Esclave Du Corps D'Isa Pour Une Bricole

Bonjour je m’appelle Paul et un jour où j’ai essayé de voler une bricole dans un supermarché, je suis tombé sur une hôtesse de caisse très exigeante.
C’était la fin de la journée le magasin aller fermer alors moi du haut de mes 17 ans sans vraiment savoir pourquoi je cache sous mon teeshirt un paquet de guimauves. Ce qui devait arriver arriva, l’agent de sécurité m’a attrapé juste à la sortie. Etant le dernier dans la boutique, il ferme tous les rideaux, je m’empresse de lui demander ce qui aller arriver, il me répond
« Ça dépend, c’est la chef des caissières Isa qui décide ou tu paies et tu t’en vas ou elle appelle les flics »
« Les flics pour un paquet de guimauves à 3 euros »
« Oh oui, hier elle n’était pas de bonne humeur, elle les a appelés pour un paquet de bonbon à moins d’un euro, en plus c’était un gosse de 10 ans. Alors avec toi si elle n’est pas d’humeur, elle ne va pas se gêner. Si tu veux un conseil soit très gentil et docile »
« Ok »
On rentre dans une salle, là se trouve une femme assise environ 45 ans, brune d’environ 80kg un peu boulotte mais bizarrement cette femme dégage un truc qui m’excite. Elle n’est pas très grande, elle porte une jupe en jean, le chemisier du supermarché et surtout aux pieds une paire de basket blanche sans lacet que j’ai tout de suite repéré à cause de mon penchant pour les pieds des femmes.
« C’est qui ça Basile »
« Un voleur Madame, il a essayé de prendre ça »
« Un paquet de guimauve, vous aller m’emmerder encore longtemps vous les voleurs du dimanche. Ça va l’équipe des flics a changé depuis hier, c’est Antoine au moins lui il est moins faignant que ces collègues d’hier. »
« J’y vais Madame moi »
« Oui Basile, pose cette merde sur cette chaise à côté de moi je vais faire le nécessaire. Et toi tu as un bon toutou tu ne bouges pas »
Je m’assois donc à côté d’elle, elle continu à remplir des tableaux sur son ordi.
« Qu’est-ce qui va m’arriver Madame » Je n’ose pas la regarder dans les yeux alors je fixe ces chaussures, qui ont vraiment l’air très veilles.

Mais grâce à sa jupe très courte je peux aussi admirer ces jambes, mon sexe ne cesse de durcir dans mon pantalon et en plus ces pieds me rende complétement fou. Elle porte une paire de basket sans lacet, la couleur est plus près du gris que du blanc d’origine. Si l’intérieur est dans le même état que l’extérieur, l’odeur doit être exceptionnelle.
« Pour toi, je vais appeler les flics et là tu verras avec eux. »
« Non Madame mes parents vont me je vous en prie, je vous en supplie Madame pitié »
Elle s’arrête se tourne vers moi et me regarde fixement.
« Déjà fallait pas faire de conneries et en plus tu as vue comment tu supplie sans aucunes motivations. Ce n’est pas comme ça qu’on supplie une femme encore moins une femme comme moi. La dernière fois qu’un homme m’a supplié il s’est jeté à terre pour commencer en collant sa tête contre le sol juste entre mes 2 pieds, il a même terminé par les embrasser avec amour c’était vraiment agréable. »
C’est alors que sans vraiment trop réfléchir je me jette à ces pieds allongés sur le ventre, la tête posée contre le carrelage froid.
« S’il vous plait je vous en supplie je ferais tout ce que vous voulait »
Elle ne dit rien je recommence.
« Pitié »
« Voilà c’est déjà mieux, laisse-moi réfléchir, tu as dit bien tout ce que je veux »
Elle pose alors son pied droit sur ma joue et s’amuse avec ma tête comme avec un ballon de plage. Ensuite elle se lève se dirige vers la porte pour la verrouiller, puis vient de nouveau s’assoir devant moi le front coller au sol. Je sens quelque chose pousser au niveau de ma tête, je la redresse de façon à voir de quoi il s’agit. C’est sa chaussure à quelque millimètre de mon visage.
« Comme je t’ai déjà dit tu n’es pas le premier à se jeter à mes pieds, la dernière fois le mec était même fétichiste des pieds. Il a fait un travail superbe avec mes chaussures et mes pieds, un nettoyage hors pair. Tu te sens capable de faire la même chose.
»
« Oui madame, moi aussi je suis fétichiste »
« Je comprends mieux, alors commence à me nettoyer entièrement mes godasses après tu pourras passer à mes pieds mais je te préviens ça fait des mois que je porte ces vieilles baskets quand tu vas me les retirer tu vas avoir une surprise. »
« D’accord madame »
Je m’avance et commence par son pied droit, j’enchaines les coups de langue pour les nettoyer au maximum. Elle s’amuse de cette situation en remuant son pied dans tous les sens par moment elle me propose sa semelle ou d’autre fois elle m’enfonce sa chaussure dans ma bouche. En revanche c’est vrai que je peux déjà percevoir une forte odeur de pieds, la suite risque d’être plus compliquée.
« Tu y prend du plaisir n’est-ce pas »
« Oui madame »
« Ce n’est pas vraiment le but tu sais il faut aussi que tu regrettes un peu ce que tu as fait, met toi à genou devant moi avant de nettoyer mes pieds, je vais te donner une petite leçon pour avoir volé dans mon magasin. »
Me voilà à genou, elle me demande d’enlever mon pantalon mais quand elle va voir à quel point j’adore ce moment et surtout comment mon sexe est dressé.
« A oui quand même, tu bande comme un taureau, ce sont mes chaussures qui te font cet effet. »
« Oui vous et vos sublimes chaussures »
Bizarrement je la vois fixer la bosse sur mon caleçon et rougir, alors je ne m’arrête pas là et je l’enlève. Tout de suite elle se penche et m’att la queue en pleine main comme pour vérifier si elle est vraiment aussi dur.
« Pas mal du tout ça, mais bon on verra plus tard. Mais je pense que ta queue va très bien me servir si tu fais tout ce que je te demande toi aussi tu risques de passer un bon moment. »
Elle se repositionne dans le fond de sa chaise et me balance à énorme coup de pieds dans les couilles, je m’écroule à terre tout en poussant un crie.
« Chut ne crie pas, comme je t’ai dit il te faut une bonne leçon ça t’évitera de recommencer. »
Je tourne la tête, je la vois se lever et ensuite je vois la semelle de sa chaussure gauche m’arriver en plein visage.
Une fois deux fois, les coups sont tellement voilant que ma tête rebondit contre le sol.
Elle s’approche de nouveau, d’un coup de talon de mon épaule me replace allonger sur le dos et là elle pose son pied gauche sur ma gorge et appuie.
« Pourquoi tu as volé ça franchement, c’est un peu ridicule quand même regarde ce que tu m’obliges à faire maintenant »
Sur ces paroles elle prend appuie contre le bureau et vient poser son autre chaussure sur mon visage. Là impossible de respirer, je lui att ces jambes mais rien n’y fait. Elle finit par redescendre, je reprends au mieux mon souffle toujours allongé à terre, elle retourne à sa chaise mais au passage en profite pour me marcher sur la tête.
« J’espère que ça te servira de leçon, aller suit moi on va continuer ce que l’on a commencé. »
Elle s’assois de nouveau sur cette chaise.
« Allez, enlève-moi ces godasses, mais attention ça ne doit vraiment pas sentir la rose, la dernière fois j’ai dû me faire un bain de pieds pour réussir à enlever l’odeur. J’espère que ta langue suffira. »
J’approche, lui retire sa chaussure gauche et là effectivement, l’odeur me prend les narines directes et surtout je découvre un pied pas très grand avec de petits orteils potelés mais aussi des traces noire et marron sur une grande partie. Elle se penche att sa chaussure regarde à l’intérieur.
« Tu vois ce sont mes godasses qui salissent mes pieds, c’est comme ça depuis que j’ai marché dans une énorme flaque d’eau, la semelle se désagrège et voilà le résultat. Tiens regarde. »
Elle m’att l’arrière de ma tête et me colle sa chaussure en plein visage.
« Tiens inspire bien par le nez et puis aussi essai de nettoyer ma semelle avec ta langue. »
Elle pensait surement que j’allais me débattre et refuser, mais non j’inspire à fond et j’appuie moi-même sur cette chaussure tout en essayant de nettoyer sa semelle intérieure avec ma langue.
« Tu aimes ça » dit-elle en éclatant de rire.
Mais moi je continu, elle retire sa chaussure de ma bouche là jette à terre et me colle son pied encore tout chaud sur mon visage. J’att son pied des 2 mains et je le lèche autant que possible en espérant que j’aurais assez de salive pour faire le second. Son pied est tellement sale que par moment je suis obligé d’utiliser les dents pour le nettoyer complétement.
Je la vois qui prend un énorme plaisir et soudain elle m’envoie un coup de pied en plein visage.
« Arrêt 2 minutes, vue que tu sais bien te servir de ta langue, tu vas me faire une fleur et j’espère que tu vas y mettre autant de soin que sur mon pied. »
Elle retire sa chaussure droite se lève et me montre du doigts le sol à ces pieds.
« Allez aux pieds vient coller ton visage juste devant mes pieds »
Je m’exécute, elle vient m’écraser le visage avec son pied remonte sa jupe pour retirer sa culotte qu’elle laisse tomber sur mon visage.
« Voilà, tu vas venir me lécher le cul et quand je dis le cul ce n’est pas les fesses mais bien mon trou de cul, je veux sentir ta langue le caresser, rentrer aussi profond que possible. Tu dois me donner l’impression que tu avales mon anus tout entier, si tu te débrouilles bien tu vas voir que ma rondelle se dilate et s’ouvre, et peut-être que je te laisserai te servir de ta queue pour me sodomiser. Allez au travail »
Elle retire son pied de mon visage et le pose sur la chaise, se penche en avant sur le bureau. Elle remonte sa jupe et écarte ces fesses pour me laisser apparaitre sa rondelle. Je suis tellement excité que ma bitte me fait souffrir. Je me jette sur son anus la bouche grande ouverte pour littéralement le manger. Et là effectivement j’ai l’impression que ma langue a de plus en plus de facilité à entrer.
« Ah putain continu comme ça, je le sens mon trou de cul qui s’élargis, ah oui putain vas-y continu c’est trop bon. »
Tandis que je m’efforce à entrer la totalité de ma langue dans sa rondelle, elle se laisse aller complément aller et se met à me péter dans ma bouche tellement forte que je sens les gaz forcer sur ma langue et entrer dans ma bouche. Dans un moment d’hésitation je stoppe tout et recul un peu mon visage de son cul. Et elle me dit tout en éclatant de rire.
« Ah oui c’est bon, tellement bon que je me laisse aller. Ne t’arrêt pas je ne suis pas la première femme à te péter dans la bouche. Aller au travail continu encore un peu et tu pourras essayer de m’enculer avec ta bitte de puceau mais pour l’instant replonge dans mon cul que je te péte encore dans la bouche. »
Elle m’att mes cheveux de sa main droite et enfonce ma tête dans ces fesses, alors je recommence et lui enfonce ma langue aussi profonde que possible. Elle bien sur continu à péter dans ma bouche.
« C’est trop bon, heureusement que je n’ai pas la diarrhée sinon je t’aurais chier dans la bouche, j’ai déjà pissé dans la bouche d’un homme mais chier jamais, il faut que j’essaie un jour. Allez maintenant enfonce-moi ta queue mais attention tu as une grosse bite alors vas-y doucement. Ne commence pas à me défoncer le cul sinon je vais me venger. »
Elle se penche avantage sur le bureau pour mieux me présenter ces fesses, et là devant moi le graal. Il ne me reste plus qu’à l’enfiler comme une chienne. Je commence un peu à hésiter, j’ai même un peu de mal à rentrer mon gland.
« Alors puceau tu sais comment on fait au moins, parce que là c’est vraiment nul. Pour faire ça j’aurais dû te chier dans la bouche au moins ça m’aurait fait jouir. Parce que là tu es vraiment nul. »
Là pris de colère, je lui att d’une main ces cheveux et de l’autre je gifle violent ces fesses.
« Tu vas voir salope, je vais te défoncer la rondelle. En plus j’ai une envie folle d’éjaculer alors je vais me faire un plaisir de remplir ton cul de mon sperme dans 3 jours tu seras encore en train de chier tout blanc. »
« Allez vas-y puceau »
Là j’att ces hanches bien potelées de toutes mes forces et là je la défonce comme jamais elle l’a été. Les seuls bruits qu’on entend sont mes couilles qui claquent contre son cul et ces gémissements. Plus j’y vais fort et plus je sens son anus se resserrer sur ma bite, et moi plus je force pour faire durcir mon sexe.
« Tu es en train de me défoncer le cul doucement, ah putain je vais jouir vas-y lâche tout. »
C’est alors que je laisse tout partir, j’ai dû éjaculer pendant des secondes, ça m’a même donné mal aux couilles.
« Ah putain c’était trop bon, mais putain tu m’as défoncé la rondelle et en plus tu as dû mettre au moins 1 litre de spermes dans mon cul connard. Ça tu vas me le payer. Allez vire ta queue de mon cul que j’aille me vider aux toilettes. »
Je sors ma bite et là tout le sperme coule, elle se dépêche d’aller aux toilettes et moi je m’essui la bite et m’assois à terre adossé au bureau devant la chaise de cette femme. Là voilà qui reviens pieds nues, d’ailleurs la plante de ces pieds commence à se noircir, sa jupe est complétement remonter ce qui laisse apparaitre les poils de son entre jambe. En revanche je vois tout de suite à sa tête qu’elle a l’air de mauvaise humeur, j’y suis peut-être aller un peu fort. Elle me regarde et d’un coup m’envoie un coup de pied en plein visage ce qui m’envoie au sol.
« Tu vas voir connard, aller allonge toi sur le dos ».
Elle continu à m’envoyer plusieurs coups de pieds, je m’allonge sur le dos, là je vois la plante de son pied droit se poser sur mon visage et me force à tourner la tête sur le côté.
« Tourne ta tête puceau, je vais t’apprendre à me défoncer le cul comme ça, ton visage va me servir de paillasson. »
Elle s’appuie sur le bureau et monte pieds joint sur mon visage et là elle commence littéralement à le piétiner tout en frottant fortement ces pieds. Elle pensait peut-être me punir comme ça, ç’est vrai que la douleur est grande mais voir cette femme me massacrer la gueule avec ces pieds en plus je sent l’odeur qu’ils dégagent. Ça m’excite et je commence donc à bander de nouveau comme fou.
« Tu bandes connard, moi qui pensais te faire souffrir un peu et toi tu y prend du plaisir, tu es vraiment spécial comme mec »
Elle descend de ma tête et retourne s’assoir, je me redresse assis, elle me regarde et sourit. Sans vraiment réfléchir et surtout parce que je meurs d’envie de lécher ces pieds je me jette dessus et commence par lui sucer chaque orteil et je prends tout mon temps pour bien passé ma langue partout. Je l’entends soupirer et gémir de plaisir.
« Ah continu, c’est trop bon, tu es incroyable. Tiens, pour avoir voulu voler dans mon magasin je te punis à m’accompagner chez moi ce soir, tu as vraiment l’air doué comme esclave mais bon chez moi je serai plus sévère alors ça te tente. »
Elle se penche m’att par les cheveux et vient coller mon visage sur sa chatte toute humide, du fait moi j’en profite pour glisser ma langue et je lui att son clitoris et m’amuse à le sucer. Elle retire ma tête de son entre jambe et pose son pied droit sur mon épaule tout en s’amusant à enfoncer ces doigts dans sa chatte.
« Alors tu viens chez moi »
« Oui maitresse, laissez-moi vous rechausser »
Je lui remets ces chaussures et je la suis comme un bon toutou chez elle mais ça c’est une autre histoire.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!