La Coloc De Ma Copine... Partie 2

Au bout d’une demi-heure, je décidai d’aller aux toilettes pour faire pipi. Les
toilettes se situaient dans le couloir d’entrée, en face de la chambre de Céline. Ne
voyant plus de lumière sous la porte de Céline, je marchai donc sur la pointe des pieds
pour ne pas la réveiller. Mais en arrivant à la hauteur de sa porte, j’entendais un petit
bruit sourd et continu qui venait de la chambre. Curieux, je décidai de tendre l’oreille.
C’était en fait un bruit de vibration. Un vibromasseur ? Non ce serait trop beau...

Je rapprochai encore mon oreille de la porte pour m’en assurer. Je pouvais à
présent entendre des variations dans les vibrations, indiquant sans doute qu’un objet
était manipulé. Après quelques secondes à peine, j’entendis un léger soupir. Mon cœur se
mit à accélérer, je retins mon souffle : quelques secondes plus tard, j’entendais un
nouveau soupir. Cette fois j’en étais sûr, Céline était en train de se masturber ! J’en
avais des palpitations, c’était trop beau pour y croire. Ceci dit, Aurore m’avait dit que
le copain de Céline n’était pas venu chez elles depuis un moment, elle devait donc
sûrement être en manque…

A mesure que ses soupirs se faisaient de plus en plus forts, et rapprochés, mon
sexe durcissait dans mon caleçon. Après un regard dans le couloir en direction de la
chambre d’Aurore, je sortis mon sexe en érection et le pris en main. J’entendais à
présent des bruits de frottements de draps, qui me laissaient imaginer Céline, allongée
sur son lit, gesticulant, se tordant de plaisir sous les vibrations de son sex-toy. Je
l’imaginais nue, se caressant poitrine d’une main, l’autre maintenant le vibromasseur
pressé contre son sexe, et qu’elle remuait doucement pour plus de plaisir. J’imaginais sa
position, les pieds crispés, les talons enfoncés dans le matelas, comme pour ne pas
perdre pied, et ses jambes tremblantes, agitées par les spasmes que procuraient les
vibrations sur son clitoris…

Alors que je commençais des va et viens sur mon sexe avec ma main gauche,
j’entendis un petit gémissement de l’autre côté de la porte.

Céline se rapprochait de
l’orgasme, le plaisir devait être intense. Elle gémit à nouveau, un peu plus fort. Puis
il y eu un troisième gémissement, plus aigu, qu’elle interrompit aussitôt, sans doute
surprise par son intensité. Elle essayait à présent d’ ses gémissements dans sa
main ou en mordant un oreiller, car les sons semblaient venir de plus loin. Mais c’était
toujours aussi bon, je sentais Céline prendre un délicieux plaisir avec son vibromasseur,
les frottements de draps se faisaient plus brusques que jamais. Elle devait être au bord
de l’orgasme.

Ma main accélérait ses va et viens, j’astiquai désormais mon sexe
frénétiquement de ton son long, en faisant attention cependant de ne pas faire de bruit.
J’entendis Céline gémir plus fort que jamais, un long gémissement aigu qu’elle ne
contrôlait pas, puis d’un coup le bruit dans la chambre s’arrêta. Pendant quelques
instants, plus un seul mouvement de drap, plus un seul gémissement, même pas un soupir,
seul le petit bruit du vibromasseur perdurait... c’était le moment ! Céline, crispée de
plaisir devait avait la respiration coupée. Puis il y eu une explosion, elle relâcha sa
respiration dans un long râle qu’elle parvenait à peine à dissimuler, son corps fut agité
de tremblements, et je l’entendis éloigner le vibro de son entre-jambe, pour le poser sur
le matelas, le temps de reprendre souffle. Elle avait atteint l’orgasme.

J’étais choqué de ce que j’entendais. Je n’avais jamais assisté à un orgasme
féminin en vrai, je n’avais jamais entendu une fille jouir à quelques mètres de mois...
les préliminaires que l’on faisait avec Aurore n’aboutissait jamais sur un orgasme. Sur
quelques gémissements de plaisir tout au mieux.

Sous le choc, j’avais arrêté de me masturber. J’étais à l’affût du moindre
bruit. Retrouvant mes esprits, je repris ma masturbation de plus belle, l’oreille collée
contre la porte.
Céline respirait bruyamment pour reprendre son souffle, elle avait
désormais éteint son sex-toy, ce qui me permettait de mieux entendre. Je me concentrais
sur chacune de ses respirations, l’imaginant épuisée sur son lit, en sueur, son
entrejambe trempé, le clitoris palpitant de plaisir…

Sentant mon propre plaisir monter, j’accélérai les mouvements de ma main au
niveau de mon gland. Au bord de l’orgasme, j’eu à peine le temps de mettre ma main droite
devant mon gland, que celui-ci envoyait déjà de salves de sperme qui vinrent, par chance,
toute s’écraser dans la paume de ma main droite. J’étouffai ma respiration pour ne faire
aucun bruit, et ne pas éveiller les soupçons de Céline.


Après avoir repris mon souffle silencieusement, je compris qu’il était temps
pour moi de déguerpir, avant que Célia ne sorte de sa chambre. J’alla donc m’enfermer
dans les toilettes discrètement. Au même moment Céline ouvrit la porte de sa chambre et
se dirigea vers la salle de bain, qui jouxtait les toilettes. Elle fit couler l’eau.
Peut-être se lavait elle les mains, ou l’entre jambes, ou peut être lavait-elle son
jouet..?

Je sortis de toilettes, et tombai nez à nez sur Céline qui sortait de la salle
de bain. Par chance, mon élection était retombée. Céline portait un simple t-shirt, qui
menait à dissimuler ses tétons dressés, et une petite culotte que l’obscurité me cachait.
Elle cachait quelque chose derrière son dos : bingo, c’était bien le vibro ! Je vis de la
gêne dans ses yeux, elle fuyait mon regard. A vrai dire, j’étais moi-même gêné. Elle me
souhaita bonne nuit, et se précipita dans sa chambre. Je retournai me coucher auprès
d’Aurore, qui dormait paisiblement, sans se douter de rien.


Le lendemain matin, je fus réveillé par des bruits dans le couloir. Aurore
n’était plus dans le lit.
Je reconnaissais sa voix venant de la pièce principale.
J’entendais également Céline, ainsi qu’une troisième voix que je ne connaissais pas. Il
devait être 11h du matin, il faisait jour dans la chambre. Intrigué, et estimant qu’il
était temps pour moi de me lever, j’enfilai un t-shirt et un jogging, puis je sortis de
la chambre. Dans l’entrée se tenaient Aurore et Céline, toutes deux en tenue
décontractée. En face d’elle, se tenait une troisième fille, encore habillée d’un
manteau, et portait des chaussures à petits talons. Elle tenait à la main une valise. Je
fis alors le rapprochement. C’était Noémie, la petite sœur de Céline. J’avais oublié son
arrivée.

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