Matteo

Tu es allongé sur le lit et tu te reposes, après une journée difficile. Je rentre dans la
chambre et je me déshabille. Tu as les yeux fermés et ne m’entends pas approcher. Tu me
sens monter sur le lit et esquisse un sourire de me savoir à tes côtés.
Je viens me coller à toi et commence à t’embrasser... tes mains commencent à me frôler,
caressent mes bras puis mes hanches, tu sens que je suis nue.
Je te couvre de baisers, tendres puis de temps en temps je te mordille.
Laisse toi faire te dis dans un murmure.
Ma bouche descends lentement sur ton torse, ton ventre ... de plus en plus bas. J’arrive
au niveau de ton entre jambe et viens poser délicatement mes mains sur tes cuisses et les
remontent sur ton sexe... je donne des baisers à travers ton pantalon. Des baisers doux
comme des baisers plus francs. Ca t’excite de plus en plus et tu commence à durcir.. tu
essaies de venir me caresser du bout des doigts. Mes mains défont ton pantalon et te
l’enlève. Je continue mes baisers à travers ton boxer.
Je découvre ton sexe petit à petit et l’embrasse à son tour. Le contact de mes lèvres sur
ton sexe te font frémir et ton erection se fait plus forte. J’enlève tout tes vêtements
et tu te relèves pour m’aider. J’ai envie de t’embrasser et nos bouches s’embrassent
passionnément. Nos langues s’emmêlent. Je monte sur toi tu es entre mes jambes. Nos sexes
se frôlent... je n’ai pas de culotte ...
je te repousse sur le lit et redescend vers ta verge.
Je lui donne de légers coups de langue. Puis vient la lécher toute entière, partout, je
n’oublie aucun endroit, tu es bien lubrifié. Je viens même te lécher les couilles tout en
prenant ta bite entre mes mains. Je relève ton sexe et viens mettre ton gland en bouche.
Tu gémis quand ma langue rentre en contact avec lui. J’aime t’entendre prendre du plaisir
sous mes gestes.

Ta queue en bouche, je commence des vas et viens de plus en plus profond
et te ressors à chaque fois pour donner quelques coups de langue sur ton gland. Ta
respiration est de plus en plus rapide, c’est bon de t’entendre.
De plus en plus bas... jusqu’à arriver au bout et accélérer le mouvement. Cette fois ci
je te garde en bouche et sers mes levres autour de ta verge. Je fais de longs mouvements
rapides une main pour maintenir et serrer ton sexe et l’autre pour te malaxer les
couilles. Tu gémis. Tu poses ta main sur ma tête pour en guider la vitesse. Ma salive est
de plus en plus dense et tu glisses entre mes lèvres. Je maintiens ta queue au fond de ma
bouche et sors ma langue pour te lécher. Je reste comme ça quelques instants. Puis
remonte et te sors. Je recommence. Et encore. Ta verge est tellement bonne. J’ai
tellement faim de toi. Je ne retourne pas tout de suite à ton sexe, ma main vient te
branler, te serrer fort. Pendant que ma bouche remonte pour te lécher et te mordiller le
ventre. Je te regarde droit dans les yeux, ta main posée sur mon menton. Tu glisses ton
pouce sur les lèvres et je le lèche. Je me lèche les levres, les pince. Mon sein frôle
ton gland. Je fais exprès de juste te frôler avec mon téton... je viens ensuite m’appuyer
la poitrine plus fermement...
mais tu sais quoi j’ai vraiment trop faim alors je redescends pour te gober les couilles,
les lécher tout en te branlant fermement d’une main. J’ai trop envie de toi ... et toi
aussi. je te reprends en bouche et ne ménage plus mes mouvements, j’y vais vite et sers
bien fort mes levres et ma main qui te branle en parallèle. Ton sexe est de plus en plus
gonflé, et ton souffle rapide. Tu gémis de plus en plus fort, au rythme de ta main dans
mes cheveux. Je t’enfonce profondément dans ma gorge, sur ton gland tu la sens bien
déglutir. Je sens ta verge prête à décharger. Je m’applique encore, je vais plus vite. Tu
ne contrôles plus rien. Ton plaisir au paroxysme, Tu ne peux plus retenir l’ejaculation.
Je suis le rythme de tes jets avec ma bouche, t’enfonçant dans ma bouche à chaque giclée.
Tu jouis si bien, tu es bon, tu gémis de plaisir. Je te garde encore en moi quelques
instants puis ... je te fais des baisers. Je viens te regarder avec un sourire satisfait,
tu fermes les yeux et laisses les endorphines t’envahir.. je vais me rhabiller puis dans
la salle de bain et reviens m’allonger contre toi, la tête sur ton torse.