Mes Vacances À La Baule
Moi cest Marie, pas Marie-Claire, Marie-Christine ou Marie-France, non Marie tout cours, Marie depuis toujours.
Cétait hier
Je viens de fêter mes 28 ans, je suis avec Alain depuis six ans maintenant. Nous nous sommes connus à la fac, rapidement en couple, nous nous sommes mariés à la fin de nos études, suite logique à notre amour. Elise est née pas longtemps après, comme la promesse faite par Alain à nos amis le jour de notre mariage : « je suis le plus fort, moi je ferais un bébé en moins de 6 mois », il a tenu parole.
Venant de commencer un nouveau job, mon chéri na pas autant de congés que moi. Après avoir passé 2 semaines dans un centre de vacances dans le Languedoc avec notre petit ange, je mapprête à être femme au foyer. Un appel de mon frère va bouleverser nos projets. Il minvite à passer une semaine, ou plus si je veux, avec eux dans leur résidence secondaire de La Baule. Enfin leur résidence secondaire, cest la maison de nos grands-parents, que mon frère à racheter à leur décès.
Je suis heureuse, cela va me rappeler ma jeunesse lorsque nous passions nos vacances chez papy et mamie.
Alain connait, nous y sommes déjà allés quelques Week end.
Vendredi, à la sortie du bureau, nous prenons la route. Alain restera deux jours et rentrera dimanche à Paris. Beaucoup de fatigue, mais que ne ferait-il pas pour sa petite famille. Cest un amour.
Il viendra nous rechercher le Week end prochain, je ne veux pas le quitter trop longtemps, et jai plein de chose à faire à la maison, jen profiterais.
Quelle semaine !
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SAMEDI
Nous passons le samedi à la plage, Elise est dans son couffin, tandis que je renforce mon bronzage commencé en juillet.
Depuis quelques années, pour être à la mode, je ne porte plus de soutien-gorge sous mes petites robes ou mes chemisiers. Cest agréable, tout le monde peut apercevoir ma poitrine en transparence, ou mes tétons qui sincrustent dans le tissu des t-shirts.
Sur la plage, toujours seins nus sur ma serviette, jaime la chaleur du soleil sur ma poitrine, le vent qui me caresse, le regard des hommes qui passent.
Je ne suis pas la seule, ma belle-sur a également les seins bien bronzés, aucune marque, même en bas, elle doit faire du nudisme intégral. Jaimerais essayer un jour, Alain ne sera certainement pas contre, bien au contraire.
Mon mari mamuse à mater nos jolies voisines qui sexposent comme moi, il croit que je ne le vois pas. Comme elles, je ne laisse pas insensibles nos voisins. Parfois un regard un peu appuyé provoque quelques picotements dans mon ventre, jaime cette sensation, je ferme les yeux, jimagine leurs mains, jimagine leur sexe.
Alain nest pas jaloux des hommes qui me détaillent, sans aller jusquà dire que ça lui plait, je me suis vite aperçu que le soir il est souvent émoustillé, et jen profite. Petits plaisirs bien anodins, partagés par beaucoup de couple, à nen pas douter.
Mon frère et sa femme rentrent rapidement avec Elise qui ne supporte pas trop le soleil, nous laissant profiter au maximum de cette journée de vacances.
La mer est fraiche, nous nageons sans trop nous éloigner du bord, nous jouons dans les vagues, je reste avec mon chéri jusquà la tombée de la nuit.
Nous sommes seuls, enfin presque, sans hésitation, nous faisons lamour dans la mer avant de quitter la plage.
Jaide ma belle-sur à préparer le diner, pendant quAlain soccupe dElise, lui donner à manger, le bain, la couche pour la nuit et dodo, Il na pas son pareil pour la faire sendormir en lui chantonnant une berceuse. Un vrai papa poule, un amour.
Soirée calme en famille. Nous nous couchons trop tard pour entamer un petit câlin, on se rattra demain.
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DIMANCHE
Le réveil se passe comme jai prévu, et comme Alain la prévu.
A midi, mon frère a invité son voisin Bernard à prendre lapéritif, il nest pas en vacances, il a une petite entreprise sur le port. Il vit seul depuis son divorce. Mec sympa, de notre âge.
Mon frère me rappelle quelques souvenirs de nos vacances passées, nous étions avec Bernard au Club-Ado sur la plage. Je fais semblant de me souvenir, on a dû changer en 15 ans. Sa tête me disait vaguement quelque chose, mais
« - Toi, tu nas pas changé.
Pour ne pas le vexer, je fais semblant de le reconnaitre.
Seul souvenir de ces vacances, cest lannée où jai appris à embrasser un garçon, peut-être avec Bernard, je ne sais plus. Insouciance de la jeunesse, on changeait souvent, flirt dun jour, bisous dun soir.
Mon chéri veut partir assez tôt, pour éviter les embouteillages de la rentrée sur Paris. Je laide à boucler ses affaires dans notre chambre, quand il me prend dans les bras, membrasse amoureusement. Cest la première fois depuis notre mariage que nous allons être séparés toute une semaine, comme moi il a une boule au creux de lestomac.
Je fonds, il mentraine sur le lit, ses mains parcourent tout mon corps
Il arrivera à Paris en plein embouteillage.
« - Je te téléphone ce soir, à mon arrivée.
« - Soit prudent mon chéri,
Le soir je suis un peu triste dêtre subitement seule, mon frère et ma belle-sur essaie de me divertir au mieux, seul mon petit bout chou parvient à me tirer un sourire.
Le coup de téléphone dAlain me rassure, il a mis 2 heures de plus que prévu, mais il est arrivé à bon port :
« - Bonne nuit ma chérie,
« - Bonne nuit mon amour
En mendormant, jimagine ses bras autour de moi, ses mains sur mes seins, sur ma chatte
Je regrette davoir oublié à Paris le gode rangé dans le tiroir de la table de nuit.
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LUNDI
Je traine toute la matinée, lâme en peine. Pour moccuper, je prépare le déjeuner.
Tandis que nous terminons de manger sur la terrasse, Bernard passe la tête, il sinvite au café.
Il va ce soir à un concert de jazz dans le parc de la ville, un ami lui a fait faux bond, il veut faire profiter mon frère de sa place. Je connais bien mon frère, il est assez casanier, et ne voudra jamais sortir sans sa femme, je crois entendre Alain.
Connaissant mon gout pour le jazz, mon frère me propose daccompagner Bernard. Ils garderont Elise :
« - Profites-en, tu es en vacances.
Jhésite un peu, autant dabandonner ma fille, que de sortir sans mon mari. Devant linsistance générale, je suis tentée daccepter, après tout cest vrai je suis en vacances.
Cest décidé, Bernard passera ce soir me chercher vers 20 heures, le concert commence à 21 heures, mais mieux vaut arriver assez tôt.
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Je me prépare rapidement pour cette soirée, tenue simple et décontractée. Jai des scrupules à abandonner Elise, je lui donne à manger, la berce et reste auprès delle en attendant quelle sendorme.
Repensant à Alain qui certainement va me téléphoner dans la soirée, jessaie de le joindre à son travail. Sa secrétaire me signale quil est en réunion. Pas de chance.
Jai appris le lendemain par mon frère quAlain ma téléphoné assez tard, après avoir diner, avec lui je me doute que ce devait être simple, pizza ou surgelé. Mon frère lui a répondu que jétais allée écouter un concert. Il ma souhaité une bonne soirée, attendant demain pour avoir des nouvelles.
Bernard passe me chercher comme prévu. Je le suis, excitée par cette soirée qui me sort de mon train-train quotidien.
Dans la file dattente pour accéder au parc, tout le monde est tassé, Bernard me prend la main, il ne veut pas me perdre, je me laisse guider.
Gros succès, le public est enthousiaste. Entre chaque morceau, emporté par lambiance, Bernard me fait une bise, me prend par les épaules, membrasse dans le cou, jaccepte sans réfléchir. Lorsque ses lèvres rencontrent les miennes, je réponds machinalement à son baiser
jai 16 ans, je ne suis pas mère de famille, Bernard est un flirt comme les autres
je perds la notion du temps.
Super concert, en sortant, nous sommes un peu euphoriques comme tout le public. Bernard me tient toujours par la main, je ny fais pas vraiment attention. :
« - Tu as faim, on se fait un petit resto ?
« - Il est tard, non juste un verre et je rentre.
« - Daccord. Viens prendre un verre chez moi, je trouverais bien quelque chose à grignoter.
Je le suis sans aucune arrière-pensée, cest un copain, la nuit est belle
Dans lascenseur, Bernard me prend par les épaules et pose ses lèvres sur les miennes, je ne réagis pas. Encouragé, il membrasse à pleine bouche, je lui rends son baiser. Collée à la paroi de lascenseur, il me caresse les seins au travers mon chemisier. A larrêt, je suis surprise, que fais-je là ? Pourquoi lavoir embrassé ? Il ne faut pas quil se fasse dillusion, pas question daller plus loin, pas question de tromper Alain.
Dès quon sera chez lui, je le lui dirais clairement. Il sait que je suis mariée, que jai un , je suis certaine quil comprendra, il me laissera tranquille.
Chez lui, comme si rien ne sétait passé, il me propose un verre et part dans la cuisine. Ouf ! pas besoin de lui expliquer en détail, il a déjà réalisé le ridicule de la situation.
Je suis assise sur le canapé quand il revient avec un plateau. Il sassoit à côté de moi, remplit nos verres, on trinque. Il sapproche, je tourne la tête, une bise atterrit sur mes lèvres.
Un peu confuse, je me lève, il faut que je lui parle. Je regarde la rue par la fenêtre, cherchant les mots à dire pour ne pas le froisser.
Je le sens derrière moi, ses mains se posent sur mes hanches, il membrasse dans le cou. Pourquoi ne rien dire, pourquoi le laisser faire ? Lentement ses mains remontent sur mes seins, jaime cette caresse. Je me retourne, et colle mes lèvres sur les siennes. Son baiser profond me fait perdre la tête.
Il ouvre mon chemiser, membrasse la poitrine, tête mes bouts devenus très sensibles. Je sens sa main sur mon ventre, elle descend, atteint mon pubis, sinfiltre sous lélastique de ma culotte, humm sa main est douce, sa main est chaude. « Oui continue
continue
».
Je ferme les yeux, mabandonne à ses caresses, tout senchaine, un tourbillon memporte.
Où suis-je ? je ne sais plus. Mais
mais, je suis nue, allongée sur son lit. Comment suis-je arrivée là, je ne sais plus. Jai envie de ses baisers, de ses caresses « viens Alain, je suis toute à toi, fais-moi jouir ». Un doigt me pénétre, cest bon, je sens sa queue raide. Réflex dune femelle en chaleur qui attend le mâle, jécarte machinalement les cuisses. Sa queue me pénètre, je me laisse envahir par cette douce chaleur, il sactive en moi, « oui baise moi bien Alain, baise ta petite femme, fais-moi jouir »
un éclair, je tremble, jéclate en poussant un long cri, gardant les yeux fermés, goutant ce plaisir qui menvahi toujours après lorgasme.
Et toi mon chéri ? Je nai pas senti lorsque tu tes répandu dans ma chatte. Tu nas pas éjaculé ? Je tends la main pour te branler et te faire jouir à ton tour. Mais, pourquoi avoir mis un préservatif ? Dans un rêve jouvre un il, non ce nest pas possible, Bernard me regarde tendrement, heureux du plaisir que nous venons de partager
je suis abattue, quai-je fait ?
Sans un mot, je reste allongée à côté de Bernard. Il perçoit mon trouble, un peu inquiet, dune voix douce :
« - Tu veux prendre une douche ?
Jaccepte volontiers. Je file dans la salle de bain, leau froide finit de me réveiller, de me ramener à la réalité. Pardon Alain, je ne sais pas ce qui ma pris. Jai envie de pleurer, aucune larme ne coule.
Me retournant, Bernard est là, nu. Il me regarde :
« - Que tu es belle.
Non je suis moche, après ma grossesse et les mois dallaitement, mes seins sont lourds, jai un gros bide, je me sens flasque :
« - Tu es belle.
Alain me le dit souvent, cest normal cest mon mari, il cherche à me rassurer. Je sais que je suis moche. Ces simples mots de Bernard me troublent. Jaime quil me regarde, sa queue qui se tend vers moi prouve quil pense ce quil dit.
Je lui souris,
Il sapproche de moi, je ne bouge pas.
Il me prend dans ses bras, je lui tends mes lèvres.
Il pose ses mains sur mes fesses, je me colle à lui.
Il me caresse les seins, je le regarde dans les yeux.
Jaime ses mains, jaime son sexe contre mon ventre. Il me retourne, je me cambre, il frotte sa bite contre mes fesses, jécarte les jambes. Je le sens me pénétrer lentement, tendrement. Il menlace de ses bras puissants, je le sens aller et venir en moi tout en me pelotant les seins à pleine main. « Oui Bernard, continue, baise-moi, je suis toute à toi, fais-moi jouir ».
Je me mords les lèvres pour ne pas crier, ses mains se crispent sur mes hanches
nous nous laissons emporter par le plaisir qui nous submerge.
Je reviens doucement à moi. Encore un moment sous la douche :
« - Tu peux me ramener chez moi ?
Nous nous habillons en silence. Il me dépose à la porte de chez mon frère, je le quitte sans un mot, sans un baiser.
Ouf, mon frère et sa femme sont couchés, je naurais pu soutenir leurs regards.
Dans ma chambre, assise sur le lit, je repense à ce qui vient de se passer. Je pense à Alain, jai honte, honte davoir jouis avec un autre
je me glisse nue entre les draps. Jai du mal à trouver le sommeil, le remord davoir trompé mon mari, la peur quil lapprenne un jour, la crainte de le faire souffrir. Mais je tremble encore du plaisir que Bernard vient de me donner.
Au matin, cest décidé, il ne sest rien passé, je dois tout oublier, Bernard comprendra que cest une folie.
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MARDI
Ce matin, nous allons à la plage en famille. Comme ma belle-sur, je nhésite pas une seconde, nous voilà seins nus toutes les deux.
Le regard de mon frère me surprend, dans cette tenue je suis une femme comme les autres.
Par le plus heureux des hasards, Bernard passe par là, il décide de se joindre à nous. Je frémis quand il me fait la bise. Tout en discutant avec mon frère, Bernard me regarde à la dérobée, cela amuse mon frère qui de son côté ne perd rien des poitrines petites ou généreuses de nos voisines.
Japprécie aussi le regard des hommes qui passent et tournent la tête pour mieux nous voir.
Autant profiter du soleil, je mallonge à plat ventre, et demande à ma belle-sur si elle peut me passer de la crème solaire sur le dos,
Bernard qui est plus proche ne perd pas le nord :
« - Laisse je men charge.
Il saisit le tube de crème et commence à menduire le dos, les cuisses
je ferme les yeux, ses mains sont douces, elles me rappellent
non rien. :
« - Côté pile terminé, tourne-toi pour le côté face.
Sans réfléchir je me retourne exposant mes seins. Trop tard pour reculer, Bernard me passe de la crème sur les jambes que jécarte légèrement, le ventre, les épaules, les bras
ses mains hésitent, je suis anxieuse, va-t-il oser
il empoigne mes seins et les enduits dune bonne couche de crème :
« - Il faut bien protéger les zones sensibles.
Au contact de ses mains, je frisonne. Sentant le regard de ma belle-sur, je me lève dun bond, « ça suffit comme ça », laissant Bernard la main en lair, un peu bête. Il a compris, il bafouille une excuse.
Afin de dissiper le trouble qui pourrait me trahir, je pars vers la mer :
« - A leau.
Bernard se lève à son tour. Je devine son regard sur mes fesses à peine recouvertes dun mini :
« - Attend, je viens me baigner avec toi.
Après quelques mots les pieds dans leau, où je le supplie de faire plus attention. Je retourne sur ma serviette en courant :
« - Leau est vraiment trop froide Brrr, je préfère le soleil.
« - Tu as toujours été frileuse,
Mon frère rejoint Bernard.
Je reste avec ma belle-sur. Jai peur quelle nait deviné, surtout ne pas me défendre. Il faut que jattaque :
« - Il est gentil Bernard, mais un peu collant.
« - Tu lui plais cest évident. Hier, il ta draguée ?
« - Non, mais il a été très gentil. Je ne voudrais pas quil se fasse des illusions. Tas vu comment il ma passé la crème, jai cru quil allait me caresser.
« - Mais il ta caressée.
« - Oh !
Ma belle-sur me rassure.
« - Pas grave, il nest pas méchant. Il a dû comprendre quil était allé trop loin.
Ouf, lhonneur est sauf.
Rassuré, je cuis au soleil tout le reste de laprès-midi.
Ma belle-sur a des courses à faire, sadressant à son mari :
« - Mon chéri, je dois passer au supermarché, tu maccompagnes ?
Et se tournant vers Bernard :
« - Vous pouvez rester encore un moment. Tu pourras raccompagner Marie ?
Hypocrite, je la fusille du regard. Je la prends à part :
« - Tes folle, je ne veux pas rester seule avec lui.
« - Tu ne risques rien, il ne va pas te violer.
« - Texagères.
Je la remercie dans ma tête, si elle savait.
Bernard reste sage à mes côtés, sans quitter ma poitrine des yeux. Au moins, jai la preuve que mes seins lui plaisent.
Au bout de dix minutes, il commence à shabiller :
« - On y va.
Je ne pose aucune question, je me rhabille et le suis.
Quelques minutes après, nous sommes chez lui. La porte à peine fermée, il membrasse. En en tour de main, je suis nue, debout dans son salon. A son tour, il enlève ses vêtements. Il me regarde en silence des pieds à la tête, cette fois je me sens belle, je lui tends les bras :
« - Embrasse-moi.
Après un long baiser, il se détache un peu, et sans me quitter des yeux :
« - Suce-moi.
Je ne me le fais pas dire deux fois, je me penche, prends sa queue déjà bien raide entre mes lèvres, je le suce, lui lèche le gland, jaime coller mon nez dans ses poils, sa bite bien au chaud dans ma bouche. Rapidement, je me relève :
« - Baise-moi.
Lui non plus ne pose aucune question. Il massoit sur laccoudoir du canapé, je me couche en arrière, la tête dans les coussins. Jécarte les jambes exposant ma chatte bien humide de façon indécente, je me sens salope, que cest bon. Je nattends pas longtemps, il frotte son gland sur mes lèvres, sur mon clito, ma respiration saccélère, il se positionne et sans ménagement senfonce dun coup en moi, bien à fond.
Nous nous regardons dans les yeux, je veux quil me voit jouir, jai envie de voir son regard lorsquil me remplira la chatte.
Quand il explose, il se penche, et membrasse avec fougue. Je jouis, je jouis
Pas le temps de sattarder :
« - Quelle heure est-il ? Il faut que jy aille.
Petit passage sous la douche, je récupère mes vêtements épars dans le salon. Une bise à mon amant :
« - Ne viens plus chez nous, ils vont finir par se douter de quelque chose.
« - Je veux te revoir. Demain ?
« - Je te téléphonerais.
La maison de mon frère nest pas loin, je rentre rapidement. Ouf, ils ne sont pas encore arrivés. Je me repose un moment. Impossible de mettre une idée devant lautre, dépassée par tout ce que je viens de vivre depuis 2 jours.
Jessaie de ne pas penser à Alain.
Je me change pour la soirée. Un SMS à Bernard :
---« Merci »
---« Pas de quoi ma belle »
---« Jaimerais aussi te voir demain, je te dirais quand »
---« Quand tu veux, jattends ton message »
Jai enfin repris mes esprits. Jaide ma belle-sur à ranger les courses et à préparer le repas du soir. Heureusement, elle ne me pose aucune question.
Après diner, je raconte ma soirée à Alain, en détail. Enfin le concert de Jazz et notre journée à la plage, sans oublier des nouvelles de notre fille, tandis quil me raconte son travail au bureau.
« - Profite bien de tes vacances. Jai hâte de te prendre dans mes bras.
Je rougis légèrement en lentendant. Mon chéri, jai honte, si tu savais. Je naurais jamais cru pouvoir te tromper un jour, pouvoir jouir avec un autre, pardon.
Un SMS de Bernard, il minvite au cinéma demain soir. Je réponds sans hésiter :
---« Pas le soir. Il faut trouver un moment dans la journée »
---« Jai envie de passer une nuit avec toi. Mendormir avec toi, me réveiller avec toi »
---« Impossible »
Je coupe, jai peur. Peur de Bernard, peur de moi.
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MERCREDI
Le lendemain, coup de chance, ma belle-sur est occupée, elle est bénévole dune association qui a ouvert une boutique de produits exotiques, cest son jour de garde.
Je voulais retourner à la plage, mais qui gardera bébé. Mon frère, bonne pâte, se propose gentiment :
« - Profite de la mer et du soleil, ce nest pas à Paris que tu auras ce bon air.
Trop gentil.
Je passe sur la plage en coup de vent, après un détour par la boutique faire coucou à ma belle-sur. Et me retrouve dans la chambre de Bernard :
« - Nous avons au moins deux heures, rien que pour nous.
Comment décrire ce que jai vécu, jenchaine les orgasmes, nue tout laprès-midi, pour prendre un café, discuter sur son canapé. Surprise dêtre aussi à laise, jaccepte toutes ses caresses. Jai une envie soudaine :
« - Je peux te demander quelque chose ?
« - Oui tout ce que tu veux.
Je baisse les yeux, je nose pas, je me sens rougir, enfin dune voix timide :
« - Jaimerais que tu mencules.
Bernard est surpris :
« - Tu aimes la sodomie ?
« - Je ne sais pas, jamais fait. Jaimerais essayer, pour voir. Mais je noserais jamais le demander à Alain, et lui risque de ne jamais me le proposer.
Je mallonge sur le ventre, jambes écartées, la tête sur loreiller, sans aucune pudeur. Il membrasse, me lèche partout, et quand je dis partout, jaime sa langue entre mes fesses, quelle douceur. Un doigt fouille ma chatte, joue avec mon clito. Je suis un peu crispée quand il senfonce dans mon petit trou. Petit à petit je me décontracte, ses caresses me préparent, mon esprit senvole. Il peut enfin me prendre sans trop deffort, juste une petite douleur quand son gland pénètre en moi. Jimagine sa queue entière dans mon cul, cette image me fait peur, mais mexcite. Quelques vas-et-viens, un jet chaud se répand dans mes entrailles. Je nai pas joui, il se penche, prends mon clito entre ses lèvres et déclenche un orgasme qui me fait frissonner.
« - Tu as aimé ? Je ne tai pas fait mal ?
« - Ça fait drôle, je nai pas lhabitude. Je préfère par devant, mais je voulais essayer une fois, faut tout connaitre dans la vie.
« - Tu as raison.
Me dit-il en riant.
Jai un peu mal aux fesses, mais je suis heureuse. Il est temps de partir, nous refaisons lamour sous la douche.
Pas de nouveaux rendez-vous, on avisera.
Je rentre rapidement moccuper dElise qui a fait une bonne sieste avec son tonton.
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JEUDI
Mon frère me propose une balade dans le pays, Guérande, Le Croisic, La Turballe. Jaime la région, le long du bord de mer il y a plein de petits restos sympas.
Un SMS pour avertir Bernard, aujourdhui cest jour sans. En y réfléchissant je préfère, pas dhabitude, il ne faut pas quil saccroche
et moi non plus.
Super journée. Je ne pense déjà plus à Bernard, un SMS me rappelle son existence. Zut, dans quoi me suis-je embarquée. Je ne réponds pas, pas encore.
Alain doit venir nous chercher demain soir, jai peur quil ne croise Bernard, quil comprenne. Non, pas possible.
Lorsquil appelle, Alain me parle de sa journée, il a lair fatigué. Une idée me vient, pour lui éviter la fatigue de la route, je lui propose de rentrer samedi par le train. Il accepte, il me remercie de lui économiser un tel trajet. Ainsi, avant de reprendre le travail, nous aurons deux jours rien quà nous. Quel amour !
Jenvoie un SMS à Bernard pour lui dire que lon ne pourra pas se voir le lendemain, je dois préparer mon départ. Hypocrite avec lui aussi, jose dire « dommage », mais je ne veux plus, la page est tournée.
Il mécrit « je pourrais venir à Paris, on pourrait se voir ». Je prends peur, non pas question davoir un amant, de mentir à Alain. Il faut être clair, nouvel SMS :
---« Excuses-moi, jai ma vie à Paris. Jai passé de super vacances avec toi. Merci pour tout »
---« Je comprends, bonne chance à toi »
---« Encore merci. Je tembrasse »
Ouf, il ne saccroche pas.
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VENDREDI
Comme prévu, je prépare mes affaires. Le matin, nous allons rapidement à la plage avec ma belle-sur et bébé, dernier bain de mer, dernier bain de soleil, dernière petite exhibe.
Oups, jai oublié de choisir un cadeau pour Alain. Que puis-je lui acheter ? Ma belle-sur me conseille la boutique Saint James, ils ont des pulls marins superbes. Bonne idée, je suis certaine quil aimera :
« - Jirais pendant la sieste dElise si tu peux la garder.
Pas possible, il a dû me suivre. Tandis que je me fais présenter les modèles par la vendeuse, je vois Bernard dans la vitrine, il me regarde.
Que puis-je faire ? Il entre, petites bises. On discute du cadeau. Il se propose dessayer le pull pour vérifier la taille. Non, cest trop personnel, Alain ne va pas passer après lui.
Mon choix fait, il me montre le rayon femme. De belles petites robes, décolletées, dos nu, arrivant à mi-cuisse, elles me plaisent toutes.
« - Essayes-en une.
Pourquoi pas. La vendeuse me les porte dans la cabine. Sans rien me demander, Bernard entre avec moi. Le rideau fermé, il membrasse. Jaime ses lèvres.
Il faut faire les essayages. La vendeuse vient nous aider, je me change devant elle et devant Bernard, juste en petite culotte. La vendeuse me fait des compliments sur ma taille, sur mes seins. Cest toujours flatteur.
Notre choix se porte sur une robe noire, daprès lui « ça fait plus class », beau décolleté, avec un bouton entre les seins. Jimagine si je louvre
De nouveau seul, il membrasse me caresse la poitrine, les fesses.
« - Jai envie de toi, tu mexcites dans cette robe.
Ça javais remarqué :
« - Non pas ici, tu es fou.
Ma tête dit non, mais mon corps dit oui. Il soulève la robe, me plaque contre le miroir, je sens le froid sur mes fesses et sa main dans ma culotte. Un doigt me fouille, je me mords les lèvres au moment de jouir pour te pas me faire remarquer. Content de lui, il me sourit. Dans ma tête, je le remercie pour ce dernier orgasme.
Bonne fille, je le caresse :
« - Je ne vais pas te laisser comme ça,
Sans lui laisser le temps de dire un mot, je massois sur le petit tabouret et ouvre son pantalon. Sa bite dans la bouche, je le suce avec plaisir, le mien et le sien. Il ne tient pas longtemps et se déverse au fond de ma gorge. Gentleman, il me tend son mouchoir pour que je puisse recracher son jus. Il est galant. Je le regarde et en souriant javale sa semence. Ce nest pas dans mes habitudes, mais une fois nest pas coutume.
Un grand sourire, un baiser langoureux, le dernier.
Quand je passe à la caisse après mêtre rhabillée, il me tend un petit sac contenant la robe :
« - Cadeau.
Quel amour cet homme.
Je nai rien besoin de lui dire, il a compris :
« - Tu seras mon plus beau souvenir, merci Marie.
Je ne réponds pas, pensant subitement à Alain.
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SAMEDI
Mon train est à 11 heures, jai le temps de me préparer. Mon frère maccompagne à la gare.
Dans le train, quand Elise men laisse le loisir, je somnole. Passant de la honte, à la joie davoir été désirée, à la culpabilité, au plaisir que jai eu.
Merci Bernard, je me trouvais moche, tu mas fait redevenir femme, une femme désirable. Je ne pourrais jamais oublier ton regard quand tu mas découverte nue sous la douche. Je te revois nu devant moi, avec lenvie que jai eu de te caresser et de toffrir mes fesses.
Les vacances sont finies, Alain ne le saura jamais. Maintenant il ny aura plus que lui
ne devrions-nous pas envisager de donner un petit frère à Elise ?
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Alain mattend à la gare. On sembrasse, je taime mon chéri.
A la maison, je moccupe, range les affaires, lance la machine à laver, pas de temps à perdre. Mon sens de lorganisation reprend le dessus.
Je lui offre son pull marin, il est beau avec, je me blottis dans ses bras, cest doux, cest chaud. Il membrasse, passe sa main sous mon t-shirt, me pelote les seins. Jaime, mais je ne suis pas prête, pas si vite.
Bébé pleure, merci Elise. Je vais la bercer pour quelle sendorme.
Quand je reviens dans la chambre, Alain a sorti la robe de ma valise. Je prends les devants :
« - Elle est belle non ? Une folie.
« - Très belle, tu as eu raison de te faire plaisir, de me faire plaisir.
Une fois couché, il se fait tendre, bien sûr après une semaine dabstinence. Mais je ne peux pas. Jai peur de le repousser, je ne veux pas me forcer.
Elise me sauve encore une fois, ses dents surement. Je passe beaucoup de temps avec elle avant quelle ne se rendorme.
Quand je me glisse dans le lit, jose lui dire :
« - Excuse-moi mon chéri, je suis fatiguée, on verra demain, tu veux bien.
Il a lair contrarié, mais il ne ma jamais obligée à quoi que ce soit.
« - Je te comprends, bonne nuit ma chérie.
Dans ses bras, je suis bien. Il me serre contre lui, je colle mes seins sur son bras, sent-il combien mes tétons sont durs ? Son corps chaud me rassure, je mendors heureuse.
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DIMANCHE
Alain dort encore quand jouvre les yeux. Je vais moccuper de bébé, et reviens me coucher. Je le réveille par des petits bisous. Il me sourit, membrasse
nous faisons lamour, une fois, deux fois, labstinence lui a donné des forces
nos corps se reconnaissent, je retrouve toutes les sensations que javais peur davoir oubliées.
Alain, tu es mon homme.
De la salle de bain, je lappelle :
« - Viens prendre ta douche avec moi.
Il ne se fait pas prier. Il me caresse, on sembrasse. Je tends mes fesses les mains appuyées sur le carrelage. Jaimerais, mais je nose pas le lui demander
délaissant mes fesses, il me pénètre et minonde la chatte déclenchant un orgasme comme lui seul sait le faire.
Heureusement, bébé nous laisse encore le temps de faire un brin de toilette.
En préparant le petit déjeuner, je ne peux mempêcher de repenser à Bernard. Cela me semble tellement loin, déjà de lhistoire ancienne.
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EPILOGUE
Je ne suis plus retournée en vacances à La Baule, juste un Week end en famille lannée suivante, contente de ne pas y rencontrer Bernard.
Plus tard, mon frère a vendu sa maison.
Bernard, mon premier et mon dernier amant. Je nai jamais eu aucun sentiment pour lui, juste le bonheur de plaire, mais honteuse du plaisir que jai pris. Jai culpabilisé, sans jamais rien regretter.
Pour ne pas faire souffrir Alain, jespère quil ne le saura jamais. Cest le passé, une simple parenthèse, mon jardin secret.
Quelques mois après mon retour de La baule, Alain me fait la remarque :
« - Tiens, tu nas jamais mis la robe que tu as achetée en vacances.
Deux jours après, il memmène au restaurant en amoureux. Pour lui faire plaisir, je décide détrenner le cadeau de Bernard, en évitant de trop penser à lui. Impossible, tout est remonté dun coup, ses caresses, ses baisers, le plaisir quil ma donné, lenvie que javais eu ce jour-là quand je lai sucé, même le gout de son sperme me revient en mémoire.
A cet instant, jai maudit mon mari.
Quand Alain ma vu, il ma simplement dit :
« - Elle te va bien. Tu es belle.
Il ma prise dans ses bras, et ma embrassée en me caressant les fesses. Je sentais sa queue dure contre mon ventre :
« - Attention, tu vas la froisser.
Au lieu de mallonger sur le lit comme il en avait lintention, délicatement il soulève ma robe, me plaque contre le miroir de notre chambre. Le froid sur mes fesses me rappelle la cabine dessayage, il glisse sa main dans ma culotte. Un doigt me fouille, je me mords les lèvres au moment de jouir, pourtant personne ne peut nous entendre.
Une envie me prend, jouvre son pantalon, je saisis sa queue, il me regarde lui faire la fellation du siècle. Et les yeux dans les yeux, javale tout, tandis quil me sourit.
Décidément, cette robe a un pouvoir magique sur les hommes
et sur moi.
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