Lundi 8 Avril 1991 - Visite Surprise
Pour une formation à partir du mardi et ce toute la semaine, de façon à confirmer les rendez-vous, et autres réservations,
jétais arrivé le lundi et passant devant mon ancienne agence vers 11,30 h, je décidais daller voir certains de mes anciens collaborateurs, enfin ceux qui étaient encore en poste. Je me rendais à laccueil et madressant à la jeune femme occupée à son ordi : « Bonjour Madame,
je voudrais savoir si,
»
Cette femme se tourna vers moi et : « Monsieur,
vous,
Cest pas vrai,
toi,
»
Javais devant moi Monique qui avait été ma charmante secrétaire et aussitôt je réagis par une phrase brillante dintelligence ; « Quest-ce que tu fais là,
»
Monique : « Devines,
exactement ce que je faisais pour toi il y a environ trois ans,
et toi, que viens tu faire ici,
»
Moi : « Simplement javais un peu de temps de libre et je me suis dit que je pourrais venir voir les conducteurs de travaux L
et G
, mais maintenant que je te vois, je change dobjectif,
ces toi que jai la chance de venir voir,
»
Monique : « Tu as disparu,
et maintenant,
tu arrives,
et hop tu veux me voir,
jabandonne tout,
»
Moi : « Non,
je nai pas dit cela,
je reformule, si tu as le temps, jaurais un grand plaisir à te voir,
pour passer un moment,
»
Monique : « Hahaha,
Cest mieux,
Si tu es encore là à larrivée des conducteurs, certains, ils est certains quils vont tembarquer pour le déjeuner,
tu as le téléphone,
donnes moi ton numéro,
on se retrouve au parking,
tu connais,
jy serais à la débauche de midi,
»
Moi : « Il est toujours libre,
Monique : « Comme il y a trois ans,
il ny a que les Roms, quand ils se déplacent,
»
Moi : « Pas de problème,
je file,
et tattends là-bas,
on pourrait déjeuner ensemble, ... si tu nas rien de prévu,
»
Je me disais que si elle avait régi si vite, cest quelle avait apprécié de me voir et que javais encore une chance dobtenir de sa part quelques gentillesses, on peut rêver, et remettre le couvert, enfin
Trêve de rêverie, pratiquement midi sonnant Monique arriva et gara sa voiture comme à laccoutumée, enfin, comme il y avait trois ans, puisquelle lavait dit et que lon se cachait ici.
Moi : « Toujours ponctuelle,
toujours élégante,
et toujours aussi belle,
»
Monique : « Abominable flatteur,
tu membrasses,
ou quoi,
» et elle arriva, et sans aucune hésitation, elle plaça ses bras autour de mon coup, je lenlaçais et nous collâmes lun à lautre. Ses lèvres étaient toujours aussi douces et nos langues se retrouvèrent, son corps retrouvait le mien et participait à nos retrouvailles. Je me reculais légèrement pour la regarder et envisager quelques douceurs sur ses seins, devinant mon idée, elle dégrafa deux boutons de son corsage libérant ainsi, un peu, ses seins toujours aussi appétissants. Quelques baisers sur ces belles rotondités et Monique me dit : « Attends,
» et sortant le corsage de sa jupe elle eut vite fait de dégrafer son corsage et je mempressais de dégrafer son soutien gorge et de libérer ses beaux nénés : « Goûtes les,
que de souvenirs,
jaime quand tu les prends en bouche,
suces moi les tétons,
OH que cest bon,
» Ainsi plus ou moins dévêtue mes mains pouvaient parcourir son dos, ce que dans mes souvenirs elle aimait beaucoup, ma bouche uvrait sur ses seins. Nos bassins collés lun à lautre, non cela avait évolué, ma jambe sétait glissée entre ses jambes et visiblement elle frottait son entrejambe sur ma cuisse, ce qui me rappelait de doux et excitants souvenirs et javais entrepris dessayer de remonter sa jupe mais, je dus avouer mon incompétence et lui dis : « Les jupes droites, ce nest pas vraiment pratique,
» Ce à quoi elle me répondit : « A bon, ... pourquoi,
cest comme tout,
si on ne peut passer en dessous,
on peut essayer de lever,
je navais pas prévu ton arrivée, ...»
Bon, il me fallait remonter le rideau de sa jupe. Opération relativement difficile avec ces foutus jupes droites : « Attends je vais taider,
» et sans lombre dune hésitation et quelques mouvements de son joli cul, la jupe était devenue une ceinture et de nouveau elle était à moitié nue et je pouvais, ainsi, avoir accès à son minou, ce que je mempressais de faire et surprise sa jolie chatte était nue de tout slip, chaude et légèrement humide : « Tu avais tout prévu,
»
Monique : « Ne poses pas de questions idiotes,
avec toi, je deviens folle,
je suis incapable de résister,
oui,
caresses moi,
depuis que tu es arrivé,
je nai rien fait au bureau,
je ne pense quà ça,
je nattends que ça,
la seule chose que jai faite, .
Moi : « Parce que ça texcite de le dire,
je me demande même si tu ne tes pas, un peu, caressé,
pour être en forme,
bien chaude,
et même que ça ta fait mouillé,
»
Monique : « Monstre,
occupes toi de moi,
je veux te sentir là,
bouffes moi la chatte comme tu aimes à dire,
je veux sentir ta langue,
»
Ayant ainsi un accès libéré à sa chaude et humide grotte damour, je la caressais doucement en laissant trainer un doigt curieux dans sa fente humide, accès dautant plus facile quelle avait largement écarté les jambes et sappuyant sur le capot de la voiture elle soffrait à mes caresses sans restriction. Offerte ainsi, je me décidais de gouter à sa chatte, jallais lui bouffer la chatte. Sans problème elle se laissa faire et je commençais par humer son odeur, lodeur de cette femelle chaude humide offerte et qui se laissait aller à ses désirs et à mes désirs sans rechigner et même en mencourageant de ses soupirs. Je me mis à la gouter, ma langue parcourant sa chatte, puis la pénétrant en avant dun doigt curieux qui partit à la conquête de ce fourreau accueillant : « OH,
oui,
que jaime te sentir,
rentres,
ça fait longtemps,
oh,
oui, rentres bien,
cest bon,
arrêtes,
prends moi,
» Elle se redressa : « Défais toi,
dépêches toi,
laisses moi te gouter un peu,
et tu me prends, jen ai envie,
» Le temps de me défaire, le pantalon et le caleçon sur les chevilles et elle parcourait ma bite à grands coups de langue, pour enfin la prendre en bouche, juste pour une sucette et se redressant : « Viens prends moi,
» Alors que je pensais quelle se retournerait pour me présenter son joli cul, elle sassit sur le capot, le compas de ses cuisses largement ouvert : « Viens,
prends moi comme ça,
je veux te voir,
je veux tavoir entre mes cuisses,
viens vite,
» Je navais plus quà mexécuter, et ce avec plaisir, du bout de mon sexe, je parcourais la fente de ses grosses lèvres ce qui me permettait dhumidifier mon gland et surtout de la faire attendre sachant quelle serait encore plus gourmande, ce qui ne tarda pas : « Arrêtes ça,
prends moi,
je suis folle de désir,
fais moi lamour,
je veux que tu me prennes,
baises moi,
je tattends,
en venant tu as ouvert la boite à souvenir,
fais moi des souvenirs,
oui,
» Renversée sur le dos, les jambes repliées et largement écartées dun coup de rein je la pénétrais sans problème, tellement elle était accueillante, ce qui fut apprécié par un : « Oh,
oui,
» Il me fallait alors assurer, si je voulais pourvoir profiter au maximum de cette femme sensuelle et aimant le sexe, sans pour autant accepter entièrement le fait.
Moi : « Quand se revoit-on ? »
Monique : « Ce soir 18,00 à la débauche ici,
quand tu es installé à lhôtel passes moi un coup de fil au bureau pour me donner le N° de ta chambre,
je file,
à ce soir,
»
Elle était partie, jen fait de même et allais prendre ma chambre à lhôtel. Je déjeunais et faisais une petite sieste avant de mettre au travail et préparer le travail du lendemain et des jours suivants, qui devait être chargés. Vers 17,30 h Monique me téléphonait, très professionnelle, pour me dire : « Monsieur le rendez-vous de 18,00 h a été reporté à votre hôtel à 19,30 h. Jessayais de la taquiner au téléphone, rien ny fit, elle devait avoir du monde dans ses environs. Javais bossé jusquà 19,30 h, et pour maérer et voir arriver Monique, je métais posté à lentrée de lhôtel.
Elle se pencha pour prendre son sac dans la voiture, la porte de la voiture ouverte, nous protégeait de la vue dun curieux, sa position était telle, volontaire ou involontaire, que je caressais et me frottais à son joli cul aussitôt elle simmobilisa : « Tu ne perds jamais le nord,
et maintenant,
on fait quoi,
»
Moi : « Tas toujours un joli cul, ... »
Monique : « Il te plait toujours autant,
tu lauras si tu toccupes bien de moi,
et que tu me fais bien jouir,
»
Aussitôt je remontais sa jupe et découvrais ses belles fesses sur lesquels je posais un baiser avant de les caresser et de glisser une main entreprenante dans son entrejambe. Un soupir de satisfaction accueilli mon arrivée au but et je mempressais de titiller lentrée de sa grotte damour, quand elle me dit : « Rentres,
comme tu faisais quand je tapportais le courrier,
oui,
comme ça,
jaime quand tu rentres,
» Après avoir caressé sa chatte, deux doigts inquisiteurs la pénétraient alors que le pouce sintéressait à sa rosette et lenfonçait légèrement, en fonction de sa réceptivité. Alors lindex et le majeur sagitaient dans sa chatte et en très peu de temps, Monique réagissait, à lépoque par des commentaires discrets, mais ce jour, ce fut autre chose : « Oui,
continues,
jaime ce que tu fais,
plus fort,
» et en même temps je me mis à faire de doux va et vient qui la pénétraient des deux cotés et très rapidement : « OOHH,
oui,
, continues,
plus vite,
ne tarrêtes pas,
je sens que ça vient,
OOOOHHH,
OUIIIII,
OUIII,
» elle fut parcouru par un gentil spasme qui lui fait se redresser et serrer les cuisses sur la main, tout en linondant. Ma main libérée, elle la prit et me regardant elle se mit à sucer mes doigts. Ce petit jeux fait, elle tendit la main vers ma braguette qui était très déformée : « Hum,
Hum,
laisses moi faire,
jai envie de te gouter,
jaime ton sexe,
tu vas prendre ma bouche,
je vais te sucer,
ça fait si longtemps,
dis moi que tu aimes,
» et sans hésiter, elle maida à me défaire et sortant mon engin en pleine forme, elle le caressa doucement du bout des doigts, ce qui me fit bander encore un peu plus et je lavais bien raide et dure : « Jaime quand tu es comme ça,
» et sans autre préambule elle lintroduisit dans lanneau de ses lèvres, pour titiller mon gland avec le bout pointu de sa langue, ce qui avait le don de mexciter encore plus, pour enfin mavaler complétement et entreprendre de me pomper avec une énergique douceur. Le résultat ne se fit pas attendre, alors que je la prévenais, le rythme saccéléra et surtout ses lèvres se serrèrent sur ma queue, alors que je me vidais dun seul coup. Enfin, un dernier coup de langue sur le gland et elle abandonna ma tige pour se redresser et se coller contre moi : « Jespère que tu as aimé,
embrasses moi,
et tu mas dit que tu minvitais à diner,
»
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