Collection Dominant Domine. La Larme Du Diable (1/2)
- Excusez, voulez-vous que je vous aide à traverser ?
Vous semblez hésiter !
- Merci, je suis nouveau dans le quartier, je manque de repères, mais ça va venir.
Il passe sa main sous mon bras sa canne blanche de lautre.
Vert, nous traversons.
- Merci, je vais à droite.
- Moi aussi, continuons.
- Vous avez des seins magnifiques !
- Vous êtes voyant, vous vous amusez à jouer les aveugles ?
- Non, aucune méprise, mais ma main a caressé lamorce de votre sein.
Vous, les protégés par un tee-shirt à manches courtes, ce simple contact ma apporté tous ces éléments.
Vous les laissez libres et jentends le léger tressautement quand vous avancez.
Mes yeux sont morts, mais mon cerveau et mes autres sens sont exacerbés.
- Je suis arrivé.
- Cest drôle, moi aussi, jhabite avec mon mari au cinquième.
- Et moi, un étage plus bas.
Le code AEB012.
Il tape avec dextérité le code et pousse la porte.
- Jai oublié de me présenter, Simon, 32 ans, célibataire, écrivain.
- Suzy, 30 ans, mariés sans , secrétaire par télétravail.
- Écrivain ?
- Oui, grâce aux techniques modernes, jécris en attente de publication.
Nous prenons lascenseur.
Il est petit et nous sommes très rapprochés.
Une sorte donde passe en moi, mais Simon me regarde de ses yeux sans expressions.
Chacun chez soi, joublie ce qui sest passé.
Dans la nuit, je me suis couchée un peu frustré, la passion étant émoussée avec Claude mon mari, je finis par mendormir.
« Susy, caressez-vous, votre main va compenser ce que ce con à vos côtés semble avoir oublié.
Vous verrez une bonne masturbation, ça vous apportera une partie de ce qui vous manque.
Vos doigts vont être mes doigts. »
Ma main dans mon sommeil répond à linjonction et cest naturellement que je me donne du plaisir ayant limpression que mes doigts sont détachés de moi.
- Oui, oui, oui, NON
Je me réveille en sueur assise dans notre lit.
- Chérie, que tarrive-t-il, pourquoi viens-tu de crier « non » avec une force ?
Tu as fait un cauchemar !
Un cauchemar se finissant par un orgasme que jai dû avoir du mal à admettre ayant crié ces trois lettres, non.
Nous nous rendormons, jignore pendant combien de temps.
« Susy faite un effort regardez votre mari couché sur le dos.
Sa verge repose sur sa cuisse toute môle, prenez là dans votre main et posez votre bouche dessus.
Je sais, vous avez toujours refusé de le sucer, il y a un début à tout, ça relancera sa libido pour vous ! »
Je dois dormir, comme un peu plus tôt quand je me suis masturbée.
Dans la lueur du radio-réveil, je vois ma main se porter sur la verge de mon époux.
Jhésite une seconde et ma bouche savance très doucement.
Comment cette voix en moi peut savoir que je refuse de faire des fellations à Claude ?
Je lignore, mais cest une force irrésistible qui me pousse en avant.
Je la fais entrer lentement dans ma bouche.
- Chérie, que fais-tu, jadore.
Attention, je vais partir.
Ah ! Ah ! Ah !
Cest la première fois que ma bouche est remplie par le sperme de Claude.
Cest drôle, pourquoi avoir attendu si longtemps.
- Ma chérie, je suis un homme comblé, je pars au bureau le cur serein.
Jai hâte dêtre à ce soir, tu vas voir ce que tu vas voir.
Claude tout guilleret est parti vers son bureau au ministère des armées.
- Entrez Susy, je vois que vous êtes à lheure et que notre connexion fonctionne à merveille.
- Oui, Maître, je suis entièrement à vous.
Comment avez-vous réussi à prendre possession de mon corps ?
- Quand je vous ai touché le sein et dans lascenseur, vous êtes entièrement à moi maintenant.
Encore deux ou trois étapes et vous connaîtrez la larme du diable.
Jai hâte, Maître.
- Pourquoi enlevez-vous votre peignoir ?
Je viens de lentendre tomber au sol.
Je mappuie les mains sur la table de la salle, dégageant mon cul.
- Je veux que vous me fouettiez, Maître.
Je sais que ça fait partie de mon initiation.
Je suis prête et entièrement à vous.
- Très bien, continuez comme ça et vous serez rapidement marqué par la larme du diable.
Il se déplace mieux quau feu rouge.
Il ouvre une armoire, un grand fouet claque.
Je devrais être anxieuse, mais jai une entière confiance en celui qui a pris possession de moi.
Malgré son handicap, la lanière vient très précisément entourez mes pommes damour.
À chaque coup, je devrais hurler, mais je sais que si je veux arriver aux larmes, il faut que je sois à la hauteur.
Mes fesses sont entièrement zébrées.
Je sais quavec mon Maître, cest lui qui va diriger nos jeux sans que lui me touche autrement que par nos cerveaux.
- Vous pouvez aller, soyez prête pour la suite.
Ce sont mes fesses douloureuses que je retourne chez moi, mon Maître retournant vers ce qui doit être son bureau.
Je prends un bain atténuant les brûlures de mon cul jusquau retour de Claude.
Nous sommes dans la cuisine.
Je magenouille, jouvre sa braguette et je recommence à le sucer.
Pas dinjonction de la voix de mon Maître, seulement par envie.
- Tu veux sur la table, ou allons-nous dans la chambre ?
- Soyons fou, le cul sur la table.
Je me fais prendre sur la table pour éviter de montrer les traces sur mes fesses.
Mais cest loin de lui suffire, il me retourne et me claque les fesses.
Simon est vraiment le diable, car en me prenant et me claquant les fesses, il déclenche un orgasme en moi sans sembler voir les moindres traces de fouet.
Nous nous couchons satisfaits davoir fait lamour autrement que dans notre lit.
« Susy, alors on trompe son Maître, pour vous punir suivez mes instructions.
Je sais ce que je dois faire, sest insensé.
Je me lève, je vais dans lentrée et prenant mon imper gardant mes mules, je prends lascenseur.
Quelques mètres et jentre dans le parc jouxtant notre immeuble.
- Tu es exact à notre rendez-vous, je vais te prendre comme tu me las demandé par Internet.
Il ouvre mon imper, je me place de moi-même sur un banc mappuyant sur son dossier.
- Je vais tenculer comme tu me le demandais.
Cest sur ce banc alors que jétais loin du fantasme de sodomie quil ma pris lanus.
Première fois et coup de maître, car jai joui par ma rosette jusquà ce que je sente son sperme en moi.
Quand je remonte, Claude est encore endormi, cest normal, il est trois heures.
Par chance à part mon enculeur, aucune rencontre intempestive.
Cest très serein que je me recouche.
Il est 9 heures, je sonne, un étage plus bas, je suis à lheure
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