Mon Pote Mike

Mon pote Mike

Mike je l'ai connu en 2005 où je me perfectionnait en comptabilité dans un centre spécialisé pour ça, c'est lui qui me prenait en voiture deux fois par semaine pour nous rendre dans cet établissement. Au fil du temps on avait appris à se connaître et assis près de lui je le regardais conduire, on se racontait plein de choses et j'aimais sa façon de me parler, ce mec calme comme tout touchait sans arrêt son petit collier de barbe noir et me racontait des trucs qui me faisaient assez rire, ouais il n'était pas triste le beau mike qui me racontait tout, j'avais appris qu'il avait 28 ans, qu'il voulait se reconvertir dans la compta, il m'en disait tant et j'adorais l'écouter mais évidemment j'avais déjà une arrière pensée, je le trouvais tellement beau que je me voyais déjà lui faire l'amour mais était-il homo, hétéro, avait-il une copine, une femme, là je me posais trop de questions et il fallait que je sache. D'un seul coup,, ça,m'est venu je lui ai demandé :
- Dis-moi, mike, tu vis avec quelqu'un ?
Il me répondit que non, qu'il avait des aventures mais pas avec les personnes que l'on pourrait croire, aussitôt j'ai sauté sur l'occasion :
- Tu veux dire que tu ne couches pas avec des femmes ?
- Voilà, je sais que ce n'est pas bien vu par tout le monde mais moi j'y peux rien, j'aime les hommes, ça t'étonne, hein, tu ne me croyais pas comme ça, avoue.
- Alors là, je vais te dire quelque chose, non seulement ça ne m'étonne pas et je vais même t'avouer quelque chose, moi aussi j'aime les mecs !
Il me fit un grand sourire et continua sur sa lancée rigolote :
- Ah bon, toi aussi t'es un p'tit pédé, houua, c'est bon ça, on va pouvoir se mélanger alors, je ne te l'ai jamais dit mais à chaque fois que je te vois j'ai une érection, tu me fais envie, j'aime bien les grands types comme toi.
- Bah ça se tombe bien, que je lui ai répondu, je ne t'ai jamais rien dit non plus mais tu me fais vachement comme effet, j'aime bien ton petit collier de barbe puis je suis sur que tu dois être un mec plein de poils, j'adore les poils sur le torse chez un mec.

- Ben ouais j'ai ça et j'en ai aussi sur le ventre, derrière les cuisses et un peu entre les fesses ...
- Ouah, arrête, j'érecte !
Mike gara sa voiture dans un petit chemin et entreprit d'ouvrir son jean's et de déboutonner sa chemise rouge pour que je vois sa pilosité, je mis ma main sur son torse en lui pelotant un peu les tétons puis la descendit vers son pubis ou là un beau sexe avait déformé le boxer noir qu'il portait, je ne pus m'empêcher de lui dire :
- T'es rien beau.
- Tu peux toucher la bête, elle aimera bien.
Aussitôt je pris dans ma main une belle bite d'homme au gland sorti et perlant un peu au niveau du méat, une bonne pine d'un bon 20 cms bien droite avec des petites veines sur la hampe, je ne pus m'empêcher de me pencher pour y faire une léchouille alors que la mienne faisait du à ma braguette où mike avait mis sa main dessus en me disant :
-Fais voir la tienne, yanno ...
Aussitôt dégagé il s'écria :
- Putain, la queue, quel beau gland, tu permets que j'y goûte aussi ?
Mike me lécha la bite en s'astiquant la sienne, à force de se léchouiller chacun notre tour nos appendices, on éclaboussa le tableau de bord de la voiture et on se dépêcha d'être à l'heure pour notre cours en s'étant dit qu'on en resterait pas là, le lendemain n'ayant pas cours on avait bien l'intention de s'éclater à notre aise dans un plumard, mike m'ayant dit qu'il était plus passif qu'actif je me faisais déjà une joie de posséder ce jeune garçon poilu, beau,.adorable !

Le jour d'après on s'est retrouvé chez moi sur mon canapé, moi assis, mike allongé avec la tête sur mes cuisses, je n'ai pas arrêté de le caresser puis il s'est levé, on s'est fait des baisers puis nos baisers se sont fait tendres, les bouches se sont cherchées, des petits bisous du bout des lèvres se sont transformés en léchage de langues puis en grosses cartouches, on s'est carrément bouffer la gueule jusqu'à se mettre plein de salive sur les joues, on s'est enflammé tandis que nos queues grimpaient à vive allure dans nos calcifs et c'est le froc à mi-cuisses qu'on s'est vautré sur mon pieu qui nous tendait les bras, dans un éclair nous nous sommes retrouvés à poils la bite bien tendue et je me suis jeté sur mike en frottant ma queue contre la sienne, lui caressant son corps poilu de mec de 28 ans tout chaud, débarassés de tout vêtements, les baisers dans le cou fusant, je l'aurais bouffé ce mec au parfum de senteurs boisées si masculines et puis le jeune gars se mit à genoux dans le lit et c'est de ma queue rigide que je parcouru la raie de ses fesses poilues en faisant monter et descendre toute la hampe de ma bite contre son petit trou qui palpitait d'envie, bien excité, mike enfonça sa tête dans l'oreiller pour bien faire remonter son cul et c'est là que je me suis enfoncé dans ce petit trou d'amour où chaque centimètre que je gagnait faisait sortir des sons de la gorge du bogoss bien empalé, mike gloussait des :
- Oooh, aaah, oh oui, t'es à fond là, je te sens bien, yanno ...
En effet mes couilles touchaient son scrotum, je me mis à le pilonner à vive allure en lui claquant son beau cul, mike respirait fort, c'était bon de l'entendre puis je le pris par devant où pendant qu'il n'arrêtait pas de me caresser la tête, j'étais sur lui la queue bien enfoncée entre ses fesses je lui donnai des coups de pistons qui ont eu raison de nos orgasmes réciproques, moi en vidant dans le fond du conduit masculin et mike en s'activant le tuyau qui dégorgea une sacrée quantité de foutre ce qui me fit rebander où là je me suis mis devant la tête de mon amant qui ouvrit grand la bouche pour récolter du sperme des spasmes de ma queue en feu;

Mike, rempli de ma liqueur m'embrassa à pleine bouche où je pu récupérer le goût de mon foutre en mélangeant nos langues crémeuses. C'est par un bon pompier et deux doigts dans le cul que j'ai encore fait jouir le beau mike qui me remercia par de savantes caresse et d'une tendresse infinie, mon beau mec poilu s'endormi mort d'amour, je l'ai regardé longtemps avant de m'endormir à mon tour, apaisé, serein avec un beau mâle dans mes bras.
Yanno