant j'ai songé au spectacle que j'offre à mon Maître. Il a une vue directe sous ma robe et peut constater que, sans son autorisation, je porte un sous vêtement. Je remplis le panier et redescends. JP plie l'échelle et la ramène à l'abri. C'est alors qu'il me demande de me mettre face à la paroi et de m'accrocher aux crochets qui soutiennent le tuyau d'arrosage. Il saisit le bas de ma robe et le remonte. Ah, il va voir que je porte une culotte.
Eh bien, ma soumise, je te prends en flagrant délit de désobéissance
Sans mon autorisation, tu portes un sous-vêtement alors que tu dois être nue sous ta robe ! Cela mérite une punition ! Qu'en penses-tu ?
Je pince les lèvres. En effet, selon les règles qui me sont imposées, je dois être nue sous mes robes en présence de mon Maître. Je réponds :
Oui, Maître je dois être corrigée pour cette faute impardonnable !
A la bonne heure !
Il saisit sur le fil à linge, deux épingles. Il pince le bas de ma robe au haut de celle-ci au niveau des fines bretelles. Ensuite, il descend ma culotte blanche à mi-cuisses et me dit :
Ne bouge pas !
Il sort de l'abri et me laisse, les fesses à l'air ! Il revient au bout d'une dizaine de minutes.
C'est bien tu n'as pas bougé !
Je le sens se déplacer derrière moi. Il m'avertit :
Tu vas être punie. Je ne veux pas un mouvement, pas un cri, pas une supplique ! Compris ?
Oui, Maître !
Je m'attends à être corrigée avec une badine de noisetiers. Il y en a plein dans le buisson qui longe le chemin. C'est alors qu'une drôle de caresse passe sur mes fesses. Mais instantanément, une brûlure enflamme mes rondeurs. Que se passe-t-il ? Je jette un coup d'il sur ce qui se passe dans mon dos. Je vois sans une certaine horreur, que mon Maître me caresse les fesses avec un bouquet d'orties ! La brûlure augmente sans cesse. Je bouge un peu le cul pour éviter le contact avec les branches urticantes. Mais JP sait s'y prendre. La correction dure longtemps. Je ne prends aucun plaisir à cette correction. Des larmes coulent sur mes joues, mais j'ai ma fierté. Je ne dis rien et ne refuse pas trop le contact. Enfin mon Maître cesse. Aussitôt, pour que la correction ne recommence pas, je prononce des remerciements :
Merci Maître !
JP est surpris :
De rien ma soumise, mais reste encore ainsi ! Tes fesses sont adorables, toutes décorées de cloques roses !
J'ai honte et c'est là que le plaisir vient. Une boule dans le ventre grossit et s'enfle. Je jouis en silence, me mordant les lèvres pour retenir tout gémissement qui avertirait mon Maître du plaisir que je prends sans son autorisation. Mais un autre ordre fuse :
Ne bouge toujours pas !
Il sort de nouveau. Quelques minutes plus tard, il est de retour. Je crains le pire. Et en effet, le pire arrive. Je remarque entre mes cuisses, qu'il dépose des brins d'orties sur le fond de ma culotte blanche. Au début, tout va bien, mais plus il en dépose, plus les brins tombent de chaque côté et frôle la peau douce et satinée de l'intérieur de mes cuisses, irradiant des brûlures instantanées. Le volume de brins d'orties est important lorsque JP cesse l'installation. C'est alors qu'il me demande :
Remonte ta culotte !
J'hésite sachant ce qui m'attend. JP s'impatiente :
Allons, dépêche-toi !
Je saisis les côtés de ma culotte et la remonte doucement. Dans le souci d'éviter que mon entrejambe soit en contact avec les brins urticants, je ne la remonte pas complètement. Mon Maître me demande de me retourner face à lui. Je lui obéis sans serrer les cuisses. Je suis face à lui :
Relève le devant de ta robe !
Je lui obéis. Doucement je relève ma robe. La vision de mes cuisses écartées et de ma culotte pas totalement remontée le fait sourire.
Tiens ta robe bien relevée !
C'est alors que JP saisit la ceinture de ma culotte et d'un coup sec, remonte celle-ci. Il me soulève presque de terre. La surprise est entière. Mais aussitôt, la brûlure sur mon sexe et la raie de mon cul est horrible. Je suffoque de douleur. JP n'en reste pas là. Il passe sa main entre mes cuisses et presse le fond de ma culotte contre les lèvres de mon sexe et mon anus. Il me prévint :
Voilà, tu sais ce qu'il t'arrivera chaque fois que tu porteras une culotte sans mon autorisation ! Tu peux baisser ta robe !
Je laisse tomber le devant de ma robe. Il passe dans mon dos et ôte les pinces à linge. Je suis de nouveau décente.
Bien nous pouvons rentrer !
Je suis obligée de monter sur mon vélo. Mais j'évite de m'assoir sur ma selle. Mais mon Maître, voyant ma rouerie, me dit :
Assis-toi et je t'interdis de te mettre en danseuse !
Le trajet de retour est un vrai supplice. Car si la douleur est insoutenable, mon clitoris est toujours malaxé par le mouvement de mes cuisses. Je mouille comme une folle. J'inonde ma culotte et le plaisir vient. Je commence à jouir. Un reflex de sagesse m'impose un arrêt pour ne pas tomber. A peine ai-je un pied au sol, que je jouis et ne peux retenir un gémissement de bonheur. Je regarde mon Maître et lui dis :
Merci Maître de cette punition exemplaire ! Je m'en souviendrai et à l'avenir je vous demanderai l'autorisation de porter une culotte
sauf si j'ai envie d'être punie comme aujourd'hui !
Il sourit et me dit :
Rentrons !
Nous reprenons nos vélos. La douleur est encore présente. Nous arrivons. JP m'annonce :
Je vais à Berlin la semaine prochaine. Je pars dès ce soir. Je te laisse le Cayenne. Tu viendras nous chercher le week-end prochain à Paris.
Il appelle un taxi et dix minutes après il est sur le départ. Nous attendons le taxi auprès du portail. Je m'agenouille devant lui et extrais de son pantalon, son sexe en semi-érection. Quelques coups de langue sur le bout du gland et le voilà en pleine forme. Je l'embouche et lui administre une fellation. Le taxi arrive. JP ne se retient pas. Il se vide dans ma bouche. Je le nettoie vite fait bien fait. Il range son instrument. Juste avant de monter dans le taxi, il me dit :
Tu peux retirer ta culotte !
Le taxi s'éloigne déjà. Je ferme le portillon métallique. Je me presse vers la salle d'eau. Je retire ma culotte. Le fond est nappé d'une bouille infâme verdâtre, mélange d'orties pilées et de ma mouille. Je me débarrasse de cette culotte. L'air frais me rafraîchit le ventre et les fesses. Je glisse une glace entre mes cuisses et découvre l'étendue du désastre. Mon entrejambe et le haut de mes cuisses sont roses et couvert de cloques roses. Je descends auprès de la piscine. Je m'allonge sur un transat les cuisses largement écartées. J'attends un bon moment avant de m'assoir. Il me faut au moins une heure avant de pouvoir disposer de mon arrière train !
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