Les Fantasmes De Sandrine 21
21 LA VIE SANS JP
Le lundi matin jai ramené le Porsche Cayenne de JP à la concession. Une surprise my attendait. JP ma offert un spider Porsche, noir magnifique. Finie, ma vieille Alfa Roméo.
Je suis allé au travail, quelque peu bouleversée des changements qui viennent de se dérouler depuis ce week-end.
Tout se passe tranquillement. Je rentre le soir dans une maison vide. Personne ne mattend. Cest très triste.
Mais maintenant, je ne vis que dans lattente du vendredi soir, car je remonte sur Paris. Sylvie revient le jeudi soir et dort le vendredi pour récupérer du « jet-lag ».
Cest avec beaucoup de joie que je prends la route ce vendredi. Lorsque jarrive, Sylvie maccueille avec beaucoup de chaleur. Elle aussi est très heureuse de me revoir. Je décharge mon sac et nous nous retrouvons à papoter dans le salon. Sylvie moffre un verre que je refuse. Elle se sert un Pineau des Charente. Sylvie me questionne sur ma semaine. Je ne lui réponds pas instantanément. Elle minterroge :
Tu réfléchis ?
A quoi donc ?
A ta condition de soumise !
Eh alors ?
Je lui explique :
Depuis que jai découvert le SM, je ne suis pas attirée par les femmes. Pourtant avec toi, tout a changé ! Je me laisse dominer et j'y prends un plaisir inouï. Même une domination un peu me fait jouir. Lorsque tu me fesses avec un martinet par exemple, pour me punir, tu cherches à me corriger à rougir la peau de mes fesses. Jadore être attachée sur le lit avec les yeux bandés. Puis lorsque tu me pénètres avec divers objets, des godes bien entendu, mais aussi des choses plus insolites, je suis à toi, je ne te refuse rien. Tu me pousses à faire ou à subir des choses perverses et à jouir plus fort.
Le désir mutuel d'explorer notre féminité a vite fait de taire nos bavardages habituels. Souriante, je me laisse tomber dans le fauteuil en cuir... Mes doigts impeccablement vernis défont les quatre premiers boutons de mon chemisier en soie écru, dévoilant un soutien-gorge également de soie, de couleur assortie.
Déshabille-toi Sylvie !
Sylvie ôte son peignoir blanc. Elle est en string blanc, la poitrine nue, malgré ses seins très pleins. Elle enlève la dentelle arachnéenne. Aussitôt, Sylvie menjambe. Nos sexes libres de toute pilosité entrent en contact. Sylvie sempare de ma bouche. Sa langue force mes lèvres qui cèdent rapidement devant mon envie.
Jemprisonne les seins de Sylvie, assise à califourchon sur elle, et frotte son sexe mouillé contre celui de la jeune femme qui gémisse discrètement. Je prends les seins de ma maîtresse exigeante dans ma bouche, un à un, suçant les bouts durs comme du fer avec force. Rapidement, Sylvie, comme d'habitude, change de position. Elle mimpose un 69. Nos langues découvrent les puits de nos sexes. Il nous faut que quelques minutes pour parvenir à nos fins. Nous jouissons à lunisson.
Mmmmmm Sandrine, tu es toujours aussi efficace, murmura Sylvie.
Elle baise de nouveau ma bouche. Je me lève pour aller dans la salle deau, mais Sylvie l'attire contre le canapé et me renverse. Elle colle sa bouche contre mon sexe, encore dégoulinant de cyprine, et enfouit une langue dure dans mon sexe me faisant jouir une nouvelle fois. Une nouvelle fois nous nous retrouvons dans la douche. Sylvie me lave avec un soin méticuleux. Je lui pratique les mêmes caresses.
Nous nous installons pour le diner.
Sylvie me dit :
Japprécie énormément ta compagnie et aussi ta culture.
Je porte une robe transparente, et Sylvie ne perd pas une goutte du spectacle offert.
J'aime ta robe ! me murmure Sylvie !
Le vin aidant, elle pose sa main sur ma cuisse. Je prends cette main et contrairement à ce que crut Sylvie, je la guide vers mon sexe, sous la table. Sylvie, encouragée par cette invite, fouille entrejambe pour atteindre mon bouton damour. Je suis tout simplement inondée. Sylvie se lève. Elle me porte un verre aux lèvres, sa main palpant mes seins visibles sous ma robe, les bretelles de sa propre robe descendues sur ses épaules, laissant voir sa poitrine libre de soutien-gorge. Sylvie fit descendre sa robe complètement, se caressant les seins et se pinçant les tétons devant moi. Je ne résiste pas et colle mes lèvres sur les pointes des seins de Sylvie, les tétant avec volupté.
Sylvie palpe mes seins ronds et dégrafant ma robe dans mon dos, libère ma poitrine, la caressant, léchant mes mamelons clairs. Sylvie tombe à genoux, écartant ma culotte. Elle enfouit son visage dans mon sexe et commence à me lécher. Je lencourage par mes gémissements, mes cris de plaisir et mes avancées de bassin. Sylvie me prend par la main et mamène vers la chambre. Elle se dénude complètement. Sa bouche rejoint ma vulve et reprend sa stimulation. Mon sexe sépanouit et déverse un flot de mouille épais et odorant. Sylvie guide ma tête vers son ventre. Elle prend ma tête entre ses mains et la pousse vers son sexe affamé. Instantanément, ma langue pointe vers le centre de plaisir de Sylvie. Je la lèche comme une folle. Sylvie ne résiste pas et lâche des gémissements de volupté. Je m'attaque à sa perle de plus en plus rapidement, happant sa vulve, sa suçant, sa mordillant. Sylvie se raidit, l'orgasme la surprend.
Dis-moi au fait, tas mis une culotte ce soir ?
Devine ?
Je suis sûre que oui !
En effet, puis une belle en plus !
Je peux la voir ?
Je ne sais pas si tu as été suffisamment sage pour avoir une telle récompense !
Sylvie me fait les gros yeux comme pour me gronder. Jéclate de rire. Puis redevenant sérieuse, je jette un coup dil derrière moi, comme si quelquun pouvait me voir
Je me dégage de la table, me lève, la regarde fixement dans les yeux.
Cest bien parce que cest toi !
Je soulève alors ma jupe. Mes mains tremblent légèrement. Je remonte ma jupe jusque sur mon ventre, je découvre mes cuisses et une superbe culotte en dentelle beige totalement transparente laissant apercevoir mon sexe totalement imberbe. Sylvie avale difficilement sa salive et racle un peu sa gorge avant de me dire :
Tu es belle, super sexy ! Merci ma chérie !
Le rouge me mont aux joues.
Ça te plait ?
Enormément ! JP avait vraiment beaucoup de chance !
Mais maintenant, il nest plus là
et cest toi qui le remplace !
Pour moi, tu es vraiment magnifique, très sensuelle, très sexy, jadore tes jambes
et puis ta très jolie chatte me plait beaucoup !
Je rougis de plus belle.
Je lai faite épilée hier !
Tu sais, Sandrine, tu me fais bander !
Clouée par la réponse de Sylvie, je reste coite. Sylvie prépare le dessert, une poire belle-Hélène et me sert. Elle ne peut sempêcher de passer sa main sur mon épaule et de descendre son mon sein. Je la tance :
Sil vous plait, Madame pas de privautés pendant les repas !
Sylvie grince entre ses dents :
Espèce de petite salope, tu vas voir comment je vais te mater !
Elle reprend place mais glisse sa chaise plus près de moi. Ne pouvant se retenir plus longtemps, elle glisse une main sur mon genou. Je joue mon rôle de salope. Je repousse sa main une première fois. A la deuxième, je me laisse caresser rapidement sa cuisse, écartant légèrement les jambes pour lui laisser le passage. Mais je resserre aussitôt les cuisses. Sylvie me regarde dun air furibard. Mais jarrête le supplice. Je me lève et remonte ma jupe devant elle. Debout, je baisse ma culotte jusquaux chevilles dévoilant ma chatte lisse. Je tiens ma jupe sur mon ventre. Je lui dis :
Alors, ça te plait ?
Elle se lève et prend ma main, la passe sous sa jupe. Mes doigts entrent en contact avec son sexe. Il est trempé !
Regarde si ça me plait !
Nous nous tenons debout face à face. Nous nous frottons puis elle malaxe mon entrejambe et membrasse goulument. Nous nous embrassons encore quelques secondes, puis rejoignons la table. Nous terminons notre diner. Nous gagnons le salon. La soirée se prolonge devant le feu de cheminée et avec un fonds musical. Dès quelle le peut, Sylvie sa main sur ma cuisse. Moi aussi je passe la main sur sa cuisse dès que lenvie se fait sentir.
Mais Sylvie ne peut rester ainsi sans action. Elle se lève et mordonne :
Couche toi sur le dos et masturbes-toi !
Brutalement, la maîtresse est là. Elle mintime lordre de mallonger sur le tapis devant la cheminée, cuisses largement ouvertes.
Vas-y branle toi, écarte les lèvres de ta chatte de putain
Ça te plait ?
Ma main frotte mon sexe comme pour le laver le récurer dune saleté imaginaire.
Oui ça me plait dêtre ta soumise ! Cest bon !
Elle menfonce les doigts dans ma chatte et entame un va et vient furieux. Elle mordonne de nouveau :
Branle-toi ! Caresse tes nichons ! Ne tarrête pas !
Sylvie monte lescalier quatre à quatre. Jattends dans le salon en me faisant reluire le mieux possible. Elle revient rapidement. Elle fait voler sa robe et apparait nue hormis ses bas noirs et ses talons hauts. Dans sa main dépasse un objet que je reconnais immédiatement. Cest son gode ceinture. Je lagace :
Je te plais, ça va ? Suis-je assez bien bandante, bien putain?
Sylvie me regarde comme un regarde une pâtisserie !
Oh oui ma salope, je vais te baiser !
Mon désir est violent :
Baise moi je suis ta pute, ta soumise, ta chienne en rut
Elle sharnache. Elle sapproche de moi, me roule une pelle et mintime de relever haut mes jambes. Elle me fourre un doigt dans la moule. Je suis béante. Elle sagenouille entre mes cuisses largement écartées. Elle enfonce sans problème le gode dans ma chatte et commence à me limer sans ménagement. Je gémis :
Cest bon ta queue en moi !
Ça te plait soumise ?
Oui, vas-y, baise-moi bien fort, cest trop bon de se sentir salope !
Sylvie pour la première fois cde ce week-end se lâche complètement :
Je vais tenculer, tu tes déjà fait enculer salope ?
Non! Jamais par une femme ! Vas- y, cest toi qui mérite le plus mon cul je te loffre, défonce moi comme tu veux!
Elle sort le gode de ma chatte. Il lui de ma cyprine. Elle badigeonne mon anus étroit. Trouvant que je ne suis pas assez humide, elle bave sur ma rondelle et présente le nez du gode à mon anus. Elle enfonce le début dans mon cul. Surprise je pousse un petit cri de douleur.
Aie aie vas-y doucement !
Elle pousse doucement tout en me fixant.
Jai un peu peur. Sylvie le voit dans mes yeux, mais nous en avons envie toutes les deux. Je lui demande alors :
Pousse !
Lentement, lolisbos senfonce dans mon étroit conduit. Je suis serrée. Depuis plus dun mois, personne na franchi ma rondelle fripée. Je me mords les lèvres. Sylvie commence des aller-retour dans mon cul dilaté. Elle me baise violemment par larrière.
Alors tu aimes soumise ?
Oui maîtresse, ça fait mal mais cest bon
Baisez-moi le cul, défoncez-moi !
Elle me sodomise sans ménagement. Le plaisir commence à menvahir et me fait délirer. Je tiens des propos indécents :
Cest bon davoir ton gode dans le cul, je suis une grosse salope qui se fait enculer !
Je ne me retiens pas de jouir plusieurs fois. Mon cul serré accepte la pénétration et multiplie ma jouissance. Soudain, elle se retire. Je ne bouge pas, reste en position. Sylvie a disparue de mon champ de vision. Un claquement et une douleur violente me rappelle à lordre. Sylvie a apporté une cravache et me cingle. Une première bordée de coups de cravaches tanne sur mon cul laiteux qui rougit instantanément. Sylvie mexplique :
Tu ne mérites que ça, tu nes quune chienne en rut et voilà comment je les punis salope
Je lui réponds, heureuse de retrouver enfin une maîtresse :
Oui je le mérite ! Ça fait mal !
Mais inconsciemment sous la douleur, je me mets à jouir encore. Sylvie sen rend compte. Elle cesse immédiatement la manuvre. Elle me regarde me tordre de douleur. Elle me présente le manche de sa cravache à ma bouche. Je le suce comme je le ferais dune queue. Enduit de salive, elle menfonce le manche dans la chatte. Jaccepte cette intromission brusque. Sylvie mordonne :
A quatre pattes salope !
Je mexécute. Elle me bloque les mâchoires avec une boule en cuir quelle me fixe avec une bande élastique. Elle me glisse un collier de chien autour du cou. Elle saisit la laisse et me fait faire le tour de la pièce et prenant soin de contourner chaque meuble. Nous revenons sur le tapis :
Dépêche-toi, à genoux et suce-moi!
Je ne me fais pas prier. Jenfourne la queue factice et taille une pipe de rêve. Mais Sylvie ne peut contenir son envie. Elle se débarrasse de son gode et me présente sa chatte baveuse. Je me délecte de son jus. Sylvie crispe ses mains sur ma chevelure mimposant un appui fort de mon visage sur son sexe. Un hurlement retentit. Sylvie sécroule à genoux et jouit bruyamment. Nous récupérons lentement de cet épisode dune violence inouïe. La douche est la bienvenue et nous allons nous coucher dans le lit que nous avons refait depuis cet après-midi.
Cest un pâle rayon de soleil qui filtre à travers du volet qui me sort de mon sommeil. Jai la sensation que quelquun me regarde. Jouvre un il, puis lautre. Mon impression ne ma ta trompée. Sylvie est installée sur un coude et me regarde. Ma main depuis un bon moment sest nichée entre mes cuisses et je me caresse distraitement.
Sylvie constate mon action masturbatoire. Dès que jai vu quelle me regardait, je continue de me branler doucement. Elle se penche sur moi, je me suis doutée quelle avait des intentions assez claires.
Bonjour Sandrine
As-tu bien dormi ?
Oui ma maîtresse adorée
et vous ?
Très bien ! Tu es belle, Sandrine, tu me fais envie.
Elle membrasse. Ses lèvres se posent sur les miennes et nos langues se jouent ensemble dans nos bouches. Je continue à laisser ma main sur ma chatte. Doucement, elle pose une main sur mon sein. Elle me pelote longuement, doucement. Tout ce quelle me fait en me caressant est toujours très doux sans doute à cause de sa peau douce dans les paumes. Je marrête de me donner du plaisir. Je prends une initiative brutale. Je passe une main dans une jambe de son short de nuit. La peau à lintérieur de sa cuisse est douce. Je remonte très haut pour arriver sur sa chatte. Elle est mouillée. Je la branle un peu. Sylvie vient près de moi pour me caresser encore un peu. Cette fois mon sein ne suffisant pas, elle pose directement sa main sur mon sexe. Je sens la chaleur de sa main sur ma chatte. Elle appuie doucement par pressions successives. Aussitôt mon sexe shumidifie. Moi je nose pas faire grand-chose dexcitant. Il faut dire quavec les jambes écartées je ne suis bonne quà me faire mettre. Alors je me laisse aller à ce quelle veut. Elle mexcite et me dit sans honte :
Je veux te baiser mais commençons par un 69 !
Jadore cette caresse réciproque ! Elle menjambe au-dessus de moi. Ses genoux encadrent mon visage. Elle me monte son sexe. Son clitoris ressort de ses lèvres. Il est gonflé et tout rouge. Sa langue sempare de ma chatte.
Sylvie, lèche-moi !
Pendant un long moment, elle samuse avec mon sexe. Tout est léché aspiré : mon clitoris, mes lèvres sont nettoyées. Elle me fait jouir. Cest un orgasme complet ! Incroyable, une langue de femme qui me fait cet effet-là !
Sylvie ne sarrête pas là ! Sa langue, de plus en plus gourmande découvre mon anus. Elle me lèche le cul comme elle me lèche le clitoris. Puis sa langue en pointe entre doucement dans mon fondement. Mais avant dintroduire sa langue jai encore une fois perdu pied et je jouis encore une fois. Je ne sais plus comment me mettre. Sylvie doit lire en moi et devance mes envies. Je souhaitais ton retour pour participer. Sa langue entre en moi. Jai bien ouvert mon cul comme quand je me fais enculer. Le fait de savoir que cest sa langue qui me pénètre, jai encore un orgasme. Nous basculons sur le côté. Je commence à la branler. Je la caresse entre les jambes. Je trouve vite son clitoris. Elle est drôlement mouillée. Je lèche son clitoris durci. Elle ne résiste pas longtemps. Je sens sa jouissance sous ma langue. Je sens les spasmes incontrôlés de son ventre. Elle jouit avec toujours le même gémissement plaintif. Cest alors que Sylvie me dit :
Dit donc, cest bon ce que tu me fais ! Recommence !
Je recommence. Je lui mets trois doigts dans son vagin. Cest comme une bite dhomme ! Jinnove même en mettant un doigt dans son cul. Elle ne résiste pas plus. Elle explose en partant presque en syncope. Je la laisse reprendre ses esprits et lui prends un téton dans la bouche. Il était dur comme de la pierre. Cest alors que Sylvie me demande :
Prend le gode ceinture et sodomise-moi !
Je minstalle avec cet attirail que je nai jamais utilisé. Puis Sylvie se positionne à genoux, le cul relevé. Elle prend ses fesses à pleines mains et les écarte. Je pointe le bout du gland factice et pousse. Jentre aisément dans le cul de Sylvie ma maîtresse. Mais je constate rapidement que sa main droite délaisse sa fesse et disparait sous son ventre. Je vois que Sylvie allie à lenculage, une bonne masturbation !
Nous trainons un peu dans nos draps dévastés. Puis cest le levé, agrémenté dune bonne claque sur mes fesses de la part de ma maîtresse. Nous allumons la cheminée et déjeunons en face de ce feu. Mais chasser le naturel, il revient au galop ! Sylvie sapproche de moi et membrasse dans le cou.
Jai envie de toi !
Pour appuyer son affirmation elle vient très près de moi.
Tu es insatiable !!
Elle pose ses lèvres sur les miennes. Je réponds au baiser. Je passe ma main sous sa chemise de nuit. Je lui caresse les seins. Elle me rend mes caresses. Je glisse une main par la jambe de son short de nuit et remontant vers sa chatte. Elle ouvre largement les cuisses et me permet de débusquer rapidement son clitoris entre les lèvres de son sexe. Je la branle. Je lui triture son bouton damour. Satisfaite de mes traitements, elle ouvre plus largement les cuisses et moffre encore plus son sexe. Jenfonce deux doigts dans ce sexe avide de pénétration. Je continue de caresser son clitoris et la pistonne de mes doigts. Sylvie devait avoir une très grosse envie. Elle jouit en grognant et en propulsant son sexe contre ma main. Cest alors quelle cherche à soccuper de men sexe. Elle veut me faire jouir à mon tour. Je ne refuse pas sa masturbation, bien au contraire. Je l'embrasse tant quelle me branle le sexe.
Puis elle minterroge :
Veux-tu que nous jouions avec le gode ?
Si tu as envie de prendre du plaisir de cette manière, je suis daccord !
Sylvie va chercher lobjet de nos convoitises dans la chambre. Elle revient avec un engin noir de taille impressionnante. Je la questionne !
Cest le même matériel quhier soir ?
Non, cest celui que jutilise personnellement !
Je réponds :
Mais il est énorme ! Tu te le mets dans le sexe ou bien tu te sodomises avec ?
Dans le con ou le cul, cela dépend de mes envies...
Voyant mon étonnement, je me dis :
Je vais te montrer !
Elle commence tout dabord par sucer le gland volumineux. Rapidement, il devient luisant de la salive de Sylvie. Dune main, elle écarte ses lèvres et de lautre elle approche lénormité noire. Elle le rentre lentement dans son sexe. Puis par de lentes impulsions, je vois le corps massif de gode entrer entre les lèvres purpurines de son vagin. Elle le pousse bien à fond dans son ventre. Je suis baba ! Je ne pensais pas que nos sexes pouvaient absorber un tel mandrin. Cest alors quelle commence sa masturbation. Au début celle-ci est lente et profonde. Mais petit à petit, le rythme de sa main saccélère et devient frénétique. Je lui caresse les seins et l'embrasse pendant quelle jouit. Sylvie est bruyante ce matin. Un cri surgit de son être, quelque peu bloqué par mon baiser à pleine bouche. Elle sappuie sur mon épaule pour reprendre son souffle. Mais cest mal connaître Sylvie. Elle récupère très vite. Aussitôt, elle se positionne sur les genoux, le cul en lair. Elle positionne le gland gluant de ses secrétions vaginales sur son petit trou. Etonnée, je regarde avec intérêt comme ma maîtresse sencule ! Cest à partir de tous petits mouvements quelle commence. Elle le rentre légèrement, le ressort, lentement, très lentement. Je remarque que son anus sanime. Il souvre et se ferme et doucement, il devient de plus en plus accueillant pour lénorme gland. Progressivement, lobjet entre dans son fondement. Sylvie respire bruyamment et puis son cul s'ouvrit de lui-même, largement. Lolisbos entre complètement jusquà la base. Dès cet instant, Sylvie se masturbe le cul avec une frénésie étonnante. Le gode entre et sort de son cul avec une rapidité surprenante. De lautre main, elle se frotte le clitoris avec rage. Voyant quelle va jouir, je lui retire la main de son sexe et applique ma bouche sur son coquillage. Je la suce avec entrain. Sylvie reprend le chemin du septième ciel. Un hurlement traverse la pièce. Si nous étions dans un appartement, les voisins appelleraient Police Secours !!! Sylvie saffaisse sur le tapis. Ses cheveux sont collés par sa transpiration à son front. Je prends le bas de ma chemise et lessuie. Voir jouir Sylvie ainsi crée en moi un nouveau désir. Je lui demande :
Veux-tu me baiser avec le godemiché ?
Tu me le demandes si gentiment
Sylvie me guide sur le tapis. Elle mallonge et installe un coussin pour soulever mes reins. Elle mouvre les jambes. Des deux pouces elle ouvre mon sexe et lisse. Mes nymphes roses cachent encore mon sexe. Sylvie dévoile le vagin humide. Elle retrousse le capuchon qui dissimule mon clitoris. Avec une infinie douceur, elle commence à le masser. Soumis à de telles cajoleries, mon bouton réagit, se gonfle jusquà devenir turgescent.
Le plaisir monte dans mon ventre. Mais les sensations continuent car mes lèvres intimes sont pincées et étirées. De nouveau, des doigts coquins font saillir mon clitoris hors de son capuchon protecteur. Mon clitoris est pincé et deux doigts pénètrent mon antre humide. Jai trop envie dêtre investie. Sylvie mouvre les cuisses largement et les soulève. Sylvie pose sa bouche sur mon sexe. Je soulève mon bassin pour offrir mon sexe. Je réclame cette caresse qui me procurera un plaisir tant attendu. Brusquement, Sylvie cesse son baiser gourmand. Elle se redresse et se penche vers le fauteuil. Elle att un autre objet. Je relève la tête et constate quelle enfile autour de sa taille les lanières de cuir du gode-ceinture et boucle dans son dos les sangles et passe dans son entrejambe une troisième. Sylvie, à genoux arbore un sexe factice mâle imposant. Elle sapproche de moi entre mes cuisses béantes et guide lextrémité du gode vers mon sexe palpitant de désir. Je laccueille avec plaisir. Il entre sans aucune difficulté, mon sexe ruisselle de mon jus. Je ne peux annoncer le bonheur qui me prend :
Cest bon !
Sylvie sourit, mais son sourire est carnassier. Elle glisse sa main sous mes fesses et je sens un doigt savancer vers mon anus. Un contact glacé me fait frissonner. Sylvie a enduit son doigt de gel lubrifiant et me badigeonne ma petite rondelle. Je pousse sur mon cul pour faciliter lentrée. Aussitôt, le doigt laisse la place au contact froid du gode dans mon anus. Sylvie se saisit alors de mes fesses. Ses deux mains crispées très fort sur mes fesses les écartent. Je métonne :
Cest le gros ?
Oui, ma soumise ! Tu prends le gros gode dans ton cul !
Le gode planté au plus profond de mes reins, ses cuisses repliées sur ma poitrine sous le poids de Sylvie,
une main passe entre nos ventres et vient me masturber. Enduits de lubrifiant, la caresse est vivifiante. Les doigts balaient de droite à gauche mon clitoris, le giflant doucement. Je ne peux contenir un gémissement continu. Les va et vient continus du gode commencent à faire leur effet, lui aussi. A cet instant, la chaleur intense dans mes reins, la douceur du contact sur mon clitoris, je pousse des cris, halète des onomatopées et finalement je supplie Sylvie de cesser ce traitement insupportable. Faisant fi de mes suppliques, elle poursuit son travail de sape. Je pleure de plaisir et de bonheur. Je dois perdre connaissance quelques minutes. Lorsque jouvre un il, Sylvie est là, tout sourire. Nous sommes allongées côte à côte sur le tapis. Doucement, Sylvie retire lénorme gode de mon cul dilaté. Mes reins sont brulants de cette pénétration hors normes. Puis, à son tour, mon vagin est libéré de la présence prégnante du sexe factice. Sylvie vient embrasser mes joues mouillées de larmes. Elle plaque une main entre mes jambes sur mon sexe comme pour le protéger. La fraîcheur de sa main apaise la brulure provoquée par lengin de plastique. Ses doigts vont plus loin. Ils tâtent la chair tuméfiée et boursoufflée de mon anus. Sylvie me chuchote à loreille :
Vient prendre une douche ! Je vais te laver comme jamais tu nas été choyée !
Elle se débarrasse de son gode-ceinture. Elle maide à me relever et passant un bras sous mes épaules, elle me conduit à la salle de bains, dans jusquà la cabine de douche. Je mappuie le dos contre la faïence. Sylvie règle la température de leau et mouille mon corps. Elle enduit ses mains de produit douche et me savonne avec une douceur et une délicatesse adorable. Mon corps est lavé, récuré. Pas une seule parcelle de ma peau ne reçoit de caresses. Puis, cest un rinçage sous une pluie douce. Sylvie se lave très vite. Elle sort de la douche att un grand drap de bain blanc et mentoure pour me sécher. Léponge est douce et les mains de Sylvie encore plus. Elle me guide de nouveau vers la chambre :
Etale la serviette et allonge-toi sur le ventre !
Jobéis sans rechigner. Je nen ai ni lenvie ni le courage. Je ferme les yeux. Sylvie bouge dans mon dos. Ses mains se posent sur moi. Elle menduit dun onguent dune douceur étonnante. Le parfum de jasmin et de fleurs doranger me chatouillent les narines. Je me laisse faire. Toutes les parties de mon corps ont droit à cette pommade qui nourrit la peau. Même les lieux tuméfiés sont badigeonnés, oints avec beau de méticulosité. Je ne résiste pas et sombre dans un sommeil réparateur. Combien de temps est passé depuis la douche ? Je nen sais fichtrement rien et je men moque ! Jouvre un il. Sylvie est là qui me regarde.
Tu as bien récupérer ?
Je métire avant de lui répondre :
Oui, cela ma fait un bien énorme !
Sylvie fronce les sourcils :
Cela veut dire que ce que tai fait avant ne tas fait de bien ?
Je ris de bon cur :
Viens ma maîtresse !
Jécarte mes bras et elle vient se blottir contre mon corps. Pendant un moment nous nous cajolons. Sylvie minterroge :
Tu es bien ?
Oui, je me suis rarement sentie aussi bien !
Tu as aimé cet intermède ?
Oui ! Enormément ! Tu mas fait jouir avec beaucoup de maestria et comme rarement jai jouis. Tu mas enculé avec beaucoup de doigté et jai jouis aussi fort que dans mon sexe, et pourtant je ne suis pas une adepte de la sodomie.
Sylvie membrasse dans le cou puis prend dautorité ma bouche. Notre baiser cèle notre pacte de D/s.
Nous sommes restées ainsi un long moment. Mais, curieusement, le désir est encore présent. Sylvie, avec une lueur lubrique dans le regard plonge sous le drap quelle avait jeté sur moi. Nous repartons dans un 69 mémorable. Nos langues découvrent nos sexes, les explorent les martyrisent les cajolent. Mais Sylvie me demande :
Mets-moi un doigt dans le cul.
Je lui réponds favorablement à sa demande :
Selon ton désir !
Nos orgasmes successifs nous comblent de plaisir. Mais quelques moments plus tard, nous scessons cette pratique et nous baisons directement sexe contre sexe. Sylvie mannonce :
Pour moi, cest là le sommet du plaisir lesbien.
Je suis bien. Je regarde la pendule de la chambre. Je sursaute et jaillis du lit !
As-tu vu lheure ?
Sylvie sourit :
Bien sûr !
Pourquoi ne mas-tu pas réveillée ?
Parce que tu es belle quand tu dors et que je nai pas eu le courage de t sortir de ton sommeil réparateur !
Te rends tu comptes quil est 16 heures ! Je dois rentrer chez moi ! Jai 400 km à parcourir !
Je sais ! Tout est prêt. Pendant que tu jouais à la femme oisive, jai fait ta valise et préparé le repas !
Tu es vraiment un amour !
Je me précipite dans la salle deau et mhabille très vite. Lorsque je reviens dans la chambre, Sylvie vient denfiler sa robe de chambre. Je descends quatre à quatre les escaliers. Sylvie me suit. Elle me regarde avec une lueur dure.
Tu crois que tu vas partir comme cela ?
Comment cela ?
Dans cette tenue ? Quest-ce quelle a me tenue ?
Pantalon et pull à col roulé !
Est-ce une tenue pour ta condition de soumise ?
Sylvie, je ne peux pas retourner chez moi faire 400 km en tenue de soumise !
Tu vas suivre mes ordres ! Voilà ce que tu vas faire pour retourner chez toi ! Tu porteras ton chemisier sans rien dessous, c'est-à-dire sans soutien-gorge. Et pour le bas, ta jupe sans rien du tout dessous, ce qui signifie pas de petite culotte ! Allez monte te mettre en tenue avant de partir !
Le ton de Sylvie ne permet aucune fantaisie. Je monte à létage et me vêt comme me la demandé Sylvie. A mon retour, Elle vérifie ma tenue. Elle déboutonne doucement un à un tous les boutons de mon chemisier.
Tu as des seins magnifiques, JP ne mavait pas dit quils étaient si beaux
Mais Sylvie ne me caresse pas comme je my attends.
Maintenant retrousse ta jupe que je voie si tu nas rien dessous
Rouge de confusion, je mexécute nosant pas refuser.
Remonte la plus haut, comment veux-tu que je vérifie si tu es bien rasée ?
Une nouvelle fois et à contrecur, je remonte assez haut sa jupe cette fois. Sylvie constate mon absence de culotte et mes bas bien tendus.
Bien, tu peux maintenant partir ! Inutile de fermer ton chemisier !
Je prends mon sac de voyage, mon manteau et nous sortons. Sylvie ouvre le portail du garage. Ma Porsche est là. Sylvie minterpelle :
Désormais, je te veux toujours ainsi. Je veux quen arrivant tu sortes de la voiture entièrement nue, et véritablement excitée.
Je minstalle derrière le volant. Sylvie me prodigue les quelques instructions :
Si tu veux vraiment me faire plaisir, tu dois suivre à la lettre les recommandations que je vais te donner.
- Premièrement chaque fois que tu viendras, tu seras nue sous ta jupe, tu ne devras pas tasseoir comme tu viens de le faire. Il te faudra remonter ta jupe derrière ton dos, afin que tes fesses soient directement en contact avec le siège, quil ny ait pas de tissu qui sinterpose,
- Deuxièmement, quel que soit ta position, assise, debout, couchée, à genou, accroupie, ou à 4 pattes, tes cuisses devront toujours être ouvertes, tes genoux ne devront jamais être trop proches lun de lautre,
- Ensuite quand tu seras assise, si je mets ma main sur ton genou, cest que je désire flatter ton minou, tu devras tout faire pour favoriser ma caresse. Au fur et à mesure que je remonte le long de ta cuisse, tu devras écarter progressivement les cuisses, et retrousser ta jupe. Jamais ma main ne doit toucher le tissu. Tu tarrêteras lorsque ton minou sera entièrement découvert.
Suis bien ces recommandations et tu feras de moi la plus heureuse des maîtresses. Maintenant en route !
Je quitte la propriété de Sylvie, un peu étonnée mais tellement heureuse.
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