A Cause De Mon Zona
À cause du ZONA
Cela fait déjà 4 mois quun zona me perturbe et lorsque notre amie, Sylvie, me propose de travailler mes chakras et de me toucher le zona, javoue que cela me laisse sceptique, mais après tout je ne risque rien et finalement jaccepte. Le rendez-vous est pris pour le mercredi suivant, à la maison, car travaillant comme neuropathe à lhosto, elle na pas de cabinet et elle le fait pour me rendre service.
Sylvie est une jeune femme, 35 ans, rondelette, mais pas grosse, avec des formes très bien proportionnées ; un joli fessier et une paire de lolos, qui très souvent sont sans soutien sous son chemisier. Célibataire, elle ne sembarrasse pas de préjugés et nous sommes souvent au courant de ses aventures, ce qui plait beaucoup à Nicole, ma compagne, maïs pour linstant se sont simplement mes fantasmes. Dautant plus quavec mes 74 ans, même si je suis très bien conservé, et en pleine forme, si ce nest ce sacré zona, je nai aucune chance de lui plaire.
À son arrivée, je suis un peu surpris de sa tenue, à savoir jupe courte et boléro couvrant sa poitrine, qui manifestement est libre, tant ses tétons sont bien visibles sous la fin tissue. Quand la séance commence, elle me fait allonger, torse nu et en slip sur le lit et commence sa séance. Javoue que ses gestes, au-dessus de mon corps ont tendance à me détendre mais surtout à diminuer la sensation de brulure, ce qui pour moi est le principal ; dautant plus que sa main, pourtant à plusieurs centimètres de ma peau dégage une sensation de chaleur ; alors que je suis dans une douce quiétude, sa question me surprend :
« Actuellement, tu nas pas dautres problèmes ?
« Non, à part les brulures tout va bien ! »
« Pas trop fatigué, pas trop endormi sexuellement ? »
Très surpris je la regarde, alors quelle continue sa séance, sa main courant au-dessus de mon corps.
« Pourquoi dis-tu cela ? » « Parce que ton chakra sexuel semble bien endormi ! »
« Il faut le demander à Nicole, mais à priori, hier soir, elle ne semblait pas mécontente »
« Je ne parle pas de qualité, mais de fréquence »
La conversation commence à me donner quelques chaleurs et elle doit voir ma tige gonflait, dautant plus quelle frôle maintenant mon bas ventre ; je me décide à la provoquer :
« Tu sais deux fois par semaine, en moyenne, à mon âge, ce nest pas si mal et de plus cela dépend beaucoup de ce qui mexcite sur le moment »
Recentrant mon regard sur elle , je constate que son boléro sest desserré et quil mest possible de découvrir une bonne partie de la vallée entre ses seins et surtout à travers le tissu, la pointe de ses tétons biens gonflées ; laissant tomber un bras le long du lit, je glisse ma main sur sa jambe, attendant sa réaction ; mais elle ne bronche pas, pas plus dailleurs quand ma main remonte le long de sa cuisse pour atteindre son entrejambe, puis son intimité, à peine protéger par un fin string, bien humide et surtout bien engagé entre ses petites lèvres.
« Tu vois, jai encore une réaction rapide et je ne suis pas le seul ; si tu as envie de vérifier mes performances, libre à toi »
Sa main se pose sur mon sexe, alors que mes doigts écartant son petit rempart, sinfiltrent doucement dans son minou, pénétration facilitée par le fait quelle vient décarter ses jambes. Sa respiration sest accélérée et elle se cambre pour mieux accueillir le doigté. Libérant sa poitrine en dénouant le boléro, elle se penche vers moi et sa bouche se pose sur la mienne ; puis sans une ombre dhésitation, retirant mon slip, elle me dit :
« jai envie de toi, prends moi maintenant ! »
lattirant sur moi, je lui remonte la jupe et je positionne mon sexe à lentrée de sa chatte, arrachant son string ; je nai aucun geste à faire car prenant ma tige à pleine main, elle lenfourne dans son vagin, alors quun doux gémissement séchappe de ses lèvres ; je plaque mes deux mains sur sa poitrine, triturant ses pointes, alors que sappuyant sur mon torse, elle commence à me chevaucher, accompagnant la pénétration donomatopées bruyantes ; quand ma queue lui percute le fond de sa matrice, ses gémissements deviennent des cris traduisant sa jouissance, alors que sécoule autour de mon chibre, un écoulement de cyprine.
La retournant sur le lit, je lui retire son boléro et sa jupe et lui écartant les cuisses, ma bouche vient se poser sur son bouton que je mordille, avant que ma langue vienne lui laper sa cyprine, puis lui fouiller sa moule, rouge, gonflée, offerte. Son plaisir est évident, ses mains me plaquant sur lentrée de sa grotte, elle mencourage
« Vas-y bouffes moi la chatte, fais-moi jouir avec ta langue, jaimmmmme
Encore ! »
Mes doigts ont remplacé ma bouche et elle gémit alors que plusieurs doigts la fouillent, mais elle en veut plus et me supplie :
« Prends-moi, remets ta queue dans mon ventre, jai trop envie de toi, prends-moi, défonces moi »
Je fais durer le plaisir, avant de lui placer les jambes sur mes épaules, découvrant pleinement sa chatte béante et baveuse
« Je ne sais pas si mon chakra est fatigué, mais je pense que je vais te prouver le contraire »
Sans hésitation, je me plante en elle, mon chibre senfonçant profondément ; accroché à ses hanches, je la pilonne, alternant le rythme de mes possessions, afin de pouvoir tenir longtemps ; et cest le cas.
« Oh oui je te sens me féconder, jaime, encore, vides toi en moi, je jouis encore »
Alors que je me vide en elle, Nicole rentre dans la chambre ; se penchant , elle embrasse Sylvie à pleine bouche et se redressant, elle lui demande si elle a bien profité de son homme comme prévu ; je comprends alors que cétait une situation programmée, mais le principal étant que nous en ayons bien profiter ; quand je me retire de la chatte accueillante, Nicole se précipite sur ma tige pour une toilette bien agréable, alors que Sylvie en profite pour la doigter.
Si je suis comblé, il semble que les deux femmes ont encore des envies, car abandonnant ma queue, Nicole plonge sur le minou de Sylvie, mais cest une autre histoire. Pour moi, cest aussi la découverte dune nouvelle conquête pour notre couple.
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