Collection Les Chiennes. Ma Fille. Saison V (14/15)
Au retour de la prison de Nice, la dernière phrase prononcée par Tonio minterpelle surtout le bout de phrase ou il ma dit « je vous aiderais. »
Je sais lattachement quil a pour Monsieur layant sorti de son trou et le payant grassement pour entretenir sa voiture, le conduire et garder lentrée de notre forteresse.
- Tonio, pouvez-vous passer par la rue des Serres ?
- Là ou habite Prof, lami de Monsieur.
- Cest exact, vous vous arrêtez et mattendrez.
En bon toutou, il me conduit, je descends et je sonne, car il y a un Digicode.
Jattends.
Une caméra me regarde et la porte souvre.
Je comprends pourquoi elle sest ouverte et que Nouzha est entrée sans perdre de temps.
- Tu as de la chance, je viens juste de rentrer de mon cabinet.
Il me prend dans ses bras et me sert à lui.
Sil se fait la commissaire, il sait le cacher.
Jai devant moi un homme qui semble maimer comme semblait maimer Jean quand je lai fait jouir cérébralement en lui racontant notre nuit de noces.
- Je suis venue voir ton coffre-fort, ça pourrait être utile en cas de problème, je pourrais te rejoindre ici en cas de problème dans ma villa.
Je joins la parole aux actes, je lui mets la main à la braguette.
Lui aussi, il bande.
Leur verge gros point faible de tous les hommes.
Avant le départ de ma fille pour des contrées lointaines, le sexe je connaissais puisque jai eu ma fille.
Mais le sexe et largent, ce qui pimente la chose, je le découvre de plus en plus.
- Viens, je vais te montrer.
Au fait, demain 11 heures au port devant le yacth, nous irons faire une réception de matières premières.
Avec ça nous tiendrons presque trois mois.
Nous descendons un petit escalier en colimaçon pour arriver dans une salle de projection tout à fait banale bien quelle ait dû couter un paquet de fric.
- Tu vois, lutile à lagréable.
Si quelquun arrivait ici, voit une salle où je peux regarder De Funès dans la grande vadrouille.
Alors que si jappuie sur ce bouton sur le côté de ce meuble il pivote ouvrant ma caverne dAli Baba.
- Mince, le tas de pognons, il y en a même un tas parterre.
Baise-moi dessus Charles.
Je le tire en arrière, il soulève ma jupe au moment où je me couche sur toutes ces liasses principalement de 100 .
Nouzha sest-elle que cette chambre existe ou est-elle une lionne qui aime jouer avec le feu en venant se faire baiser chez cet homme.
Des questions sans réponse mais jaime cette queue après l'avoir sortie et qui en écartant ma petite culotte me baise comme la pute que je suis devenue.
Quand il ma fait jouir, une petite ligne est la bienvenue.
Depuis mon mariage et la coke sur la table du salon de jardin, javais oublié les sensations que cela mapporte.
Quand je rejoins ma voiture et Tonio, jai avancé dun cran dans la connaissance de ces fumiers.
- Tonio, tu mas bien dit que tu voulais maider à faire sortir Monsieur de son trou à rats où il se trouve.
- Oui, Madame.
- Voit Wolfgang pour les besoins matériels, mais je veux une surveillance de cette maison de tous les instants et quun rapport régulier me soit fait.
- Bien, Madame, je vais voir avec lui.
- Rentrons.
Les jours passes, Tonio me fait son rapport régulier.
Il a réussi à acheter une vieille camionnette qui servait à la police pour des planques.
Son avantage, les vitres teintées, il voit sans quon le remarque.
Allez, retour, femme de ménage, point de Nouzha, mais ça fait six jours quil planque.
Le lendemain comme prévu je me fais conduire au port ou je monte à bord du yack qui part dès que Prof nous a rejoints.
Que dire, balade en mer, un hydravion qui se pose près de nous, une embarcation et 300 kilos de poudre blanche qui passe du cockpit à une des soutes à gasoil pour la propulsion du bateau ?
- Bonjour, Roland, je te présente Jennifer, la femme de Monsieur, cest elle qui est susceptible de venir chercher le produit.
- Bien, je prends note, quand ce sera vous, jaurais plus de plaisir quavec ce vieux bouc toujours mal luné.
Nous sommes rentrées, le soir plusieurs motos sont venues nous rapporter des paquets qui sont rentrés dans la cave en attente de leur vente.
- Madame, cest la police, à la grille.
- Faites entrer, je vais les recevoir au salon.
Jattends, une femme flic arrive avec deux policiers.
- Que me vouliez-vous, je viens de payer mes impôts.
- Je suis le lieutenant Louhna, je remplace la commissaire Nouzha pendant ses vacances.
Vous pouvez vous asseoir !
Louhna, Nouzha, la police fait honneur au pays en incorporant dans ses rangs des gens de la diversité.
Elle veut que je massoie, je le fais, je comprends pourquoi dans ses rapports Tonio a oublié de me parler des visites de la commissaire.
- Madame, votre mari est mort pendant une bagarre à la prison, créé par un jeune détenu, je le regrette.
Le jeune homme se prénomme Zinedine, il sest servi dun collier délectricien qui devait être bien caché dans le colis quil avait reçu hier.
Il refuse de dire doù venait ce colis.
Radia, pauvre conne, lun pour Zinedine comme prévu avec lui quand il est venu chez moi et que je lui ai offert de la coke et un lingot.
Le deal, il se faisait arrêter, tuait mon mari pour gagner sa schnouff et son pognon.
Il est prévu que je le fasse sortir pour le récompenser.
Je lui ai promis de le faire évader.
Là où jai été à la hauteur, cest quand je lui ai fait goûter à la chatte de Radia.
Pour un puceau, comment refuser.
Que les hommes sont facilement à berner.
Il peut attendre longtemps que je lève le petit doigt prenant des risques pour cette petite frappe.
Il pourrira quelques années en prison.
Je sais, une nouvelle fois, je montre ma perfidie.
Le fric, le fric toujours le fric.
Crémation, mari sans descendance, une femme qui récupère tous ses biens en peu de temps.
Je suis une veuve éplorée.
Dun commun accord, Charles et moi nous nous tenons éloignés surtout au cimetière où les cendres de mon défunt mari finissent au jardin des souvenirs.
Jai vu des films où la police prend en photo les participants à la cérémonie.
Pour mon plaisir, Radia et Wolfgang bien caché me suffisent en ce moment.
Mais le manque de verge me fait penser quil est possible de pallier ce problème sans prendre trop de risques.
Bien sûr, il y a celle de Prof, mais jai nettement limpression que je la partage avec cette pute de commissaire.
- Radia, veux-tu prendre ta voiture et aller à la boutique où nous sommes allés pour ta garde-robe.
Tu te payeras deux ou trois babioles et tu inviteras Bastian, le jeune commerçant à venir dîner.
Je la vois partir, le soir même, le portail souvre.
Un Piaggio entre, le conducteur enlève son casque, Bastian a accepté notre invitation.
- Votre invitation ma surpris.
Je voyais souvent cette grande villa blanche sur la colline.
Comment aurais-je pu penser quun jour vous minviteriez !
- Tout est possible dans la vie.
Viens te baigner.
Bastian, appelle-moi Jennifer, as-tu aimé ce que nous avons fait dans ta cabine dessayage ?
- Oh oui, Jennifer
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