Isabelle Va Finir Par Se Venger De Son Mari . Fin.

Épisode 10
Isabelle en était à sa dernière nuit pour rembourser la dette de son mari. Elle en avait profité pour se venger de l’infidélité de son mari. En plus elle se découvrait une sexualité de jouisseuse qui lui faisait profiter des hommes qui s’étaient lâchés. Il y avait Jean-Joseph, avec son gros canon entre les jambes. Albert, n’aimait pas son prénom mais vénérait sa queue, véritable manche à enculer. L’autre c’était Noël et c’était le gros cochon de la bande. Vous avez pu découvrir le début de cette nuit mémorable ; voici la suite. Le mari attaché de façon qu’il n’en perde pas une minute était en pleine déconfiture. Elle s’adressa très vulgairement à son mari ; Jusqu’alors la vulgarité ne faisait pas partie de son langage.
-Tu ne m’as jamais fait jouir comme ça. Tu as vu comment ils m’ont fait couler. Je ne savais pas que c’était possible d’éjaculer comme ça pour une femme. Regarde, j’ai mouillé le canapé. Et tout ça malgré la grosse trique d’Albert entièrement enfoncé dans mon cul.
-D’ailleurs, vous l’avez toujours dans le cul, ironisa Noël ; il l’a un peu moins grosse, hein, Albert. Tu t’es bien vidé les couilles.
-C’était génial. C’est la première fois qu’une femme réussit à s’envoyer en l’air avec mon gros tuyau dans le cul. Je sentais l’ovule vibrer dans sa chatte et en plus j’ai senti ses contractions d’orgasme ; vraiment formidable.
-On va faire une pause pour recharger nos batteries. Vous pouvez retirer l’ovule vibreur qui est toujours dans votre chatte.
Isabelle n’était pas en bonne position pour retirer l’objet. Albert la tenait toujours jambes écartées et relevées. Elle n’entendait plus rien, encore dans sa jouissance, un peu entretenue par les vibrations de l’ovule. Elle sentit à peine les doigts de Noël fouiller son vagin et sortir le matériel tout luisant. Toujours aussi cochon, Noël écartait les lèvres d’Isabelle et de l’autre avait attrapé son clitoris entre pouce et index. Elle l’avait bien dur.

Le mec, commença à le branler comme si c’était une toute petite bite. « Il sait y faire ce pervers », se disait la jeune femme.
-Alors, le mari, qu’est-ce-que ça te fait de voir ta femme se faire branler et en plus avec Albert encore dans son cul après sa jutée ?
- Vous êtes des porcs. Vous m’aviez dit que vous seriez gentil avec Isabelle. Et toi Noël, tu lui as mis un gros lavement du sperme que tu as gardé pendant je ne sais combien de temps. Et toi Albert tu ne respectes rien. T’es fier d’avoir rentré ton gros sexe dans l’anus de ma femme. Tu l’as défoncée : salaud ! Salaud !
-Vous l’entendez les copains, il se plaint. T’avais qu’à ne pas perdre au poker. Et puis ta queue est bien droite pour un homme qui se plaint de voir sa femme se faire tripoter. Regardez votre mari Isabelle.
Toujours allongée sur Albert, elle se redressa.
-Tu es vraiment un connard, Bertrand. Tu regardes trois queutards s’amuser avec ta femme et lui en mettre dans tous les trous et toi tu geins mais tu bandes ! envoya Isabelle en se rallongeant sur Albert qui la gratifia d’un baiser dans le cou.
- Noël, vous pouvez reprendre ce que vous faisiez ; Ça me faisait du bien et vous Jean-Joseph approchez-vous je vais m’occuper de votre canon.
Albert proposa d'aller dans la chambre. Tous furent d'accord. Ils déménagèrent aussi le mari. Dans le très grand lit, ils prirent leur position. Isabelle compris tout de suite lorsque Noël proposa de faire la totale. Il donna les positions de chacun. Albert s'installa au milieu du lit. Isabelle fut invitée à venir sur lui, ventre contre ventre. Elle se rentra la queue dans la chatte. Elle se demandait qui allait prendre la place de derrière. Albert donna la réponse en une phrase expliquant que c'était son tour de rentrer dans l’anus car le gros canon de Jean-Joseph ouvrirait beaucoup trop la petite porte qui avait déjà laissé rentrer l'engin de Noël qu'on ne pouvait pas appeler une petite bite. Jean-Joseph était parfaitement d'accord ; il allait pouvoir profiter du spectacle tout en se faisant sucer la queue.
Noël demanda à Bertrand, le mari, s'il était bien installé pour le spectacle. Depuis le début, il s’était beaucoup plaint du traitement que les 3 hommes avaient réservé à sa femme. Mais depuis qu’il avait vu sa femme jouir en éjaculant plus que les hommes, il bandait comme un âne. Mais étant attaché il ne pouvait pas se soulager.
-Regarde bien, Bertrand, ma queue va rentrer entièrement dans le trou du cul de ta femme et elle ne se plaint pas, s’amusa Noël.
Isabelle était maintenant dans une position de gang bang. Noël venait de lui rentrer lentement mais surement sa trique dans le cul. Elle avait la bouche grand-ouverte pleine du champion de Jean-Joseph. Et le gros queutard d’Albert lui ramonait la chatte toujours très bien lubrifiée. Et tout observateur aurait pu constater que « ça ramonait ferme ». Les hommes triquaient dur ; ça bossait de la queue. C’est Noël qui lâcha le premier. ment, le jus était parti à force de sortir sa teub pour regarder l’anus d’Isabelle entouré de sa collerette de poils et de l’encourager quand il replongeait dans son rectum par des « Serrez madame, serez fort ! » Il sortit du cul et une longue giclée jaillit de sa queue atterrissant dans les cheveux noirs d’Isabelle.
-Hé ben, bravo, à dix centimètres près, c’est moi qui recevais ta purée. Tu as super bien visé. Tu es un champion de la queue. Bravo ! Bravo ! s’exclama Jean-Joseph qui, les mains sur les hanches, était toujours en train de se faire sucer « sa fontaine à sperme » comme il appelait parfois sa bite.
Isabelle suçait et suçait encore. Elle avait aussi envie de jouir. Elle se sentait prête. « Je crois que je vais avoir un orgasme encore plus fort que tout à l’heure. » Noël avait tout compris. Il revenait de la cuisine une bière à la main ; au passage il attrapa le vibromasseur spécial clito. Albert retourna Isabelle sans sortir de sa chatte. Elle était maintenant sur lui et Jean-Joseph s’était lui aussi replacé. Lorsque Noël plaça l’engin sur le haut de la chatte, Albert, une main sur un sein, l’autre sur le ventre sentit la jeune femme se tendre.

-regarde bien la chatte de ta femme, lança Noël au mari, tout rouge, la queue en haut, les mains toujours attachées.
-é on, tenta d’articuler Isabelle, la bouche pleine. Je .ai ..ouiiirr.
-Je sens bien, allez-y Isabelle, encouragea Albert qui pistonnait faisant floc floc !
Avec une grande opportunité Albert se retira. Jean Joseph en fit autant. Isabelle commença à mouiller la tête du vibro.
-Je jouis ! C’est fort, je jouis
Vivement Noël retira l’appareil à jouir. Un beau jet jailli de la chatte. Dont les poils brillaient de mouille. Les trois hommes applaudissaient.
-Ho, la salope, la salope ! se lamentait le mari.
-Albert se remit au taf et éjacula, mélangeant son jus de couilles à la mouille d’Isabelle.
Comme d’hab, Jean-Joseph prenait son temps. Il se fit un peu sucer à nouveau.
-À mon tour d’enculer.
-Vous allez faire doucement Jean-Joseph parce que vous avez le sexe le plus gros de vous trois. Il n’est pas le plus long mais il est vraiment large.
-C’est vrai, Isabelle, des jours comme aujourd’hui, je suis vachement excité et il doit dépasser les 5,5 cm de diamètre. Le mieux, c’est que vous vous le mettiez vous-même dans le cul. À quatre pattes, elle avait pris le canon en mains et le présentait contre son anus. Manifestement ça ne rentrait pas.
-Vous pouvez mettre de la vaseline, s’il vous plaît.
Noël posa le tube de vaseline contre le trou le vida à l’intérieur. Il lui mit deux doigts dans le cul puis tourna.
-C’est pour votre bien, puis il mit trois doigts.
-Hé, doucement !
-À toi de jouer, Jean-Joseph.
Mais l’affaire ne fut pas simple. Il y eut des « Hou ! », des « Ha !», des « elle est trop grosse », des « c’est dur ». Mais cela ne déplaisait pas à Isabelle d’être aux mains de ces lascars. Alors, elle serra des dents, tapa du poing sur l’oreiller.
-HEU EU EU !
-Je suis dedans, madame, j’y suis.
-Je le sens bien que vous y êtes.
Faites doucement, doucement.
-Ça te fait quoi, Bertrand de voir ta femme avec une énorme bite dans le cul ? demanda Noël.
Pas de réponse. Jean-Joseph bourrait avec application. Il y allait mollo. Il savait se tenir sur le fil de l’éjaculation pendant de longues minutes. Pour une fois, il ne se retint pas se disant que déjà Isabelle était bien gentille de l'accepter dans son cul. Et que c'était un exploit mais qu'elle devait être dans le dur. Il envoya donc son jus assez rapidement. Elle fut soulagée. Lorsqu'il se retira, Noël présenta la raie du cul d’Isabelle au mari en écartant les lobes fessiers. Le trou restait béant toujours entouré de sa jolie collerette de poils.
-Est-ce que tu vois bien le trou du cul de ta femme comme il est ouvert, demanda Albert qui n’en perdait pas une. Regarde ! Regarde, il y a du jus qui en sort.
Toujours aussi cochon Noël s’approcha pour renifler l’anus ouvert.
-Ça sent le jus de couilles là-dedans. Allez-y, madame, essayez de refermer votre anus. Sinon ça va faire un courant d’air, plaisanta Noël qui plaça son majeur au milieu du trou.
Ils s’amusèrent de voir l’anus se refermer sur le doigt de l’homme et cela les fit rigoler de voir le reflex d’Isabelle qui secoua les fesses provoquant quelques belles vagues.
-Heureusement que vous m’avez fait bien jouir parce que vous êtes un peu cochons là. Non ?
Les trois compères allèrent boire une bière. Le mari venait de voir pour la première fois le cul de sa femme ouvert. Il avait la trique.
-S’il te plaît, Isabelle soulage moi. S’il te plaît, supplia-t-il.

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