Le Jog Quel Pied
Pendant le confinement, assez souvent le matin, Paulo nous proposait un petit jogging de
décrassage. Neuf fois sur dix, Rémi déclinait sa proposition car il nest pas trop
branché sport. Il est plus branché sexe. Assez souvent, je lui disais oui, pour ne pas
le laisser aller seul.
Paulo enfilait alors ce que jappelais son « pousse au crime ». A savoir, un short qui
tenait plus du maillot de bain short cut vert et jaune- très moule bite - et un petit
haut débardeur qui lui couvrait à peine les pecs, laissant admirer ses abdos et sa belle
ligne de poils. Un « pousse au crime », quoi. A chaque fois, il me proposait dadopter la
même tenue
Comme à chaque fois, Rémi nous lançait dun sourire moqueur, plein de sous entendus :
« -Bon, ben, bonne séance, hein
! ».
Après un court parcours en voiture, on arrivait à lentrée de la forêt. Aussitôt on se
met à courir. Paulo, toujours devant, trace la route. A cette heure matinale, il ny a
pas grand monde. Pour ainsi dire personne. On senfonce dans un layon de terre puis on
bifurque plusieurs fois sur des sentiers de plus en plus étroits. Paulo maintient une
bonne cadence pendant une demi-heure environ. A un moment, on a quand même la surprise de
croiser un couple de deux joggeurs. A leur air épanoui, jai limpression quils nont
pas fait que courir
Comme un seul homme, les deux se retournent sur Paulo pour ladmirer
encore un peu plus. On commence à être bien en sueur. Cest alors quil se met à marcher
en senfonçant dans un petit sentier touffu. Jai compris. Il nous cherche un petit coin
sympa. Jai même limpression quil sait où il va. Après quelques minutes voilà quon
débouche sur une petite tache dherbe ensoleillée. Un vrai petit nid damour. Paulo me
prend par le cou et mallonge délicatement sur le trèfle. Je me laisse faire.
penche doucement sur moi. Je sens son odeur de sueur mêlée à son parfum habituel. Il
entreprend de me lécher les abdos du bout de sa langue, agaçant ma ligne de poils du bout
de ses dents. Mon short cut commence à prendre du volume. Je lui caresse le dos, relevant
son petit haut. Il vient frotter sa joue contre le renflement de mon short ce qui a pour
effet den augmenter le volume. Je lève légèrement mon bassin pour aller au devant de sa
caresse. Il a posé sa bouche ouverte contre le tissu. Je sens son souffle chaud sur ma
hampe. Il glisse ses doigts sous le tissu. Je sens quil me titille les couilles. De
lintérieur, il fait glisser lentement le short pour découvrir progressivement ma bite
complètement au garde à vous. A nouveau, il vient frotter son visage contre mon membre
qui tremble. Coooool !
Je me dis alors quil faut que je lui rende la pareille. Je le débarrasse de son petit
haut en le faisant passer par-dessus sa tête puis je glisse mes mains dans son short pour
le lui faire glisser lentement lui aussi. Cest alors, quen tournant légèrement la tête,
je remarque dans le feuillage, à environ une dizaine de mètres, un visage qui nous
regarde. Je suis surpris mais pas désolé car ya pas plus exhib que moi ou Paulo ! Bien
au contraire, on trouve que ça rajoute à lexcitation de se savoir observé. Toutefois, je
décide de ne rien dire à Paulo. Je me demande même si ce ne serait pas les deux «
joggeurs » quon a croisé tout à lheure et qui auraient fait demi-tour ? En tous cas, il
ou ils vont se régaler
Je dégage doucement le fabuleux cul de Paulo. Lui aussi a la tige
bandée à fond. Profitez messieurs !
Paulo sest mis à magacer le gland du bout de sa langue pointée. Il me titille le frein
du prépuce, alternant avec des suçotements de mon gland. Trop bon ! Continue mon Paulo !
Je lencourage en lui prenant la tête à deux mains.
jette un discret coup dil vers lendroit où jai vu un visage
Toujours là. Même quil y
en a deux. Cétait donc bien ceux que lon a croisé tout à lheure. Pour leur en donner
pour « leur argent », jenlève mon petit haut, moi aussi. On est ainsi totalement nu tous
les deux. Maintenant, Paulo me suce sur toute la longueur de ma bite. Wow ! Jai toujours
adoré comment il me faisait ça mais je narrive pas à dire, entre Rémi ou lui, qui je
préfère pour ça. Les deux bien sûr ! Paulo, quand il suce, a lair affamé de celui qui
na pas mangé depuis deux jours. Il enfourne toute ma bite en tournant comme sil voulait
lavaler pour de bon. Cest franchement trop trop bon. Je demande alors à Paulo de se
mettre en 69 afin que je ne le laisse pas sur sa soif. Il vient me chevaucher, à
califourchon, les genoux de part et dautre de ma tête. Je vais me régaler. Sans compter
que cette position permet, en un clin dil, de passer de la bite à la raie et vice
versa. Que du bonheur ! Je commence par lui suçoter les couilles, lune après lautre.
Une jolie paire de couilles toujours rasées de près, douces en bouche, adorables. On
dirait deux petits kiwis - sans les poils - Puis, on se suce, on se pompe un sacré bout
de temps. On entend que nos gloussements de plaisir et un petit oiseau de temps en temps.
Regarde-t-il, lui aussi ?
Maintenant, Paulo se concentre sur ma raie et ma rondelle. Jadore quand sa langue
cherche à me pénétrer de son bout pointu. Je lui rends la pareille bien volontiers à
grands coups de langue sur sa large raie toujours impeccablement rasée de très près. Sa
rondelle me plaît beaucoup : ferme, lisse mais souvrant facilement
Il ma déjà passé un
doigt et le tourne, cherchant à me dilater. A-t-il pensé à emporter du gel ? Ca
métonnerait
Il me demande de me mettre en levrette et continue à me chauffer la rondelle
furieusement.
loges. Je sens maintenant deux doigts qui me fouillent. Puis Paulo se redresse, crache
dans sa main et senduit la hampe de salive - le gel du randonneur -. Je sens son gland
ruisselant de mouille qui se présente à mon trou. Il pousse doucement. Il passe. Paulo ne
bouge plus. Puis je le sens qui, très lentement, se met à progresser dans mon ventre.
Jadore ce moment là aussi. Jadore sentir sa bite avancer doucement en moi. Jadore sa
bite tout court de toute façon. Linstant est toujours plein de délices à venir
Comment
va-t-il sy prendre ? Lentement ? Durement ? En tous cas, ce sera toujours délicieusement
long car Paulo est très endurant.
Je sens parfaitement bien sa bite progresser en moi. Je lui tire les fesses. Je le
voudrais complètement en moi et pas seulement sa bite ! Oh ! Meu Paulo !!! Je ne pourrais
jamais me passer de toi, ni de vivre sans toi. A présent, il me lime doucement,
méthodiquement. De temps en temps, on échange les rôles : il ne bouge plus et cest moi
qui vais et viens sur sa tige. Comme il aime tout, ça lui donne lidée de sallonger sur
le dos et cest moi qui vais mempaler sur son dard dressé. A son visage réjoui, je vois
quil adore ça. Une fois embroché à fond sur sa bite, je me mets à onduler du bassin
davant en arrière
Il râle. Je le sens parfaitement bien son barreau dans mon ventre.
Cest chaud, cest doux, cest trop bon
Paulo a empoigné ma bite et me branle doucement
du bout des doigts. Ca aussi, cest bon. Surtout que Paulo sy connait en masturbation
Un maître queue ! Nos deux spectateurs ne doivent pas en perdre une miette. Je me mets à
imaginer quils pourraient nous rejoindre mais ne rêvons pas trop.
Paulo se redresse, vient me dévorer la bouche, me bascule sur le dos et continue à me
limer. Jai posé mes deux pieds sur ses épaules, jambes bien écartées.
trombonner par mon amant et je savoure chaque sensation. Paulo se met à me sucer les gros
orteils ! Jadore. Le soleil est maintenant plus haut et il nous réchauffe bien. Cest
très très agréable. Paulo a accéléré la cadence et me bourre maintenant puissamment.
Jentends ses couilles claquer à chaque coup de boutoir. Il me dévore des yeux. Pareil
pour moi. On est complètement concentré sur nos sensations. Ma bite tendue à se rompre
frotte contre son ventre à chacun de ses mouvements. Trop bon, ça aussi. Jai maintenant
décollé mes jambes de ses épaules et je les écarte au maximum tout en les gardant
relevées. Je veux laccueillir en moi le plus possible. Viens mon Paulo, viens !!
Je tangue au gré de ses coups de bite comme un bateau dans la tempête - heureusement que
je suis accroché au mât ! -. Je sens son pieu brûlant qui me laboure le ventre. Tant
quil a encore un peu de souffle, je lattire vers moi et je lui dévore la bouche. Il a
encore augmenté lintensité et la vitesse de ses coups de reins. Il me pilonne, me
bourrine, me pistonne, me trombonne. Son dos et son torse commencent à se couvrir dune
fine sueur
On sapproche du feu dartifice final. Cette fois, il sest redressé sur ses
deux bras et, tendu comme un arc, il me fourre sa bite jusquau tréfonds de plus en plus
vite, encore plus vite
Il va venir. Et pourtant, une dernière idée lui vient. Peut être
pour me plaire car il sait que jadore. Il me fait me relever, me demande dentourer son
cou avec mes mains, me soulève sous le pli des genoux et me transperce dun seul coup
dun seul par en dessous. Puis il reprend aussitôt son pistonnage en me secouant comme un
prunier. Dix, vingt, trente coups de bite de fou
Il tremble, il souffle, il crie, il
décharge en inondant nos ventres de son foutre chaud car à la dernière seconde, il sest
retiré et a glissé sa bite entre nos deux ventres collés. Je sens le chaud nectar se
répandre sur mon ventre. Il me repose doucement au sol. Je ressens une immense sensation
de vide. Je lui dis. Aussitôt, il revient en moi pour coulisser doucement,
voluptueusement, amoureusement car il a la chance de ne pas débander très vite.
Puis, Il retombe sur moi, complètement débranché. Je risque un il de côté. Nos deux
spectateurs sont toujours là. Par contre, je ne vois plus quune tête, elle aussi secouée
de tremblements. Jai compris. La vue de notre baise a du les exciter terriblement et ils
ont du remettre ça, debouts. Je le laisse ainsi récupérer sur moi, en moi, en lui
caressant le cul et en lui sussurrant des mots doux à loreille. Jadore ces instants
daprès lamour. Quand on est totalement fusionnel. On pourrait tout se dire.
Mais, déjà, Paulo pense à moi et à mon degré dexcitation. Il se retire, glisse son
visage au niveau de mon ventre, y pose sa joue comme sur un oreiller, collant ses cheveux
dans son sperme, et, alternativement, de la main ou de la bouche, se met à me branler ou
à me sucer. Wow ! Cest trop coool ! Il commence gentiment, avec volupté.
Imperceptiblement, il augmente régulièrement la cadence. Il me branle du bout de trois
doigts ou de sa main en cercle non serrée, puis serrée, puis non serrée. Puis on enchaîne
sur la pipe. Légère, profonde, légère
Cette fois, je me laisse totalement faire, offert.
Offert à Paulo mais aussi offert à la vue de nos deux « complices » du moment. Je crois
bien que mon cri de jouissance sest mêlé à celui de notre spectateur actif. On a du
venir au même moment. Ca a fait comme un écho. Du coup, Paulo sinterroge. Je lui dis
que, depuis le début, on nous observe. Ca le fait marrer.
On sallonge, côte à côte, sous le soleil montant du matin. Doucement, nos deux mains se
mêlent sur mon ventre et mes pecs pour étaler mon sperme. On reste ainsi un long et bon
moment à récupérer, offerts à la vue de nos voyeurs et déjà presque complices
En rentrant, rien quà lodeur, Rémi a compris quon avait pris notre pied.
« - Je devrais faire du sport plus souvent ! Venez par ici que je moccupe de vos petits
culs, maintenant ! » nous lance-t-il en riant
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