La Pension Les Mimosas (Partie 2)

Le weekend s’étira tranquillement. Virginie repensait à ce qui s’était passé le vendredi.
Elle avait pris du plaisir sous les doigts et la langue habiles de Juan en présence de
Marinette, en regardant la directrice se faire baiser par le prêtre noir. Elle avait aimé
cette situation associant exhibitionnisme et voyeurisme, dans ce lieu inhabituel. Rien
que d’y repenser elle mouillait. Et elle avait cru comprendre que les pensionnaires de
l’étage lui réserveraient quelques surprises inavouables.
Le lundi matin, à sept heures, Virginie arriva aux Mimosas. Comme convenu, elle monta à
l’étage. Sœur Marinette était déjà à pied d’œuvre, préparant des médicaments et vérifiant
un modeste chariot de soins étincelant. Elle lui sourit, lui demanda si elle était prête
et elles entrèrent dans la première chambre. Marinette avait une quarantaine d’années,
les cheveux bruns, un visage de douceur. Elle était grande et élancée. « Virginie, je te
présente Raoul. Notre cadet. Il a soixante-deux ans. Lui, on lui fait la toilette au lit
et douche le mardi et le vendredi. Méfie-toi de lui, il est un peu coquin » Raoul
regardait Virginie en souriant. Un sourire qu’elle trouva un peu lourd. Marinette
contourna le lit et tira sur les draps qu’elle rabattit au niveau des pieds. « Allez
Raoul mets un peu du tien. Aide-nous ». Raoul se redressa et s’assit dans le lit.
Marinette défit les boutons de son haut de pyjama. Elle tira sur une manche pour dégager
les bras. « A toi Virginie, l’autre manche. Allez Raoul, on s’allonge ». Marinette
s’employa à tirer sur le bas du pyjama. Avec l’aide de Virginie elles le débarrassèrent
du pantalon. Visiblement Raoul ne faisait guère d’effort pour les aider. Comme si c’était
un jeu. Raoul les regardait, goguenard. Sa verge se redressait lentement. Son regard
allait de l’une à l’autre, l’air satisfait.

Marinette attrapa la bassine, le savon et,
sans gants, entreprit de savonner Raoul. Ses mains glissaient sur sa peau. Raoul avait
dégagé ses bras qui pendaient de part et d’autre du lit. Les mains savonneuses glissaient
sur le torse, s’attardant sur les têtons. Visiblement l’homme appréciait le traitement.
Les mains descendirent sur le ventre. Marinette reprit le savon et les mains
contournèrent le pénis raide, s’attardant à frotter doucement les bourses, disparaissant
lentement en arrière. Au tressautement de Raoul, Virginie comprit qu’elles venaient
d’atteindre l’anus. La verge avait pris encore plus de volume. Virginie ne pouvait
détacher son regard de ce spectacle, de cette verge large et longue, tendue, au bout
violacé. Marinette émit un soupir. Virginie réalisa que la main droite de Raoul avait
glissé sous la blouse de Marinette et explorait l’arrière des cuisses, remontant vers le
fessier. Marinette enduisit à nouveau sa main de savon et entreprit de savonner la
verge, l’entourant de ses doigts, faisant monter et descendre son poignet sur la tige
raide. Marinette respirait plus fort et plus vite. Virginie était hypnotisée par la
scène. Soudain, elle sentit une main se poser sur l’arrière de mon genou, remontant
doucement vers le haut, emportant la blouse, la retroussant sur les cuisses. Elle
écarta légèrement les cuisses pour se prêter à la caresse. Elle regarda Marinette. Les
yeux fermés, elle continuait de branler lentement le membre. L’homme, l’avant-bras engagé
sous la blouse retroussée avait passé sa main sous la culotte et caressait les fesses de
la sœur. Virginie se sentait prise d’une excitation sourde. La main masculine remontait
et atteignait à présent ses fesses que le string laissait nues. Elle sentait la cyprine
couler. Elle avait envie que cette main continue son exploration, vienne titiller son
bouton, vienne la délivrer.
Elle sentait la main glisser à plat sur ses fesses,
s’insinuant sous le fin tissu, parcourant le sillon en exerçant une douce pression. Les
doigts agaçaient l’anus, glissant entre les jambes pour caresser le sexe trempé. Tout
d’un coup, Raoul émit un grondement sourd. Son ventre se crispa et il éjacula dans les
mains de Marinette. Le charme était rompu. Marinette termina rapidement la toilette,
rinça et essuya Raoul. « Tu peux te rhabiller tout seul mon grand » lui dit-elle.
Marinette adressa à Virginie un petit sourire gêné.
« C’est Raoul. Il est comme ça. Il n’est pas méchant. Mais il me met toujours dans des
états… ça me fait tellement de bien. Allez, on continue. «
Les autres pensionnaires étaient moins entreprenants que Raoul. Virginie eut tout de même
droit à quelques mains baladeuses. Dont certaines s’aventuraient sous sa blouse.
Marinette se laissait également faire. Le dernier pensionnaire, Victor, pendant sa
toilette, passa sa main sur la poitrine de Marinette et crocheta les deux boutons du
haut. Il glissa sa main sous les bonnets du soutien-gorge. Marinette respirait plus vite.
Elle se laissa ainsi caresser pendant toute la durée de la toilette. Victor tourna la
tête et sourit à Virginie. « Les vôtres sont-ils aussi doux que ceux de Marinette ? J’y
goûterai volontiers demain ».
Mardi. Jour de douche de Raoul. A l’arrivée des deux femmes dans sa chambre, Raoul se
leva. Comme un rituel bien huilé, il laissa Marinette le déshabiller. Nu, il prit la sœur
par la main et l’entraina vers la salle de bain. Il s’adressa à Virginie : « Petite, il
faut que vous restiez près de moi pour me rattr si je glisse. Le bac de douche est
tellement glissant quand il est mouillé. Je ne voudrais pas me faire du mal » Marinette
régla la température de l’eau et aspergea Raoul des épaules aux pieds. Elle coupa l’eau,
attrapa la savonnette et commença à le laver.
Raoul se laissait faire, dévisageant
Virginie. Faisant mine de glisser, il s’agrippa à la jeune femme, posant ses deux mains
sur ses hanches. Ainsi placée en face d’elle, il obligeait Marinette à glisser ses mains
entre leurs deux corps. Virginie suivait le mouvement des mains savonneuses. Elles
atteignirent bientôt le bas ventre de Raoul, flattant la verge qui doucement se
redressait pour pointer à l’horizontale. Les mains de Raoul ne restaient pas inactives.
Elles remontaient à présent vers les flancs de Virginie, faisant remonter sa blouse,
dévoilant ses cuisses. Il tirebouchonna la blouse sur ses reins. Il tira lentement mais
surement sur la culotte et la fit descendre sur les cuisses d‘où elle glissa en corolle
sur le carrelage. Virginie avait le sexe dénudé. Elle se laissait faire, prise d’une
sourde excitation. Son regard allait du visage de l’homme à son pénis tendu. Marinette
tira sur la verge de Raoul, l’emmenant au contact de la vulve humide. Ce fut elle qui
promena le gland sur le sexe féminin, l’amenant à l’entrée de la vulve entrouverte,
continuant la masturbation de Raoul de son autre main. Virginie ferma les yeux. Un
mélange de dégoût et d’excitation l’habitait. Elle savait que si Raoul donnait un coup de
rein, il la pénétrerait tellement elle était offerte. Elle avait envie de ce sexe. Raoul
ne tenta rien, il laissait faire. Marinette promenait le gland sur le clitoris de
Virginie, lui arrachant des gémissements rauques. Elle masturbait les deux. Soudain, le
plaisir fut là, déferlant du fond de son ventre. Virginie se raccrocha à Raoul pour ne
pas tomber. Elle sentit l’homme se cabrer brusquement et un liquide chaud asperger son
sexe. Marinette, un sourire aux lèvres les regardait. Raoul se recula d’un pas. La blouse
de Virginie retomba. Elle remit sa culotte en place. Marinette reprit la toilette de
Raoul et le rinça.
Elle l’essuya soigneusement d’une manière très professionnelle. « Bon
Raoul, tu es un grand garçon, on te laisse te rhabiller ».
Les deux femmes sortirent de la chambre. « Ça t’a plu je vois. Jeudi c’est mon tour. »
dit Marinette « Tu m’aideras hein ? ». Le reste de la matinée se passa sans événement
notable. Arrivées chez Victor, Marinette lui dit « Laisse Virginie tranquille, elle
récupère de Raoul ».
Le lendemain il ne se passa rien de notable, juste quelques mains baladeuses, parfois
insistantes. Victor avait oublié Virginie. Elle en fut presque un peu déçue.
Le jeudi, elles entrèrent dans la chambre de Raoul. Il les attendait, allongé sur son
lit, recouvert d’un drap. « Allez fainéant, on se prépare pour la douche » l’interpella
Marinette. Elle tira sur le drap d’un coup sec. Raoul apparut nu, son sexe décalotté déjà
bandé. Marinette, le regard extatique regardait la colonne de chair qui pulsait devant
ses yeux. Virginie la contourna et se plaçant derrière elle entreprit de déboutonner la
blouse qu’elle fit glisser le long du corps de la sœur. Elle dégrafa le soutien-gorge
libérant les seins blancs. Elle fit glisser la sage culotte le long des jambes. Elle se
colla au dos de la sœur et passant ses mains devant, caressa doucement les seins, faisant
rouler les mamelons entre ses doigts. Elle ne se reconnaissait pas dans cette envie de
sexe. Elle se collait au dos de Marinette, frottant son pubis contre les fesses nues.
Raoul les regardait. Son sexe avait encore grossi. Virginie abandonna les seins pour
glisser sur le ventre de la sœur et écarter ses lèvres, offrant à la vue de l’homme le
coquillage écarlate. Elle plongea un puis deux doigts dans la grotte accueillante,
ruisselant déjà sous les doigts experts. Elle entreprit de la masturber doucement. Quand
elle sentit que Marinette était suffisamment prête, elle la poussa doucement sur le lit.
Raoul attrapa la sœur et l’attira. Elle se hissa sur le lit, enjamba l’homme et s’empala
d’un coup sur le vit dressé. Il la pénétra sans peine et entreprit un mouvement de va et
vient tout en malaxant ses seins. Il la baisa ainsi une dizaine de minutes, variant le
rythme. Marinette hoquetait. Elle jouit la première dans un long cri retenu. Il la
rejoignit peu après, les yeux rivés dans ceux de Virginie, éjaculant au fond du sexe de
la sœur. Virginie était tétanisée par le spectacle. Attirée malgré elle par cet homme aux
allures bestiales. Elle aussi avait envie que ce sexe la perfore. Marinette récupérait
peu à peu. Elle se rhabilla comme une automate. Elles reprirent leur tournée.
Le vendredi, Raoul attendait, allongé dans son lit. Il ne manifesta aucune velléité
envers les deux femmes. Raoul regarda Virginie « Lundi, je m’occupe de toi, on aura tout
notre temps. Je te promets une super semaine. Sois en forme ma belle. On va bien en
profiter ».
Avant de partir, Virginie passa chez sœur Geneviève. Elle trouva la directrice assise à
son bureau. Comme la semaine précédente, ses seins aux mamelons dressés se dessinaient
sous la blouse. Une odeur de stupre flottait dans la pièce. Gédéon ne devait pas être
loin. « Ma fille, je n’ai eu que des louanges sur vous par Marinette et par certains
pensionnaires. Vous mettez du cœur à l’ouvrage et avez le sens du partage et des valeurs
humaines. La semaine prochaine, vous serez d’après-midi. J’ai donné congé à sœur Lucie
qui devait travailler. Vous serez donc seule, mais je suis certaine que vous serez à la
hauteur de la tâche. Ah, j’allais oublier, Raoul m’a dit que vous aimeriez vous
confesser. Gédéon vous attendra vendredi à dix-sept heures. Il vous attendra dans mon
bureau pour la confession. Passez un bon weekend. Reposez-vous, vous en aurez besoin. »

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