Un Parfum D'Interdit

UN PARFUM D’INTERDIT

Je travaille dans une entreprise de recouvrement depuis bientôt cinq ans. Un job plus
intéressant qu’il n’y paraît, au premier abord, mais là n’est pas mon propos. L’agence
regroupe une dizaine de personnes, incluant le patron Charles, et son épouse Elodie. Mon
boss est un type de 55 ans, dynamique et toujours sur la brèche, qui en demande autant à
ses collaborateurs. Nous sommes, en ce moment sur un gros dossier de contentieux qui nous
donne pas mal de fil à retordre. Nous avons passé tout le samedi à mettre en place la
meilleure stratégie pour recouvrer les créances de notre client, auprès de son client,
réputé mauvais payeur, mais apparemment solvable, même si l’ampleur des échanges
commerciaux nous impose d’agir avec précaution.
Le samedi soir, alors que je suis tranquille devant ma télé, avec ma femme Claudia, le
téléphone sonne. A 23h30, je devine déjà qui c’est.
-« Encore ton patron ! Il ne nous laissera jamais tranquille. » se lamente mon épouse.
-« C’est un bon job, et ça paie bien. En contrepartie il y a des petits désagréments »
répond-je en allant décrocher.
-« Allo, c’est Charles ! » tonne la voix dans l’écouteur
Claudia me fait une grimace, et descend sa nuisette, me montrant ses seins, avant de les
remballer, et de fuir la pièce.
-« Oui Charles, je vous écoute. »
-« Ecoutez Steve, je ne suis pas sur que ce que nous avons mis en place soit idéal.
J’aimerais revoir le dossier. »
Aie ! ça sent le dimanche au boulot.
-« Euh, oui Charles, mais on a balayé toutes les options. »
-« Je sais, je sais. Je veux juste être sur de ne rien rater. Pourriez-vous me déposer le
dossier, chez moi, demain matin, pour que j’y jette un coup d’œil. Comme ça, si il y a
des modifications, on pourra les faire lundi matin, avant d’aller chez le client. »
Ouf ! je ne vais pas passer ma journée sur ce sacré dossier.


-« Oui, bien sur Charles, Je passe le récupérer à l’agence, et je vous l’amène, dès huit
heures demain. » dis-je soulagé
-« Venez plutôt vers 9h, 9h30, le dimanche ma femme aime bien dormir. »
-« Ok, c’est noté Charles, à demain. »
-« Oui, Merci Steve. »
Je raccroche, avec deux sentiments confus en tête. D’abord de la frustration. Claudia est
partie se coucher, et c’est encore raté pour un calin ce soir. Depuis quelque temps,
entre nous, les rendez-vous manqués se multiplient, en partie, même si je ne veux pas lui
avouer, à cause de ce travail qui m’accapare. D’un autre côté, je suis plutôt content de
ne pas me retrouver à travailler tout le dimanche.
Claudia certainement endormie, je me dis que je pourrais faire un saut à l’agence pour
récupérer le fameux dossier, au lieu d’y aller demain matin. Du coup, je n’aurais qu’à
faire un aller retour chez Charles demain matin. Au passage des croissants chez le
boulanger et me voilà de retour pour le réveil de ma dulcinée.
Le lendemain matin, éveillé de bonne heure, me voici prêt à partir, mon dossier en main.
Ma chérie, dort encore.
Vingt minutes plus tard, je béquille ma moto sur le parking de la villa de mon patron, en
pleine forêt. Je récupère les documents, dans le top case et je sonne à la porte. Mission
accomplie !
La porte s’entrouvre sur l’épouse de mon patron, Elodie.
-« ah, c’est vous. Charles a dû s’absenter ce matin, mais il m’a prévenue de votre venue,
entrez. »
Elle se recule et ouvre largement la porte. Là, j’ai un choc. Elle est vétue d’un
peignoir de satin blanc, très court, dont le col en V très profond met en valeur un
décolleté avantageux.
Elle fait demi-tour, sans s’apercevoir de mon trouble. Le vêtement s’arrête juste sous
ses fesses et je suis, sans hésiter, ses longues jambes aux pieds nus, à la peau
diaphane.
-« On va laisser le dossier dans le salon.
Il le verra en revenant. »
-« Euh, oui bien sur. » dis-je, toujours original.
-« Asseyez vous. Je vous offre un café ? un thé ? » demande t’elle, et instantanément, me
revient en mémoire cette réplique du film Working Girl :
Do you want something ? coffee ? tea ? me ?
L’évocation me fait sourire, sans doute.
-« Vous ne m’avez pas répondu. » reprend elle
-« Désolé, je pensais à autre chose, je prendrais un café s’il vous plait. »
Elle contourne le bar qui est dans un coin de la pièce, disparaissant en partie à mes
regards, et s’occupe à la préparation de deux expressos, sur le percolateur qui trone sur
le comptoir.
Quelques secondes plus tard, elle revient vers moi avec un plateau, chargé de deux
tasses.
Elle se penche pour en déposer une devant moi, et dans le mouvement, offre à mes yeux ses
seins laiteux dans l’ouverture du peignoir, qui s’est un peu ouvert.
Je ne peux éviter d’y jeter un œil, mais me reprend aussitôt, en espérant qu’elle n’ait
rien remarqué, et je la remercie.
Elle s’asseoit dans le canapé, en face de moi, et, son vêtement, remonte automatiquement,
dévoilant, la plus grande partie de ses cuisses, quasiment jusqu’aux fesses.
Troublé, je plonge le nez dans mon café, qui s’avère excellent, tandis qu’elle déguste le
sien en me dévisageant.
-« Alors, à quoi pensiez vous donc, au lieu de me répondre ? » demande t’elle , avec un
sourire ironique.
-« Oh, a rien de particulier » répond je un peu trop vite.
-« Vous savez, je suis un peu plus jeune que vous, mais moi aussi j’ai une culture
cinématographique » avance t’elle, me faisant subitement comprendre que sa question
n’était peut-être pas si innocente. En tout cas je suis grillé.
-« J’ai vu « working girl » plusieurs fois, et je sais que vous avez complété ma phrase,
comme dans le film. »
Je sens le rouge me monter au joues.

-« Nous sommes entre nous, vous pouvez bien l’avouer. »ajoute t’elle. « J’ai aussi
remarqué que vous matiez mes seins. »
A ce moment, je ne sais pas ce qui me passe par la tête. Sans doute, la situation, ou la
chaleur.
-« C’est vrai, je vous ai regardée. Vous êtes une jolie femme et je ne suis qu’un homme.
Je sais que vous êtes la femme de mon patron, et je me dis souvent qu’il a bien de la
chance d’avoir une femme telle que vous. »
En même temps que je débite ma tirade, je me souviens l’avoir trouvée sexy dès notre
première rencontre. Qu’elle soit en robe longue, ou courte, ou même en jean, laissant
savamment dépasser la ficelle de son string, elle avait toujours cette attitude, un peu
hautaine, mais discrètement provocatrice, à la fois bandante, et inaccessible.
Elle se lève, et se dirige vers le bar.
-« Vous êtes bien osé de me parler ainsi. Vous l’avez dit, je suis mariée, et vous
devriez tenir vos distances. »
Je me suis levé et je m’approche d’elle. Son corps m’attire irrémédiablement. Je tends la
main et la pose sur sa hanche. Je suis conscient que je vais, sans doute , me faire virer
.
Je me colle contre elle, et la pousse contre le bar, mais elle me repousse.
C’est mort. Cette fois-ci, elle va raconter ça à Charles, et je suis viré dans la minute.
Décontenance, je ne sais plus quoi faire. M’enfuir ? M’excuser platement en espérant
qu’elle aura pitié de moi ? Lui expliquer que c’est une méprise ?
Finalement c’est elle qui donne la réponse. Elle détache la ceinture de son peignoir. Le
tissu glisse sur sa peau et s’écarte. D’un mouvement d’épaule, elle fait tomber le
vêtement. Elle est nue face à moi. Ses cheveux blonds, et ses yeux bleus ne font que
rehausser sa peau d’albatre. Ses épaules sont carrées et ses seins volumineux sont
plantés haut au dessus d’un ventre plat, musclé, jusqu’au mont de vénus qui arrondit son
pubis jusqu’à son sexe, libre de toute pilosité ; une longue fente, à peine plus rose
que sa peau, encadrée par deux cuisses longilignes sous des hanches pleines.
Elle fait
demi-tour, et je découvre, en haut de ses jambes, un fessier, dodu, bien rond, mais sans
excès, avec des reins bien cambrés, à la base d’un dos musclé, deux petites fossettes
venant marquer le haut des fesses.
D’un pas je suis contre elle. Mes mains partent à l’assaut de ses seins, dont les pointes
se dressent sous mes doigts. Sa peau est soyeuse, ses formes sont fermes. Je parcours
son ventre, son dos, son fessier ses jambes, ses hanches, et son aine avant d’aariver à
son pubis où je trouve son sexe humide et accueillant. Mes doigts s’enfoncent en elle
alors que je me plaque sur son dos. Elle ne peut ignorer mon érection .
Elle tourne la tête vers moi et me dit :
-« est-ce que ça correspond à vos fantasmes ? Vous êtes satisfait ? »
-« Pas complètement, et vous ? »
-« Quitte à vous faire virer, faites moi jouir avant » halète t’elle.
Je déboucle ma ceinture et fais descendre mon pantalon et mon boxer, avant de me recoller
contre elle. Cette fois, pas d’ambiguité, elle doit bien sentir ma queue palpiter contre
sa peau. Sans dire un mot, elle se hausse sur la pointe des pieds et pousse son cul vers
moi. Mon sexe s’enfonce sans effort dans sa vulve brûlante. Debouts dans le salon, je la
lime ainsi pendant de longues minutes. Elle s’accroche au comptoir, et renvoie son
fessier en arrière à chaque coup de boutoir.
Elle gémit et commence à prononcer des mots sans suite :
-« Oh oui ! continue, c’est si bon ! Enfonce ! plus profond. Lime moi bien ! ah, ça
chauffe ! tu me fais brûler en dedans. Que c’est bon une bonne bite ! Vas y ! Ne te
retiens pas ! baise moi bien ! jusqu’au bout !
Elle jouit bruyamment et je sens le plaisir monter le long de mon sceptre. Elle sent ma
verge qui grossit, mes coups de reins plus saccadés, et m’encourage
« Vas y ! donnes tout ! envoies moi tout ! ahhh ! »
Je me contracte et lâche tout mon plaisir en elle. Je sens mon sexe déverser à plusieurs
reprises des giclées de bonheur qu’elle accueille avec des cris de joie.
Le plaisir passé, je reste abuté en elle, mon sexe se recroquevillant petit à petit. Elle
m’expulse, et attrappe des serviettes en papier pour essuyer l’excès de liquide qui
dégouline le long de ses cuisses, avant de s’éloigner vers la cuisine.
J’utilise quelques serviettes pour une toilette rapide, et elle revient déjà avec une
bouteille d’eau qu’elle me tend après avoir bu.
-« J’ai bien joui. » me dit elle en allant s’allonger dans le canapé, toujours aussi
impudique dans sa nudité.
Je commence à me rhabiller, mais elle m’arrête, et m’invite à la rejoindre.
-« N’aie crainte, ce petit intermède restera entre nous. Il n’y aura pas de suite. Dès
demain nous redeviendrons de simples collègues, et ça ne se reproduira plus. »
Malgré moi, j’opine du chef. La discrétion est aussi mon alliée.
-« Puisque nous sommes d’accord, et qu’il n’y aura pas d’autre fois, profitons en avant
que tu t’en ailles » dit elle en saisissant ma verge ramollie. « Tu crois que tu peux
recommencer ? »
Elle s’assied, son visage, pile à la bonne hauteur et commence à lécher mon sexe, à le
cajoler, provoquant bientôt une réaction visible qu’elle parachève en me prenant en
bouche pour une fellation appliquée, alternant les gorges profondes avec l’aspiration de
mon gland, sa langue agaçant mon frein. Mon chibre retrouve peu à peu toute sa fierté
arrogante, et elle le délaisse, pour m’allonger au sol et venir m’enjamber. Elle saisit
mon sexe et le pointe sur sa chatte avant de se laisser tomber de tout son poids, ma
queue plantée jusqu’à la garde dans son minou. Cette fois, c’est elle qui donne le
rythme, ses seins blancs ballotant au dessus de moi, tandis qu’elle s’astique sur mon
pieu. Elle danse sur ma queue et atteint très vite un nouvel orgasme, en s’abattant sur
mon torse. Elle reprend vite ses esprits et recommence à coulisser sur mon sexe qui n’a
pas débandé. Quelques va-et-vient, et elle se dégage, saisissant ma queue pour la diriger
vers son petit trou, avant de pousser ses fesses, en les écartant des mains pour aider à
l’intromission. Mon gland franchit le sphincter, lui provoquant un gémissement où se
mèlent douleur et plaisir. En appui sur les bras, le corps tendu en arrière, elle monte
et descend sur ma queue. Je vais caresser son clito, et entre deux doigts dans son sexe.
Je sens ma queue ,contre mes doigts, qui lui remplit les reins, et je sens que ma caresse
a fait mouche. Elle s’agite et fait des bonds désordonnés au dessus de moi, en agitant la
tête, et en éructant des râles de plaisir. Mon sexe bien serré dans son cul est chaud et
nos chairs claquent l’une sur l’autre. Je ne peux me retenir très longtemps et je jouis
dans un cri, tendu en elle qui tremble simultanément de jouissance.
La douche qui suit est un jeu de caresse et de douceur.
Nos corps repus, se flattent et se caressent sous les jets tièdes, jusqu’à un ultime
assaut, plus doux, cette fois, avant de nous séparer.
Elodie me raccompagne à la porte, toujours nue.
-« Je dirais à Charles que tu es passé » dit elle avant de refermer sa porte.
11h30
Trop tard pour le boulanger.

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