Collection Dominant Domine. La Larme Du Diable (2/2)
Je mappelle Susy, jai 30 ans et jhabite à Paris.
Jaide un aveugle à traverser non loin de chez moi.
Il se trouve que cest mon nouveau voisin du dessous.
Pour traverser, il a passé son bras sous mon bras me touchant le sein.
Dans lascenseur très petit, nous sommes si proches que jai eu la sensation quil se passait quelque chose.
Cest la nuit suivante que détranges choses se passent allant même chez lui proposant mes fesses à son fouet sous promesse de connaître la larme du diable.
Les coups sont tombés très précisément à croire quil voyait ce quil me faisait.
Je mattendais à ce quil me baise, jétais prête à tromper Claude.
Je me trompais.
Mais cest pour mieux rebondir le lendemain ou dans la nuit la voix qui me parle, mordonne daller me faire sodomiser sur un banc du parc voisin par un inconnu.
Je le fais en tirant un immense plaisir.
Plaisir de plus en plus profond, même avec Claude à qui je fais plein dactes sexuels hors de ma pratique habituelle depuis mon mariage.
Pour me faire fouetter, hier, jai rejoint le Maître comme je le fais ce matin après un irrésistible besoin de descendre létage.
- Entrez, jaime votre ponctualité.
- Comment saviez-vous que cétait moi, Maître puisque vous êtes non voyant ?
- Votre odeur, votre peau a déjà lodeur de notre Maître suprême que tu connaîtras bientôt dès quil taura marqué de la larme du diable.
Sans poser plus de question, le Maître ayant déjà son fouet en main, je me positionne ayant fait tomber mon peignoir.
Les coups de fouet tombent à marracher la peau du cul.
Jencaisse avec délice, ma vie a pris un coup daccélérateur depuis notre rencontre.
- Remontez chez vous, vous aurez une visite inattendue, ça fait partie de votre initiation.
Jai compris et appris à exécuter les ordres de mon Maître sans poser la moindre question.
Cest comme le vouvoiement, je sais quil me vouvoiera chaque fois que nous nous verrons.
Je suis ses ordres.
Onze heures, lInterphone se déclenche.
- Susy, cest Louisa, je peux monter ?
Si Louisa est ma surprise, elle est grande.
Louisa est ma copine davant mariage et aussi lune des sources ayant failli dès le premier jour de mon mariage, le faire capoter.
Cest au bal du soir de notre repas de noces que devant tous, j'ai fait le spectacle allant même jusquà lembrasser à pleine bouche au milieu de nos deux familles.
Jétais vierge suivant les principes de ma mère.
Est-ce là que mes pratiques du sexe ont débuté me donnant, mais avec le minimum de débordements comparé à ce que je vis depuis que jai rencontré mon Maître.
- Entre Louisa, excuse ma tenue, dhabitude à cette heure, je suis habillée, mais bizarrement jai senti le besoin dêtre nue.
- Tu as bien fait, ça nous fera gagner du temps.
Sa bouche prend la mienne comme si cétait hier, à la différence que sa main se porte sur mon sein qui réagit comme il lavait fait au contact des siens dans la salle de bal.
Dix ans et la même excitation irrésistible.
Est-il possible que dès le soir de mes noces, jaie été programmé pour rencontrer le Maître en arrivant à me gouiner avec mon amie ?
Inutile de résister à ces forces qui semblent plus fortes que moi.
Surtout que sur mon lit partagé à ce jour seulement avec Claude, nos bouches trouvent nos grottes sans que je moppose à ce qui arrive.
Jai déjà vu des pornos en cachette où les filles se donnent du plaisir et cest rapidement que je menvole comme la nuit dernière vers ce que lon appelle le septième ciel.
Elle est nue dans mes bras.
Je la caresse, les yeux dans les yeux, je palpe son sein qui réagit.
Ma main passe sur son épaule, je sens comme une boursouflure.
- Quas-tu sur ton épaule ?
- Rien, tu le sauras plus tard.
Sans que jaie pu voir ce que jai senti sous mon doigt, elle remet ses effets et après un dernier baisé, part, me laissant pantelante et dans le doute sur sa visite inopinée étant passée dans mon quartier.
- Chérie, cette odeur, je connais ce parfum.
- Cest celui de Louisa, elle passait dans le quartier et est monté me voir.
- Son parfum est enivrant, regarde, il me fait bander, continuons nos jeux, jadore ce que nous faisons depuis la nuit où tu mas sucé.
La cuisine semble être notre nouveau terrain de jeu.
Cest sur le plan de travail quil commence à me baiser pour mon plus grand plaisir surtout quand me relevant les jambes, sa verge se présente à mon anus qui le happe avec appétit.
Il devrait être surpris que je me laisse pénétrer sans ressentir la moindre douleur.
Et mes fesses même si je suis assise dessus, il devrait voir les marques du fouet, mais il semble quelles aient disparu.
Suis-je la victime dune machination et est-il à lorigine de la venue de mon Maître à létage du dessous afin de me débrider dans ma sexualité ?
- Jaime votre ponctualité.
Que faites-vous ?
- Vous allez me fouetter, jai beaucoup aimé !
Jai bien vu que le fouet était dans ses mains, je me place comme hier et malgré sa nuit, les coups tombent précis.
- Cest bon pour aujourdhui, je vois que vous y prenez goût.
Vous êtes proche de votre but.
Avant je pense que vous suivrez mes instructions, je vais réaliser un de vos fantasmes.
Allez !
Je remonte chez moi, intriguée.
Que va-t-il encore me faire faire ?
Mais son emprise sur moi est si forte que sans plus réfléchir, je mapprête et je sors.
Je cambre mes reins faisant ressortir ma poitrine comme si je moffrais à tous les hommes voulant de moi.
- Suivez-moi !
Lhomme qui sadresse à moi est bien plus grand et me parle à hauteur de mon oreille.
Je sens son souffle chaud, ça mélectrise, je sens que ma chatte réagit.
Un black, comment mon Maître a-t-il su que je fantasmais sur les blacks ?
Je sais, ça fait stéréotype, la bourgeoise blanche se faisant un noir, mais il est vrai quun jour dans le métro un homme de couleur est venu sasseoir à mon côté.
Il y avait peu de monde dans la rame et quand il a posé sa grosse patte sur mon genou, jai pris peur et le métro entrant en gare, je suis descendu en courant.
La nuit suivante, quand Claude ma baisé, cest une verge noire qui est entrée en moi.
Ce fut lun de mes meilleurs orgasmes.
Deux étages, une clef, une porte ouverte et il me fait entrer dans un vestibule.
Il me prend dans ses bras me soulève comme sil soulevait un sac de plume et memmène directement dans sa chambre.
Pardon leur chambre, car avec lhomme que jai suivi, ils sont trois tous aussi bien pourvus, les uns et les autres.
Aucune question, je fais tomber mes vêtements leur apparaissant dans toute ma nudité.
Inutile quils me commandent, je les rejoins sur le lit et je commence à les sucer à tour de rôle.
Cest aussi à tour de rôle quils viennent en moi.
Jignore leur nom, mais là, on sen fiche, je suis là pour baiser et plaire à mon Maître, cet homme non voyant qui a pris le pouvoir sur mon corps et sur mon cerveau.
- Viens sur moi, empale-toi.
Elle est comme dans mon fantasme sur celle du noir et de sa main sur mon genou.
Mon excitation est telle, que je rentre jusquà ses couilles sans la moindre souffrance.
Il en va de même quand le deuxième entre, lui aussi dans mon vagin à côté du premier.
Ils sont souples quand le troisième entre dans mon anus.
Prise par trois hommes et trois blacks en même temps.
Chaque fois que je baise depuis ma rencontre et chaque fois lorgasme qui me traverse est plus fort.
Là ce sont trois, quatre voir plus, dorgasmes qui partent de mes reins à mon cerveau.
Quatre, peut-être plus quand je perds connaissance.
Quand jémerge, je suis seule, mon corps est recouvert de sperme.
Heureusement, car étant seule, jaurais pu penser avoir rêvé !
De retour à la maison, je sens une envie irrésistible dappuyer à létage de mon Maître pour lui montrer que jai été à la hauteur de sa domination.
Mais je rentre chez moi pour prendre un bon bain.
De retour Claude décide de me sauter, mais jai mal à ma chatte.
Jai peur de me refuser aussi cest une fellation que je lui fais.
Dans la nuit, je me réveille.
« Je tattends ! »
Comment refuser linvitation, je sais que Claude restera endormi, mon Maître doit y être pour quelque chose ?
- Entrez, vous êtes arrivée au bout de votre parcours initiatique, vous allez recevoir la larme du diable.
- Il fait chaud Maître.
- Jai allumé ma cheminée pour amener au rouge sa larme.
Dans les flammes, une barre de fer est plantée.
Dans les films de cow-boys, les fers pour marquer les bufs sont plantés de la même façon.
Mon Maître sans le chercher, vu ses yeux morts, la saisie.
Il sapproche, je devrais me sauver, mais cest presque avec soulagement quil lapproche de mon épaule et comme les putes des rois me marque de la larme du diable.
Ça sent la chair brûlée, jai mal, mais je serre les dents.
Jai laissé tomber mon peignoir.
Je comprends la boursouflure sur lépaule de Louisa.
Je sens comme un feu brûlant dans mon dos.
- Non , regardez devant vous, vous allez appartenir à jamais à mon
- Maître à qui vous allez donner une nouvelle progéniture.
Je suis saisie par les anches et je sens quon cherche son chemin en moi, je me laisse faire avec délice quand une chose étrange entre en moi.
Ça ressemble à une queue-de-cochon qui trouve son chemin et qui tourne jusquà mon explosion.
Combien de litres de sperme coulent dans mon vagin débordant parterre.
- Allez, va. !
La chaleur dans mon dos a disparu.
Je remonte oubliant ma nudité, je me recouche espérant que Claude oubliera de mhonorer, je serais obligée de jouer la migraine.
À lheure habituelle, je sonne à létage de mon Maître.
- Le monsieur aveugle est parti de bonne heure avec sa valise.
Il avait loué pour une semaine.
Pendant ce temps à lautre bout de Paris.
- Excusez, voulez-vous que je vous aide à traverser ?
Vous semblez hésiter !
- Merci, je suis nouveau dans le quartier, je manque de repères, mais ça va venir.
Merci, je vais à droite.
- Moi aussi, continuons.
- Je suis arrivé.
- Cest drôle, moi aussi, jhabite avec mon amie au troisième.
- Et moi, un étage plus bas.
Le code ABCD.
La vie est un éternel recommencement, jusquà être marquée par la larme du diable et lui assurer une grande descendance.
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