Les Fantasmes De Sandrine 23

• 23 – MA NOUVELLE VIE

Je passe une nuit assez délicate. Mon petit cul m'a fait souffrir toute la nuit. J'ai passé la nuit soit en chien de fusil, soit les fesses en l'air. Ce matin, Je m'habille très stricte pour éviter tout débordement d'affection de la part de Ralf. Pourtant, il vient me faire la fête à la descente de l'escalier. Je lui fais seulement les caresses dû à son rang d'animal. Après mon petit déjeuner, je pars. Je rentre tranquillement. Enfin tranquillement est un vain mot. Mon cul me fait toujours souffrir et je suis obligée d'écarter mes fesses pour diminuer la douleur. Arrivée chez moi, j'ai pris une série de décisions importantes. Après ce week-end très particulier, j'ai décidé de tout changer. Je quitte le monde du BDSM !
Le lendemain je suis au travail. Le jeune PDG nous informe d'une réunion à 14h00. La réunion est à l'heure. En plus du jeune PDG, un grand balaise rouquin est vautré dans un fauteuil. Il ne lève même pas lorsque nous arrivons. C'est le PDG qui parle :
• Mesdames, je vous présente le nouveau directeur ! Il remplace Sandrine à compter du 1er janvier !
Je suis débarquée comme un chiffon sale !
• Mais les conditions sont avantageuses pour vous ! Nous en parlons immédiatement après !
Les collègues s'en vont. L'américain, car s'en est un, m'annonce :
• Vous toucherez pendant 10 ans votre salaire ! Je vous souhaite bonne chance !
Et me voilà chômeuse à partir du 1er janvier avec mon salaire !!! Je vais à mon bureau et je le vide tous mes dossiers dans des cartons d'archives et les porte à ma voiture. Je quitte l'entreprise vers 16 h 00. Je passe chez mon médecin et lui demande un congé de maladie jusqu'au 31 décembre. Il tique un peu mais voyant mon état, il me l'accorde. Arrivée à la maison, je m'effondre. Être débarquée comme la dernière petite employée me renverse. Sachant que je conserve mon salaire pendant dix années, que les cotisations sociales seront versées, comme si je travaillais, j'aurais tort de m'inquiéter.

Mais la décision que j'ai prise samedi chez Sylvie me booste. Dès le lendemain, j'appelle l'ébéniste qui a réalisé les meubles particuliers de notre donjon. Il accepte de me les acheter d'occasion. Il peut venir dès le mardi.
A 9 h 00, la sonnette retentit. J'ouvre le portail et la camionnette de l'ébéniste arrive. Il démonte tout, emballe avec beaucoup de précautions, chaque pièce. A 12 h 00, tout est fini. Une bonne chose de faite.
J'envoie un mail à Alex, mon mari, parti avec ma meilleure amie en Australie. Je lui annonce mon choix et mon envie d'aller voir les s aux USA, où ils se sont installés depuis 1 an. Je fais un carton des toutes mes tenues BDSM et très érotiques. Je le fais parvenir à une amie du milieu BDSM pour le distribuer à des adeptes. La journée est finie. Je me prépare un petit dîner que je vais déguster devant le journal de 20 h. Après toutes les informations alarmantes, je découvre un fait-divers étonnant. Un homme a été accusé à tort et a fait 5 ans de prison pour rien. Mais le plus fort, c'est que cet homme a été obligé de s'évader avec deux autres détenus sous la menace d'être tué. Ce sont les révélations écrites des deux détenus, aujourd'hui décédés, qui l'innocente. Cet homme s'est caché pendant 10 ans pour éviter de replonger. La justice est mal faite ! Mais les changements et bouleversements de ma journée m'ont fatiguée. Je vais me coucher de bonne heure.
Le lendemain, je traîne un peu au lit. A 10 h, je me lève enfin. Petit déjeuner, douche. Je vais au courrier. Une grande enveloppe sans signe distinctif est dans la boite aux lettres. Je la tourne et retourne en revenant vers la maison. Elle nous est adressée à Alex et à moi. De retour dans la maison je l'ouvre. Une écriture soignée, fine et élégante couvre 2 feuillets entiers. C'est un courrier qui émane d'un homme, guadeloupéen qui dit nous connaître, Alex et moi. Au fur et à mesure que je lis cette missive, je comprends. L'homme qui écrit est le superbe beau black qui a abusé de moi, avec ses deux comparses, il y a une dizaine d'années, celui qui m'a fait découvrir un pan de mes fantasmes les plus sombres.
C'est celui que les deux autres appelaient Blanche-Neige. Il nous dit que c'est lui qui a été emprisonné à tort, qui a été obligé de s'évader avec les autres sous peine de mort, celui qui a utilisé mon corps comme les deux autres pour se vider de leurs trop-pleins d'amour… Il s'excuse de la manière dont il m'a traitée. Il veut que je porte plainte contre lui pour les sévices qu'il m'a fait subir. Il est prêt à payer ses exactions.
Je suis un peu baba devant ce flash-back. Que dire, que faire ? Porter plainte contre lui, c'est le faire retourner en prison alors qu'il a subit tous ces événements. Je vais réfléchir à tout cela tranquillement. J'abandonne le courrier sur la table du salon et me prépare un déjeuner.
C'est en lapant comme une petite chatte mon café que de termine la lecture du courrier de Blanche-Neige. Si nous le voulons, il nous invite chez lui pour se faire pardonner ses actions salaces. Je réfléchis à cette proposition.
1. Je ne porterai pas plainte contre lui, 10 ans ont passé
2. J'avoue que j'ai pris mon pied grâce à lui.
3. Je suis seule et disponible pour des vacances…
4. Alors ???
Je dois aller voir mes qui sont au MIT pour terminer leurs études. Je vais passer la semaine de Noël et du jour de l'An avec eux et ensuite, nous verrons bien… En fin de soirée je pense à cet homme. Rongé de remords, sa vie doit être triste. Je lui écris une lettre.
Cher Monsieur,
Votre courrier m'a beaucoup surprise. En effet depuis maintenant plus d'une année, mon mari m'a quittée. Je suis seule, mes s sont partis de la maison. Aussi, après les congés de fin d'année, j'accepte votre proposition de venir vous voir, chez vous.
Cordialement
Sandrine
Après cette dure journée, à ne rien faire, je me fais couler un bon bain chaud et m'y délecte durant presque une heure, prenant bien le temps de me laver parfois. Je sors de la salle de bains pour aller dans ma chambre.
Totalement nue, je m'assois sur mon lit qui fait face à un grand miroir qui orne tout un pan de mur de la chambre.
Je me regarde. Je suis encore séduisante à 40 ans passés. J'ouvre le tiroir de la commode, prend mon vernis à ongles et après l’avoir agité, je commence à le passer sur les ongles de mes pieds. D’un geste précis et expert, je passe un vernis rouge vif et admire le résultat. Je continue sur mes ongles de mains. La vue de ses ongles peints m’excite encore davantage. J'attends que le vernis sèche et cette attente m’excite encore plus. Je ne peux pas me toucher et j'aime ça… Dix minutes plus tard, le vernis est enfin sec. Je glisse ma main entre mes jambes. Je trouve une chatte encore humide et chaude d’excitation. Je me saisis d'un flacon d’huile pour le corps. Je me verse un filet d’huile sur les seins et sur le ventre. De mes mains délicates, je commence à se masser doucement les seins, étalant l’huile sur toute ma peau. Je me regarde dans le miroir. Mon image me fascine. Je masse tout mon corps. Il frémit de plaisir et de désir. Cette peau parfumée, douce et onctueuse m’excite terriblement. J'ai du mal à me contenir. Je me lâche. Je malaxe tendrement mes seins, un dans chaque main. Mes tétons se dressent, comme s'ils m'appelaient à m'occuper d'eux. Je les titille, je m'amuse avec eux et cela a pour effet de me procurer un frisson de plaisir qui me parcourt tout le corps. Je m'impatiente à nouveau, je délaisse mes seins pour ma chatte. Ma chatte est déjà bien humide... Je m'enfile un doigt dans la chatte. Une secousse de désir me parcourt entièrement. Je me verse un peu d'huile dans la main et la passe entre mes fesses. Je m'excite encore. Mon majeur bien huilé entre dans mon anus. Il glisse sans aucune difficulté. La jouissance est proche. Je sais que je ne pourrais pas tenir plus longtemps. J'att dans le tiroir de ma commode le gros godemiché entre ses mains. Je l'humecte et suce le bout. Je caresse ma fente et mon clitoris, lentement, longuement et doucement. Je frôle mon clitoris. Je ne fais que passer mais des décharges électriques de plaisir m'ordonnent d'aller plus vite.
Je m'attarde donc sur mon clitoris. Je laisse échapper des soupirs de plaisir. Je le caresse doucement mais fermement. Je sens le plaisir m'inonder, ma chatte est maintenant trempée. Mes mouvements se font plus rapides. Mes soupirs se transforment vite en cris. Je n'en peux plus, je veux jouir le plus vite possible. Les jambes écartées et j'approche le gode de mon sexe et l’introduit lentement, tout doucement… Une onde de plaisir me parcourt instantanément. Je me pénètre avec ardeur, les premiers signes de l’orgasme étant proches, je me tourne sur le côté, tenant mon gode planté en moi. Je le fais aller et venir dans ma chatte. Je gémis de plaisir. Mon corps est maintenant secoué de spasmes. Un ultime et violent spasme m'arrache un râle de plaisir. Je m'écroule un instant, inerte et haletante. Je suis heureuse mais pas rassasiée. Je n'ai pas encore eu ma dose de plaisir !
Progressivement, je sens monter de nouveau le plaisir, je transpire, mon cœur bat la chamade, ma chatte dégouline, mon clito se dresse et reluit et puis je jouis, intensément et violemment... Je ne me contente jamais d'une seule fois car quand je suis "partie" je suis capable de jouir plusieurs fois de suite, et de plus en plus fort... Je m'astique le clitoris jusqu'à ce qu'il devienne incapable de supporter que je continue à le titiller ! Mon gode sur mon clitoris me transporte ailleurs. Je le fais aller et venir dans mon vagin. Je me regarde me pilonner dans la glace. J'en veux toujours plus ! Je me pénètre de deux doigts dans le cul. J’entretiens ma dilatation anale afin de venir y fourrer le gode profondément. Je sors le gode de ma chatte. Je dirige l'objet vers mes fesses. Cette scène m’excite énormément. Je me cambre. Il est là, entre mes fesses rondes que j'écarte doucement pour lui frayer un passage. Je sens le gland entrer doucement en moi. Une légère résistance, un petit "ahhhh" d'une infime douleur excitante, et le voilà qui glisse aisément, s'enfonçant centimètre par centimètre dans mon cul. Je le sens entrer loin. Voilà, il est à fond. Je me régale de ces vingt centimètres qui vont et viennent au plus profond de moi. Je jouis. Je me vois toujours dans la glace, cuisses relevées et ouvertes, empalée sur cette queue de latex. Je bouge encore et encore, branlant fortement mon clito saillant. Je sens la chaleur monter en moi. Je vais jouir et me laisser aller à crier mon plaisir. Mes soupirs se font plus forts, plus saccadés. Je me laisse aller, sentant les prémices d'un orgasme puissant arrivés dans mon ventre. Me voilà transportée par une vague de plaisirs. Je me cambre sous la jouissance. Je perds plus ou moins connaissance tellement l'orgasme est puissant, fort et dévastateur. Je tremble, je convulse presque. Que c'est bon ...
Je tombe dans un sommeil réparateur. C'est une heure plus tard que j'ouvre les yeux ! Dans la glace, je constate les dégâts de mes jouissances sur mon visage ! J'ai des "valises " bleuâtres sous mes yeux !!! J'enfile mon peignoir et reviens dans la cuisine. Sur la table, la lettre est toujours là ! J'ouvre mon PC et ma boite mail. Une réponse est déjà là.
Blanche-Neige m'a répondu :
Très chère Sandrine,
Je suis confus de ce qui vous est arrivé. Mais c'est avec une grande joie que je vous accueillerais chez moi pour la période que vous souhaitez et la durée que vous voulez ! Dites-moi quand vous arriverez à Pointe-à-Pitre. J'irais vous chercher personnellement.
Au plaisir de vous lire.
Antonin
Je lui réponds aussitôt :
Bien cher Antonin,
C’est avec beaucoup de plaisir que je me rendrais aux Antilles en ces périodes hivernales en France. Je pense venir vers le 15 janvier. Cela vous irai-t-il ?
Cordialement
Sandrine
Quelques minutes plus tard, mon PC annonce l’arrivée d’un message. C’est Antonin qui me répond :
Chère Sandrine
Oh ! Je vous attends à la descente de l’avion le 15 janvier.
Antonin
Suit un billet électronique : départ le 15 janvier à 10h45 d’Orly Arrivée à pointe à Pitre le 15 à 14h40 et en plus c’est un billet de 1ère classe.
Je le remercie vivement. Je suis vraiment heureuse de ce voyage inopiné. Je me prépare un plateau Télé et je m’installe. La pauvreté des programmes diffusés par les télés françaises hormis la 3, la 5 et Arte est affligeante. 10h30, je vais me coucher.
Le lendemain matin, je me réveille de bonne humeur. Petit déjeuner douche, et je décide de me faire un pu de footing. Je m’équipe et par pour une boucle de 10 km environ. Je rentre 50 minutes plus tard, écumante. Nouvelle douche et je m’habille décontractée. Le facteur est passé et un colis m’a été livré. Je n’ai rien commandé pourtant. Ce colis m’est personnellement adressé. Je rentre au chaud dans le salon et commence à ouvrir ce colis suspect. Une lettre d’accompagnement est jointe. Je la lis. Mon cœur fait un bon dans ma poitrine. C’est JP qui m’envoie ce cadeau. Dans le courrier, il n’ordonne, malgré qu’il ne soit plus mon Maître, de l’utiliser immédiatement. J’ouvre donc le paquet. Le contenu me surprend : c’est un œuf vibrant à télécommande. Mais pas de télécommande. Suivant les ordres de mon ex-Maître, je baisse mon pantalon, mon slip et tente d’introduire l’œuf vibrant. Mais je ne suis pas très excitée et mon sexe est un peu sec. Je me caresse le clitoris et très rapidement mes lèvres s’humidifient. Je frotte le nez de l’œuf sur mes lèvres et comme je m'y attendais, l’intromission se fait sans difficulté. Je remonte slip et pantalon. La sensation est curieuse. Mon sexe est occupé plein d’une chose totalement immobile. Je vais donc vaquer à mes occupations lorsque la sonnette du portail d’entrée retentit. J’enfile un poncho et me dirige vers le portillon. A peine suis-je à 5 mètres de la porte que l’œuf vibrant se met en fonctionnement. Le choc est étonnant. Cet objet prend vie et me contraint à prendre sur moi pour éviter des réactions trop significatives face à la personne qui sonne. L'objet cesse de vibrer. J’ouvre et découvre... le sonneur n’est d’autre que JP, mon Maître, enfin mon ex-Maître ! Je suis tellement surprise que je reste coïte ! C'est JP qui me réveille :
• Eh bien, quel accueil ! Même pas un baiser rien ??
Je me reprends :
• Bonjour Maître ! Je suis tellement étonnée de vous voir ici que je ne sais quoi dire !
JP me tance :
• Et c'est quoi cette tenue ? un pantalon et un polo ras le cou ? Aurais-tu oublié la tenue obligatoire pour une soumise ?
Je me défends vite :
• Non Maître, mais je ne m'attendais pas à votre visite alors je me suis à l'aise !
JP entre dans la cour et claque la porte derrière lui. Il me dit :
• Retire immédiatement ce pantalon !
• Mais Maître laissez-nous rentrer dans la maison !
• Non, ici, à poil !
Je regimbe un peu. Mais JP me saisit les mains, me les passe dans mon dos et me maintient fermement les poignets. De sa main libre, il fait sauter l'agrafe de mon pantalon et tire vers le bas. J'ai beau protester, essayer de me débattre, mon pantalon est rapidement à la hauteur de mes genoux et JP pose un pied entre mes jambes et finit de me dépouiller du vêtement qu'il déteste. Entravée par le vêtement autour de mes chevilles, je suis obligée de m'en défaire. Je me retrouve en slip "petit bateau" en chaussettes et chaussures et polo ras-le-cou. JP m'ordonne de nouveau :
• File vite à ma maison ! et mets-toi en tenue correcte !
Je me tiens à carreaux et je cours presque vers la porte d'entrée. JP est sur mes talons. Il me dit :
• Tu as 4 minutes, montre en main pour être devant moi en tenue et en position !
Je grimpe 4 à 4 l'escalier. Avant d'être dans ma chambre, je pose mes chaussures, mes chaussettes. Heureusement que j'ai pris une douche ! Dans mon armoire, je trouve une paire de bas noirs, mon serre-taille. Je retire mon polo. Je m'harnache de ma tenue de soumise. Je ne sais pas le temps qu'il s'est écoulé. Je redescends l'escalier et me positionne devant JP, les pieds écartés, les bras croisés dans le dos, cambrée, la tête haute et les yeux baissés. Je me permets de dire :
• Voilà Maître, je suis à vous comme vous le souhaitez !
JP arbore un sourire inquiétant et me dit :
• Oui, c'est vrai ta tenue est parfaite ! Mais cela fait 4 minutes et 12 secondes que je t'ai donné l'ordre de te vêtir correctement ! Je vais devoir te punir !
Je tente de me faire pardonner :
• Mais je ne pouvais savoir que vous viendriez aujourd'hui !
JP me fais les gros yeux ! Je ne comprends pas pourquoi. Mais il me le rappelle immédiatement :
• Tu ne m'appelle plus "Maître" maintenant ?
Je rougis de mon erreur.
• Pardon Maître, mais depuis votre départ, j'ai un peu perdu l'habitude !
JP affiche un sourire qui me fait froid dans le dos.
• Bien, nous allons corriger cela !
Il fouille dans sa poche de pantalon. Aussitôt, l'objet qui est dans mon ventre se met à vibrer. Mon ventre se contracte. Je serre les muscles de mon vagin, car j'ai peur de laisser tomber l'objet !
• Approche Soumise !
Je fais un pas en direction de JP. Sa main vérifie que la petite ficelle pend entre mes cuisses, prouvant que son cadeau est bien installé au fin fond de mon ventre. Sous l’effet des vibrations de l’œuf que JP vient d’activer par une impulsion sur la télécommande qu'il a dans sa poche, j'ai du mal à contenir mon plaisir mais, par fanfaronnade, je tente de masquer mon émoi tant bien que mal. Mais je ne peux retenir des mouvements de bassin. JP m'interroge :
• Pourquoi dandines-tu tes fesses comme cela ?
Je me rends bien compte que des signes me trahissent. Mes tétons pointent. JP me regarde avec un regard moqueur. Les vibrations de l’œuf cessent. Je fusille JP de mes yeux vert. Pourquoi a-t-il arrêté le fonctionnement de cet objet diabolique ? Mon regard devient presque agressif. Je le supplie par mes yeux de remettre en marche l’objet dissimulé dans ma chatte qui me procure un tel plaisir et qui me fait vaciller sur mes talons hauts. Mais aujourd'hui, c'est JP le maître du jeu. JP tient la télécommande dans sa main dans sa poche. Il appuie de temps à autre sur le bouton qui contrôle les vibrations. Je sursaute dès que les vibrations se font sentir. Puis arrêt pendant une durée indéterminée. Tout d’un coup l’œuf commence à vibrer. Au bout d’un moment, les vibrations répétitives, me donnent l’impression d’être assise sur une machine à laver... Ce qui est le plus terrible dans le port de cet accessoire, est le fait de ne pas savoir quand ça va commencer ou s’arrêter, mais le fait de ne pas avoir le pouvoir. L'excitant dans ce jeu c'est psychologique ! Le fait que mon Maître puisse me faire vibrer à distance. JP rit de me voir ainsi soumise à lui. Il avance vers moi et ma passe la main entre les cuisses. Il saisit le lien qui est attaché à l'œuf et tire. L'objet quitte mon ventre et pend au bout de la ficelle tenue du bout des doigts par JP. Il me dit avec son sourire narquois :
• Tu n'as pas changé, Sandrine, toujours aussi cochonne !
Je rosis de honte et de plaisir. JP continue :
• Va t'habiller, je t'emmène au restaurant !
Je remonte et cherche dans ma garde-robe, une tenue susceptible de lui plaire. J'enfile, une jupe droite noire et courte, un top au décolleté avantageux et des escarpins. Je redescends et retrouve JP dans le salon, assis dans un grand fauteuil club. Je m'approche de lui. Plutôt qu'un doux baiser habituel, je mêle ma langue à la sienne et ma cuisse vient frotter doucement contre son entre-jambe. JP contacte en passant la main dans mon dos que je ne porte pas de soutien-gorge, ce qu'il apprécie particulièrement. Puis il me tend l'œuf avec cette remarque :
• Je veux que tu le portes pour aller au restaurant !
Je ne peux qu'acquiescer. Je lui souris et lui dis :
• Regarde bien !
Je relève ma jupe jusqu'à la bande de mes bas. De ma main, j'écarte les lèvres de mon vagin et suce le bout de l'œuf. Puis je l'introduis sans trop de difficulté dans mon sexe, en le poussant de manière à le placer haut dans mon sexe. Je pose un baiser sur les lèvres de mon Maître et lui dis :
• Je suis prête !
J'enfile ma cape noire. Nous partons vers le garage. JP est venu en taxi. Je lui tends les clés mais il refuse :
• Conduis !
Nous prenons place. A peine ai-je actionné le démarreur qu'une première impulsion réveille mon sexe. Mes cuisses trahissent la sensation. Je me pince les lèvres. Je ne peux que lui dire d'être sage lorsque je conduis :
• Ton gadget est efficace !!!
Je me penche vers lui et dépose un baiser dans son cou. Je démarre et il me guide vers le restaurant qu'il a choisi. Un restaurant étoilé au Michelin… Je me gare sur le parking. Nous descendons et nous dirigeons vers l'entrée, sur l'allée pavée. Je marche devant JP. JP joue avec la télécommande. Encore une fois je serre les cuisses. Je me retourne vers lui et pose ma main sur son entrejambe. Je sens son sexe durci à travers son pantalon. Je le malaxe. L'instant dure une dizaine de secondes. Je lui chuchote à l'oreille :
• L'effet est inédit… tu devrais voir comme je mouille !
Le restaurant est très sélect. L'ambiance est feutrée. La table réservée est à l'écart, deux places face à face, donnant sur le jardin, dans un coin plus intime. Le maître d'hôtel nous apporte les cartes. Nous nous plongeons dans la lecture approfondie de la carte. Je le regarde de temps en temps. Quand va-t-il actionner cette maudite télécommande ? J'essaie de l'implorer de mon regard : Appuie sur le bouton de cette télécommande ! JP est impitoyable. Il fait semblant de rien. Il me fait attendre. Le maître d'hôtel arrive pour prendre les commandes. JP active la télécommande. Je me redresse, me cambre, accentuant la profondeur de mon décolleté. Je sens le regard de l'homme fouiller la vallée de mes seins. Sans cesser de nous expliquer les plats de saison, les spécialités, je me mords les lèvres, m'agite sur ma chaise. Je n'entends pas exactement ce que l'homme nous propose. Tu commandes pour nous deux. Il s'éloigne enfin. Aussitôt l'objet de mes tracas cesse de vibrer. JP rit doucement. Je ne peux lui dire un peu nerveuse :
• Mon Maître, vous êtes un enfoiré !
JP sourit et change de discussion. Nous papotons comme un couple "normal". Quelques minutes plus tard, c'est le sommelier qui nous apporte les apéritifs. Au moment de le remercier, tu enclenches un programme différent. La surprise est totale. Je sursaute sur ma chaise. L'homme surpris autant que moi me demande ce qui se passe et s'excuse. Je gémis, hoquette, tente de contrôler ma voix. A mots feutrés, je supplie mon Maître :
• Plus doucement…
La suite du repas se déroula plus calmement. Au moment du dessert, ma belle me dit :
• Et maintenant quelles sont les réjouissances prévues par mon Maître ?
JP est surpris de mon impertinence. Il est ravi et décide de me provoquer. Il sort la télécommande et la pose sur la table. Il me sourit malicieusement. Après quelques instants, le maître d'hôtel vient pour apporter l'addition. Il remarque cette télécommande. Il questionne JP du regard. C'est à cet instant précis que je sais ce qui allait arriver. JP lui dit :
• Cher ami, vous pouvez jouer avec cette télécommande !
C'est alors que je vois la télécommande passée dans la grande main de l'homme. Il s'en saisit, la détaille. Il se retourne pour vérifier qu'il n'y a plus de clients dans la salle. Il me dit avec un regard un peu pervers :
• Dirigez-vous vers les toilettes, madame !
Je n'en crois pas mes oreilles. Je regarde JP. Il sourit et en haussant les épaules me dit:
• Je crois que tu vas être obligée de suivre les désirs de ce monsieur !
Honteuse, je me lève tirant sur le bas de ma jupe un peu trop courte. Je me tourne vers le couloir qui mène aux toilettes. A peine ai-je commencé à marcher, que l'œuf vibre dans mon ventre. Mais la vibration est différente de celle que JP utilise. Je tressaille sur mes talons hauts pendant tout le temps de la traversée de la grande salle. Et sur cette sensation, je me mets à tortiller du cul comme la dernière des salopes. Je sais qu’on nous regarde. Je suis excitée au plus haut point. Je devine qu'il va me prendre comme une brute et j’aime ça. Je franchis la porte des toilettes. Personne dans le local. J'entre dans une toilette et j'attends patiemment. Les vibrations n'ont pas cessé. Je serre mes cuisses pour ne pas me laisser aller. Quelques minutes passent. Je suis toujours seule. Soudain, le chuintement de la porte rompt le silence. L'objet dans mon ventre ne vibre plus. Je n'ai pas fermé la porte, seulement tiré le battant. La porte des toilettes où je suis, s'ouvre. Il me pousse violemment et verrouille la porte. L'homme est là, en face de moi. Il me détaille de haut en bas puis me demande :
• Retire ta veste !
J'hésite un instant. Mais le regard de l'homme ne me laisse aucune chance de salut. Je me déleste de ma veste et l'accroche au porte-manteau. L'homme, du regard, m'intime de poursuivre mon effeuillage. J'essaie de me défiler :
• Vous voulez que je continue ?
Il hoche la tête de haut en bas. Je saisi le bas de mon top et remontant les bras vers le haut, je me dépouille. Je me retrouve torse nu. Je croise mes bras devant ma poitrine. L'homme produit un bruit qui me fait comprendre que je dois écarter mes bras. Je les laisse tomber le long de mon corps. Il me dit :
• Montre-moi tes seins ! Croise tes bras dans ton dos !
Son regard dur ne me laisse pas le choix. J'obéis. Il avance vers moi. Ses deux mains se lèvent et soupèsent mes deux seins blancs, les mamelons durcis sous les néons blafards. Il me malaxe les seins en me regardant droit dans les yeux, sans un mot. Il a le regard froid, il ne sourit pas. Je ne dis rien et tente de ne pas montrer mon émoi.
• P'tain t'es belle, en me pinçant délicatement les tétons du bout des doigts.
Il me regarde et je ne bouge pas. La pression dans mon bas ventre se fait de plus en plus forte, je me sens vulnérable.
Non ! Mes yeux le supplient, mon corps entier tremble de peur. Il sait que je ne lui désobéirais pas et c’est ce qui me terrifie le plus, jusqu’où va-t-il m’amener ? Je fermai les yeux.
• Regarde-moi !
J'obéis. Puis il me demande de regarder sa braguette. Je penche la tête. Il saisit mes cheveux et me redresse la tête :
• Baisse les yeux !
Je ne lui cède pas et fixe son regard marron. Je n'ai pas le temps de finir de le narguer de mes yeux qu'une douleur fulgurante me fait baisser les yeux. Mes tétons sont serrés entre ses pouces et ses index. Un autre ordre m'est craché au visage :
• Demi-tour !
J'obéis. Je fais face au mur et à la cuvette des WC. Des mains empoignent mes seins. Ils sont palpés, pelotés, pétris. Malgré le dégoût que me génère la situation, je gémis doucement de plaisir. Les mains pressent ma poitrine nue. Je sens mes mamelons, se durcir sous le plaisir. Ils pointent dans les mains... Autre ordre :
• Penche-toi et appuie-toi sur la cuvette !
Je n'obéis pas assez vite et une main se pose sur ma nuque et me force à me plier en deux. Je pose mes avant-bras sur le couvercle des toilettes. Une main se pose sur ma hanche, une autre sur mes fesses. L’une d’entre elles glisse sur ma jambe et disparaît sous ma jupe. Elle découvre la peau au-dessus de la lisère de mes bas, puis, mes fesses nues.
• Relève ta jupe !
C'est plus facile à dire qu'à faire lorsque mes bras reposent sur la cuvette. D'une main, je remonte le fragile rempart en tortillant mon cul. Il examine mon cul, m’enfonce deux doigts dans la chatte. Il repousse plus au fond de moi l'œuf vibrant. Une fois ses doigts bien lubrifiés, il fait de même avec mon anus, il n’a pas de mal à rentrer, je suis toute dilatée. Je sens le souffle de l'homme dans mon cou. Honteuse, je me rends compte que mon entrejambe est bien plus humide que d’habitude, et malgré toute ma peur je ne repousse aucune des caresses. Je ferme les yeux. Une main me fouille des doigts. J'entends le cliquetis de la ceinture et la braguette que l'on descend. Les doigts pénètrent ma chatte et en extraient l'œuf vibrant. Une chose butte contre ma bouche. Mon Dieu, c'est l'œuf. L'homme souhaite que je le prenne dans ma bouche. Il l'appuie contre mes lèvres. Je n'ai pas le choix, il entre dans ma bouche.
• Alors jolie pute, tu veux une belle queue ?
Je frémis à cette réplique de série X. Il sort sa bite.
• Tourne-toi !
Je découvre sa queue. Elle est énorme, pas encore tout à fait raide mais en bonne voie. Je recrache l'œuf et le tient dans ma main. Je me baisse et je le suce. Je sens sa bite au fond de ma gorge, il me tient la tête, me force à avaler toute sa queue, il se branle avec ma bouche, je me sens objet, j’aime ça. En me tirant par les cheveux il m’indique que c’est fini, il sort alors un préservatif et se le met tout seul.
• Demi-tour salope !
Il m'appuie de nouveau contre la chasse d’eau. Une queue gonflée entre dans ma chatte sans plus de préambule. Il m’enfile brutalement, ma chatte semble vouloir éclater sous la pression de son engin. Il est brutal. J’émets un râle et il me met la main sur la bouche, m’oblige au silence. Je ne peux retenir un gémissement de douleur sous le premier coup de rein. L'homme grogne, appréciant mon étonnement non feint. C'est alors qu'il commence à me pistonner. L'excitation fait vite suite à la surprise et son sexe qui imprime de violents allers retours est rapidement bien lubrifié de cyprine. Il me lime comme ça un moment, je sens le plaisir qui arrive, c’est nouveau pour moi et s’il n’y avait pas sa main, je me laisserai aller à briser le silence. L'orgasme arrive. Mais l'homme cesse soudain de bouger mais reste bien enfoncé en moi. Prenant soin de ne pas bouger les reins, il vient interrompu mon orgasme ! Me maintenant toujours d'une main par les hanches, il appuie l'autre main sur le haut de mon dos pour m'inciter à me pencher de nouveau en avant. Mes seins glissent vers le vide et pointent en apesanteur vers le sol et c'est alors que je sens toute la longueur de sa bite glisser hors de ma chatte trempée. Il me maintint fermement vers le sol, pressentant l'amorce d'un mouvement pour me relever. Il sort sa bite de ma chatte. Je tourne la tête et le vois lubrifier son gland avec sa salive. Je comprends en un instant ce qui va se passer. Il entreprend de me la mettre dans le cul. Sur le coup je crois que je vais hurler, ça ne peut pas rentrer, ce n'est pas possible. Il applique son gland sur mon anus avant d'en forcer doucement mais fermement l'entrée. Ce n'est pas la première fois que je suis enculée, mais n'étant pas préparée, les premiers va-et-vient sont douloureux. A ma grande surprise, il rentre son engin dans mon cul, mon anus laisse petit à petit l’énorme bite le défoncer. Finalement mon anus admet le diamètre imposant de sa bite en branle. L'homme grogne de nouveau.
• Putain ta rondelle est étroite ! Aaah! Je vais te défoncer, tu me fais jouir, salope !
Je ne pourrais pas m’asseoir avant un long moment je crois. Il empoigne mes hanches et me défonce de ses va-et-vient. Je sens le plaisir croissant réchauffer à nouveau tout mon corps. Je suis transportée par le plaisir et la douleur. Il ne tient plus ma bouche, je ne dirais rien, je sais qu’il faut se taire. Tenue par mes hanches, il me secoue selon son bon plaisir. Il y allait de toute sa longueur avec des coups puissants, vifs, rapides tout en gémissant son plaisir plus fort.
Soudain le plaisir m’envahit, pour la première fois de ma vie je jouis. J'halète, au bord de l'orgasme. Soudain, il s'arrête net ne laissant que son gland enfoui dans mon trou. Il me demande de répéter après lui :
• Alors jolie enculée, cela te fait plaisir de te faire péter la rondelle dans un chiotte ?
Je n'ose pas répéter cette phrase horrible. Mais une claque très forte sur ma fesse me contraint à commencer. Je chuchote, balbutie.
• Dis-le plus fort !
Ondulant doucement des fesses, je me cambre au maximum dans une supplique silencieuse. Mes seins gonflés de plaisir se balancent dans le vide, les tétons durcis. J'ai besoin de me sentir comblée, besoin de le sentir au fond de moi.
Je suis très excitée, trop. Je ne sais plus trop où je suis. Je n'ai envie que d'une seule chose : Je veux sa bite. Je hurle soudainement :
• Baise-moi ! Baise-moi ! Baise-moi ! Je n'en peux plus, prend-moi comme une salope, avec ta grosse bite !
L'homme, maîtrisant le moment, me répond avec un calme olympien :
• On y est ! Mais je veux que tu me demandes de t'enculer.
Alors, au bord de la folie, je crie :
• Encule-moi, enfonce-la moi dans le cul, défonce-moi ! Prend-moi mon cul ! Oui, je la veux dans mon cul de salope, prend ton pied dans mon cul !
• Et celui-là tu le veux où ?
Je lui réponds :
• Dans le cul, fourre le moi dans le cul !
Aussitôt, il s'exécute sur l'instant. Il me lime violemment, profondément. Ses deux mains me tiennent en haut des cuisses et impriment le mouvement. Le tout est rythmé par le claquement de mes fesses contre son corps. Je jouis bruyamment en un long râle. Ses va-et-vient durent encore un petit moment. Puis, il se retire de mon anus dilaté. Il me retourne. Je suis pliée en deux. Il dirige ma tête vers sa bite. Il retire le préservatif et se branle à nouveau avec ma bouche. Il éjacule, se retire et met une main sur ma bouche, il veut que j’avale et j’obéis docilement. Il s'essuie sur ma jupe et me laisse seule. Il se rhabille et ressort du WC me laissant par terre, nue, il laisse la porte ouverte en partant. S'il y a du monde dans les toilettes, tout le monde peut me voir, avec le sperme qui me coule un peu des lèvres. D’un revers de la main je m’essuie et je lèche. Je tire enfin la porte et me rhabille à mon tour. Je sors de là et traverse la salle du restaurant sous les regards des quelques convives qui sont encore là. Je retrouve JP assis à la table, un énorme cigare à la bouche. Avec son grand sourire, il m'interpelle :
• Alors cette séance t'a-elle plu ?
• Espèce de salaud !
Il rit. Je lui tends l'œuf que j'ai gardé dans ma main serrée. En y repensant, je mouille. Je crois qu’il faut que je me fasse une raison, je suis une chienne et j’ai besoin qu’on me baise comme une pute, c’est ça qui me fait jouir. Je sais qu’il faudra que j’aille chaque fois un peu plus loin, il m’en faudra toujours plus…
JP demande l'addition et me tend l'œuf avec un ordre :
• Remet-le !
Je grimace un peu pour lui montrer ma réprobation, mais je m'exécute. Je remonte ma jupe, écarte largement mes cuisses et atteint mon antre. Comme je l'ai déjà dit, je mouille donc, l'œuf entre facilement dans mon intimité. Je referme mes cuisses et tire sur ma jupe. JP règle et nous repartons vers ma maison. Sur le chemin du retour, c'est à mon tour d'agacer JP. Je pose ma main sur son genou. Je lui demande :
• Dites-moi Maître, je crois que j'ai une furieuse envie de vous satisfaire !
• Tu n'en as pas eu assez ?
• C'est vous qui n'en avez pas eu du tout ! Tout nous un coin tranquille !
• Depuis quand une soumise donne-t-elle des ordres à son Maître ?
• Depuis toujours !!!
La température à l'intérieur de la voiture a sérieusement augmenté. Je lui demande encore :
• Alors Maître vas-tu trouver un coin calme ?
• Alors là, Sandrine tu me sidères ! Tu me donne des ordres et en plus je ne vais pas assez vite !
Ma main sur son genou se fait plus douce et je lui demande :
• Il est encore loin ce petit coin tranquille ?
• Non, ne t'inquiète pas ! On va le trouver !
• J'espère bien. Je commence à m'impatienter!
Pour lui prouver mes paroles, une idée me vient. Je vais exciter JP pour accélérer la découverte de ce petit coin. Je caresse le genou de JP en remontant progressivement vers son entrejambe.
• Mais que fais-tu ? je vais perdre mon sang-froid !
• C'est bien mon but ! alors dépêche-toi de trouver ce petit coin ! 
Ma main se pose enfin sur son sexe. Je le trouve dur et gonflé sous l'étoffe de son pantalon.
• Mais comment mon Maître peut-il conduire avec une telle érection ?
Ne me laissant pas le temps de continuer, il s'exclame :
• Ca y est ! Le petit chemin qui mène au bois !
Il prend un chemin un peu défoncé par les pluies et froids de ce début d'hiver. Il s’enfonce dans les bois. Après quelques minutes nous arrivons sur une place circulaire. Il gare la voiture. A peine JP a-t-il arrêté le moteur de la voiture que je me jette sur lui. JP me repousse :
• Viens dehors !
Je ne suis pas franchement emballée. Dehors il y a du vent, il fait froid et il commence à neiger. Clairement, de quoi me refroidir ! Et la nuit commence à tomber ! J'obéis à mon Maître et enfile ma cape et nous sortons nous balader en forêt. Le vent nous gifle les joues. Les premiers flocons collent à nos vêtements. Nous nous engageons sous les arbres et avançons en quête d'un coin tranquille. Un grand frisson me transperce en avançant sur ce petit chemin de terre battue détrempée, enroulée dans ma cape. Tête baissée je prends garde à ne pas me tordre une cheville mais je sens déjà le regard de JP sur moi. Malgré les conditions défavorables, je soupçonne mon Maître de mijoter une séance particulière. Des images me traversent l’esprit. Après une dizaine de minutes de marche durant lesquelles nous nous marchons ce chemin peu fréquenté, JP m'att le bras et me fait faire un demi-tour. Il me plaque contre un arbre et m’embrasse très langoureusement, tout en glissant une main sous ma cape à la recherche de mon sein. Cette situation m’excite énormément et très rapidement. Nous sommes seuls, mais nous pouvons être surpris en plein acte sexuel, dans le plus simple appareil à tout moment. L’idée que des passants s’arrêtent pour nous regarder, soient excités par notre fougue, me stimule. Il me lève la jambe droite, soulève ma courte jupe et glisse deux doigts dans mon vagin. Force est de constater que tout ceci me plaît bien puisque je suis déjà bien mouillée. JP me caresse tout doucement puis plus fermement. Sa main gauche me sert contre lui et l'autre main masse ma poitrine. Pendant ce temps il m’embrasse dans le cou et derrière l'oreille. Il sait que j'aime ça. Sa main droite ne s’arrête pas. Ses doigts glissent entre mes lèvres. Il va de plus en plus loin. Le regard pétillant, il écarte ma cape, repousse ma veste et remonte mon top. Mes seins ronds sont libres, exposés à son regard lubrique. Il se saisit mes deux seins rebondis dans ses paumes. Je décide de prendre les choses en main. Je passe ma main entre ses jambes. Son entre jambe a pris un volume important. Je fais glisser sa fermeture. J'introduis franchement ma main à l'intérieur de son pantalon et le caresse. Tout d'abord les extrémités de mes doigts se baladent le long de sa verge déjà bien dure à travers son caleçon. Progressivement ma main finit par se retrouver à l'intérieur de celui-ci. Mes doigts entreprennent des passages avec de légères pressions autour de son gland. Je continue. Je baisse son jean. J'extrais son sexe et dépose d'abord mes lèvres tout doucement au sommet de son gland. Ma langue se balade un peu le long de sa bite. Je descends plus franchement son vêtement et prend sa verge en bouche. J'effectue quelques mouvements de sucions. Lorsque ma langue s'amuse à tourner en rond autour de son gland et plus précisément quand elle s’attarde sur son frein, JP émet des sons significatifs du plaisir que je lui donne. Ces bruits me font monter en pression. Je tire son pantalon au niveau de ses genoux. J'empoigne sa bite bien durcie. Je me mets à genoux pour le sucer. Tant pis pour mes bas qui ne me protègent ni du froid, ni de l'humidité ! Je pose mes mains sur ses fesses le maintenant près de moi. Il est à point, autant excité que moi. Le vent cesse, mais la neige tombe de plus en plus drue. Mais à ce stade je n'en ai que faire. Soudain, tu estimes que c'est le moment de passer aux choses sérieuses. Tu saisis ma chevelure et tire vers le haut. A mon grand regret, je lâche ton sexe turgescent. Tu m'embrasse rageusement. Tu fais passer ma cape par-dessus la tête. Puis tu m'arraches ma veste et mon top s'envole lui aussi. Je suis torse nu, face à toi, à la nuit tombée et sous la neige. Tu me retourne rapidement face au tronc et m'appuie contre l'écorce rugueuse. J'aime quand tu prends le contrôle de la situation. Je n'en peux plus. Je sais pertinemment ce qu'il va advenir de mon petit derrière et suis impatiente. Tu relèves ma jupe. Tes doigts pénètrent mon sexe et ressortent l'œuf vibrant. L'ordre suit :
• Ouvre ta bouche !
Je ne comprends pas mais je t'obéis. Tu introduis l'objet gluant de mes sécrétions dans ma bouche. Tu me dis :
• Il ne doit pas tomber par terre !
Je m'apprête à ce que ton sexe investisse mon sexe ou mon cul. Mais il n'en est rien. Tu sors de ta poche une cordelette. Un nœud autour de mon poignet droit le bloque. La corde fait le tour de l'arbre et, avant que je ne m'en rende compte mon poignet gauche est immobilisé. Tu tends la corde. Je me retrouve plaquée contre l'écorce. Tu me lâche. Une autre cordelette immobilise mes chevilles. J'embrasse l'arbre, au sens propre du terme. Tu te recules. Tu me lance :
• Alors jolie soumise, tu avais oublié ce que c'était d'être à la merci d'un Maître ?
Je ne sais quoi répondre.
• Pas d'avis, jolie salope !
• Maître, vous m'aviez dit que vous partiez ! Je ne m'attendais pas à vous voir ce matin devant chez moi !
• Je suis là pour te montrer qui est le Maître !
Un silence s'en suit. Puis un glissement imperceptible. Je me souviens de ce bruit caractéristique : JP retire la ceinture de son pantalon. Il me prévient :
• Tu vas te souvenir ! Tu sauras qui est ton Maître !
Je sais bien sûr, combien une fessée peut cuire. Mais, il me faut bien me l’avouer, je ressens le trouble qu’elle provoque. Les fessées me font toujours aussi mal, mais je ne peux nier qu’elles me troublent toujours autant. Celles qui m’atteignent sur le côté de mes fesses sont plus piquantes, c’est surtout parce la peau est plus fragile et plus sensible. Je m'incline vers l'avant, appuyée sur le tronc, le dos cambré et le fessier tendu vers lui. Cela va commencer. Quelques dixièmes de secondes plus tard, le premier coup de ceinture me rappelle la douleur et la brûlure sur mes fesses. Je me mords les lèvres pour ne pas crier. Après une vingtaine de coups, il passe les doigts entre mes cuisses. Il découvre que je suis trempée. L a correction m'a excitée. JP change de rythme. Les claquements sont plus espacés, mais aussi plus appuyés. La ceinture frappe alternativement une fesse puis l’autre, lentement, méthodiquement. Chaque coup est enregistré par ma peau, la douleur devient plus vive, et j’ai du mal à réprimer un petit cri à chaque fois. Je subis une nouvelle rafale en serrant les dents et essaie de ne pas laisser échapper le moindre cri. JP est-il vexé par cette résistance ? Toujours est-il qu’il accentue encore la force des coups. Je parviens tant bien que mal à m’empêcher de crier, mais je sens monter du fond de ma gorge un irrépressible sanglot. Tout mon corps tressaute, puis, brusquement, les larmes déferlent. Je pleure à chaudes larmes. C’est toujours le signal pour lui que la fessée a atteint un stade qu’il ne lui faut pas dépasser. Mais jamais il ne s’arrête dès les premières larmes. Comme il me l’a expliqué il a fort longtemps, il importe que ce soit celui qui donne la fessée qui décide du moment où elle cesse. Il m’applique donc encore quelques claques, que je sais être les dernières. Quand, enfin, il arrête la fessée, je ne m’en rends compte qu’après quelques secondes. Je continue à pleurer sans pouvoir m’arrêter. Il me laisse le temps de me reprendre et dépose un doux baiser dans mon cou, caresse doucement mes fesses, et susurre à mon oreille :
• Tu sais que ton cul est magnifique rouge comme ça !
Je ferme les yeux dans l’attente de la première salve. Mais, maintenant, il prend son temps… Un nouvel ordre claque :
• Écarte tes fesses un peu plus et montres le mieux que ça !
J’obtempère et je cambre les reins pour faire ressortir encore plus impudiquement encore cette lune qui va maintenant être fustigée. Il me caresse doucement avec la bande de cuir souple, les épaules, puis le dos. Ma respiration s’accélère malgré moi et mon dos se hérisse de chair de poule. Puis plus rien. Et soudain … Vlan ! La ceinture s’est abattue brusquement sur ma fesse droite. Surprise je lance un cri aigu :
• Aie !
Il n’en a cure, et déjà l’autre fesse est flagellée à son tour. Je rentre mon cri dans la gorge mais ne peut empêcher une sorte de grognement à chaque coup qui cingle ma peau. Le silence de la forêt n’est plus troublé que par l’alternance du bruit mat de la ceinture de cuir sur mon épiderme et mes “ oupff ” étouffés. JP est un pervers. Il vise le gras des cuisses, là où la peau, est peut-être moins habituée ou simplement plus fine. Il me semble qu'elle se déchire à chaque claquement Sur un cul déjà porté au vif par la première fessée la douleur devient vite cuisante. Je sais qu’il n’ra pas. Pourtant je mets un point d’honneur à résister aux larmes le plus longtemps possible. JP connaît mon seuil de tolérance. La couleur de mes fesses, et les traces rougeâtres qui le zèbrent le renseignent suffisamment. De plus je ne peux m’empêcher de danser d’un pied sur l'autre. Ces mouvements n'atténuent en rien la cuisson de mes fesses. Je suis en larmes quand, enfin, JP cesse son manège. Je récupère en respirant bruyamment. JP se rapproche et murmure :
• Tout à l’heure tu m’as fait attendre cinq minutes…
Et il indique :
• Autant que de minutes, et tu comptes bien haut !
Je respire à fond, j’indique d’un mouvement de tête que je suis prête.
• Ouille ! …un !
C’est comme si mon cul avait été déchiré de part en part.
• Aieeee ..deux
Cette fois je ne cherche même plus à rentrer mes cris. C’est trop fort, ça fait trop mal. il me faut exhaler la douleur par un cri.
• Hééé ! trois !
Plus rien ne compte que ce labourage de la peau de mes fesses !
• Ouhhhhh quatre ”.
Je ne pense qu'à mon cul, cette masse ronde, rougie massacrée, fustigée, la peau à vif.
• Aieeee Aieee …cinq…ouille…
Le visage ruisselant de larmes, j'halète en modulant un long “ aie aie ouille ”… JP me prend dans ses bras, il m’enserre, il m’embrasse, il me dit qu’il m’aime. La tête me tourne. Je me sens défaillir. JP me libère le pied et les bras. Je m’accroche à son cou comme à une bouée. Il m'enlève m’emporte en me soutenant sous les fesses. La brûlure revient, fulgurante, mais elle se conjugue avec la déferlante de mon plaisir. Je constate que mes seins, mon ventre et mes cuisses portent les stigmates laissés par le frottement de mon épiderme contre l'écorce de l'arbre. Mais je veux faire plaisir à mon Maître. Je me libère de son étreinte et me met à quatre pattes, le cul bien cambré. JP comprend ma requête. Le zip de la braguette et le chuintement du pantalon qui tombe me renseigne. JP positionne sa bite de la main et percute mon cul martyrisé. Il entre en moi doucement mais sûrement par une pression constante sur ma rondelle qui cesse et libère le passage au gland turgescent. JP pénètre doucement en moi. Je laisse échapper un petit gémissement de plaisir dès le premier aller-retour. Le premier mouvement est toujours un peu spécial. Parce que je ne le vois pas. Je ne sais pas à quel moment il va entrer, un peu comme une surprise que j'attends. De plus mon intérieur profite des premières sensations du rapport comme une terre qui n'a pas été foulée depuis longtemps et qui le redécouvre.
Il me fait d'abord l'amour tendrement puis plus intensément. Ses coups de reins s’enchaînent de plus en plus vite et de plus en plus fort. Je le sens profondément en moi. Je baisse la tête pour regarder les couilles de mon Maître ballotter en cadence. Je glisse une main entre mes cuisses pour les attr et les presser. JP sourit devant cette initiative. Il me dit :
• Décidément, tu es incroyable dans l'amour.
Je remue cul et seins comme si le fait d'être prise en pleine nature sous une chute de neige excitait sa libido. JP prend d'une impulsion subite et pousse son sexe au fond de mon ventre. Je me lâche :
• Oui, vas-y, encule-moi !
Il n'a pas besoin le lubrifier ma rondelle tant je mouille. Mes sphincters se relâchent très vite. Pénétrée jusqu'à la garde, je remue ma croupe avec allégresse et demande à mon Maître :
• Allez, vides-toi en moi !
Cette fois-ci il peut se lâcher. Plus besoin qu'il se retienne. Plus besoin de faire durer le plaisir. JP s'enfonce profondément en succédant les allers-et-retours dans mes entrailles. Il pousse au maximum son intromission et il se vide dans mon anus. Malgré mon appétit déjà assouvi, je me délecte de ce qu'il me procure. Je profite de ses grognements. Il est bord de la jouissance. Qu'est-ce que j'aime ça ! C'est finalement à son tour d'atteindre l'orgasme. Malgré le froid et la neige, nous transpirons comme des bêtes. Une fine vapeur se dégage de nos corps. Je dis mes pensées à JP :
• Je suis comblée ! J'en ai eu plus que ce que je voulais. Je suis heureuse !
JP m'embrasse amoureusement et me ramène à la voiture. Le retour est rapide. Dès le portail franchit, JP m'ordonne de monter me changer et de prendre une douche. Lorsque je redescends, dans le salon, JP m'attend. Il nous a préparé un thé brûlant. Il me regarde avec un sourire au coin des lèvres :
• Tu es ravissante ainsi vêtue !
Il faut dire que je n'ai pas lésiné sur ma tenue : robe noire largement décolletée, très courte, elle m'arrive à mi-cuisses, une nouvelle paire de bas noirs, les autres ne pouvant servir que de chiffons et une autre paire d'escarpins très haut. Lorsque je m'assois dans le fauteuil en face de JP, ma robe remonte très haut et dévoile mes cuisses et mon entrejambe entièrement nu !
• Ma chère Sandrine, veux-tu que je m'occupe de tes fesses ?
• Ne crois-tu pas que tu m'as déjà servie ?
• Mais juste pour te passer une pommade cicatrisante ...
• Je veux bien...
Sachant que connaissant le personnage, cela ne s'arrêtera pas à un massage médical !!! Je file à l'étage pour récupérer la pommade et je redescends. Je relève ma jupe et m'installe à plat ventre sur les genoux de mon Maître. Il ouvre le tube et commence à déposer une grosse noix sur chaque fesse. Puis, délicatement, il masse mes globes jumeaux et dodus. Malgré la douceur que déploie JP je ne peux retenir un léger cri de douleur ! JP s'excuse:
• Désolé de t'avoir fait souffrir !
J'apprécie tout de même la démarche de JP pour me soulager. Quelques minutes plus tard, JP me signale la fin du massage. Je commence à me relever lorsqu'il m'ordonne :
• Viens me sucer !
Surprise, je le regarde avec étonnement, mais il insiste :
• Suces-moi la bite cochonne, il parait que t’aimes ça !
J'entre dans son jeu ! J'aime ces jeux érotiques et salaces.
• Oui maître j’aime ça, sucer des bites.
Tout en le fixant des yeux, je me penche sur lui avec une lenteur exagérée. Son pantalon déjà prêt à exploser. Avec un sourire en coin, j'ouvre un à un les boutons de son jean. Cet instant m'excite plus que tout. Le sexe de JP en érection surgit. Il bande très fort. Je reste figée devant cette image. Son sexe est couvert de veines saillantes. Je n'ai jamais vu un sexe doté d'un gland aussi gros. Une sensation de désir s'empare de mon corps. Je suis coupée de la réalité. Je mouille. Mais c'est moi qui me retrouve prise au piège. Je ne peux plus tenir. Doucement j'ouvre grand ma bouche. Je m'empare du sexe tendu devant moi. J'y introduis le gland de JP. Je referme ma bouche et passe ma langue autour du gland, tout en léchant avec passion le milieu du gland. JP se retire un peu :
• Arrête toi je vais finir par éjaculer !
Comme envoûtée, j’agrippe le sexe et l’avale doucement jusqu'au fond de ma gorge. Je reste dans cette position tout en enrobant le sexe avec mon abondante salive. A ce moment, je commence, sans retenue, une série de va et vient. Je suis comme envoûtée. Je ne me contrôle plus. Je recrache le sexe et commence à le masturber en regardant JP dans les yeux. Je le branle avec ardeur. JP me félicite :
• Tu suces toujours aussi bien !
Je dose mes caresses de la langue de façon à ce qu'il ne jouisse pas rapidement. Il me demande de cesser mes caresses buccales, mais je ne veux pas ! JP doit jouir sous ma langue ! Il me laisse faire. Je mets toute ma science en la matière en œuvre. Je fais durer son plaisir très longtemps. Je sais fort bien ce que je fais. Je continue. JP sait que je vais accepter qu'il se vide dans ma bouche ! Je laisse sortir de ma bouche pour le léchouiller son gland gonflé par l'excitation quand soudain JP me prend par les cheveux et enfonce sa queue en pleine bouche. J'ai un mouvement de recul mais sa main me bloque la tête et il ne se gêne pas pour me donner des coups de bite profonds et secs. Après quelques coups, je cherche déjà mon air et laisse tomber quelques filets de salive qui coule le long de mon menton pour les sentir tomber sur mes seins dénudés. Je sens alors qu'il ne se contrôle plus et ne me laisse plus du tout de temps pour respirer. Mes yeux s'humidifient rapidement et mon rimmel se met à couler le long de mon visage laissant des sillons noirs sur son passage. Il sort sa queue au moment où je pensais ne plus pouvoir retenir ma nausée causée par les coups. Je vois son sexe dégoulinant de bave. Je ne peux pas me retenir de le mettre en boite :
• Huum, oui, regardez maître comme je vous fais plaisir, ma bouche vous est réservée…
• Oui, continues, tu fais très bien, tu es faite pour être baisée comme une vraie salope… AAhhh, attention, je viens, prépares-toi à avaler ma liqueur !
JP se laisse aller. Il éjacule plusieurs jets de sperme dans ma gorge. Je suis au bord de la nausée tellement sa bite longue et bien gonflée est plantée au fond de ma gorge. Je garde le tout dans ma bouche et le regardant dans les yeux. Je déguste sa semence comme une friandise. Je lui dis :
• J’'aime beaucoup le goût de votre semence, Maître !
• Sandrine, tu as une gueule d’ange, s’exclama JP en lui tirant la nuque en arrière. Mais on dit que les anges font les meilleures salopes !!
Il me flatte doucement la joue avec sa main gauche.
• Tu as un visage pur, sur lequel j’ai plaisir à voir des larmes. Tu as des seins bien ronds, un très beau cul et un sexe étroit mais bien humide, le ventre plat !!! Tu es une soumise parfaite !!
Je souris de plaisirs !
• Mais il se fait tard et je me lève de bonne heure demain…
Nous partons nous coucher amoureusement. La fatigue nous submerge et nous nous endormons. En pleine nuit, JP s'approche de moi. Son sexe en érection bat mon dos. Je sais ce qu'il veut en plein milieu de la nuit : il veut mon cul ! Cette pulsion sexuelle violente me réveille. J’aime sentir monter, toujours, toujours plus loin dans le désir de lui dans le désir d’être simplement prise, sauvagement, bestialement. Il me bascule sur le côté. Il remonte mes hanches au maximum pour être à la hauteur de son pubis. Il m'écarte les fesses pour dégager ma rondelle. Il se positionne, prend son engin dans une main et le place à l’entrée de mon anneau. Il saisit mes hanches et exerce une poussée sans se préoccuper des douleurs qu'engendrent ce viol ! Le gland pénètre avec difficulté, en la faisant crier de douleur.
• Aie !!! Doucement ! Tu m’as éclaté le cul !
Il ne prête aucune attention à mes protestations et continue de pousser pour aller jusqu’au fond de mes boyaux. Quand son pubis vient cogner contre mes fesses, il cesse de pousser. Il s’arrête un instant avant de faire le chemin inverse jusqu’à l’entrée de l’anus. Il entreprend un va-et-vient, sans aucune délicatesse. Puis au fur et à mesure, il accentue des mouvements et me sodomise sans aucune retenue et avec violence. J'aime que ses coups de reins soient violents, qu'il me défonce intégralement. Malgré tout, je continue d’y prendre mon plaisir. Plaisir infini de le sentir me posséder. Car je me rends compte que je suis née pour être possédée ! Cette idée, loin de me déplaire, m’amuse malgré tout. Mais pour l’heure, j’aime sentir sa queue érigée, au fond de moi. J’aime être sa chienne. J'aime lui appartenir, corps et âmes, me sentir à lui, le sentir en moi, le sentir à moi. Je commence par crier de douleur puis petit à petit, je m’habitue et mes cris se transforment progressivement en gémissements où se mêlent plaisir et douleur. Il lance sa main droite vers ma chatte. Ses doigts s'emparent de mon clitoris et le malaxe rageusement. J'apprécie cette nouveauté et lui fit savoir en lançant un « Ouiii ! » sonore et en commençant à bouger mes hanches de manière à accompagner et ses coups de boutoir.
• Continue ! Ne t’arrête pas ! C’est merveilleux d’être enculée et masturbée en même temps ! Tu es le Diable en personne ! Tu es en train de me faire adorer la sodomie ! Baise-moi encore !
Je me cambre au maximum pour lui montrer quelle bonne chienne je suis parce qu’une bonne chienne aime avoir des bites dans le cul, simplement. Il prend un peu plus ses aises et que le rythme devient plus soutenu, plus rapide. J'halète. Mon plaisir monte, car une fois les premières douleurs passées, j’adore être possédée par cet endroit. Je me jette contre sa colonne de chair qui me fouille de l’intérieur. Il m'annonce son envie de m’inonder de sperme. Tout en lui parlant, il accélère le mouvement de va et vient. Sa respiration et ses gémissements, comme les miens, s’accélérèrent. Puis dans un râle d’enfer il lâche une première giclée de sperme dans mon cul. Au moment même où il finit d’éjaculer, je pars dans une jouissance tellement sonore, que tout le voisinage a dû l’entendre. Je viens de vivre un orgasme monstrueux qui me terrasse. J’aime sentir la honte s’emparer de moi suite à cette situation. Fourbus l'un et l'autre, nous sombrons de nouveau dans le sommeil. J'ai un petit plaisir supplémentaire. JP reste en moi, planté dans mon cul. Je sais ce qui va se passer. Mon anus va se resserrer et retenir prisonnier le sexe de JP. Je suis heureuse. La nuit tire à sa fin. Je sens JP bouger un peu. Il vient de constater qu'il est bloqué en moi. Ma rondelle s'est contracter à la base de son sexe et l'a conservé en érection au plus profond de mes entrailles. Il recule doucement. Mais il est bien bloqué. Pour éviter qu'il ne se blesse et ne me mette pas l'anus à l'envers, je pousse doucement comme si j'allais aux WC. J’expulse le sexe et le gland encore gonflé. JP m'octroie un baiser dans le cou et m'annonce :
• Je vais pisser !
Charmant petit mot d'amour ! Il quitte la couche et je me retombe dans les bras de Morphée ! Seuls les bruits de la douche me parviennent dans mon demi-sommeil. Lorsque je me réveille réellement, un silence règne dans la maison. J’enfile mon peignoir et descends dans la cuisine. Personne ! Seule, une enveloppe est bien visible sur la table. Sandrine est inscrite de l'écriture fine et nerveuse de JP. Je l'ouvre rageusement, déchiquetant l'enveloppe. Je commence à lire la prose de JP :
Ma chère Sandrine,
Je te remercie de ces dernières 24 heures passées en ta compagnie. Ce fut un plaisir, partagé je crois !
La prochaine fois que je passe sur Paris je te fais la même surprise !
Je t'embrasse !
Ton Maître
JP
Le salaud ! Il n'a pas attendu que je me lève ! Il est venu tirer son coup, me flanquer une correction, assouvir ses besoins de domination et après basta ! Je me casse et je laisse sa soumise ! Je suis dans une colère noire ! Il va voir de quel bois je me chauffe. J'allume mon PC portable qui traîne sur le bar et commence un mail bien senti !
Mon cher JP,
C'est non sans surprise que je viens de constater ton départ en catimini ! J'en suis très en colère. Même pas au "Au revoir". Rien, qu'une vague lettre me signalant que je dois être à ta disposition pour ta prochaine venue ! Et bien je t'annonce que la prochaine fois que tu souhaiteras te vider les couilles et tanner le cuir d'une femme, tu devras en trouver une autre que moi.
Inutile de répondre, ton adresse mail sera mise en "SPAM" dès l'envoi de ce mail
Adieu
Sandrine
La touche "Envoi" et "SPAM" pour son adresse ! Je monte me doucher. Cette fois la coupe est pleine. J'ai commencé la sortie de ma vie de soumise en quittant Sylvie, je crois que je viens de la terminer avec ce mail. Je me sens bien.
La journée se passe très bien. Mes s installés aux USA avec leurs compagnes m'invitent à venir plus tôt les voir.
Dès le lendemain, je décolle de "Charles de Gaulle" pour la Californie.

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