Le Sondage...
Aujourdhui, je ne sais pas pourquoi mais javais envie de faire un brin de ménage à
poil. Jai commencé par faire la vaisselle dans lévier. Puis jai passé laspirateur
dans la cuisine. Dans le salon et jai fini par la salle à manger. Jétais tellement fier
que jai passé À un tel la serpillère. Grâce au reflet que me renvoyer le grand miroir je
distinguais ma queue pendre et ballotter dans les sens.
Cela a commencé à mexciter fortement. Puis jai sentis comme une présence du
côté de la fenêtre que javais laissé entrouverte. Jai tourné la tête pour me trouver
nez à nez avec une inconnue. Elle me fit un signe de la main. Merde ! Elle mavait vu à
poil. Jai lâché le la serpillière et jai filé jusquà la salle de bains, me passer un
peignoir. Mais le mal était fait. Je nétais pas si honteux que cela davoir joué
lexhibitionniste.
En toqua alors à la porte.
- Oui, cest pour quoi ? Disais-je derrière la vitre polie.
- Cest pour un sondage.
Jai ouvert la porte.
- Bonjour madame fis-je dune voix chaleureuse en la détaillant rapidement de la
tête aux pieds. Alors de quel sondage sagit-il ?
La femme mit autant de sensualité quelle le pouvait dans un sourire.
- Je suis chargée de réaliser un sondage dopinion sur les problèmes du tri
sélectif dit-elle en montrant un feuillet quelle tenait sous son bras. Si vous vouliez
bien répondre à quelques questions.
Je pris un air ennuyé :
- Cest que
comme vous le voyez, je ne suis pas habillé.
- Je vous en prie, soyez gentil ! Implora-t-elle dune voix de petite fille. Je
nai jusquà quune quinzaine de formulaires remplie. Si vous ne voulez pas me répondre,
je vais encore me galérer, à faire du porte à porte avant de trouver quelquun qui
veuille bien
- Cest bon ! Linterrompais-je, entrez !
Je me suis effacé pour la laisser passer, me gênant pas dadmirer au passage la
fermeté de sa croupe moulée dans un pantalon de stretch noir et la courbe de ses seins
dont je découvrais un volume appétissant.
sa croupe pour pénétrer la pièce.
- Prenez place où vous voulez.
Elle a choisit la place du canapé à angle, face à la fenêtre, se positionnant de
côté. Jai pris place sur lélément qui faisait en angle droit. Javais une vue
plongeante sur ses cuisses entrouvertes.
Elle prit un stylo dans son sac, et croisa les jambes, puis les décroisa aussitôt
pour caler son feuillet en écartant ses cuisses au maximum pour mon plus grand plaisir
des yeux.
- Je voudrais savoir le nombre de personne vivant dans ses lieux, murmura-t-elle
en bombant la poitrine et en me fixant droit dans les yeux.
- Cinq
nous sommes cinq à vivre ici
La femme me dévisagea avec une lueur malicieuse dans ses grands yeux.
Puis les questions senchainèrent et les réponses suivirent.
- Voilà, nous avons fait le tour.
- Bien !
- Vous voyez cela na pas pris trop de temps !
- Non ! Effectivement. Je vous propose quelque chose.
- Oui ! Pourquoi pas
- Un café ? Un soda ?
- Pourquoi pas un café.
- Allons pour un café.
Alors que je préférais les cafés, on fit la cosette à travers la cloison. Et de
but en blanc, elle ma demandé si javais lintention de lui servir le café dans la même
tenue dans laquelle elle mavait vu pour la première fois. Cela ma fait sourire.
- Je ne sais pas si je le pourrais !
- Pourquoi pas. Jai trouvé ça très agréable à voir. Il ne faut pas avoir peur
de montrer ce qui est beau.
Trop excité pour me raisonner, je me suis abandonné voluptueusement à son désir.
Jai alors obéi comme laurait fait un automate. Et sest en tenue dAdam que je suis
sorti de la cuisine. Ma confusion a grimpé en flèche à la vue du triangle poilu. Pendant
que je maffairais dans la cuisine, elle sétait prestement retiré pantalon et culotte.
Quelle a posée sur le coussin à côté delle. Un petit bijou odorant que jaurai bien
aimé sentir avant de le prendre en bouche. Pour y goûter son arôme comme un vin de
qualité. Jai pu à loisir admirer son sexe, quelle mexhibait avec plaisir. Bombé à
souhait. Avec de grosses lèvres un peu bestiales, qui tranchaient avec le raffinement à
sa propriétaire. Des filaments de mouille comme des fils daraignée pendaient entre les
lèvres, accrochées aux racines des poils. Un détail qui ma excité au plus haut point.
Pas le temps de mattarder plus que déjà elle me dit :
- Viens, viens, approche près de moi ! Jai besoin dautre caresses que les
miennes en ce moment !
Je me suis avancé jusquà elle. Malgré ma bonne volonté, je tremblais
dexcitation. Jai frissonné en prenant place à son côté. Jétais grisé par lexcitation.
Je fus pris dun vertige quand elle me dit :
- Sers-toi, mon corps est tout à toi
Elle a passé son haut par-dessus sa tête. Puis elle sest dégrafée les attaches
du soutien gorge. À lair libre, les seins pointaient. Jai approchais ma bouche, y est
déposé de petits bisous sur les gros globes blancs.
Du bout des lèvres, jai insisté vers les mamelons. Jai sortis ma langue.
Instinctivement, dune main accrochée fermement au-dessus de ma tête, elle ma bloqué sur
le bout du sein, comme pour minciter à continuer, aller plus loin plus fort.
Jai augmenté la pression de ma bouche sur le bout des seins. Sous mes lèvres, le
mamelon a durci encore un peu plus. Elle a émit de légers feulements de plaisir. Sans
arrêter de lui sucer le sein, jai lancé ma main à faire plus ample connaissance avec son
sexe. Mes doigts ont fouillé entre les lèvres grasses et humides dun plaisir qui a
suinté et a coulé sur et entre mes doigts, qui a débordé dans ma main.
Du pouce, jai simulé une pénétration.
un doigt dans son petit trou, anneau serré, chaud et humide qui, au premier contact,
sest détendu, sest ouvert et la aspiré. Elle sest mise à se tortiller. Dans un total
abandon, elle sest pénétrée aussi loin quelle le pouvait en grimaçant. Poussant son
bassin à sa rencontre. Sous leffet de cette double pénétration et de la sucée de son
sein, elle a comprimé ma tête contre sa poitrine. Sa chatte bavait abondamment. Elle a
commencé à gémir, puis à supplier, à hurler aussi. Son corps se cabra violemment. Ses
jambes ont tremblé de plaisir. Des vagues dexcitations sont monté les unes derrière les
autres. Elle était comme électrisée. Se tordant convulsivement, les yeux révulsés, la
bouche grande ouverte. Elle ne contrôlait plus rien. Elle lâcha quelques gouttes durine.
Ce que je reconnaissais, avoir apprécié. D'un coup plus violent encore elle écrasa son
bassin sur ma bouche et jouit dans un râle doux et grave. Quand je me suis redressé, la
bouche brillante de son plaisir elle avait encore les yeux fermés.
Jai réussi à me dégager pour pouvoir reprendre mon souffle et extraire ma main
du sexe et des fesses de la femme. Les doigts trempés et engourdis. La femme, à bout de
souffle, haletante, les yeux mi-clos, a niché sa tête dans mon cou.
- Tu peux faire de moi tout ce que tu veux. Vraiment tout
Avant que je réponde, elle sest lovée contre moi. Elle a effleuré mon sexe dur
comme du marbre.
- Je ne devrais peut-être pas te le dire, mais tu me fais perdre mes moyens. Tu
vois, là maintenant, jai envie de faire des folies.
La mèche qui pendait sur son front lui donnait un air négligé. Après un court
silence, je nai pu mempêcher de lui dire :
- À ton allure candide, je naurais jamais cru que tu puisses être aussi vicieuse
!
Jai crus discerner un bref tremblement sur ses lèvres, alors quelle ne quittait
pas des yeux ma queue bandée.
me la mordre.
- Quattends-tu ! Caresse moi aussi. Fit-elle en faisant passer par-dessus sa
tête son haut.
Avant que jai pu esquisser un geste, elle ma prit la main et la poser sur son
sein droit. Jai fis tourner mon doigt autour du mamelon, tâtant le téton brun. Elle a
frémit. Jai empoigné les deux mamelons et me suis penché dessus pour les téter.
Mes mains ne suffisaient pas à contenir cette opulente poitrine que jai malmenée
à loisir. Jy ai enfoncé mes doigts. Jai pincé, serré, malaxé. Je lai mordu, sans
quelle sen plaigne dautre chose que le plaisir.
Cétait fascinant. Elle a poussé des couinements dextase, alors que je tirais
sur ses tétons.
- Tu vas me rendre folle. A-t-elle gémit, tout en secouant la tête.
Ses seins étaient lourds et moelleux à souhait. Je me suis penché au-dessus du
sein droit. Que jai pris en bouche. Ma succion énergique a fait frémir sa propriétaire.
- Oh ! Le gourmand.
Jai entrepris de mattaquer au second avec la même frénésie.
- Aaah
oui ! Sexclama-t-elle en se cambrant.
Avant dajouter :
- Oh ! Que jaimai ça
Elle était loin dêtre légale de celle qui avait franchis ma porte une heure plus
tôt. Elle avait perdu un peu plus de retenue.
- Tu bande dur mon salaud. Ma-t-elle affirmé en se léchant les babines.
Puis elle sest laissé glisser lentement jusquà ce que sa bouche soit à la
hauteur mon érection. Elle a affiché une mine admirative. Comme dans un rêve, je me suis
senti soudain comme aspiré. Ma queue a disparu presque entièrement dans une bouche
affamée. Cétait brûlant, grisant, effrayant
mais très bon !
Elle a entamé une ballade très humide sur mon sexe. Des ronronnements daise
montaient jusquà mes oreilles. Elle ma serré fort et ma sucé avec une fougue
incroyable. Je nai pas pu me retenir de pousser un soupir de bien être. Cétait astral
au point de me faire fermer les yeux.
Elle ma embrassé les testicules. Je nai pas pus retenir un râle rauque. Jétais
littéralement dévoré par une gourmande.
Puis elle ma délaissé un instant pour aller sétendre sur un des deux fauteuils.
Elle a écarté largement ses cuisses. Puis sest promenée une main ludique sur sa chatte.
Elle eut un sourire en sortant ses doigts mouillés de son intimité. Avec son doigt elle
ma fait signe de mapprocher. Je ne me le suis pas fait répéter une seconde fois avant
daller la rejoindre.
Du bout des doigts, jai effleuré les poils entourant la corolle boursouflée de
son anus. Je me suis penché entre les cuisses ouvertes. Une odeur puissante durine et de
sueur ont agacé mes narines. Cétait désagréable mais tellement excitant de suivre avec
ma langue le relief de ce sexe offert. En respirant très fort, pour mieux mimprégner de
son odeur. Jai fouillé dans les poils avec ma langue. Ils étaient maculée de crème
damour.
- Oh oui ! Gronda-t-elle.
Son ventre sest creusé quand ma bouche a aspiré ses chairs écartelées. Léchant
le filet de mouille qui sécoulait de son antre. La bouche grand ouverte, elle a couiné
et fut secouée par un spasme, alors que ma langue trouva refuge dans son terrier à
plaisir. Je me suis activé dun mouvement méthodique à lintérieur de la galerie soyeuse.
Jai dégusté son sexe avec un appétit féroce. Parcourant les moindres recoins
pour ne rien perdre de sa saveur. Enfoui entre les cuisses le nez dans ses poils ma
langue fourré dans son intimité, je ne pouvais que deviner ce qui se passait au-dessus de
moi. Et cela jusquà ce que lorgasme la cloue sur le coussin.
La langue ankylosé, Le menton poisseux, jai relevé ma tête. Sans la moindre
gêne, la femme se caressait. Jen ai profité pour
Trouver lentrée de son anus. Elle sest tout de suite raidit.
- Attention jeune homme, gémissait-elle. Ce nest pas propre de ce côté-là.
Quand mon doigt fut totalement introduit, elle a activé le mouvement de son
poignet. Jai fait coulisser mon doigt dans son fion. Elle se mit à rire aux éclats.
- Tu es un vrai cochon, dit-donc !
Doucement jai dirigé ma verge vers lentrée de son il ridé, que jai entrouvert
en forçant. La sensation était intense et jai préféré attendre un peu immobile avant de
commencer les mouvements ondulants de pompe.
Tout de suite ses soupirs et ses gémissements se sont fait entendre. Me guidant
pour lui donner un maximum de plaisir. Je la sentis élastique. Prête à produire mes
quatre volontés avec elle. Jai pris appui sur ses cuisses et jai accéléré la cadence.
Cétait tellement exquis que jai sentis que je nallais pas tenir encore longueur. Bien
que javais envie de lui en donner un peu plus. Jai distingué ses yeux. Qui me fixaient
intensément. Sa respiration sest faite courte et nétait pratiquement plus quun long
gémissement de plus en plus sonore. Ses yeux se sont révulsés quand jai accéléré mes
mouvements de va-et-vient et ce fut ensemble que nos jouissances se sont rejointes. Dans
un râle commun.
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