Elle Est Devenue Ma Femelle

DEVIENDRAIS-JE SA FEMELLE ?
RACHEL :
Je me prénomme Rachel 40 ans et Hervé mon mari 42 ans. Nous nous sommes connus jeunes et
avons eu deux s très tôt. Ils sont maintenant étudiants et ont quitté le foyer.
Pour des raisons professionnelles d’Hervé nous avons déménagé et son employeur nous a mis
à disposition une maison de ville dans une petite copropriété. Je ne cherche pas
ment du travail dans cette nouvelle région. Sexuellement je n’ai connu qu’Hervé.
Nous faisons l’amour de moins en moins et ce n’est qu’en missionnaire ou levrette. Etant
originaire d’une famille bourgeoise et catholique, je suis peut-être coincée mais Hervé
n’a rien fait pour me faire connaître autre chose.
Nous avons assez vite sympathisé avec nos voisins directs. Ils sont de notre tranche
d’âge. Entre apéros de bienvenue chez les uns et autres, j’ai remarqué Qu’Antoine
n’arrêtait pas de me reluquer ou trouver un prétexte pour me toucher telle ou telle
partie de mon corps. Je ne comprenais pas pourquoi car son épouse Justine est vraiment
belle et est toujours bien maquillée et habillée tandis que moi simple queue de cheval,
pas de maquillage et côté fringue bof pas de quoi réveiller un mort. Lors du dernier
barbecue chez eux, il y a 3 mois environs Justine était habillée d’une simple tunique
transparente arrivant au-dessus des genoux et d’un tanga comme sous-vêtement. Hervé ne la
quittait pas des yeux. Antoine lui caressait les fesses tout en me fixant. Les hommes se
sont occupés du feu. Justine et moi des salades à la cuisine.
-je peux te poser une question indiscrète Justine.
-mais oui vas-y me répondit-elle
-tu n’es pas gênée par le regard d’Hervé sur toi ?
-non pas du tout. Au début de ma relation avec Antoine, quand il m’ordonnait de
m’habiller ainsi oui mais je voulais aussi être prise en main de cette manière.

Voilà tu
sais tout
Au retour sur la terrasse j’ai vu Antoine serrer la main à Hervé et j’ai trouvé cela
étonnant. La soirée se termina bien.
De retour à la maison, Hervé m’a fait l’amour comme jamais. La vue de Justine et Antoine
pensais-je. Et chez moi tout se basculait dans ma tête : le regard dominateur d’Antoine
sur moi avec ses mains baladeuses sur Justine, mes fantasmes inavoués, Hervé, mon
éducation, ma conscience… j’ai mis du mal à m’endormir, mon corps réclamait du plaisir.
Hervé est parti pour la semaine et ne le verrai que vendredi.
Après le départ d’Hervé le lundi matin je prenais mon petit-déjeuner simplement habillée
d’une chemise d’Hervé et d’une culotte (ma façon à moi de penser à Hervé) quand on toqua
à la porte. C’était Antoine qui prétextait un besoin d’imprimer une feuille.
-Attends-moi là je vais m’habiller lui dis-je
-surtout pas me rétorqua t’il sur un ton sans équivoque.
Antoine :
Nous habitons Antoine et Justine, dans une petite copropriété de maisons de ville et nous
avons 38 ans tous les deux et pas d’s encore. Je suis prof dans un lycée et Justine
travaille dans une administration. Il y a 6 mois de nouveaux locataires ont emménagé dans
la maison d’à côté. Un couple, elle effacée mais belle et lui je dirai le cadre supérieur
dans son cliché. Nous avons assez vite sympathisé. Lors de différents apéros pris chez
les uns et autres, nous nous découvrions.
Lors du dernier barbecue, il y 3 mois, j’ai décidé de franchir un palier dans la
relation avec nos voisins. Justine portait une tunique transparente et un tanga et en
accessoire une ceinture. Vous auriez vu la tête de nos voisins. Hervé avait les yeux
rivés sur Justine et Rachel était gênée. J’avais également prévu assez d’alcool. Pendant
que nous les hommes nous nous occupions du feu, les femmes préparaient quelques salades.

Hervé me fit quelques confidences sur leur couple, et après plusieurs échanges nous nous
serrions la main.
Le repas et la fin de soirée se passa au mieux. Il y avait de la tension sexuelle en
l’air. J’attendis le départ des invités pour récompenser Justine en la baisant comme elle
le méritait.
Lundi matin. A moi de convaincre Rachel.
Je prétextais un document à imprimer pour me rendre chez elle. Je toque et Rachel vint
m’ouvrir la porte. Je fus scotché devant cette femme.
-Bonjour Rachel, tu es toute en beauté ce matin
-merci Antoine. Attends-moi je vais m’habiller.
Rachel :
La manière dont il m’a répondu et son emprise de sa langue dans ma bouche ont eu raison
de mon éducation. J’aurais dû le gifler et non j’ai encore plus ouvert ma bouche et
participais activement au jeu de langue. Je mouillais et n’avais qu’une envie qu’il me
prenne. Il n’avait l’air pressé de me prendre se contentant de m’embrasser et tripoter.
-prends-moi, j’en ai trop envie Antoine suppliai-je
-non, on me dit baises-moi entendis-je
Je rougis, n’osant pas dire ce genre de phrase.
-alors ?
-j’ai envie de te sentir en moi Antoine
-et ?
-baise-moi lui dis-je d’une petite voix
-enlèves ta culotte, poses-toi au bord de la table et ouvres tes cuisses.
J’ai pu enlever ma culotte, mais le reste fut difficile à faire.
Antoine m’a dit d’arrêter et m’a annoncé :
-Rachel, je ne te baiserai pas. C’est moi qui décide quand tu dois être prise dans un de
tes trous. Pour cela il faut que tu me demandes d’être ma femelle et que tu acceptes les
contraintes ou plaisirs que cela engendre. Je te conseille de consulter des blogs sur la
soumission avant de te prononcer.
Mes fantasmes inavoués, mon corps et sexe voulaient que je me plie aux exigences
d’Antoine. J’allais lui dire oui de suite mais il a sans doute compris ce que j’allais
lui dire
-je te donne quelques jours de réflexion et surtout l’accord d’Hervé pour que je te
dresse en bonne femelle.
On se reverra fin de semaine si tu veux aller plus loin.
J’attends ton message. Si tu ne te manifestes pas, on oubliera tout çà et Hervé n’en
saura jamais rien.
Sur ce, il fourra un doigt dans ma chatte me tendit ce doigt pour que je le lèche. Mes
interrogations se sont envolées et je j’ai léché ce doigt. Enfin quelqu’un a mis en
lumière mes envies secrètes et je devais me le réaliser. Et ma chatte en feu, je me suis
masturbée mais il me manquait quelque chose. Mon corps réclamait plus et mon esprit aussi
(enfin). Heureusement qu’Hervé rentrait le soir. Je me devais lui relater mon écart du
matin et ma décision de vivre mon besoin de soumission.
Au retour, Hervé a senti que je n’étais pas comme d’habitude. Tout d’abord au niveau
vestimentaire. Je n’ai pas quitté la chemise, simplement changée de culotte, et à lui
poser pleins de questions sur sa journée de travail, chose que je faisais pas souvent.
Ensuite, au lit j’étais plus caline.
-que se passe t’il Rachel ? Tu as fumé de l’herbe aujourd’hui me lança t’il
-pas de l’herbe chéri mais autre chose qui risque de te déplaire
-dis-moi car tu en as trop dit ou pas assez
-Antoine est venu ce matin pour un problème d’imprimante chez lui. Je lui ai ouvert la
porte habillée comme tu m’a vu ce soir. Je lui a dit de m’attendre le temps de s’habiller
et là sur un ton autoritaire il m’a dit non et m’a attrapée et a cherché à m’embrasser.
J’aurais dû le gifler. Eh non, j’ai ouvert ma bouche et nos langues se sont amusées
mélangeant nos salives. J’avais envie qu’il me prenne tout de suite. Je l’ai supplié. Il
a refusé. Ne souris pas trop vite.
-pourquoi ? Je suis content qu’Antoine ne veuille pas casser les couples. Je le
remercierai dès que je le verrai.
-je ne crois pas. Il m’a fait une autre proposition. Il ne veut me baiser que si
j’accepte d’être sa femelle.
Il a compris que je suis faite pour çà et qu’i ne
m’importunera plus si je ne donnais pas suite à sa condition. Et avoir ton accord aussi.
Je me suis e à t’avouer mon incartade de ce matin car je t’aime, ne veut pas te
perdre et en plus j’ai besoin de devenir une femelle d’Antoine si possible. Depuis tout
jeune j’ai ce fantasme enfoui après la lecture de « histoire d’O » et lors de nos ébats
j’en rêve pur stimuler ma libido.
-tu m’en bouches un coin Rachel. Moi qui pensais que tu ne voulais pas autre chose que ce
que nous pratiquions et je ne voulais pas te choquer de peur de te perdre. Osa avouer
Hervé
-Antoine m’a conseillé de consulter sur le net des blogs de soumises et cela m’a
bouleversé. Enfin connaître les plaisirs charnels dans la soumission avec un type
habitant à côté, quel pied. Fais-moi l’amour de suite Hervé je n’en peux plus il me faut
un engin en moi.
Pendant l’acte, Rachel était particulièrement active. Elle avait enfin pu libérée ses
désirs au grand jour. Elle implora Hervé d’accepter qu’Antoine l’éduque dans cette
relation de plaisir.
Hervé ne pouvait que se réjouir. Il accepterait par amour et en tirerait aussi des
nouveaux plaisirs et jeux sexuels. Restait à tout faire pour en profiter et ne pas la
perdre.

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