L'Equipe Xvi
Moment gênant, perturbant... Il est là, le voisin de chambre de Julien, il est au pas de
sa porte et il me fixe avec un sourire qui en dit long... Ca me gêne un peu et d'un
autre côté cela me flatte aussi... Je le scrute du regard et j'accompagne mon geste d'un
bonjour anodin... Il est plus grand que moi, surement dans les 1m80, 1m85, une carrure
svelte mais pas mince, il y a de la masse musculaire sous ses vêtements. Des jeans bleu
clair délavés et un sweater, hoodie au motif camouflage urbain dans les tons gris et
bleu... Mais ce qui me marque le plus c'est son teint halé et ses cheveux, d'un brun
noisette coiffé en dreadlocks courtes... Aux traits de son visage il a surement des
origines sud américaines. Bref globalement il est très mignon mais là n'est pas le
sujet. Il me répond d'un salut sans un mot de plus c'est clair il sait que je sais qu'il
sait ce que Julien et moi venons de faire... mais il ne dit rien... et moi et bien
après ce bonjour je verrouille la porte et je m'en vais sans plus.
La journée passe vite, je ne vois pas les heures défiler, je suis dans la bibliothèque de
la faculté à bosser, je zappe même le repas de midi et voilà qu'il est déjà plus de trois
heures quand je reçois un message c'est Julien, il me demande si je peux le rejoindre
chez lui vers quatre heures. Je regarde la pile de boulot que j'ai accompli et je me dis
que oui j'ai bien bossé aujourd'hui. Je répond donc par la positive et il me dit super.
Je remballe mes affaires, passe par l'appartement où je les y dépose, me change rapidos
et me voilà parti il est un peu plus de quatre heures quand j'arrive à la résidence
d'étudiants. A peine arrivé je peux voir qu'il a fait du rangement, il y a moins de
fringues un peu partout, en fait il n'y en a plus, juste deux gros sacs de sport à
l'entrée et me voyant regarder cela il m'explique que c'est sa lessive depuis la rentrée,
qu'il rentre chez ses parents pour le weekend et que sa mère lui fait la lessive, ce qui
me fait éclater de rire.
connaissais pas encore et que je découvre avec joie, et maintenant sa voie est hésitante,
il essaie de me dire quelque chose mais ne trouve pas trop les mots et puis au bout de
quelques blancs moi je comprend ce qu'il veut et je dois dire que je ne m'y oppose pas.
Je me rapproche de lui et l'enlace dans mes bras, posant mes lèvres sur sa joue alors que
ma main parcours son torse au travers de son T-shirt, lentement mes doigts glissent vers
le bas et viennent se reposer sur son entrejambe. Je peux aisément sentir au travers de
l'étoffe qu'il bande déjà et la pression de mes doigts s'accentue sur les contours de son
sexe ce qui le fait grogner de plus belle. Tout en massant son sexe au travers de ses
jeans mes doigts s'affèrent sur sa ceinture et en quelques instant la voilà débouclée, la
tirette s'abaisse alors avec aisance et ma main glisse directement dans ses boxers, mes
doigts effilés se resserrant autour de sa verge, autour de ses bourses. Je caresse son
sexe sous l'étoffe, je décalotte son gland et joue du pouce dessus, je titille son méat,
sa couronne . Une de ses mains passe derrière ma nuque et il m'attire dans un fougueux
baiser. Alors que nos langues joutent et tournoient l'une autour de l'autre ma main
étreint sa verge et de petit coups de ses reins viennent la faire glisser entre mes
doigts. Il grogne de plus en plus et notre baiser se rond lorsque je descend lentement
sur mes genoux, mes doigts attirant à l'air libre son sexe bien bandé.
Julien a à peine le temps de soupirer qu'il pousse un grognement lorsque ma langue
tournoie autour de son gland, grognement qui se mue en un lourd juron salace lorsque mes
lèvres s'enroulent autour de son bulbe de chair vive que je suçote tel une délicieuse
friandise. Mes mains agrippent sa ceinture, le rebord de ses jeans et je les tire vers
le bas, quelques mouvements de jambes et voilà ses jeans valsent sur le côté.
main, je caresse ses bourses, mes lèvres tètent son gland et de l'autre mains je stimule
ses muscles fessiers. Le blondinet aux yeux bleu intense calque ses mains dans ma
chevelure courte et l'ébouriffe, il donne de petit coups de reins, presque rien alors que
je pompe son dard gorgé de sang. de temps à autre, je presse mes mains sur ses fesses et
l'attire à moi, prenant ainsi son gland dans l'étroit goulot de ma gorge ce qui le faire
râler lourdement de pur plaisir et lâcher quelques autres jurons. Quelques minutes
passent dans ce coquin plaisir et l'ailier de notre équipe fini par me repousser laissant
son sexe poindre et se balancer à l'air libre, tout luisant de ma salive. Il me dit
qu'il est sur point de jouir tellement c'est bon. Regardant vers le haut je réalise
qu'il s'est débarrassé de son t-shirt et il est à présent nu devant moi, le torse se
balançant au rythme d'une respiration prononcée, ses yeux brillent de désir et d'appétit.
De nouveau il m'attire à lui et m'aide à me redresser, m'embrassant avec passion. Dans
notre baiser il lâche des compliments, ses mains courent maladroitement sur moi, tentant
de retirer mes vêtements. Il fini en haletant par m'avouer que depuis ce matin il
n'avait cessé de penser à moi, bandant quasiment non stop de la journée durant ses cours
et qu'il avait eut très peur que je refuse de venir ce qui me fait rire. Je le rassure
que jamais je ne refuserai de le voir, lui disant qu'il faisait partie de mon cercle
intime d'amis. Je fais un pas en arrière mais mon bras reste tendu vers son entrejambe,
mes doigts enroulé autour de sa hampe, le masturbant lentement, reliant ainsi son corps
au miens, je lui dis alors que nous ne sommes que des amis qui partagent un moment de
bonheur intense, se faisant du bien l'un à l'autre. Je finis par relâcher son sexe et
entreprend de me dévêtir.
de me complimenter de me dire que je l'honore et le rend fier à un point inimaginable et
qu'il ne ferait jamais rien qui puisse me nuire ou nuire à notre amitié. Il est
touchant de sincérité et nos finissons par nous enlacer et nous embrasser, nos mains
courant sur le corps de l'autre. Je fini par murmurer à son oreille de me prendre, de me
faire l'amour puis je m'éloigne de lui et m'allonge sur ventre sur son lit et le regarde
en souriant. Il répond à mon sourire et file dans la salle de bain pour en revenir avec
un flacon de lubrifiant. Se glissant à genoux entre mes jambes qu'il écarte il se penche
sur moi et pose ses lèvres sur ma peau, déposant une multitude de bisous sur mes épaules,
sur ma nuque, le long de mon dos jusqu'à mes fesses qu'il caresse puis écarte de ses
doigts pour faire glisser sa langue le long de ma raie, ce qui bien sur me fait
frissonner de plaisir et mes orteils se courbent sous l'impulsion incontrôlée de mon
corps. Il stimule ainsi mon petit illet quelques instants avant d'y verser du gel et
de l'étaler de son pouce. Sa main enduit alors son sexe bandé du lubrifiant et son gland
embrasse ma petite rondelle, dans un long et sourd grognement répondant à mon propre
gémissement il presse son chibre de chair et lentement le glisse en moi. Julien pousse
ainsi sa verge toute entière en moi jusqu'à ce que ses poils pubiens se plaquent contre
ma peau. Il frémit de bien être alors que mes parois de chair se resserrent et ondulent
autour de l'intrus.
Le beau blond me fait alors l'amour ainsi, me prenant comme la veille, son bassin
claquant à a mes fesses sous ses coup de reins. son rythme prenant de la vitesse et de
l'ampleur à chaque mouvement. A nos gémissements et grognement de plaisir répondent les
grincements de son lit.
Julien atteint au bout de deux ou trois minutes son orgasme, ses genoux poussant sur les
miens pour écarter au mieux mes cuisses, son corps arqué pour presser de tout son poids
son bassin à mes fessiers. Il éructe bruyamment son plaisir alors que sa queue vibre en
moi répand sa semence, mes bras lancé vers l'arrière, mes mains agrippant ses fesses
fermes et musclées, le retenant au fond de moi, savourant ce plaisir intime et intense.
Le jeune mâle s'affale alors sur mon dos, soupirant et haletant son aise, son bonheur,
m'embrassant les épaules, la nuque, le cou, murmurant combien je suis unique et lui
heureux d'être mon ami. Nous restons ainsi deux ou trois minutes avant qu'il ne se
glisse hors de moi et ne se redresse. Me retournant sur le flanc et le regardant il me
sourit me gratifiant de nouveaux compliments avant de me dire qu'il va se doucher. C'est
là que ma main agrippe son bras et l'attire au bord du lit alors que je me redresse
assis. Mon visage se plaque à son entre jambe et de coups de langue je me mets à
nettoyer son sexe dégonflé, mes lèvres capturent son gland qui pointe encore à l'air
libre, savourant le gout de nos fluides le recouvrant.
Je crois qu'il n'avais jamais bénéficié de cette attention particulière de se voir
nettoyer ainsi le sexe juste après son orgasme. Il gémit de plus belle et son sexe
durcit très rapidement, reprenant toute sa vigueur alors que je lui prodigue une intense
fellation. Il ne fallut qu'une minute, deux tout au plus pour qu'il jette sa tête en
arrière, les mains perdue dans mes cheveux, mes bras refermé autour de sa taille et son
corps cambré poussant au fond de ma bouche son sexe, Il poussa un cri assez violent où se
mêlaient un juron et mon nom.. Quant à moi je savoure les quelques petits jets de son
second orgasme, buvant à la source sa semence. C'est là pour moi un innocent petit
plaisir que je prends, celui de nettoyer le sexe de mon partenaire après nos ébats.
Cette chaleur qui rayonne de son entre jambe, cette humidité qui recouvre son sexe et ses
bourses, cette odeur puissante et masculine. J'aime cela et je dois avouer, aucun de mes
partenaires ne s'en est jamais plaint.
C'est en titubant qu'il fini par rejoindre la salle de bain et la minuscule douche. Moi
je m'allonge à nouveau sur le dos, me reposant. Lorsqu'il revient Julien me complimente
et me gratifie que j'ai le diable au corps, je lui fais remarquer que je n'ai pas entendu
une seule fois un "non" ce qui nous fait rire puis il s'excuse de me laisser ainsi... il
peste un instant en voyant l'heure car non seulement il a raté son train mais le suivant
qu'il peut prendre l'amènera bien à destination mais avec un détour et un retard de quasi
deux heures. Néanmoins jamais le blond n'a émit à ce sujet le moindre regret. Et le
voilà qui part, me laissant à nouveau seul dans sa chambre d'étudiant, m'ayant redonné
les clés et cette fois insisté pour que je les garde. Un bisou un bon weekend et me
voilà seul. Je reste ainsi une bonne dizaine de minutes avant de me rendre sous la
douche. Nettoyé et rhabillé je sors, une faim tenace me rappelant que j'ai passé le
repas de midi et qu'il serait bon de faire un bon repas ce soir, ce que j'ai en tête. Je
suis en train de verrouiller la porte quand je réalise que la porte du voisin s'ouvre et
que cet espèce d'Apollon sud américain en sort... Son regard est figé sur moi, il me
gratifie d'un bonjour mais je peux voir qu'il en pense plus... Il faut dire qu'il est
habillé d'un t-shirt sans manche et de shorts de basket d'un gris clair et portant les
écussons d'une équipe de NBA... Mais c'est surtout la déformation à son entrejambe et le
long de la cuisse droite avec cette tâche sombre d'humidité qui me marque.. Et là d'un
coups tout vient à mon esprit.. Lit Ikéa, murs en carton... il a tout entendu et
apparemment cela l'a fortement excité. Non pas que je fixe cette partie de son corps
mais je peux entrevoir quelques spasmes sous le fin tissu de ses shorts qui trahissent
quelques pulsations de sa verge qui semble bien épaisse. Je ne sais si il repère mon
regard mais je fini par secouer la tête alors qu'il me parle... Bref en quelques instant
le bougre a engagé la conversation, chose que je voulais éviter et non seulement
j'apprend qu'il se nomme "Stephano" mais préfère "Steph", qu'il a vécu en Argentine
jusqu'à ses douze ans qu'il suit les mêmes cours que Julien. Le pire c'est que sans m'en
rendre réellement compte on a échangé nos numéro whatsapp...
Une heure trente plus tard, je sors du restaurant le ventre plein et rentre à
l'appartement. Un peu de boulot et au dodo...Bon au dodo après avoir échangé pendant
quasi une demi heure des messages avec David, Steves et Julien, Les deux premiers me
parlant de leur dernière soirée à la station, qu'il skieraient encore le lendemain avant
de se doucher et changer pour prendre le bus le soir même et faire le trajet de retour de
nuit, ils arriveraient tôt du dimanche matin, ajouté à cela quelques photos de la
journée. Quant à Julien il me fait part de son périple et détour en train, de ses
parents qui ont attendu quasi 3 heures mais qu'il n'a aucun remords et me demande si moi
je vais bien. J'ai droit à plein de bisous et de bonne nuit de la part de tous.
Samedi... que de boulot j'abats ce jour là, je crois que je suis le seul de ma classe à
avoir pris autant d'avance dans tous les travaux que nous devrons remettre pour la fin
d'année et je m'en fais un devoir sachant combien coûtent mes études je ne veux pas
décevoir ma mère. Je bosse ainsi furieusement jusque dix sept heure puis je fais un peu
de ménage, je tiens à ce que l'appartement soit nickel pour le retour de David, non pas
qu'il y prête attention mais j'en fais un point d'honneur. De nouveaux messages le soir,
les deux comparses avec vidéo à l'appui ... ils sont en route et heureusement que les
chauffeurs sont pro car derrière ca roule bourré visiblement. Un message de Rick qui me
demande si je veux aller au ciné le lendemain avec lui, je décline poliment l'invitation
lui expliquant que David revient et qu'il sera surement épuisé donc je voudrai rester
avec lui. Bien sur le taquin noiraud me lance une pique me demandant si il serait
fatigué après m'avoir revu ou fatigué avant... ce qui me fait rire joyeusement même si
je sais que ce sera la seconde option.
Cela se révèle clairement le lendemain lorsque je suis au point de retour sur le parking
du bâtiment principal de leur campus. Les tronches de zombies qui sortent du bus font
peur, il faut dire une journée de ski puis une soirée picole dans le bus sans dormir ne
fut-ce qu'une minute... cela se paye. Même si mes deux amours ont su maitriser leur
consommation, l'absence de sommeil se lit clairement sur leur visage, ce qui ne m'empêche
pas de les étreindre tous les deux et de leur voler un bisou sur les lèvres à chacun.
Heureusement ils ont toute la journée et la nuit pour récupérer car le lendemain ils ont
tous deux classe à 8 heures. Ce qu'il y a de bien sur le chemin du retour on passe par
devant chez Steves du coups c'est à trois que nous sommes repartis, moi je suis chargé
comme un canasson, je me coltine les sacs à bottines et les sacs à ski. Je ne suis pas
mécontent d'abandonner la moitié de mon fardeau devant chez Steves J'ai droit en
remerciement à un véritable baiser cette fois et une douce parole à l'oreille comme quoi
on se reverrait bientôt, ce qui provoque un frisson tout au long de mon dos. David est
resté dans le hall de l'immeuble pour surveiller ses affaires alors que j'aide Steves à
tout monter. Cette pensée me fait frissonner mais aussi me sentir bizarre, comme des
sentiments mélangés en moi pourtant une chose est sure même si je ne m'en rend toujours
pas très bien compte je les aime tout les deux d'un même et intense amour. Une fois à
l'appartement mon athlète blond prends une longue douche avant de revenir dans le salon
et de s'écrouler sur le canapé ne portant qu'une paire de boxers. Il a besoin de repos
et cela se comprend. Je le laisse donc en paix et m'occupe à défaire sa valise ce qui me
fait rire... il a tout remis en boule dedans et surement pour la fermer, on dirait
un de ces vieux gags de cartoon où quand on ouvre la valise les vêtement jaillissent
hors... Je m'attelle donc à tout trier, ce qui peut être lavé ici et ce qui retournera à
la maison, les affaires de ski et les tout gros pulls. Je mets tout ce qu'il faut
garder dans un grand sac puis direction le lavoir deux rues plus loin. David est
toujours dans le canapé il s'est endormi et bon sang qu'est ce qu'il est beau ainsi...
Quelques messages pendant la lessive et le séchage pour prévenir ma mère et le père de
David comme quoi il est bien rentré mais qu'il dort là, un peu de chat avec Rick et un
coucou à Julien. Au retour je prends de quoi préparer une salade au poulet, l'ange blond
dort toujours et je replie ses affaires propres avant de les ranger.
Il est quasiment deux heures trente quand il se réveille, je suis alors occupé à préparer
la salade. J'y suis tellement occupé que je ne le vois pas se relever c'est lorsqu'il
passe derrière moi sans un mot et m'enlace de ses bras musclé que je comprends, il se
presse contre mon dos, se cabrant pour m'embrasser dans le cou et sur les joues alors
qu'il appuie son entrejambe contre le creux de mon dos. Il me demande alors innocemment
ce que je fais et comme si ce n'est pas visible j'ai envie de lui répondre sur un même
ton, lui sortant que je fais des moufles en tricot. Il sourit et se penche un peu plus
venant chercher mes lèvres des siennes dans un long et langoureux baiser. Tout de long
il ne cesse de rouler des hanches, me laissant sentir la masse de son paquet se frotter à
moi au travers des étoffes de ses boxers et mes t-shirt et jeans. Je fini par lui dire
ce que je prépare et tout en me mordillant l'oreille il me susurre que je la gâte, que je
le pourris comme un capricieux à qui on pardonne tout, à qui on accorde tout. Je
ne peut que répondre que c'est parce que l'on aime cet , ce qui le fait rire et il
me fait pivoter sur mes pieds, me faisant face et relevant mon menton il m'embrasse sur
les lèvres et murmure que cet m'aime bien aussi. Puis il recule et me dit que
l' sait se tenir et mettre la table, ce qu'il fait, non sans me faire sourire et
rire un peu. J'aime cette taquinerie, cette complicité que David me révèle, il me fait
me sentir bien et je crois qu'il en éprouve de même.
Tout au long du repas David me raconte sa semaine et je partage un peu de la mienne en
retour, il me propose de sortir faire un tour, je lui dis qu'il doit surement vouloir se
reposer que ca va si nous restons mais il me fait les gros yeux et pose un doigt sur mes
lèvres "On sort" et je ne peux que me plier à cette volonté. Il fait encore un peu
frais pour ce moi de février mais cela va bien, nous marchons en ville presque 3 heures
enfin, un peu de lèche vitrine, un peu de repos sur un banc d'un des parc, moi appréciant
ce temps passé ensemble me blottissant contre lui sur le banc, sentant son bras cerclant
mon dos et me tenant prés de lui. Il me montre alors les photos de la semaine, que de
beaux décors mais aussi des moments plus amusants, notamment une d'un rouquin la tête
dans la poudreuse, les ski en l'air croisés après une belle gamelle.... et d'autres.. Il
feint l'ignorance quand je lui dis que Steves doit bien en avoir une ou deux
compromettantes pour mon champion de ski blond. Ce qui déclenche une certaine hilarité,
il faut absolument que je me les procure. Puis nous prenons un verre ensemble avant de
rentrer à l'appartement vers les dix neuf heures.
David , mon Apollon blond me demande alors si j'ai faim, ce que à quoi je réponds que non
et que je prendrai un repas le lendemain vu que nous avons pris le déjeuner tardivement.
Il me dit qu'il en fera de même et ajoute qu'il va se coucher tôt pour récupérer
complètement en vue de ses cours lundi matin. Il m'invite donc à prendre ma douche en
premier, je lui dis que je bosserai encore un peu mes cours après la douche et je file
sous cette dernière. J'ai à peine commencé à me laver qu'il entre dans notre petite
salle de bain, nu comme un ver, une vision paradisiaque pour moi son corps exposant sa
musculature, sa taille, ses courbes brutes et pourtant gracieuses et là trônant à son
entrejambe, cette touffe de poils blonds foncés, que dis-je ce bosquet duquel émerge ce
sexe si parfait, si long et épais et pourtant flaccide mais déjà plus qu'impressionnant,
un don de dame nature... Il ne dit pas un mot lorsqu'il me rejoint sous la douche, je
veux dire quelque chose mais ses lèvres se plaquent au miennes et ses bras musclés
m'enlacent, je suis coupé net, aspiré dans ce tourbillon. Comme neige au soleil je fonds
dans l'étreinte de mon bien aimé, ses bras puissant, la chaleur de son corps, ce baiser
intense où sa langue danse un tango endiablé avec la mienne... Je suis à lui, je suis où
je veux être, où je me sens bien... L'eau ruisselle sur nos corps qui se frottent l'un
à l'autre, ses mains courent sur ma peau, sur mon corps autant ses lèvres qui
lorsqu'elles ne sont pas verrouillées avec les miennes , sillonnent mon cou, mes épaules.
Il y dépose bisous et mordillements. Cela me parait une délicieuse éternité, cette
absence de ne pas avoir eut ce divin contact avec lui et je me presse autant que je peux
contre lui alors qu'il me serre contre lui, qu'il parcoure mon corps de ses doigts.
Prononce-t-il un mot ? Non, nullement. Fait-il un geste pour guider mes mouvements ?
Encore moins et pourtant je fini par descendre mes lèvres sur son corps, son torse, ses
muscles abdominaux, ses hanches et enfin cette destination tant convoitée est à ma
portée... Pendant au moins une demi heure il me laisse pleinement jouir de son entre
jambe de son sexe, de sa masculinité, de son corps. Il ne dit pas un mot, tout au plus
quelques grognements trahissent son plaisir. Il ne fit pas un geste, ses mains restent
plaquées à la paroi carrelée de la douche. Il refreine quelques mouvements de ses
cuisses, de ses hanches, mettant de côté son instinct qui le pousse à arquer son corps et
chercher à pousser plus en ma bouche, plus en ma gorge son chibre turgescent. Il
pourrait à tout instant prendre le contrôle, me diriger mais non il me laisse profiter
librement de son corps, me laisse prendre mon plaisir en lui donnant du plaisir. Et là
bien plus d'une demi heure après il fini par grogner, incapable de retenir son corps
malgré les petites pause que j'ai fait, je sais qu'il est à l'ultime instant, au point de
non retour... Et encore il fait à nouveau preuve d'un contrôle total de lui même me
laissant libre cours... Mes lèvres se verrouillent juste au delà sa couronne, gardant
dans la chaude moiteur de ma bouche son gland alors que sa hampe pulse, que ses
testicules et ses bourses sont prises de violent spasmes... C'est par de long jets que
sa semence, ses fluides intimes jaillissent dans ma bouche, s'écrasent sur ma langue, sur
mon palais, dans le fond de ma bouche, à l'entrée de ma gorge, contre ma glotte, noyant
mes papilles gustatives sous son sperme chaud. Je déglutis avec plaisir, savourant et
avalant le produit de son corps. Je ressens une fierté et j'aime cela, mon corps lui
même tout entier frissonne d'extase alors que de ses poumons résonnent bruyamment dans
la pièce chaque grognement intense qui accompagne chacune de ses éjaculations intenses.
Lorsque remis de son intense orgasme il me fixe du regard, penchant sa tête en avant il
me sourit et ne lâche que ces mots "Je t'aime Iwao."
"Je t'aime Iwao..." cela résonne en moi si profondément, ce ne sont pas des mots
prononcés ainsi sans valeurs, ils viennent de tout son corps, toute son âme, tout son
coeur. Et sa main se tend vers le bas, il m'aide à me relever juste pour m'embrasser
alors que je réponds à ses mots par mon propre "je t'aime David" Nous nous embrassons à
nouveau de longue minutes et chaque fois que je tente de placer un mot il me répond d'un
'sshh' en m'embrassant plus passionnément encore. Ses mains se glissent derrière mes
cuisses et il me soulève, comprenant son geste, je courbe mes jambes autour de sa taille,
mes bras de son cou et c'est ainsi qu'il me soulève et me porte jusque dans sa chambre.
Nous sommes trempés, il y a de l'eau partout derrière nous et il me pose sur le lit puis
se glisse au dessus de moi. Nos regards se croisent, nous ne disons mots, ils ne sont
plus nécessaires. Et c'est ainsi qu'il me pénètre et me fait l'amour de longs moments,
un amour fougueux, passionné, intense. tout de long il ne cesse de me fixer dans les
yeux, de tenter de m'embrasser autant que la pose dans laquelle il me prend le lui
permet. Il m'a donné son corps sous la douche et maintenant je lui donne le miens,
bougeant au rythme de son désir, m'alignant comme ses instincts le guident. David fini
par grogner de ton plaisir, me fixant du regard alors que je jouis, mes fluides
s'écrasant sur mon torse, sur mon visage, et même sur ma chevelure alors que mon corps
tout entier tremble sous un des plus intenses orgasmes qu'il n'a jamais ressenti. Sommet
du plaisir que mon Dieu blond partage, sa propre semence inondant mes entrailles.
Le capitaine et pointe de notre équipe se laisse glisser sur moi et m'embrasse de
nouveau, répétant son "Je t'aime Iwao." auquel je réponds par mon "Je t'aime David."
Une minute tout au plus passe et ses mains glissent sur moi de nouveau, m'agrippant alors
qu'il me retourne, qu'il me guide et me placer à quatre pattes. son dard bandé comme au
premier jour me transperce de nouveau, se fige en moi alors qu'il laisse son plaisir, sa
passion, sa fougue le guider et me prendre, me dominer à nouveau. Il me fit l'amour, me
sodomisant sans retenue telle un animal fougueux à la période du rut et fini par
atteindre son troisième orgasme, me jetant dans mon second après d'interminables et
délicieux instants. C'est ainsi qu'il fini par s'affaler sur moi, nos corps couvert de
sueur, les draps humides, souillés et pourtant nous n'y pensons pas, nous n'échangeons
que ces mots "Je t'aime". Il me fait alors doucement rouler, son sexe toujours en moi
alors qu'il se positionne en cuillères avec moi, se plaquant contre mon dos alors que je
tire ses bras atour de mon torse, me lovant dans son étreinte. Il n'y a pas un mot de
plus je suis là où je veux et j'y suis bien. Nous fermons les yeux et le sommeil nous
prend tous les deux en un instant alors qu'au réveil sur la table de chevet il est plus
de neuf heure.
Il est juste passé six heure du matin lorsque je me réveille. Il flotte dans la chambre
une douce odeur... Ce n'est pas vraiment dans la chambre mais autour de moi... mes
poumons respirent cette fragrance de toutes leur force, c'est celle de mon homme, de
David, il est collé à mon dos, oh, bien sur, son sexe en dégonflant a glissé hors de moi
et ses bras ne me serrent plus, il dort profondément, le réveil ne sonnera pas avant un
bonne vingtaine de minutes. Je suis bien là, j'espère que cet instant ne cesse jamais et
à aucun moment mon cerveau ne me rappelle les conflits qui se trament autour de nous. Je
n'en ai pas ou ne veux pas inconsciemment les regarder ni même reconnaitre leurs
existences. C'est un bruit bizarre qui attire mon attention, me fait sortir de la bulle
de bien être où je suis... un bruit d'eau... et puis cela fait 'tilt' en moi... L'eau...
la douche... bordel... on ne l'a pas arrêté et elle coule depuis hier soir... Je me
glisse donc hors du lit et file dans la salle de bain pour l'arrêter... et bien cela fera
une belle facture d'eau... mais qu'importe... A mon retour dans la chambre je stoppe
net et regarde dans la pénombre de la nuit qui lutte avec les lumières de la ville, ce
corps allongé sur lit, ce merveilleux corps d'athlète, grand, ciselé, musclé... C'est
celui de mon homme, de mon David... et puis il y a un rictus narquois, malicieux qui
traverse mon visage...
En un instant je me faufile sous les draps, trouvant aisément mon chemin entre les
piliers de muscles de ses jambes où je prends place, laissant mon visage reposer là
entres ses cuisses, juste un peu plus haut, juste sur son entrejambe, savourant la
chaleur de son sexe contre ma joue et son odeur douce et puissante à la fois qui
s'insinue dans mes narines. Il ne faut guère plus, ma complicité, mon amour prennent le
dessus et me voilà parti pour une douce et lente fellation de mon homme... Bien sur cela
fini par le tirer du sommeil mais bouge-t-il ? Dit-il un mot? Non tout au plus il glisse
sur le lit, écartant au mieux ses cuisses pour m'offrir le plus aisé des accès à sa
fierté masculine. De sa gorge, de ses poumons ne sortent que quelques grognements qui
gagnent en intensité au fil que les minutes s'écoulent. Et la dans la chambre, ses mains
serrées en points, s'agrippant avec force dans les draps il éructe un puissant grognement
lorsque son corps tout entier se met à trembler et qu'il offre à ma bouche, ma gorge ses
fluides que son corps a produit de la nuit. Je ressens un immense plaisir et une non
moins grande fierté de savourer ainsi sa semence.... de la boire à la source... Lorsque
son corps se relâche seules ses mains viennent sous les draps m'agripper et m'en
extraire, me blottissant contre lui dans un doux baiser, sans un mot et ce jusqu'à ce que
le réveil de ses 'beep' stridents nous rappelle que nos amours doivent laisser la place à
notre vie étudiante.
Moins d'une heure plus tard nos chemins se séparent, nous guidant vers nos facultés
respective.
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