Caroline 14

Partie 14

Valentine avait joué au jeu de Clémence, elle avait reconnu 3 des 5 garçons et pouvait potentiellement gagner 600€. Il lui restait d’après Clémence à honorer quatre gages. Elle hésitait un peu mais ayant trop besoin d’argent, elle céda.

- Vas-y Clémence, donne-moi les gages.
- Ok, ma chérie. Tout d’abord les 3 des perdants on les déchire et on les jette, on ne saura pas ce qu’ils souhaitaient. Le gage de Théo, j’ouvre le papier, c’est de se faire sucer et de finir dans ta bouche. Celui de Florian, c’est…. de te prendre dans ta chatte debout par derrière.
- Ok Clémence mais il ne jouit pas en moi, je ne peux pas.
- Valentine, ce n’est pas toi qui décides, ou alors tu renonces. Ne t’inquiète pas, on fera ce qu’il faut après ma chérie.
- Clémence, ce n’est pas le moment que je tombe en cloque ! Je t’assure.
- Relax ma grande, je m’occupe de tout… aie confiance en ta copine.
- … soit… Par qui je commence ?
- Attends Valentine, il reste mes deux gages aussi….
- On fait comment ?
- Ben, il y a 5 papiers pliés, tu en enlèves 3 et les 2 qu’il reste sont tes gages.

Valentine tira un premier papier et le mit de côté.

- Celui-là je vais le faire.

Valentine tira un second papier et le déplia

- Celui-là je le laisse, alors c’était…. Faire jouir Clémence avec un cunni…. Dommage, il était à ma portée en fait.

Valentine tira un troisième papier et le déplia

- Celui-là je le laisse et c’était…. Aller demander du sucre aux voisins avec la bouche remplie de sperme. Putain Clémence, jamais je n’aurais pu faire ça, tu te rends compte.
- Je suis sûre de si ma chérie…. Ça m’aurait beaucoup plu même…

Valentine lui lança un regard sombre et mit le 4ème papier de côté en disant qu’elle le ferait.
Elle déplia le 5ème papier

- Faire un des gages des gars dans l’ascenseur… Clémence, t’es folle ou quoi ?
- Ma chérie, c’est un jeu et si c’est juste faire des trucs sans piquant ça n’a pas d’intérêt….



Valentine baissa les yeux, elle regardait ces deux papiers pliés, que contenaient ils comme gages ?
Elle prit le premier, dit qu’elle le ferait en second et le déplia. Les gars étaient en attente de sa lecture, ils la virent blêmir d’un coup. Interdite elle regarda Clémence.

- Clémence, le balcon, non….
- Lis le papier ma chérie que tout le monde entende….
- Faire le gage d’un gars sur le balcon, c’est Clémence qui choisit le gars. Clémence…
- Valentine, je choisis Florian… sur le balcon….
- Clémence…. Non…
- Valentine, il te reste un gage et après tu nous diras si tu veux gagner ou pas….

La jeune femme avala sa salive, ce dernier papier lui brûlait les doigts, elle redoutait de l’ouvrir.
Elle le prit dans ses mains, jeta un coup d’œil autour d’elle, tous la regardaient avec impatience et l’ouvrit.

- Non, Clémence, pas mes cheveux.
- Du calme ma chérie, lis bien tout.
- Les cheveux de Valentine ne devront pas dépasser la taille suivante : On lance 3 dés et on multiplie le résultat des 3. Ensuite un lance un dé et on divise le résultat précédent par le score du dé. Ainsi on a la longueur maximale des cheveux. Clémence, je tiens mes cheveux longs et ma queue de cheval…
- Valentine, ça repousse des cheveux et avec un peu de chance, tu lances tes 3 dés et tu fais 5, 5, et 6, ça fait 150 puis tu fais un 2 et tu gardes 75cm, c’est plus long que ce que tu as …
- Mais si …
- Stop Valentine, ça suffit. Maintenant tu assumes et tu lances ces dés … Je décide et tu fais ce que je te dis.
- …
- Lance ces dés.

Valentine prit les trois dés et les lança. Le premier dé s’arrêta sur 2, le second sur 1 et le troisième sur 2. Elle reprit un dé et le relança.

- 6 ! Putain Valentine, tu fais fort ! 1x2x2 ça fait 4, divisé par 6 on est en dessous de 1.

Valentine était livide. Clémence ne lui laissa pas le temps de se reprendre.

- Jules, tu peux aller chercher ma tondeuse à cheveux dans la salle de bain.
- 1 cm Clémence !
- Oui ma chérie, tu vas être magnifique ! Je te kiffe à mort.

Jules venait de revenir avec la tondeuse dans les mains.

- Allez ma grande, c’est maintenant que tu dois te décider.

Prise de panique, Valentine se leva et couru se réfugier dans la salle de bain. D’un pas lent mais décidé, Clémence la suivit. Elle trouva sa copine assise par terre, le visage enfouis sous ses mains.

- Valentine, ma chérie, calme-toi.
- Clémence, je ne peux pas.
- Mais si ma grande, ce ne sont que des cheveux et rien d’autre. Ça va repousser très vite.
- Mais à quoi je vais ressembler avec la boule à zéro !
- Si tu savais comme les hommes fantasmaient sur les femmes avec les cheveux très courts ! Et puis de toute façon, tu réfléchis trop ma grande. Tu es juste faite pour obéir et être soumise à mes désirs. Tu n’as pas aimé le livreur, Kévin et le jeu de ce soir ? Tu étais trempée tellement tu étais excitée. Ce n’est pas vrai ?
- Si Clémence.
- Alors maintenant ça suffit, redresse ta tête pour que je m’occupe de toi.

Valentine se redressa, Clémence alluma la tondeuse et commença directement par le milieu de la tête. Valentine fermait les yeux, essayant de rester stoïque pendant que Clémence s’occupait d’elle. Elle sentait ses grandes mèches de cheveux tomber le long de son corps nu.
Quelques minutes suffirent à Clémence pour tout couper.

- Voilà ma chérie, tu peux ouvrir les yeux et te regarder, tu es magnifique, une vraie bombe !

Valentine ouvrit les yeux et se regarda dans le miroir. Elle était troublée par la vision de cette jeune femme les cheveux quasiment rasés qu’elle voyait dans la glace. Elle ne se reconnaissait pas trop mais cette coupe de cheveux ultra courte associée à son corps ornée de piercing lui donnait une allure féline.

- Alors ma chérie, comment tu te trouves ?
- Je suis troublée Clémence.

- Tu me fais penser à une amazone, tu vas faire un malheur auprès des mecs.
- Mes piercings aux tétons, je trouve qu’ils vont bien avec la coupe, enfin je voulais dire que je …
- Mon cœur, tu dégages une sensualité incroyable, maintenant il faut mettre ta tête au niveau de ton corps. Assume que tu es une salope qui aime ça. Allez ma chérie, fais-le maintenant. C’est bien ce que tu as déclaré à ton Bienvenu !

Clémence ouvrit la porte de la salle de bain, lentement, Valentine sortit et se planta debout devant les 5 gars, nue, la tête rasée. Ils bandaient tous comme des ânes.
Théo était assis nu sur le canapé, son sexe dur pointait vers le plafond. Valentine s’avança devant lui et s’agenouilla doucement tout en continuant à le regarder dans les yeux. Sa bouche s’enroula autour de la queue, Théo écarta les jambes pour faciliter la tâche à la jeune femme. Il soupirait d’aise de se faire pomper par cette nymphe surréelle. Excité par toute la soirée, il savait qu’il ne tiendrait pas longtemps. Valentine mettait de la volupté et de la sensualité à le sucer, elle cherchait constamment son regard avec ses yeux de biche.
A côté de Théo, Noé regardait la scène avec envie, sa main droite enfermait son sexe bandé, lentement, elle exerçait des mouvements de bas en haut. Valentine le défia du regard, poussa la main de Noé et le prit en bouche à son tour. Les deux gars se regardèrent en souriant, satisfaits de la tournure de la soirée. Alternativement, tout en volupté, la jeune femme suçait Théo et Noé.

- Argh… putain, c’est bon tu vas me faire gicler….

Noé ne résistait plus, la bouche de la jeune femme fit tomber ses dernières barrières, il se laissa aller et éjacula par de puissants jets de foutre. Valentine assuma son rôle, pas une goutte de semence ne s’écoula de sa bouche. Elle se redressa et sourit à son partenaire vidé.
Le silence régnait dans la pièce, tous les regards étaient braqués vers la jeune femme.
Elle se délectait de la situation, heureuse d’être au centre du jeu. Elle posa sa main sur les bourses de Théo, les malaxa doucement. Sa main remonta, glissant sur le pubis, le ventre, griffant le torse au passage. Théo gémit d’une petite douleur.
Valentine lui caressa le cou puis la joue tout en délicatesse, approchant lentement son visage de celui du jeune homme, elle posa ses lèvres sur les siennes. Théo ne se déroba pas, fermant les yeux, sa bouche s’ouvrit laissant entrer la langue imbibée du sperme de Noé.
Le baiser s’éternisa, Valentine cherchant à bien faire circuler la semence dans les deux bouches soudées. A la commissure des lèvres du jeune homme s’écoulait une trace blanche. Le sexe était toujours dressé comme un pieu, le partage de la semence de son copain l’avait surpris mais n’avait entamé son excitation, bien au contraire.
Valentine cessa son baiser, elle sourit, regardant le pieu dressé qui l’attendait. Délicatement, d’un doigt, elle recueillit les traces de sperme sur la joue de Théo et lui remit dans la bouche. Le garçon, les yeux dans les yeux, suça ostensiblement le doigt.
Lentement, elle se pencha sur la verge offerte, positionnant sa bouche juste au-dessus du gland et elle fit couler un mélange gluant de semence et de salive sur ce dernier.
Le liquide n’eut pas le temps de couler tout du long de la verge que Valentine l’avait prise en bouche complètement, la suçant avec application. Théo gémissait de plaisir, laissant sa tête tomber en arrière pour mieux apprécier cette fellation.
Le jeune homme ne résistait pas à l’action diabolique des lèvres de sa suceuse, il se laissa aller et jouit dans la bouche de Valentine en gémissant de plaisir.
La jeune femme garda le sexe en bouche tant qu’il se tenait droit. L’éjaculation passée, la bite se ramollissant, elle glissa hors de l’étreinte des lèvres pour s’échouer sur le pubis du jeune homme comblé.
Elle n’avait pas laissé couler une goutte, dans un silence étourdissant, tous les regards étaient tournés vers elle, attendant de voir sa réaction.
Elle sourit, planta son regard dans celui de Noé et approcha sa bouche de la sienne.
Il ne se déroba pas, alla à la rencontre de cette bouche pleine de sperme et embrassa Valentine à pleine langue.

Quand les deux bouches se séparèrent, Clémence rompit le silence dans la pièce.

- Putain Valentine, j’adore ! Tu es une sacré salope ma grande ! Je te kiffe trop.

La jeune femme sourit du compliment. Nue et immobile, elle se tenait debout au milieu de la pièce, regardant son amie se rapprocher d’elle. Les bouches des deux femmes se soudèrent, partageant un baiser fougueux un long instant.
Impudique, Valentine avait avancé son pubis pour répondre à la visite des doigts de son amie, qui jouaient avec sa fente.

- Valentine, ma chérie, ta bouche a un délicieux gout de sperme et ta chatte est complètement détrempée. Dis-nous que tu aimes ça ! Dis-nous que tu aimes faire ta petite pute devant tout le monde.

Valentine baissa les yeux et marmonna son acquiescement. Clémence posa ses doigts sous le menton et lui releva la tête.

- Valentine, assume et regarde-moi quand tu me parles ! Alors dis-nous …

Elle avala sa salive, essaya de rebaisser la tête mais la main de son amie l’en empêchait.

- Oui j’aime ça….
- Mieux que ça ma chérie… allez…

Alexis avait sorti son portable et filmait la jeune femme. Sans se démonter, elle prit une grande inspiration et fixant Alexis, elle lança bien fort.

- Oui… je suis une petite pute qui aime ça, être traité comme une salope.

Clémence sourit à pleine dents. Elle s’approcha de son amie, glissant à nouveau ses doigts au niveau de l’entrejambe, jouant doucement avec la fente lubrifiée et bien ouverte.

- C’est bien ma chérie, on va te donner ce que tu attends. Florian va faire du bien à ta petite chatoune d’amour. Viens avec moi.

Elle la prit par la main, l’entrainant vers le balcon. Soumise et résignée, la jeune femme se laissa guider.
La fraicheur de l’air extérieur faisait frissonner la jeune femme, ses poils se dressaient sur ses avant-bras, ses tétons pointaient outrageusement, mettant en valeur les piercings qui les ornaient.
Le balcon donnait comme d’autres sur une grande cour intérieure carré. La nuit était tombée, l’obscurité qui enveloppait les deux jeunes femmes apportait un peu de sérénité à Valentine, elle cachait la nudité de son corps. Trois petits points rouges disséminés sur les autres balcons trahissaient la présence de fumeurs aux alentours. Le silence régnait sur la cour, entrecoupé par des murmures de conversation lointaines.

- Clémence, on ne peut pas faire ça. On rentre et je fais tout ce que tu veux à l’intérieur.
- Valentine, ma chérie, tu as perdu… tu assumes…

La jeune femme sentit les mains viriles de Florian se poser sur ses hanches. Doucement sans forcer, il la plaçait face à la rambarde et la fit se pencher. Tournant la tête vers son amie, elle cherchait une lueur d’espoir dans le regard de son amie mais résignée, se laissait guider en silence par le jeune homme. Nue, accoudée à la balustrade en fer forgé, les jambes légèrement écartées, elle s’offrait en silence à son amant.
Florian de son côté appréciait la situation et prenait tout son temps. La bosse qui déformait son caleçon, indiquait son excitation mais la situation lui plaisait énormément mais il voulait savourer tous les instants de cette situation. Ses mains caressaient les fesses, se perdant entre les cuisses de la jeune femme, glissant sur la fente déjà bien ouverte ou jouant avec la poitrine durcie par la fraicheur de la nuit. Valentine laissait échapper de légers soupirs de satisfaction mais elle était impatiente d’en finir pour rentrer dans l’appartement. D’un regard en balayant les alentours, elle se rendit compte qu’en quelques minutes, il y avait maintenant 8 points rouges qui scintillaient dans l’obscurité. De légers murmures lui laissaient penser que ces huit fumeurs n’étaient peut-être pas seuls à l’observer.

La nuit était noire, que pouvaient ils voir se demandait elle. Sa silhouette ? Ses formes ? Son visage ?
Non, elle de son côté ne les voyait quasiment pas, alors rassurée elle se disait qu’ils ne pouvaient pas voir grand-chose.
Un doigt pénétra de tout son long dans sa fente. Valentine sursauta en laissant échapper un soupir.
Elle tourna sa tête vers le jeune homme et lui murmura de mettre un préservatif puis d’y aller et de la prendre.
Clémence l’embrassa dans le cou, caressant en même temps la poitrine offerte.

- Non ma chérie, pas de capote, c’est mieux sans…

N’attendant pas de réponse, la main glissa du sein sur le ventre et finissant par jouer avec le piercing qui ornait le petit bouton d’amour. Valentine, très sensible à ces caresses, bougeait des hanches pour essayer d’échapper.

- Clémence…. Oh… Clém… pas sans…

Sous l’effet des doigts de son amie, Valentine peinait à s’exprimer correctement. Voulant rester discrète, elle cherchait à contenir le plaisir que les doigts lui procuraient les doigts.
Clémence jubilait de l’ascendant qu’elle avait sur son amie, elle en abusait avec délectation. D’un geste de la tête et Florian avait fait tomber son caleçon. Nu, le sexe en érection, il le frottait le long de la raie des fesses de sa proie. La jeune femme soupirait de plus en plus sous le jeu diabolique des doigts.
Florian plaçait son gland contre la fente, frottant lentement les lèvres déjà gorgées de sang. A chaque fois qu’elle sentait la queue prête à entrer Valentine lançait son bassin à sa rencontre pour la prendre mais dans un mouvement analogue, le jeune homme reculait pour ne pas la pénétrer. Excité par la masturbation et ce sexe qui la narguait, elle lâcha d’une voix suppliante.

- Allez viens, mets la moi.

Florian ne répondit pas, se contentant de sourire à Clémence.

- Ma chérie, si tu la veux, tu dois lui demander très gentiment….

Valentine continuait à soupirer, le désir commençait à lui faire perdre les pédales.

- Florian s’il te plait, mets ton sexe dans le mien. – murmura la jeune femme.
- Oh non ma chérie, ce n’est pas ça qu’il attend. Tu n’as pas un peu plus cochon pour lui donner envie ? Allez tu sais ce qu’on attend de toi.

Les doigts continuaient à jouer avec son clito e le piercing d’un côté et le gland du jeune homme taquinait les lèvres de sa fente qui n’attendait qu’une pénétration maintenant. Avalant sa salive et essayant de contrôler ses sensations, elle dit à voix basse.

- Je suis ta pute, baise-moi et vide tes couilles dans ma chatte.
- C’est pas mal ma chérie mais il faut le dire plus fort, Florian et moi on est un peu dur de la feuille.

Le plaisir envahissait tout son corps, elle résistait tant bien que mal mais inexorablement, elle perdait pied et ses repères. Seuls comptaient la jouissance qui arrivait et cette queue qui se refusait à elle. Elle voulait en finir de tous les côtés, jouir et faire jouir Florian pour être quitte une bonne fois pour toute.
Fermant les yeux, d’une voix forte et assurée, elle se lâcha :

- Je suis ta pute Florian, baise-moi, fourre-moi ta queue dans ma chatte qui n’attend que ça.

Le sexe de Florian la pénétra d’un coup, les yeux toujours clos, elle se laissa submerger par le plaisir, jouissant bruyamment sous les coups de son amant et des doigts qui accompagnaient la pénétration.
La lumière du balcon s’alluma, mettant en valeur la beauté de la jeune femme qui jouissait longuement.

- Oui Florian, baise ta pute … continue … encore…

Valentine ne se retenait plus, elle jouissait pleinement, accompagnant son plaisir d’encouragement pour que son amant en finisse le plus vite possible. Poussé par ses encouragements, le jeune homme la baisait vigoureusement par des grands coups de bassin. La jeune femme, enveloppée par le plaisir, se sentait défaillir. La bouche ouverte, le souffle coupé par son orgasme, elle semblait désespérément chercher de l’air.
Les deux bassins se soudèrent brutalement, accompagnés par un grand « oui » de Florian qui jouit enfin au fond de sa partenaire. Valentine se laissa retomber sur la balustrade, vaincue par le plaisir et submergée par son orgasme. Elle tenait à peine sur ses jambes, cramponnée à la rambarde, seul rempart qui l’empêchait de tomber au sol.

Des applaudissements et des sifflets ! Valentine rouvrit les yeux et son regard balaya les alentours. Les balcons adjacents étaient pleins de spectatrices et spectateurs. Le show qu’elle leur avait offert était ovationné. Honteuse, elle baissa la tête et ferma les yeux. Clémence, son « amie » la conduisait vers encore plus de déchéance. Elle était perverse, diabolique mais Valentine ne se sentait pas le courage de s’opposer à elle. Elle se sentait faible, soumise, honteuse de sa condition de soubrette.
Des mains d’homme qui se posèrent sur ses hanches, la sortirent de ses pensées. Elle n’eut pas le temps de se retourner que déjà le sexe d’Alexis était emmanché profondément en elle.

- Non pas encore…

La supplique de la jeune femme n’était pas très forte. La voix fluette n’eut pas d’effet sur son partenaire, tout au contraire, il se mit à besogner avec application cette fente bien ouverte et débordait de la semence de Florian.

- Laisse ma chérie, c’est cadeau pour Alexis…

Valentine ferma à nouveau les yeux, incapable de s’opposer à ce nouvel accouplement dont elle savait qu’elle n’allait pas retirer de plaisir. S’offrir à la vue de tous la remplissait de honte mais elle avait abandonné toute velléité de se rebeller. Alexis prenait son pied à la baiser ainsi. Sur les conseils de Clémence, il tira en arrière les épaules de sa partenaire pour mieux exhiber son corps. La jeune femme les yeux fermés se laissait conduire, manipuler sans volonté. Tout en continuant à imprimer à un rythme soutenu ses coups de sexe, Le jeune homme caressait tout le corps de sa partenaire en insistant plus précisément sur ses seins. Sous son étreinte, la soumission de la jeune femme était claire et cela le poussait à en vouloir encore plus.
Tout en continuant à coulisser sa queue dans le sexe de sa partenaire, d’un doigt, il récolta de la cyprine mélangée au sperme et en badigeonna le petit trou offert devant lui. La jeune femme ne brochait pas, Alexis lui massait l’anus, appuyant de temps en temps avec son majeur pour l’assouplir.
Rapidement le majeur se retrouva entièrement fiché dans son cul, bougeant doucement pour lui laisser le temps de s’habi. L’absence de réaction survolta Alexis, rajoutant de la semence, il lui mit deux doigts puis un troisième. Valentine se laissait toujours faire sans brocher, la queue qui ramonait son sexe continuait son ouvrage et son cul s’ouvrait pour les doigts de son amant.
Quand la queue sortit de son fourreau pour se placer sur son anus, elle eut un petit geste d’appréhension mais Alexis la tenait fermement. La poussée du gland s’accentuait graduellement et son sphincter se détendit facilement pour laisser entrer l’intruse. D’un trait lent mais complet, Alexis lui enfila entièrement sa queue dans le cul. Valentine accompagna d’un râle la bouche ouverte pendant toute la durée de la pénétration.

- Oh, il t’a enculée ma chérie !
- Oui …. Il est gros….
- Détends-toi ma chérie, ça va aller…. Et tu en prendras des plus gros bientôt….
- Ohhhhh, doucement…. Aïe….
- C’est bien ma chérie, il rentre bien dans ton cul, il est fait pour ça ton cul….

Alexis, tenant fermement Valentine, faisait coulisser sa queue de tout son long, ressortant son gland en douceur puis replongeant brutalement jusqu’à la garde en arrachant des gémissements à sa partenaire.

- Putain, tu es serrée, je ne vais pas tenir longtemps.

Faisant fi des grimaces de Valentine, Alexis accélérait ses mouvements. Son plaisir montait, il ressentait que son éjaculation n’allait plus tarder. Un dernier passage et il se planta tout au fond pour se vider en soupirant de plaisir.
De tous les balcons, des cris et des applaudissements retentirent. Les deux amants restèrent soudés un long instant puis le jeune homme, la queue mi dure, se retira, laissant la jeune femme en position, de la semence s’échappant des deux orifices.

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