Anaëlle
Anaëlle
Anaëlle marchait dun pas pressé vers sa voiture. Elle venait de terminer sa journée. Elle regarda sa montre. Vingt-et-une heure vingt. Heureusement personne ne lattendait chez elle. Cétait toujours ça.
« Anaëlle, je peux te parler cinq minutes ? » La jeune femme se retourna. Elle reconnut Valentine, une infirmière qui travaillait en pédiatrie.
« Salut Valentine ! Ça va ? Pas trop crevée ? « Elle détailla sa collègue. Elle avait la beauté de sa jeunesse et était habillée avec classe comme à laccoutumée.
« Ça va, on fait aller. Si on était plus nombreuses ce serait plus facile, mais bon...les sempiternelles restrictions budgétaires
. Dis, je voudrais te proposer quelque chose. Cest assez particulier mais je sais que tu es une fille ouverte qui nest pas dans le jugement. Donc tu peux refuser et ça ne sera pas grave. Mais je te demanderai alors de garder ça pour toi et de nen parler à personne. Voilà, il y a à Strasbourg un couple de bourges un peu déjanté, pété de thunes, qui a un fantasme quil assouvit assez régulièrement. Disons tous les deux mois environ. Ils veulent une infirmière. Attention, une vraie infirmière, pas une nana quelconque déguisée en infirmière. Cest la femme qui dicte le scénario. Un scénario sexuel comme tu peux le prévoir. Eux ils sont cleans, bien conservés. Et ils paient mille euros pour la soirée. Voilà. Je te laisse réfléchir. Prends ton temps. »
« En fait, tu me demandes de faire la pute ? » Anaëlle sentait la colère monter. « Tu me prends pour qui ? »
« Ecoute Anaëlle, je comprends ta réaction. Jai eu la même. Et puis jai réfléchi. La personne qui ma fait la proposition ma dit quelle avait pris du plaisir et quelle avait passé une super soirée. Alors
. Je me suis laissée convaincre et franchement ce fut effectivement super. Réfléchis et dis-moi quand tu auras décidé. Si cest oui, jenverrai ton numéro de portable à la femme et elle te contactera.
Anaëlle rentra chez elle. Elle repensait à cette proposition insensée. En fait, ce couple avait besoin de chair fraiche pour assouvir son plaisir. Il avait juste besoin dune femme objet. Une infirmière. Et puis ensuite ce serait une hôtesse de lair. Les fantasmes préférés des hommes
. Elle les enverrait bouler. Elle se reprochait déjà de ne pas avoir dit clairement non à Valentine. Ainsi Valentine y était passée
. Cela la surprenait un peu quand même. Et cela expliquait peut-être les fringues luxueuses. Combien déjà ? Mille euros la soirée. A oui quand même
Cela représentait des jours de boulot. Et non imposable ! Anaëlle sourit à cette évocation davantage fiscal. Sans y prêter attention elle se mit à penser à ce quelle pourrait soffrir avec mille euros.
Le lendemain, la première personne quelle vit sur le parking de lhôpital fut Valentine. Valentine qui portait de magnifiques boucles doreille. Anaëlle, sans plus réfléchir prit sa décision. Elle sortit son téléphone et envoya un SMS à Valentine « cest oui ». Elle se dirigea vers les vestiaires pour se changer puis alla prendre son poste.
Trois jours plus tard, alors quelle regardait un film à la télévision, son téléphone sonna. Elle regarda lheure. Vingt-deux heures. Lécran affichait un numéro masqué. Repensant à ce que lui avait dit Valentine, elle baissa le son de la télé et décrocha.
« Allo ? Anaëlle ? Cest un charmant prénom. Bonsoir mademoiselle et veuillez mexcuser de vous déranger si tard. Mais vous êtes infirmière et je sais vos horaires parfois tardifs. Bien entendu, je me présente. Je mappelle Thérèse et mon mari Jean. Cest votre amie Valentine qui a eu la gentillesse de nous communiquer votre numéro. » La voix était agréable. Anaëlle sentait son cur se serrer. Ça y était, on entrait dans le vif du sujet.
« Voilà, êtes-vous libre vendredi ou samedi prochain ? Pas celui qui vient mais le suivant ? Nous habitons la banlieue de Strasbourg, ce nest donc pas loin et vous pourrez vous garer dans la cour.
« Oui madame, je suis libre, je ne travaille ni vendredi ni samedi. »
« Très bien, et bien disons vendredi. Voilà. Valentine vous la peut-être expliqué. Cest moi qui dirige les opérations et qui fixe les règles du jeu. Je tiens à vous rassurer tout de suite il ny a aucune violence, aucune contrainte. Tout est sur le registre du plaisir partagé. Nous ne tenons pas à vous voir avant. Cela se passera chez nous, dans notre salon. Il est vaste et il y a trois grands canapés. Nous tenons à vous découvrir uniquement quand vous rentrerez dans la pièce. Le dress code tout dabord. Des bas noirs, un porte-jarretelles de même couleur et une culotte assortie. Des chaussures à talons hauts. Pas de soutien-gorge. Et le haut de votre tunique de travail. Vous savez, celle avec le logo de lhôpital et votre nom. Rassurez-vous nous resterons discrets. Vous serez accueillie par Bernard notre majordome. Il a toute notre confiance. Vingt-et-une heures trente chez nous, je vous enverrai notre adresse par SMS deux heures avant. Il vous faudra environ trente minutes pour venir de chez vous. Vous repartirez avec la somme convenue. Ah joubliais, cela fait partie des règles du jeu. Vous venez de chez vous habillée comme dit. Vous pouvez mettre un trench pour le trajet. Mais à condition quil ne recouvre pas les genoux. A vendredi Anaëlle. »
Anaëlle se sentait excitée. Elle rentrait dans un monde quelle ne connaissait pas. Heureusement elle avait les vêtements demandés. Il lui faudrait juste récupérer sa tenue de travail.
Vendredi arriva. Anaëlle tua le temps comme elle put essayant de ne pas penser à cette soirée insolite. A dix-neuf heures trente un signal sonore lui indiqua la réception dun message. Y figurait ladresse. A vingt heures elle commença à se préparer. Son sexe était déjà humide. Elle enfila le haut de sa tunique et passa son trench coat quelle boutonna. Elle se regarda dans la glace. Elle y vit une jolie brune, discrètement maquillée, aux jolies jambes gainées de noir.
« Bonsoir Anaëlle. Vous êtes magnifique. Avancez vers nous, ne soyez pas timide. Avancez jusquaux marches. Descendez-les, tournez-vous et remontez-les. Vous avez des jambes magnifiques. Votre tunique est courte. On voit la peau nue au-dessus de lattache des bas ainsi que le bas de votre culotte. Cest magnifique. Nest-ce pas chéri ? Refaites-le une fois puis allez-vous appuyez contre le pilier. Penchez-vous en avant. Voilà. Comme ça. Vous avez un cul superbe. Tournez la tête vers nous. Vous ne nous voyez pas. Vous distinguez des ombres parce que nous sommes dans la pénombre et que les lumières sont dirigées vers vous. Jai posé ma main sur le bas ventre de mon mari et je sens quil bande déjà. Il a un faible pour les petites infirmières. Et visiblement vous lui faites de leffet. Beaucoup deffet. Caressez-vous. Par-dessus votre culotte. Est-ce que vous mouillez ? »
Anaëlle sentait lexcitation monter. Elle regardait vers la partie obscure de la pièce doù venait la voix.
« Cest bien. Continue. Glisse une main dans ta culotte et pénètre-toi doucement avec le doigt. Caresse-toi le petit bouton. Doucement. Moi je viens de déboutonner le pantalon de mon mari. Il na pas de slip le coquin. Son sexe est déjà dur. Enlève ton pantalon mon chéri. Laisse-moi te caresser pour te faire encore grossir. Anaëlle, descends ta culotte et bloque là à mi-cuisses. Continue de te caresser. Tu as une belle chatte. Je veux voir tes doigts disparaitre en toi. Cest bien. Prends appui contre le pilier que je te voie de profil. Cambre tes reins voilà. Continue de te doigter. Quand tu seras prête tu feras glisser ta culotte par terre. Ce sera le signal. Va doucement Anaëlle. Laisse le plaisir, lenvie venir en toi. Regarde Jean, elle a resserré ses cuisses et la culotte a glissé au sol. Vas-y Jean. Va à elle. Elle est à toi, elle est à nous. Prends-là. Jean sest levé. Il arrive vers toi. Il va te baiser par derrière, debout. Je te rassure, il est clean il a fait un test en début de semaine. Regarde sa bite, elle est dure et pulse à lhorizontale. Anaëlle, demande à Jean de te prendre. Je veux tentendre le dire. »
« Jean, baisez-moi. Venez me foutre avec votre queue. Oui comme ça. Mettez-moi là. Prenez-moi. Oh cest bon, je vous sens bien. Madame, Jean vient de rentrer en moi. Il glisse dans le fond. Il se retire, il revient. Il me laboure bien. Cest bon. Jaime sentir sa queue en moi. Oh, cest bon. «
Pendant plusieurs minutes Jean, sagrippant à ses hanches continua de la prendre, envoyant son ventre claquer contre les fesses de la jeune femme.
« Jean, mon chéri. Retire-toi et va tassoir sur le canapé noir. Anaëlle, déboutonnez le haut de votre tunique et montrez vos seins. Ils sont ravissants. Allez vous assoir sur Jean en lui tournant le dos. Empalez-vous sur sa queue. Descendez doucement. Ouvrez-vous. Et cest vous qui donnez lallure. Jean, caresse-lui les seins. Joue avec ses bouts. Fais-les bander. Oui, vous êtes beaux tous les deux. Je vous regarde. Jai retroussé ma jupe. Je nai pas de culotte. Je me caresse doucement. Anaëlle, regarde vers moi. Tu es belle ma chérie. Relève-toi. Branle Jean. Oui, décalotte le bien. Tire bien en arrière. Va tassoir à genou sur le canapé. Retrousse ta tunique que je vois ton petit cul. Jean, fais le tour et mets-toi face à elle. Anaëlle va te sucer. Suce le bien. Enfonce sa queue dans ta bouche. Lèche bien le gland. Oui, comme cela. Mouille-le avec ta salive. Caresse ses bourses. Jean, quand tu sens que ça vient tu te retires. Oui. Cest plus prudent. Anaëlle, reste comme tu es. Mon Jean va venir te prendre en levrette. Vas-y mon chéri. Baise-la bien. Ne la ménage pas. Att ses seins. Anaëlle, regarde-moi. Je veux scruter ton regard. Tends bien ton cul que Jean te pénètre bien à fond. Jentends ta respiration qui devient plus forte. Tu as lair dapprécier. Tu sais, Jean peut durer longtemps mais ce soir il est très excité. Tu lui fais de leffet. Vous êtes excitants tous les deux. Jean retire toi. Branle-toi sur son cul. Vas-y, arrose là. Anaëlle, continue de te branler. Oui mon Jean, vas-y crache ta semence. Oui jute bien. Jean, reviens avec moi. Cétait super. Tu vas me donner du plaisir. Anaëlle, on va te laisser. Merci pour tout. Tu peux ramasser ta culotte. Tu la remettras dans ta voiture si tu veux. En sortant, tu trouveras sur le guéridon dans lentrée une enveloppe avec la somme convenue. Si tu as envie, parce que tu nas pas joui ce soir, tu peux demander à Bernard de te baiser. Il fait ça très bien. Il est très efficace avec les femmes. Je me souviens des cris de ton amie Valentine. Bon, on te laisse. Si tu as une amie dans ton genre, nous sommes preneurs
. Bonne soirée Anaëlle et merci dêtre venue. »
Le lendemain, Anaëlle découvrit deux messages sur son téléphone. Un de Thérèse qui la remerciait chaleureusement pour sa venue et un autre de Valentine « cétait bien ? tu me raconteras ? »
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