Collection Rêve Et Réalité. La Comtesse Et Ses Servantes (1/2)
Je me présente, Julie, petit bout de femme avec un dynamisme de tous les instants.
Jai 22 ans et je suis blonde, profession femme de chambre de madame la comtesse, je vis chez elle avec Babette, belle brune pétillante.
La comtesse est partie avec Lucien son majordome lui servant de chauffeur pendant trois jours visiter son fils qui a des ennuis de santé près de Nice.
Quand elle part de temps en temps Babette et moi seule au manoir nous avons pour habitude de jouer à la grande dame et à la servante.
Cest le cas aujourdhui, je suis dans sa chambre et nous venons douvrir larmoire aux trésors.
À lintérieur, nous aimons trouver ses vêtements et ses accessoires des années 30.
La comtesse avait 20 ans.
Certains anciens dans le village semblent dire quelle était une cocotte ayant réussi à se faire épouser par le comte dont la famille possède le manoir depuis cinq générations.
Même la révolution leur avait gardé leur lustre alors que bon nombre de ces nobles avaient fini la tête au bout dune pique.
Aujourdhui, Babette maide à enfiler une guêpière dépoque des grandes cocottes. Une fois les lacets attachés, mes seins dépassent du soutien-gorge pigeonnant et le bas de ce vêtement laisse ma chatte découverte.
Contrairement à moi, la comtesse à sa chatte recouverte dune toison blanche comme ses cheveux.
Je le vois quand après son bain, cest moi qui lessuie, je laide à se préparer.
Je peux la voir, car avec nous elle est sans aucune pudeur malgré ses 89 ans.
Je dis contrairement, car je passe de longs moments avec Babette à me raser et finir par ce quelle mépile.
Sans être des gouines, pardons des lesbiennes, terme employé par la comtesse au téléphone avec son amie Carla ayant environ le même âge quelle.
Gouines, car quand nous avons fini, nous nous embrasons la minette, allant même jusquà nous bouffer le clitoris et nous apporter le plaisir lune à lautre.
Il faut voir la vérité toute crue, nous sommes et lesbiennes et bi, car lors de nos sorties dans les fêtes des villages alentour, une bonne bite bien placée, nous en raffolons.
Quand cest mon tour dépiler Babette, jai limpression dentrer ma langue dans une grotte si profonde que je suis dans un noir complet.
Il faut dire quelle est une des îles ses parents étant guadeloupéens.
La comtesse est classique de son époque, nous classique de la nôtre simplement par nos pilosités.
Ce quil faut savoir, cest que nous habitons au manoir vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Lune dentre nous devant impérativement être présente sauf exceptionnellement quand Lucien assume le service.
On comprend que ce sont ces jours-là que nous nous échappons ensemble vers des univers phalliques.
Cest lancienne femme de chambre qui a porté plainte contre la comtesse au prudhomme pour lobliger à respecter les jours de repos que chacune de nous avons droit.
Elle a été virée, car ils ont trouvé une brosse avec le manche en argent dans son sac un jour où elle rejoignait un galant.
Jai été embauché à sa place et Babette a suivi.
Ça fait trois jours que nous sommes seules, quand la cloche de lentrée se fait entendre.
Surprise, je passe le peignoir en soie de la comtesse et je vais à la porte dentrée.
Ce sont les gendarmes.
- Êtes-vous Julie Saint ?
- Oui, sa petite fille, pourquoi ?
Jignore pourquoi ce mensonge, ça fait partie des jeux que nous aimons jouer avec Babette en labsence de madame la comtesse.
Mais là devant la marée chaussée, je vais loin, très loin.
- Madame la comtesse, son fils et son chauffeur sont tombés dans un ravin sur la corniche à Nice dans un même endroit que la princesse de Monaco.
Là, je me sens dans la merde, pourquoi avoir dit que jétais sa petite fille.
- Que devons-nous faire ?
- Cest qui Julie, un représentant de commerce.
Cest Babette qui arrive derrière moi, avec sa guêpière rouge.
Elle est sans pudeur et cette nudité partielle semble naturelle.
- Le notaire, maître Albert, vous préviendra des suites à donner pour lenterrement de votre famille et du chauffeur.
Mes respects mademoiselle de la Motte, heureux davoir fait votre connaissance.
Pardon, nous vous présentons nos condoléances.
Ils quittent la propriété dans leur camionnette.
Babette me regarde et dans linsouciance de la situation nous éclatons de rire.
Cest avec bien du regret que je sens que notre présence au manoir est vouée à une fin proche.
Dommage, même si la paye était modeste, le peu de dépenses que javais et le temps libre aussi, jarrivais à en mettre sur mon livret de caisse dépargne.
- Julie, que fait-on, tu te rends compte, la comtesse, elle est.
Quest-ce que lon va faire ?
- Le gendarme là dit, maître Albert le notaire de notre ville soccupe de tout, je pense que nous aurons de ses nouvelles dans les jours prochains.
En attendant, nous allons faire une teuf denfer.
Viens dans la cave.
Parmi les plaisirs de la comtesse, son vin.
Le vin de ses vignes pressées dans ses chais du Mâconnais où nous habitons au pied de la roche de Solutré.
Je sais que les vignes, les fermages avec des bufs du charolais et même un élevage de chevaux, près de labbaye de Cluny font partie du patrimoine de celle qui a dévalé la corniche de Nice sans parachute dans sa Rolls des mêmes années 30.
Une vraie fête denterrement, jusquau matin nous trouvant affalé dans les canapés du salon quand la cloche sonne de nouveau.
Cest dans le même peignoir que je vais ouvrir.
- Madame Julie Saint, un recommandé pour vous.
- Faite entrée Babette, je suis au salon.
Cest Babette, insouciante de la situation qui continue ses jeux malsains.
Pourquoi pas ?
Ce jeune homme est charmant, je le connais, il fait partie du club de rugby de la ville voisine alors je le fais entrer.
La comtesse, pardon Babette est mollement allongée sur le canapé, bien calée dans dépais coussins.
Elle a pris limmense fume-cigarette de la patronne posée sur son guéridon et sest allumée une de ces cigarettes mentholées quelle fume.
Pardon, quelle fumait.
- Merci jeune homme, Babette, remerciez ce jeune homme comme il se doit.
Venir jusquau manoir à vélo par cette chaleur il mérite une petite récompense.
Le jeune facteur a les yeux lui sortant de la tête, la comtesse a la chatte à lair, étant toujours en guêpière.
Alors, je joue le jeu, de toute façon dans quelques heures nous serons à Pôle emploi.
Je magenouille et sous le regard plus quétonné du jeune garçon, je lui sors la queue et je lui fais une parfaite fellation.
Je vois sa main aller, vers le guéridon, prendre le verre de vin qui sy trouvait depuis la nuit dernière et boire cul sec.
- Où dois-je signer ?
Il tend le pli, Babette att sa main et la porte à sa chatte.
Lenveloppe tombe au sol et les doigts entrent en elle.
Le jeune facteur pose son autre main sur ma tête et moblige à lui faire une gorge profonde.
Cest la première et je métouffe, crachant et la verge et énormément de salive.
Il faut dire que la nature la bien pourvue.
- Vous êtes une empotée Babette, jeune homme, venez mhonorer.
Elle joue parfaitement le rôle de la grande dame quelle prétend être.
Le facteur me laisse à mes toussotements et vient planter ma copine.
Rapidement je suis frustrée surtout quand elle part dans un plaisir venu du fond de son être.
Tout à une fin et cest presque en courant que le facteur nous quitte, jentends sa voiture démarrer les pneus crissant sur les graviers.
- Laisse-moi voir cette lettre.
« Madame Julie Saint, voulez-vous mappeler au 03
afin que nous parlions de la succession de votre grand-mère la comtesse de la Motte.
- Sein, Julie, tu tappelles Sein comme une paire de nibards !
- Non, comme les saints de la terre.
Si tu savais les colibets à lécole alors quand on ma dit que la comtesse voulait que je vienne à son service, je suis venue me cacher ici.
- Maître Albert doit être devenu gâteux, il dit que tu es la petite fille de la comtesse.
- Je lignore, je lappelle nous saurons.
Cest le lendemain que je me présente à létude pour savoir de quoi il en ressort.
Pendant la nuit, pas de vin, quune attente interminable
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