Pique_Nique Champêtre

Cette histoire vraie, m’est arrivée il y a quelques années. J’étais alors VRP, et je
travaillais pour une enseigne nationale. Mon travail consistait à placer des
encyclopédies, en plusieurs volumes, à des particuliers. Autant dire que nous faisions du
porte à porte, ou quasiment, car nous avions quelques informations, par notre centrale,
et par les mairies, sur les adresses de clients potentiels. Je faisais partie d’une
petite équipe de cinq personnes qui se déplaçait de ville en ville. Nous nous
répartitions les villages autour d’un point de regroupement , hôtel ou Gite où nous
logions provisoirement, pendant un a deux semaines.
Notre équipe était encadrée par une chef des ventes, qui, en plus de faire ses ventes,
devait nous coacher, nous contrôler et nous conseiller. Ensuite, il y avait Richard, un
gars d’une trentaine d’année, marié, un , brun avec une moustache, pas très grand,
Sophie, une fille longiligne, pas moche, mais un peu sèche, d’une trentaine aussi,
Valérie une fausse blonde platine de 23 ans, assez gironde, mais souvent habillée de
robes qui auraient pu appartenir à ma mère, et enfin moi, Steve, 24 ans, 1,80m, plutot
sportif, cheveux chatains et yeux verts qui étaient mon atout.
Chaque matin après le petit déjeuner pris en commun, et le brief de notre coach Annie,
chacun prenait sa voiture pour un village des environs pour commencer à prospecter.
Ce matin là, j’avais deux rendez-vous, pris la veille. Le premier tourna court, mais le
second me permit de placer deux encyclopédies en douze volumes, soit une belle commande.
Pour fêter ça, je décidai de chercher un petit restaurant pour le midi, mais le village
où j’étais n’en avait point. Je suivis donc une route jusqu’au prochain village, en
dehors de ma zone, mais où j e pus faire l’achat de quelques victuailles, faute de
restaurant.

Je repris la route, vers mon village de prospection de l’après-midi ; la
départementale sinuait dans le creux d’une vallée des pyrennées. Le soleil de cette fin
de printemps resplendissait dans un ciel bleu, sans vent. Au détour d’un virage, j’entrai
dans un sous-bois, et je reconnus, garée au bord du goudron, la ford Escort de Valérie.
Je mis mon clignotant et m’arrêtais derrière sa voiture. Je sortis et l’appelai.
-« Valérie ! » en m’approchant.
Aussitôt sa tête blonde émergea de la portière ouverte, et se tourna vers moi.
-« Ah, c’est toi ! » me dit elle
En arrivant près d’elle, je me rendis compte qu’elle était plongée dans la rédaction d’un
bon de commande.
-« Apparemment, ça a bien marché, ce matin » commentai-je
-« Oui, super bien. J’ai une commande, et trois rendez-vous pour cet après-midi. Et toi ?
»
-« Moi aussi, ça a gazé. »
-« Laisse moi une minute, je finis la paperasse. »
-« Pas de soucis, Dis moi, je viens d’aller m’acheter de quoi grignoter. Ça te dit qu’on
se trouve un coin pour pique-niquer avec ce beau temps ? »
-« Oui, bonne idée, j’ai acheté un sandwich, des chips et quelques tomates, mais alors,
pas ici. Il faut qu’on trouve un endroit ensoleillé. » me confie t’elle
-« Ecoute, finis tes papiers, et après on se suit. On va bien trouver un petit coin
d’herbe au soleil pour casser la croute. »
Cinq minutes plus tard, nous sommes en voiture, moi devant, et elle suivant avec la
sienne. Au premier embranchement, je prends à droite vers la montagne, sur un chemin
vicinal et après quelques centaines de mêtres, je découvre une pâture, sur le versant
ensoleillé, avec un bout de chemin d’accès suffisant pour y entrer les autos. Nous nous y
garons, et sortons nos provisions. Je récupère un plaid dans le coffre que j’étale sur
l’herbe, assez courte, encore couverte de rosée.
Nous nous installons sur le plaid et partageons notre pique-nique.
Le soleil commence à
chauffer un peu, et c’est bien agréable. Je tombe ma veste, et Valérie se débarrasse d’un
petit gilet de laine qu’elle avait passé par dessus sa robe, noire à fleurs blanches
boutonnée sur le devant, dont le décolleté met en valeur une poitrine opulente. Nous
plaisantons et parlons de notre métier, de nos vies. Elle a un fiancé, mais elle le voit
peu, et je lui avoue être un peu dans le même cas. Ces métiers où l’on est toujours en
vadrouille ne facilitent pas la vie de couple.
Au bout d’un moment, nos regards sont attirés par un mouvement sur notre droite. A vingt
mêtres de nous, derrière la cloture un cheval s’est approché, suivi par un autre.
-« Oh des chevaux ! » s’extasie Valérie.
Je suis tout aussi étonné de cette arrivée imprévue, mais je me rends vite compte de
notre méprise.
-« Euh, je crois qu’en fait nous avons affaire à un couple. Madame est devant et
monsieur, la suit. »
-« Oh oui ! tu as vu ce truc énorme qu’il a ! »
-« Il doit être très amoureux »
En effet, Le cheval a tourné en direction de la jument et, de profil, nous découvrons un
sexe immense, bien dressé sous lui.
-« Ouah, c’est vraiment très très gros ! » commente t’elle
-« De quoi filer des complexes » reponds-je
-« Tu es bête, ce n’est pas comparable, idiot. Tu crois qu’il va la… »
-« En tout cas, c’est pas l’envie qui lui manque »
-« Tu veux dire qu’il va la baiser, là, devant nous ? » s’inquiète t’elle
-« Pas sur !, J’ai entendu dire que les chevaux, pour se reproduire avaient besoin
d’aide. »
-« Comment ça ? »
Pendant ce temps, l’étalon s’est approché de la femelle et lui renifle le derrière
-« Il paraît que, quand on veut faire reproduire des chevaux de courses, il y a un homme
qui est là pour guider le sexe du mâle dans la femelle. »
A ce moment là, le cheval se cabre et vient poser ses antérieurs, de part et d’autres de
la jument, en s’avançant pour la posséder.

-« Là , il a l’air de savoir. » dit Valérie.
Elle est maintenant allongée sur le plaid, tournée vers ce spectacle qui la fascine
La jument s’échappe une première fois, mais le mâle revient à l’assaut, et à la seconde
tentative, son méga pénis commence à entrer dans la jument qui s’immobilise. L’étalon se
sert de ses pattes arrière et avance, faisant entrer son monstrueux pénis de plus en plus
loin dans la femelle. Un étrange ballet commence alors. La jument avance de quelques 50
cm et le cheval la suit, réinserrant, à chaque fois, la longueur qui s’est échappée.
Valérie reste sans voix, mais ne lâche pas des yeux cet accouplement troublant. Est-ce la
proximité de la jeune femme, ou l’excitation due à ce spectacle d’une crudité extrême,
mais, sans intention particulière, je pose ma main sur la hanche de Valérie.
Celle-ci, tout à sa contemplation, ne s’en rend pas compte, ou, tout du moins ne réagit
pas.
Alors que le coït animal se prolonge, ma main se fait plus pesante et caresse doucement
la hanche. Pour toute réponse, Valérie change légèrement de position et s’appuie un peu
plus sur ma main. Elle ne peut ignorer cette caresse insistante, mais ne réagit pas quand
mes doigts enrobent sa fesse par dessus la robe. Tout juste un soupir.
Je longe maintenant la cuisse en en tatant le modelé jusqu’à l’ourlet de la robe. Mes
doigts quittent le tissu pour s’aventurer sur la peau nue.
En face de nous, le membre du cheval continue d’honorer la jument.
Ma main remonte maintenant sur la peau chaude, entrainant le tissu de la robe, vers le
haut. Je retrouve bientôt l’arrondi de la fesse, et découvre la peau blanche d’un cul
rond et ferme, qui tranche avec un string noir dont la ficelle vient séparer les deux
globes laiteux.
Je caresse les fesses un instant, et me concentre vers le sillon fessier.
La jeune femme, sans se retourner, décale sa jambe droite vers l’avant, dégageant l’accès
à son minou, à peine masqué par le fin tissu noir.
Mes phalanges s’y risquent et entrent
en contact avec un nid chaud et humide que je masse doucement.
-« hmmm… » fait la belle » en tendant ses fesses vers moi.
J’écarte doucement le tissu et découvre une chatte sans poils, qui s’ouvre sous mes
doigts et se frotte d’avant en arrière.
J’introduis sans difficulté deux doigts dans son sexe, qu’elle reçoit avec un « oh ! » de
contentement. Son bassin oscille en recherchant la pénétration et en soupirant de
plaisir.
-« Ah, comme il doit bien la contenter » exhale t’elle.
-« Imagine que c’est toi, la jument » murmurai-je à son oreille en enfilant un troisième
doigt dans sa chatte
-« Hmm, oui, vas y, je suis une jument prète à être couverte. » répond elle
Je retrousse sa robe à la taille, et tire sur l’élastique de sa culotte. Elle se soulève
pour m’aider à la faire glisser jusqu’à ses chevilles, et dégage une jambe, puis
l’autre.
Elle tend un bras derrière elle, et masse mon sexe à travers le pantalon. Je la délaisse
un instant pour déboucler ma ceinture, et descendre mon futal et mon caleçon. Elle
s’empoigne de mon sexe, bien tendu et commence à le branler énergiquement. Elle pousse
alors son cul vers moi, et soulevant une jambe, vient mettre mon gland au contact de sa
vulve. Je n’ai qu’un coup de rein à donner pour me retrouver abuté en elle, mes couilles
contre ses fesses , mon sexe bien pris dans un étui bouillant, détrempé de plaisir
-« Prends moi, je suis ta jument ! » crie t’elle soudain.
Je l’att par la taille et la positionne à quatre pattes, et commence à envoyer de
sérieux coups de boutoir. Elle est à présent dans la même situation que la jument. Les
chevaux doivent se demander quels sont ces drôles d’animaux qui les imitent.
Elle s’agite comme une furie, sans les quitter des yeux, et jouit brutalement, en donnant
de furieuses ruades.. Elle redescend, petit à petit, alors que je continue à la
pistonner, mais elle s’échappe, et se met à genoux.
Je suis un peu frustré, mais ma déception est de courte durés, car elle me reprend en
main et entretien mon érection. Je déboutonne les boutons de sa robe, et l’écarte, avant
de lui enlever. Elle dégraffe son soutif qui laisse échapper deux gros seins laiteux aux
aréoles larges,et aux tétons gros comme des framboises, que je ne peux m’empêcher de
téter avidement. Me repoussant sur le dos, elle m’enfourche et vient s’empaler sur ma
queue, d’un seul coup. Elle entame un rodéo sur moi, et mes sensations sont atténuées par
sa mouille abondante , ce qui me permet de durer.Elle monte et descend de plus en plus
vite sur moi, avec un halètement saccadé, et jouit rapidement une deuxième fois, inondant
mon bas ventre, pendant que je me régale de ses gros lolos dont je pince les pointes
fortement quand elle s’emballe trop, ce qui la fait ralentir.
Elle se relève et se retourne pour venir se poser sur moi, mais dos à moi cette fois,
pour pouvoir continuer à observer le spectacle des chevaux, qui n’ont pas fini leur
affaire.
J’ai maintenant vue sur son postérieur blanc mais ferme qui monte et descend sur ma bite
avec la régularité d’un métronome.
-« Jouis ! » me dit elle en s’empalant de plus en plus fort.
Tout à coup elle ressort et commence à se caresser le clito, ce qui la fait jouir une
troisième fois. Elle attend que l’orage passe, et tourne sa tête blonde vers moi, pour me
déclarer avec un clin d’œil :
-« Je sais comment te faire venir. »
Elle att mon sexe et le dirige vers son petit trou, déjà tout humidifié par ses
sécrétions. Elle pousse ses fesses contre moi en dirigeant mon gland qui écarte ses
muscles intimes.
Elle se plaint un peu, mais n’arrête pas son mouvement. D’un coup, je sens son anus se
détendre et je me sens absorbé à l’intérieur d’elle. Petit à petit elle pousse son
postérieur vers moi, m’aidant à rentrer. Je sens son conduit qui me serre tout du long,
et je pousse à mon tour, jusqu’à ce que je sois complètement enfoncé en elle. Commence
alors un long mouvement qui engendre bien quelques plaintes de douleur mais le conduit
s’élargit et s’adapte à moi. Après une phase d’adaptation, Valérie commence à amplifier
le mouvement de plus en plus, en gémissant
-« Oh oui, prends moi aussi comme ça. Vas y ! »
Je ne me le fais pas dire deux fois et je la percute de plus en plus fort. Son cul vient
taper violemment sur mes bourses, et ses gros nichons ballotent en tous sens. Je sens que
cette fois ci, je ne vais pas tenir encore longtemps. La sève monte dans mon derrick, et
je jouis en lui remplissant les entrailles de puissantes giclées de foutre. Quand nous
nous désunissons, les deux chevaux sont le long de la cloture et nous regardent, ce qui
nous fait éclater de rire.
Un peu essoufflés, nous nous rhabillons. Valérie essuie , avec le plaid, ses cuisses
maculées de sperme qui dégouline de son cul, et remet sa robe. Son string,
malheureusement, est à tordre, et elle l’enfouit dans son sac à main avec son soutien
gorge..
-« C’était très fort. » m’avoue t’elle. » Mais j’ai honte de moi. J’ai un copain. Que vas
tu penser de moi. »
Je la rassure du mieux que je peux
-« Tu sais, la situation nous a échappé. Moi aussi j’ai quelqu’un. Bon, ni toi ni moi ne
sommes mariés. J’imagine que cela fait partie des expériences qu’il faut vivre avant de
s’engager définitivement. Tu n’as pas aimé ? »
-« Si, justement, j’ai pris un méga pied, je me suis laissée emporter alors que j’aurais
dû résister. Tu te rends compte que j’ai fait des trucs avec toi que je n’avais jamais
fait, même avec mon copain. »
-« Comment tu as su ? »
-« Oh, la sodomie, c’est le fantasme de tous les mecs, on le sait toutes, mais je ne
pensais pas le faire un jour, et là, dans le feu de l’action… »
-« Après ça, tu vas pouvoir offrir ça à ton fiancé, maintenant que tu as testé. »
-« Hmmm, peut-être. Finalement c’est un peu douloureux, et en même temps excitant. »
Elle est allongée, sur le dos. Sa robe ouverte laisse son corps exposé au soleil. Ma main
caresse ses seins, son ventre, et descend sur son pubis
-« Oh non ! dit elle en repoussant mon bras, si tu continues je vais avoir envie de
nouveau, et on a suffisamment dérapé comme ça. »
-« Je n’y peux rien, tu n’as qu’a pas laisser un corps si somptueux sous mes yeux. »
-« Vil flatteur » rit elle « Je veux juste laisser le soleil chauffer ma peau, avant de
repartir bosser. »
-« Hélas, tu as raison . On ne peut pas rester ici indéfiniment. »
-« Et les chevaux pourraient se plaindre. » complète t’elle, déclenchant de nouveaux
rires
Quelques instants plus tard, nous sommes en train de nous rhabiller.
-« Cet après-midi, j’ai deux rendez-vous, pour vendre des bibles. » me dit elle «
Heureusement que ma robe est assez longue. »
-« Au pire, tu leur évoqueras Marie-Madeleine » rétorquai-je avec un clin d’œil.
Je replie le plaid qui rejoint le coffre de la voiture, mais qui aura besoin d’un bon
nettoyage.
La semaine suivante, Valérie m’annonça qu’elle avait rompu avec son fiancé. Nous
occupions un gite, tous les cinq et chacun avait sa chambre. Difficile de se retrouver
sans que les autres s’en rendent compte. Nous avons pique –niqué, à chaque fois que la
météo le permettait. Quelquefois, nous rejoignions le gite, un peu plus tôt que les
autres, pour une petite récréation, mais notre coach a bien failli nous surprendre.
A la fin du mois, nous eûmes droit à un débrief de nos performances, et Valérie fut
félicitée car c’est elle qui avait vendu le plus de Bibles en 24 volumes.
Annie, nous consola en nous disant que c’était plus facile pour elle avec sa jeunesse, sa
fragilité, et ses boucles blondes qui incarnaient la pureté. Alors que tout le monde
était concentré sur ce discours, Valérie, assise dans un fauteuil bas, en face de moi,
écarta ses jambes, avec un petit sourire complice et je pus apercevoir sa chatte, car
depuis quelque temps, elle ne portait plus de culotte.


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