Collection Échangisme. Confinement Et Échangisme (3/3)
En acceptant de suivre Valérie, la voisine du dessous fraîchement emménagée juste avant le début du confinement, jai limpression de rentrer dans un monde inconnu, mais fascinant.
Comment ai-je pu demander à Valérie, davoir des rapports lesbiens avec elle ?
La bleue, elle va très bien avec mon teint de brune.
Cest cette phrase qui va tout précipiter.
- Ôte tes vêtements et essaye là, si tu le veux, tu pourras en changer et en passer une autre !
- Dis, as-tu pensé à les faire breveter et les faire fabriquer en grande série ?
- Le resto, ça cest ma partie, jignore même ce que le mot « breveter » veut dire.
- Cest déposer un objet une marque qui sera protégée des requins et si les marques veulent ton produit, il faut quils payent souvent très chère pour le fabriquer et le commercialiser.
- Tu pourrais maider ?
- Moi, non, mais Pierre oui, pour mener ce projet à bien, il faut des financements, lui peut te les apporter, moi ce sont les voyages qui sont mon truc.
En lui donnant cette explication, jenlève mes vêtements un à un.
Qui eut cru que jaurais accepté de me montrer nue devant quelquun dautre que mon mari.
Dailleurs, même devant lui, jeune mariée, jai eu du mal à lui montrer ma nudité.
Je sens ce changement en moi depuis la fellation faite à mon mari.
Jaime le sexe !
Les surs dans ma jeunesse ont réussi à brider ma sexualité naissante.
Il faut que jarrive à mon âge pour mapercevoir tout ce que jai loupé en suivant leurs préceptes et ceux de ma mère.
- Tu as toujours eu cette touffe, cest le confinement qui tempêche daller dans ton institut de beauté ?
- Non, je suis toujours comme ça.
- Écoute, nos hommes parlent du P.S.G., vient dans ma salle de bain.
On va arranger ça, ton mari va doublement bander.
Qui suis-je, que suis-je devenue ?
Valérie quand nous nous sommes retrouvées collées lune à lautre pendant que les chiens copulaient ma-t-elle transformée en mistresse Hyde ou en doctoresse Jekyll.
- Voilà, des rasoirs jetables et en quelques minutes, tu dois te sentir une autre femme.
Dans la glace devant moi, jadmire le travail quelle a fait.
- Tu vois, ta chatte brune, tu la tailles en triangle laissant simplement une petite touffe, reconnais que cest bandant.
Passe la robe, cest facile, par la tête dans le trou.
Une dernière touche avec ce modèle, la chaînette en or blanc faisant le tour de ta taille.
Je te loffre avec la robe en signe de notre amitié.
Ce modèle, je lai pensé justement pour les lesbiennes, lune aime souvent attacher lautre par une chaîne.
Souvent si tu vois une jeune femme avec une petite chaîne à la cheville, cest la marque de leur amour.
- Alors, tu maimes ?
- Viens, je vais te montrer ce que ta copine taurait fait si vous aviez eu la force de braver la discipline des bonnes surs.
Habillée par ce voile de tissu transparent même bleu clair, je me sens nue de façon indécente.
- Voilà nos belles qui reviennent enfin vers nous.
Ah ! oui, je comprends pourquoi, ça valait le coup, Jeanne, je savais ma femme belle, mais toi, tu es un véritable rayon de soleil.
Je vois le regard de Pierre entre lenvie et le courroux, aussi je larrête immédiatement pour éviter le moindre conflit.
- Chéri, hier, souviens-toi de ce que tu mas promis.
« Mon cur, demande-moi ce que tu veux, je te loffrirais. »
- Cest Valérie que je veux.
Je le vois se détendre, il a bien des défauts, mais je sais que sa parole est dor.
Valérie semble comprendre quelle doit agir, car malgré ma demande je suis tétanisée.
Elle me tire vers le canapé où nous nous asseyons.
Pardons, où nous tombons.
Nos bouches se rejoignent faisant passer de lune à lautre ce putain de Corona qui embête le monde entier.
Comme je suis placée, lun de mes yeux peut voir Pierre qui semble fasciné.
Jai envie de lui prendre le sein, mais comment oser.
Cest elle qui prend ma main comme si elle avait compris mon blocage.
Marie-Pierre, enfin je trouve ton sein attendu depuis si longtemps.
Pardon, je suis folle, Marie-Pierre sétait la jeune fille aussi bloquée que je létais connue au pensionnat.
Sa mère avait sympathisé avec la mienne chaque fois quelles se voyaient.
Que lon môte dun doute, ma mère aurait-elle eu une liaison avec cette femme ?
Si maman était-elle aussi une lesbienne refoulée, a-t-elle su franchir le pas comme je suis en train de le franchir ?
Valérie mallonge et sa bouche de ma bouche, vient sur ma chatte fraîchement débroussaillée.
Mon regard croise celui de Pierre, il pourrait baisser les yeux, mais il semble fasciné.
Sa main est sur la braguette de son pantalon.
La langue de Valérie est efficace, mes yeux se ferment, mon corps se tend.
Je les rouvre la première sensation passée.
Il a sorti sa verge et bande à me regarder me faire bouffer la chatte.
Deux hommes dans des fauteuils, deux hommes, queue dans la main.
Deux femmes, lune allongée lautre à quatre pattes, cest normal quils se lèvent et font tomber leurs vêtements.
- Prends ma femme, telle que je la connais elle est chaude comme de la braise.
Deux verges, la mienne, qui vient derrière Valérie et qui lui empoignant les hanches entre en elle dun violent coup en avant.
Deux verges, lautre qui savance vers ma bouche qui souvre à son approche.
Une verge que je prends en main comme je lai faite hier avec celle qui donne de grands coups dans la chatte qui semble aimer la recevoir.
Je me dégage et me place en levrette comme mon amie.
Nos bouches se retrouvent me permettant de goutter pour la première fois à ma propre cyprine.
Je suis agréablement surprise.
Je comprends que mon amie apprécie les chattes comme je regretterais toujours celle que jai loupée par manque de caractère.
Mais regardons le présent, David me prend les hanches comme Pierre la fait avec Valérie.
Impossible de voir les deux hommes, seulement les sentir.
Donne-t-il son aval à cet homme de me pénétrer ?
Ce qui est sûr, cest que jaccepte cette verge nouvelle en moi sans avoir limpression de trahir mon serment de mariage.
Je sens Valérie partir vers les sommets de son plaisir, comme je pars beaucoup plus rapidement quen temps normal.
La pièce se remplit de nos bruits de plaisirs.
Je parle de bruits de plaisirs.
Qui a crié plusieurs fois pendant ce long moment, moi ou elle, ou les deux peut-être.
Certainement.
Partouzer, cest tellement bestial, que dès cette première fois, je sais dissocier lamour physique dans notre couple empreint damour et ce moment qui débute ce soir de confinement.
- Ça va, Jeanne ?
Jémerge comme si je métais endormie dans un monde et que je me réveillais dans un autre.
- Oui, mon chéri.
- Et si nous faisions péter une bouteille de champagne, bienvenu dans le monde du libertinage.
Il est tard dans la nuit quand nous quittons nos amis.
Quand jétais encore chez maman, elle ma appris que lorsque vous avez été invité, il fallait rendre linvitation dans les semaines ou les mois suivants.
David et Valérie doivent monter un étage dès la soirée prochaine.
Je dois aller faire des courses sans oublier de prendre mon attestation.
Je vais leur faire mon poulet aux olives qui régale lhomme de ma vie.
Quand je descends, Pierre tient Bibiche par sa laisse.
David lui aussi se retrouve sur le trottoir à promener Poupette.
Je méloigne un sourire aux lèvres.
Et si les laisses de nos chiens sentouraient autour deux.
Deviendraient-ils homos dès ce soir ?
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!