Pause Dejeuner

PAUSE DEJEUNER

Je suis Steve. 30 ans, 1,80m environ 90kg (oui, un peu enrobé) mais plutôt musclé. Je vis
avec une fille depuis quelques années, mais j’ai du mal à résister aux femmes que je
trouve souvent jolies. Assez bizarrement, je n’ai jamais eu autant d’opportunités que
depuis que je suis en couple. On dirait que ces dames le sentent ; ou alors c’est
l’inverse, quand tu es célibataire elles sentent que tu as faim. Parfois un peu trop.
Bref, je bosse dans une société d’édition depuis plusieurs années. L’environnement, il
faut bien le dire, est propice aux rencontres avec 80% de femmes dans les effectifs et
j’ai déjà eu l’occasion d’en profiter, mais pas d’en r. L’autre bon côté de ce genre
d’équilibre c’est que les mecs sont en minorité. S’ils sont en majorité, ils se
comportent en gros lourdauds qui nt souvent de leurs prérogatives, et engendrent en
réaction, des comportements féministes, parfois extrêmes. Avec une vingtaine de gars pour
120 femmes, la situation au siège social est très différente. Comme tous les autres
mâles, je fais profil bas. Je suis consensuel ; pas façon carpette, mais copain avec
elles, et toujours prêt à rendre service.

Le midi, je sors souvent déjeuner avec les filles de la compta, ou encore une commerciale
de passage. Dans le bureau adjacent au mien, il y a Myriam, l’assistante de direction,
environ 35 ans, longs cheveux chatain, un visage harmonieux avec une grande bouche, des
dents comme des touches de piano, des yeux bleus pâles, et un petit nez retroussé. Au
milieu de toutes les fashion victimes de l’agence, elle détonne un peu avec ses tailleurs
classiques, sa coupe mi longue, et presque pas de maquillage. Elle est arrivée, il y a un
an, venant de Lyon, où elle a laissé son fiancé, qu’elle retourne voir presque tous les
week-end. C’est une fille avenante, toujours souriante, mais finalement peu liante.

Elle
sort peu avec ses collègues de travail. Elle a un bon sens de l’humour, mais ne le montre
pas à tous. La proximité de nos bureaux fait que nous échangeons beaucoup. Elle aime bien
me chambrer et je fais de même.
Ce midi, je n’ai rien de prévu. Je passe la tête dans son bureau pour demander
-« Tu veux qu’on aille déjeuner ? »
Elle lève la tête et dans un sourire me répond
-« Moi, tu sais, je déjeune chez moi, c’est moins cher »
Je m’attendais à cette réponse car ce n’est pas la première fois. Je referme déjà la
porte quand elle ajoute
-« Mais tu peux venir si tu veux. Je t’invite. »
C’est si inattendu que je ne peux qu’accepter. Dix minutes plus tard nous sommes dans ma
voiture pour rejoindre son appartement. Elle habite à un jet de pierre du bureau, un
petit appartement, avec balcon. Un truc moderne qui donne sur l’hippodrome. L’intérieur
est neuf, et nickel, ce qui ne m’étonne pas car elle est très ordonnée.
En deux temps , trois mouvements, elle nous prépare une salade composée, pendant que je
mets le couvert sur la terrasse. Profitant du soleil printanier nous partageons le repas,
nous dévisageant à travers nos lunettes de soleil, devisant de nos vies respectives.
Le repas achevé, elle me propose un café, qu’elle va préparer. Je débarrasse et reviens
sur le balcon, assez vaste, sur lequel elle a installé un bain de soleil. Elle revient
bientôt et nous dégustons nos expressos, debout, appuyés sur la ballustrade. Les café
terminés, je vais déposer les tasses dans l’évier, et reviens. Elle est toujours appuyée
sur la rambarde. A travars son chemisier blanc, je distingue les attaches de son soutien
gorge. Le pantalon marron de son tailleur est large, mais dans cette position il épouse
la forme de son postérieur, pas si vilain. A ce moment, je me dis que je dois tenter
quelque chose.
Je m’approche d’elle et pose mes mains sur ses épaules.
Elle ne dit rien. Une de mes
mains passe sous son bras et va empaumer un sein, que je devine lourd.
-« Hé, ça ne va pas ! » s’écrie t’elle en se tournant face à moi , et elle me colle une
baffe.
J’accepte la mornifle sans broncher, l’att par le cou et lui plante un baiser sur ses
lèvres pulpeuses. Elle me frappe de nouveau, moins violemment, mais ne repousse pas ma
main qui palpe son sein opulent. Mon autre main empoigne l’autre nichon et je l’embrasse
de nouveau. Elle finit par entrouvrir ses lèvres et nous échangeons un premier vrai
baiser.. alors que nous reprenons notre souffle, elle me murmure
-« J’ai un fiancé. Je ne peux pas »
Je l’embrasse de plus belle et déboutonne son chemisier, dévoilant une poitrine
voluptueuse, enchassée dans un soutien gorge de dentelle.
-« tu n’invites jamais personne chez toi. Tu savais ce qui allait arriver. » lui dis-je
-« Non, non. »
-« En tout cas tu t’en doutais, tu n’es pas née d’hier. »
Tout en parlant j’ai dégraffé son soutif, et libéré ses seins. Je vire le chemisier et me
penche pour têter les tétons qui se dressent sous mes lêvres.
-« Salaud, tu profites de ma faiblesse » argumente t’elle
-« Si je suis un salaud, tu le savais déjà. Tu pouvais savoir comment ça finirait. »
Mes doigts ont débouclé la ceinture du pantalon de tailleur qui tombe instantanément sur
ses chevilles, la laissant en culotte blanche dans ses hauts talons.
-« Dis moi que tu n’en as pas envie. »
Elle se colle à moi, et sa main vient se poser sur mon sexe bien tendu dans mon pantalon
-« C’est toi qui en as envie » répond elle en massant mon sexe « Ok, faisons vite, car
nous devons être au boulot à 14h » ajoute t’elle et débouclant ma ceinture. Elle baisse
mon jean et mon boxer, laissant respirer ma queue tendue vers elle. Je défais ma chemise
et la soulève dans mes bras pour la porter à l’intérieur, abandonnant nos vêtements sur
le balcon.
Je la repose devant son canapé. Elle m’y pousse avant de faire glisser son
dernier rempart, me dévoilant une choupinette soigneusement taillée, en ticket de métro.
Elle m’enjambe et vient s’empaler sur mon sexe bien bandé. S’aidant de ses jambes elle
monte et descend sur moi en gemissant
-« Ah oui !, oh c’est si bon ! hmmm j’avais envie depuis si longtemps. »
J’empoigne ses seins que je malmène, lui arrachant des cris qui ne sont pas que de
douleur.
Je triture ses tétons érigés entre mes doigts. Sa poirine laiteuse remue en rythme au
dessus de moi. Ses yeux se révulsent et elle part dans un orgasme bruyant avant de
s’écrouler sur moi.
Quelques instant de récupération pendant lesquels elle embrasse mon torse, mon cou, mes
lèvres et commence à me chuchoter :
-« Ce n’est pas fini, encore ! j’en veux encore. »
-« Pas tout de suite »
-« Hmmm, vous vous moquez tous de ma grande bouche. Tu vas voir ce qu’elle peut faire »
dit elle avec un sourire en glissant vers le bas. Elle embrasse mon gland avant de lécher
son pourtour et de descendre le long de ma tige. Je sens mes boules aspirées dans sa
bouche, et ses lèvres se referment sur une, sa langue jouant avec en la gardant
prisonnière, avant de faire subir le même sort à l’autre. Elle contemple mon érection ,
de nouveau triomphante, avant d’engloutir ma verge pour une fellation d’anthologie. Elle
ressort de temps en temps pour cracher sur mon gland, avant de l’emboucher à nouveau,
l’étau souple de sa bouche avalant mon sexe jusqu’à la garde. Je sens le plaisir qui
monte irrémédiablement, mais elle s’interromp, et me tourne le dos, cambrée sur le
canapé. Sa main vient saisir mon sexe pour l’enduire de gel lubrifiant, avant de le
diriger vers son petit orifice déjà légèrement dilaté. Je ne peux me dérober à cette
invitation, et quand elle l’explicite en me disant d’un ton rauque : « encules moi ».
,
j’obtempère aussitôt. Le lubrifiant, et, sans doute, une pratique assidue de ce côté là,
font de cette pénétration une formalité et je coulisse bientôt dans ses entrailles
serrées mais sans excès. Elle se met à brâmer son plaisir.
« Plus fort ! vas-y ! défonce bien ! ahhh, encore ! »
Sa main se glisse sous elle et elle titille son clito pendant que croché dans ses
hanches, je la pilonne ardemment.
PEtit à petit, ses cris poussent dans les aigus, et elle s’immobilise en tremblant et en
criant de bonheur. Je lui arrose copieusement l’intestin de plusieurs giclées bien
senties.
A peine une minute plus tard, elle se dégage
-« Allez hop ! une douche et au boulot »
Dix minutes plus tard nous quittons les lieux. Dans la voiture elle m’avoue
-« Tu sais, je suis fidèle à mon copain, mais là , ça fait deux mois que j’avais envie.
»
-« Pas de souci pour moi. »
-« Ne vas pas t’imaginer des choses ; c’est juste physiologique. Ne pense pas que tu me
plais. »
-« Même chose pour moi »
-« Et ne parle de ça à personne ! je nierais, quoiqu’il arrive. »
-« Je suis une tombe. »
Le travail a repris, sans que rien soit changé. J’ai été invité à partager son « déjeuner
» plusieurs fois, toujours dans le plus grand secret. Un jour elle m’a annoncé qu’elle
quittait la boite pour rejoindre son fiancé, qui l’avait, enfin demandée en mariage.

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