Il N'Y A Pas D'Âge

Bonjour à toutes et à tous,

Je suis Edmond, 68 ans, divorcé, j'ai une fille, je suis grand père de quatre petits-
s.

Longtemps seul, j'ai la chance de vivre depuis quelques mois une situation que je ne
pensais pas possible.

Je vais vous raconter :

Un vendredi, alors que le ciel n'avait que du bleu pour embellir, nous avons décidé avec
quelques amis d'aller à la piscine municipale.

Que du bonheur de se sentir apaisé dans cette eau fraîche au milieu d'une température
avoisinant les trente degrés comme avait annoncé la météo et de voir aussi des belles
créatures.

A un moment, il y avait deux jeunes demoiselles pas loin de nous. Les regards se
croisent, et par politesse, nous nous saluons et entamons une discussion.

Elles se prénomment Adeline et Aurélie. Très gentilles, très belles, et très charmante,
surtout la première qui a un beau regard, une belle bouche pulpeuse, et de jolies formes.

Alors que j'étais de plus en plus proche d'elle, la seconde a dû partir car elle avait
prévu autre chose, alors que la belle métisse décide de rester avec nous, car il restait
peu de temps avant la fermeture.

Je suis étonné qu'elle ne dise rien du fait qu’on se frôle, que je la touche furtivement.
Je dois me faire des films.

18 heures, le moment est venu de quitter les lieux, direction les vestiaires puis la
sortie.

Je la retrouve dans son maillot deux pièces mettant en valeur sa belle poitrine et un
short et quel hasard, nous prenons le même bus.

J'aimerai bien tenter quelque chose mais bon, ca se fait pas.

Je continue mon petit bonhomme de chemin et arrivé à mon arrêt, je vois qu’elle
s’arrêtait là aussi. Je ne vous fais pas imaginer ce qui se passe dans ma tête, mais
j'ose lui proposé de venir boire quelque chose chez moi et elle accepte.



Oui elle accepte ! Est-ce qu’elle est juste gentille et sociable ? Alors nous allons
tranquillement à mon appartement.

Je lui propose différentes boissons, et elle opte pour un verre d'eau fraîche.

Nous nous installons dans notre canapé et discutons. Nous faisons plus connaissance :

Je sais maintenant qu'elle travaillait pour une entreprise de télécommunication, qu’elle
aime traîner dans les magasins, sortir entre amis, aller à la plage, le Beach volley,
aller danser, etc. Mais une seule question me venait en tête : « Comment ca se fait
qu'une fille aussi belle que toi soit célibataire, car j'aurai ton âge je te sauterai
dessus ? », et j’ai eu pour réponse : « Qu'est ce qui t'en empêche ? ».

Ai-je mal entendu ? Elle n'est pas sérieuse, je pourrais être son père voir grand-père.
C'est alors que la jeune trentenaire vient près de moi pour m'embrasser avec une langue
très joueuse.

J'avais vraiment du mal à réaliser, je ne savais pas comment réagir quand sa main vient
entre mes cuisses.

C'est alors qu’elle m’explique à l'oreille avec une respiration chaude que la différence
d'âge n'interdit pas deux adultes célibataires de profiter ensemble.

Elle s'installe sur moi puis me dévoile ses magnifiques seins. Elle me retire le t-shirt,
elle m'attire vers elle, et je les mange alors qu'elle me caresse la tête gémissant de
plus en plus de plaisir.

Puis, elle se lève. Cette jeune déesse à la poitrine généreuse m'enlève mon short et pose
ses mains sur mes genoux pour m'écarter ensuite.

Yeux dans les yeux, elle se met à genoux, prend mon sexe dans sa main et de bas vers le
haut, elle y passe sa langue avant de l'engloutir dans sa bouche. Je n'avais jamais vécu
ça, ma première fellation.

Elle me pompe de plus en plus fort me faisant râler sans savoir comment me tenir.
Elle le
fait tellement bien que j'en suis sûr que pour elle, ce n'est pas sa première. Mais que
ce fut aussi agréable, qu'elle me masturbe en me gobant mes testicules.

Mon dieu, vais-je tenir. Non. Je lâche sans prévenir mon jus qui part par mégardes sur
son visage, et sa poitrine. Quelle honte ! Que va-t-elle dire ?

Elle me demande où est la salle de bain. Je lui indique et elle y va.

Moi, je reste là ayant toujours un peu de mal à réaliser qu'une belle jeune fille vient
de me sucer et que je viens de jouir sur elle. Que penses t’elle de moi après ces
quelques chaudes minutes ?

Et soudain, elle apparaît devant moi, sans rien. Je me lève.  Elle est tellement
magnifique que je bande devant elle sans pouvoir dire un mot.

Cette beauté se rapproche avec un sourire coquin après avoir regarder mon pénis
furtivement. Elle se colle à moi et m'enlace.

« Je sens qu'on peut continuer » me dit-elle avec mon sexe entre les cuisses au bord de
la limite.

Alors que nous nous embrassions de nouveau je la porte pour la poser sur ma table du
salon. Elle écarte bien, et je suis au bord de la pénétration. Nos baisers non de plus en
plus fougueux, l'envie monte de plus en plus. Je l'embrasse dans le cou et c'est là
qu'elle me dit : « Vas-y rentres-moi ta queue.»

Je cède à sa volonté. Elle lâche un fort gémissement pendant que je la traverse et entame
des va et vient. Elle crit de plaisir sans retenue, c’est ce qui me stimule encore plus.

Je ne m'arrête pas, car elle veut « Encore », que je la « baise fort » et que je ne me
retienne pas. Je suis ses conseils, et elle finit par se mettre sur le dos sur cette
table.

Qu’elle tellement belle, sexy, et excitante avec ses seins qui se balancent sous mes
coups de bassin.

« Je vais jouir » lui dis-je. Elle m'entoure avec ses jambes en me disant de ne pas
arrêter car elle va jouir aussi.
Je continue, encore et encore. Je l'averti de nouveau
que ca arrive mais elle ne me lâche pas.Je ne peux plus me retenir, et râle mon plaisir
de jouir alors que je la vois avec des petits spasmes.

Je bascule sur elle, tout essoufflé comme elle qui m'embrasse tendrement.

Dans le doute, et par peur, je m’assure qu’elle soit consciente que j'ai joui en elle.

Elle l’est, et me dit d’avoir pris sa pilule dans la salle de bain.

Je me retire d'elle, et elle se relève pour aller se rincer dans la salle de bain. Je la
regarde s'en aller et son beau cul qui donne déjà de l’imagination.

Elle s'habille, et m'annonce qu'elle va partir. Je lui demande où elle habite, et je
découvre qu'elle n'est pas du tout du quartier.

Je lui demande : « Est-ce qu'on se reverra, pas pour coucher obligatoirement », et elle
me donne la réponse parfaite : « Si tu veux, même pour coucher à chaque fois. ».

Ainsi s’achève le début une relation très particulière entre la jeune Adeline et moi. 

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