Au Camping Des Flots Bleus (Récit Avec Peter, Épisode 3)

Lorsque Virginie fut dans l’obligation de s’expliquer auprès de Bob, dans le train qui la
menait de Bordeaux à Paris, elle n’eut dit à Bob uniquement ce qu’il voulait entendre et
uniquement ce qu’il savait déjà : l’homme savait déjà que sa copine le trompe. Il avait
vu sa chérie se faire prendre, les jambes en l’air, par Peter, dès le premier soir de
leur arrivée.

Peter était une relation de Virginie d’il y a quelques années. L’un et l’autre ne
s’étaient revus physiquement depuis. Leur relation fut brève, de quelques jours à
quelques semaines où Virginie vécut ses premiers émois de relations extraconjugales.
Néanmoins, l’un et l’autre avait toujours gardé un contact virtuel par sms interposés et
un bon souvenir de ce temps passé ensemble si bref eut-il été.

Peter a peut-être été, aussi incroyable que cela puisse paraître, le premier à sodomiser
ma chérie.

De retour à Paris, Bob se remémora tous les instants de la semaine de vacances où le
comportement de sa dulciné lui paraissait suspect. Il se lassait de l’attitude de sa
belle et ne lui trouvait plus d’excuses. Il y avait probablement dans le cœur de Bob de
la jalousie qui s’installa et la belle avait bien tout fait pour cela : à chaque fois,
elle sortait avec des hommes, qui parfois même venaient la chercher directement chez
elle, rue du Midi, à Vincennes, chez nous, quoi.

En se remémorant la semaine de vacances passée avec Peter, Bob saisissait que sa belle ne
s’était peut-être pas envoyée en l’air qu’une seule fois derrière son dos comme elle le
prétendit, mais bien plus. Virginie, bien sûr se garda bien de dire tout ce que Bob ne
savait pas encore. Seulement voilà, il y avait cette fois où elle partit seule à la plage
avec Peter, et n’en revint que deux ou trois heures plus tard sans que Bob ne sache plus
exactement ou les deux protagonistes étaient passés car bien sûr Bob s’en est allé peu
après à la plage rejoindre sa dulciné.

Et bien sûr, il ne la trouva pas.
Il y avait aussi cette partie de tennis où Bob laissa sa belle partir avec Peter aux
courts. Là, le même scénario mais pas le même jour se déroula : Bob s’en alla peu après
rejoindre les courts de tennis du camping mais ni Peter ni Virginie n’y était. Soudain,
il ne souvenait d’une chose : Peter avait un pote à l’autre bout du camping, seul, crut-
il, dans un Bungalow similaire à celui de Peter. Il s’imagina alors que sa belle devait
alors s’envoyer en l’air avec lui (le fameux pote) et Peter lui-même. Pire : lors du
premier apéro au Bungalow de Peter le premier soir, il y avait ce fameux pote et un autre
gars qui était, je me souviens, un type qui travaillait au camping. Bob s’imagina alors
que sa chérie, au lieu de faire un tennis, devait sans doute se faire tringler par les
trois lascars car elle avait déjà donné preuve de ce qu’elle était capable de faire et
avait reconnu devant Bob, aimer ça.

Bob, de fait, était dépassé par les événements, et sa relation avec Virginie allait
ballant, ne sachant pas lui-même où cela le mènerait. Les gang-bangs, les pénétrations
multiples, ce n’était pas son truc. D’ailleurs, ce n’était non plus l’esprit de sa belle
qui pourtant s’était déjà faite partouzée plusieurs fois.
Virginie avait en effet une psychologie complexe que Bob saisissait de moins en moins au
fur et à mesure que la belle se transformait en véritable femme assoiffée d’hommes, de
spermes et de virilité car il faut bien le dire, Virginie au cours de ces années avait
beaucoup changé. De son dépucelage par Bob, à sa première sodomie, par un autre que Bob,
à son gang-gang, oui, elle avait beaucoup changé. Et Bob certainement n’avait pas compris
ni suivit assez vite sa dulciné. Au mieux il espéra faire un jour un trio avec sa belle,
ce qu’il fit chez lui à Vincennes avec Olivier, l’auteur du premier gang-bang de sa
belle.


Et puis, il y avait les épisodes de Compiègne, celui où Virginie se fit prendre en double
devant une caméra ; celui où elle suça Phil dans la voiture qui la ramenait de Compiègne
à Senlis, celui enfin où malgré elle, elle reprit contact avec Phil. Tout cela, Bob
l’avait admis, le plus souvent par le fait accompli. Mais trop était trop et tout cela
commençait vraiment à lui peser si bien que la question se posait alors :

Devait-il rester ou casser avec Virginie, l’élue de son cœur ?

A suivre…

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