Bien Encule Par Georges
Salut, les branleurs, jai écrit plein dhistoires, mais il y en a une que je ne vous ai jamais racontée, cest celle de mon dépucelage du cul. Du plus loin que je me souvienne jai toujours bandé pour les mecs, mais comme un con jai fait comme beaucoup dhommes qui ne voulait pas trop savouer homos et je suis me suis marié avec une fille, mon dieu quand jy pense jen ai encore la nausée aujourdhui, non moi jétais fait pour le mâle et je ne vivais que dans lespoir denculer un garçon et de me faire aussi baiser, évidemment jai divorcé en 1988 et une semaine plus tard javais un mec dans mon lit, enfin de la pine, un corps de mec à lécher partout, à regarder, à galocher, un mec pour moi tout seul, yep!
Al «époque je recrutais par minitel et je donnais facilement mon téléphone pour que les mecs mappellent, je recevais beaucoup et je baisais beaucoup tous ces culs affamés, mais si je baisais moi jétais puceau du trou, à part mes godes ou mes doigts pas un mec nétait encore entré dans cul, je le vivais très mal, je voulais de la bite!
Un jour un type mappela, un certain Georges et il me proposa de venir chez moi après le détail que je lui avais fait de ma personne, il me dit :
- On peut se voir si tu veux, jai 35 ans je vis avec une nana, mais jai déjà eu quelques expériences avec des mecs et ton profil mintéresse, moi jaime les grands mecs si tu veux je peux être chez toi dans un quart dheure. Je sautais vite sur loccasion et quelques instants après un homme était chez moi, un mec ni très beau ni très moche, un gars aux cheveux noirs un peu bouclés avec les dents du bonheur (incisives écartées) 1m80 environ, lair gentil, un peu méfiant il me dit :
- Bonjour, cest moi Georges, tes pas mal toi, alors tas chaud?
- Tes pas mal non plus, oui je suis chaud bouillant.
Le mec sassoit sur mon canapé et att une revue qui était posée sur ma table de salon :
- Ya du cul là-dedans, me demanda-t-il puis poursuivit :
- Baisse ton fut, mec et fais-moi voir ton cul et tes couilles!
Un peu con je le fis et il me détailla en baissant son jean's et en commençant à branler sa bonne queue semi-rigide puis il reprit :
- Tas un beau cul et une sacrée loche, mais tu vas aller me raser tes grosses couilles poilues.
En effet à l" poque je ne me rasais pas les burnes et je lui dis :
- Tu veux?
- Ouais, jaime bien caresser les noix des mecs, mais il faut que ce soit doux.
- OK., les tiennes sont rasées alors je le fais
Et là jai été me raser les couilles en coupant aux ciseaux le plus gros des poils puis je me finis au rasoir en mettant plein de mousse à barbe, cest vrai que mes boules étaient belles et douces comme ça et quand je suis revenu il me les a peloté en les léchant sans oublier de me piper mon gros dard décalotté qui mouillait, il narrêtait pas de dire :
- Mon salaud, tas rien comme grosse pine, puis ce gland!
ll était debout le froc en bas des pieds quand il décida de mettre sa queue sur la mienne pour nous branler ensemble, ce qui nous fit vite cracher. Mon sperme atterrit sur son ventre un peu poilu, ses doigts étaient entrés dans mon cul, fouillant mon conduit qui mouilla aussitôt puis il me demanda daller dans ma chambre pour y faire lamour. On se mit vite à poils dans mon lit et Georges vint sallonger sur moi et membrassa à pleine bouche puis il se tourna pour quon se lèche le trou, les couilles et la bite, il me demanda de lui foutre des doigts dans lognon, jen mis un puis deux puis quatre, il râla de bonheur et je sentis son précum envahir ma bouche alors que jétais entrain de lui faire une pipe du tonnerre, soudain il me demanda si je voulais quil mencule, je lui ai dit «oui» et il me demanda de rester sur le dos, il me refila sa bonne bite dégoulinante de mouille à sucer puis il menfourna direct, ça y était, javais une pine de mec bien enfoncé dans le rectum, une pine qui me pilonna un sacré bout de temps alors quil me léchait les tétons, ma queue était archi raide et des frissons me parcoururent tout le long du corps lorsquil me dit :
- Écarte bien tes cuisses que je te baise à fond.
Je ne me souviens pas lui avoir répondu tout ce que je me rappelle cest quil a joui dans mon trou en me disant :
- Taimes ça ma salope, une bonne bite qui te tape au fond du cul!
Il cogna tellement ma prostate quà chaque coup de boutoir jenvoyais des filets de foutre qui marrosait le ventre.
- Vas-y, encule-toi, salope, je vais bien te sperme la rondelle puis après lavoir bien besogné je lui ai léché son beau trou de mec que javais agrandi de ma grosse pine, il sourie puis alla aux pieds du lit, la bite ramollissant, là je me souviens lui avoir dit :
- Ça y est cest tout mou maintenant
Il ma répondu dans une mimique bien à lui :
- Bah dais .....
Jétais content davoir eu une bonne pine dans le cul même si Georges je ne lai jamais revu, cétait un mec soi-disant hétéro, mon il, un hétéro bien pédé, ouais!
Yanno
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