Le Dépucelage De Marion Et Camille 03.

Après avoir rasé Pierre, nous sommes prêtes à lui tailler une pipe.

Je crois que nous allons nous régaler maintenant que la forêt à fait place à un champs désherbé. J’ai jamais eu un truc pareil dans la bouche, Camille et moi, nous nous installons au bord du jacuzzi, de chaque côté de cette banane plantain, nos mains visitent le site devant et derrière dessus et dessous, cette hampe en arc de cercle courbée finie à la verticale comme une pécheresse implorant le ciel, Camille la branlant, la positionne à l’horizontale permettant à nos langues de se promener ensemble sur ce mat de cocagne. Nous enduisons l’intégralité de l’instrument de salive sans oublier ses balles.

Les autres garçons ayant aussi terminé leur mise à nu de leur entre-jambes, se joignent à nous, les mains et les langues baladeuses, ils sont derrière nous et je ne sais pas qui fait quoi, aucune importance, nos seins et nos chattes sont fêtées comme des reines et je sens déjà s’humidifier mon excavation, je dois encore avoir de la réserve et qui goûte ma mouille? Je suis incapable de le dire.

Camille me présente l’énorme quille devant ma bouche, j’ai l’honneur d’essayer de l’introduire en premier, lentement en regardant Pierre dans les yeux, j’enfonce son gland et je commence à le sucer, Camille le branle dans ma bouche, ma langue titille son méat mais je suis partageuse surtout avec Camille et je la laisse à son tour déguster un manche hors norme. Camille descend un peu plus que le gland mais nous n’avons jamais fait de gorge profonde, comme Pierre ne pourra pas nous sauter aujourd’hui, j’ai envie qu’il ait une fille devant et une fille derrière. Comme nous avons bien toiletté son popotin, j’écarte ses hémisphères afin de pouvoir insérer ma langue entre et en la remuant je la frotte sur son petit trou tout propre qui peu à peu devient luisant de ma salive.

Camille le suce et le branle de plus en plus fort et cela l’ébranle ce colosse, il nous dit que nous sommes des diablesses et qu’il va bientôt rendre son âme à Dieu.



- Viens, me dit Camille, il va jouir.

Joue contre joue devant lui, elle continue de branler sa trompe, il implore les divinités Grecques et Latines, il appelle même sa mère ce qui ne va pas empêcher Camille de réussir à dégoupiller la grenade à retardement et elle explose, un 1er spasme m’arrose car Camille chevaleresque dirige son jet vers moi, le 2ème est pour elle et alternativement nous recevons des éruptions volcaniques qui se calment peu à peu en intensité mais pas en abondance, car comme dirait Picasso, nous somme repeintes, bien sûr comme à notre habitude nous avions la bouche bien ouverte pour recevoir notre dose de vitamine quotidienne.

- C’est la 1ère fois qu’une fille me suce le cul, dit-il toujours très nature, et c’est vraiment délicieux mais j’étais comme un puceau, je n’ai pas pu me retenir, c’est toi Marion qui a déclencher le cataclysme. Comme vous êtes belles comme ça. Venez nous allons tous prendre des forces, j’ai prévu un petit repas sympa dehors avant d’attaquer les Grandes Jorasses par l’hémisphère nord.

Effectivement une table est dressée sous un arbre qui nous fait de l’ombre.

- J’ai choisi ce chêne, dit Pierre, pour que vous soyez entourées de glands.

Il nous apporte de quoi nous restaurer, il se place entre nous 2, Camille et moi, et alternativement il nous sollicite pour glisser soit une tomate cerise soit un morceau de melon entre nos fentes toujours humides après le cuni des 4 autres garçons, puis avec malice il les mange en disant qu’il n’y a rien de meilleur.

Camille, elle sa tomate, elle la frotte sur sa joue pour recueillir un peu de crème et la déguste. Elle m’en prépare une bien blanche et me la présente, je l’engloutis avec joie, et jusqu’à la fin du repas de nombreux aliments transitent dans nos fentes et sur nos visages. Quand arrivent des saucisses, nous manquons de nous tellement nous rions. Au dessert, les fraises sont savoureuses grâce à notre recette maison, et tout le monde en profite.


- Bon, allons prendre un dernier bain dans la piscine, dit Pierre avant de passer aux choses sérieuses.

Nous sautons tous à l’eau, et après quelques minutes d’ablutions, nous ressortons tous frais comme des gardons.

- Nous avons pensé que pour commencer l’apprentissage des filles , les garçons, sans vous offenser, vous avez des plus petites queues que nous, dit Alain, nous vous proposons et je pense que vous ne serez pas fâchés, d’honorer ses demoiselles les premiers.

- Avez-vous déjà pratiqué la chose? Demande Stéphane.

Benjamin et David, la queue basse, nous expliquent qu’ils n’ont jamais concrétisé malgré qu’ils aient proposé à de multiples filles, qui ont toutes refusées, de passer le Rubicon.

- Super, dit Alain, alors vous serez 4 à être dépucelés.

Pour plus de confort, Pierre a prévu une vaste pièce avec un grand lit et nous nous installons à l’aise grâce à une ribambelle de cousins qu’il nous a préparés.

- Nous allons prédisposer le terrain, dit Stéphane, en se postant entre mes jambes, les écartant et il commence à me brouter le minou.

- Faites visiter la bouche des filles à votre bite, dit Alain, mais pas trop, car je vois déjà que des chapiteaux se dressent tout seul.

Comme c’est bon de reprendre en bouche la toute 1ère queue que j’ai goûtée, celle de David que je ne l’ai pas revue depuis l’été dernier. Elle est toujours aussi belle et bonne a lécher, de taille normale bien droite, je me régale comme Camille avec celle de Benjamin, mais je n’insiste pas trop car elle est déjà bien dure et prête pour l’assaut à venir. Je ne veux pas lui faire griller une cartouche.

Nos chattes aussi sont bien préparées après ce nouveau léchage où toutes les langues des autres garçons se sont activées, sans parler des caresses sur nos seins. Nos fentes sont lustrées d’un mélange de salive et de mouille. Pierre a même prévu du gel qu’il dispose à l’entrée de nos pâquerettes et il enduit aussi les bites sélectionnées en les branlant avec sa main dans laquelle il a déposé un petit amas de gel.


- Avez-vous déjà introduit un doigt dans vos chattes? Demande Pierre.

- Bien sûr, nous nous faisons jouir de cette manière, avoue Camille, et nous utilisons aussi les jouets de Marion.

Oui les petits cadeaux de Nicolas, le monsieur du gloryhole, nous en avions choisi des petites tailles, mais c’est bien agréable de les introduire dans nos petites fentes après les avoir sucées: les fentes et les toys.

- Alors nous nous inquiétons pour rien, dit Pierre, ça va passer comme une lettre à la poste.

Malgré ses mots rassurants, Alain et Stéphane guident les garçons avec précautions. Pour moi, c’est Benjamin qui va m’initier, Alain lui fait frotter sa queue entre mes lèvres ce qui les écartent petit à petit et maintenant c’est le capuchon de mon petit clito que la bite stimule.

Son doigt plein de gel, Alain délicatement l’introduit doucement en le tournant dans ma vulve et ce n’est pas douloureux du tout mais au contraire très agréable quand il me pistonne avec.

- Je ne sens pas de résistance, dit-il, tu as du déjà craquer ton hymen, ça va être un jeu d’.

Et là il laisse la place à la bite de David qui est d’un calibre plus important.

- Doucement, lui dit-il, soit attentif aux réactions de Marion et essaye de te contrôler, pour sa 1ère, tente de bien la satisfaire et pas de lui donner juste 3 coups de queue.

Et Benjamin, malgré son inexpérience et suivant bien les conseils appropriés qui lui sont donnes, maîtrise bien la situation.
Il place sa bite à l’entrée et par petit va et vient engage patiemment son gland que je vois entrer complètement, le plus dur est passé car par rapport au reste de sa queue, son gland est bien plus épais.

- Ca va? Me demande Alain.

- Oui c’est super, lui réponds-je.

- Alors Benjamin va t’en mettre un peu plus.

Toujours dans un mouvement très lent, il s’enfonce de plus en plus, la moitié de sa bite est passée.
Alain me caresse les seins, et le plaisir me gagne de plus en plus. L’appréhension disparaît complètement et fait place au relâchement total et c’est un régal de sentir une partie de Benjamin en moi, je tourne la tête et aperçois Camille dans le même état que moi, elle me fait un sourire,
La découverte est aussi agréable que pour moi, aucun problème même si je vous ai déjà dit que David a un plus gros engin que Benjamin.

- Va y essaye de rentrer le plus loin possible, lui dit Alain.

Et après quelques mouvements, je ne suis plus pucelle, Benjamin me lime encore doucement mais l’adrénaline monte de plus en plus en moi.

- Change de rythme, lui conseil Alain, va plus vite et plus fort et ralenti si tu sens que tu va jouir et pense à autre chose pour continuer a bien la sauter.

Toutes les 2, apprécions de plus en plus ce traitement, nos plaintes expressives confortent nos garçons sur le plaisir que nous prenons. Un léger bruit de succion atteste que nos chattes sont bien lubrifiées. Mais malgré des petites pauses que s’accordent les garçons, ils arrivent au bout du chemin. David et Stéphane leur conseillent dans un ultime assaut de donner tout ce qu’ils ont, et de monter au sommet de l’orgasme et d’essayer de prendre notre panard ensemble.

- Repends toi bien dans Marion, dit Alain pour qu’elle ressente ce bonheur de recevoir la semence d’un garçon dans son ventre.

Benjamin et moi sommes enlacés, mes jambes entourent le haut de ses fesses, mes bras son dos, nos lèvres se rapprochent et se joignent, je ferme les yeux, il accélère progressivement et le plaisir grimpe, il s’introduit à fond, ses cuisses claquent sur mes fesses, je contribue avec mes jambes et mes bras à aller de plus en plus vite et de plus en plus fort, à ce rythme nous n’allons pas tenir bien longtemps, mais c’est tellement bon ces grands coups de bite en moi. Je sens en moi une montée de fièvre qui m’emporte, je ne maîtrise plus rien, nos lèvres se disjoignent pour permettre de se concentrer sur l’explosion finale, je vois les yeux de Benjamin qui subitement se ferment et sa bouche s’entrouvre, j’aperçois un drôle de rictus sur son visage qui ressemble plus à une grimace et il pousse un cri de bête, un cri de jouissance qui nous averti qu’il va se reprendre en moi, je sens à l’intérieur de moi la crème se déversant et je frisonne et cela déclenche un orgasme simultané à celui de Benjamin, et je crie emportée à mon tour par l’ivresse du bonheur qui envahit tout mon corps.

Fourbu, il s’écroule sur moi et nos lèvres et nos langues s’unissent à nouveau et entrent en communion.

Camille, presque au même moment à vécu la même aventure avec David, et nous avons joui tous les quatre.

A suivre.

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