Ma Femme Carine 1.
Il était 20 heures, Carine venait de partir chez le dentiste pour une urgence.
Comme il était un de nos proches voisins et la connaissait depuis longtemps, il
sarrangeait pour la voir rapidement après ses derniers rendez-vous du soir, lui évitant
ainsi une attente de plusieurs jours.
Mais ce soir là, lavait-il prévenue, ce serait son nouveau remplaçant qui la recevrait,
lui étant occupé ailleurs.
Resté seul à la maison, je me lançais dans la préparation du repas, pensant quelle
serait de retour dans une bonne demi-heure.
Au bout dun quart dheure, en allant dans le salon, je remarquais sur une table le
porte-monnaie de Carine. Quelle étourdie, pensais-je, elle a ment oublié sa Carte
Vitale. Après vérification, je vis que sa carte était bien là, et décidais donc de la lui
amener chez le dentiste, à 50 mètres de chez nous.
A lexception dune voiture, le parking devant le cabinet était vide, normal à cette
heure.
Jentrais, et me trouvais maintenant dans le couloir qui menait au secrétariat. Tout
était calme, très calme. Peut-être aurais-je du mannoncer.
A droite au fond du couloir, une porte était entrouverte, doù sortait une lumière vive.
En me rapprochant, je tendis loreille. Je nentendais pas de conversation, tout était,
là aussi, étrangement calme. Ne comprenant pas, je décidais de mapprocher encore,
doucement.
Ce que jentendis alors me fit leffet dun choc. Une voix dhomme, sensuelle, et des
gémissements, dont je compris de suite quils ne pouvaient venir que de ma femme. Je
mapprochais encore, pouvant maintenant distinguer ce que disait lhomme:
- oui
comme ça
prenez la bien
ahhhh
cest bon
Bouche-bée, je me mis maintenant contre la porte, essayant de voir par louverture ce que
je ne devinais que trop bien.
Ma femme, allongée sur le fauteuil dexamen dont le dossier était à moitié relevé,
perpendiculaire à la porte où je me trouvais.
lui face à moi, les yeux fermés, balançait son bassin vers le visage de Carine. Cela ne
faisait maintenant aucun doute, elle lui prodiguait une fellation.
La surprise passée, je me sentis immédiatement gonfler dans mon boxer. La scène, les
gémissements de ma femme, lexpression de plaisir sur le visage du dentiste, tout était
fabuleusement excitant.
Lhomme était bien plus jeune que moi, je lui donnais 35 ans. Grand, costaud, très brun,
une beauté méditerranéenne.
Je maperçus que sa main était plongée dans le jean légèrement descendu de Carine. Il
sappliquait à la branler doucement, daprès les mouvements presque imperceptibles de se
main.
Cétait trop pour moi, la voir comme ça excitée, prenant du plaisir à se faire toucher et
à sucer, je ne pus me retenir. Je baissais à mon tour mon pantalon et me mis à me toucher
à travers mon boxer, curieux de voir jusquoù ils iraient. Eux ne pouvaient me voir.
Je voyais la tête de ma femme, sa chevelure blonde, aller davant en arrière rapidement.
J savais quelle le prenait le plus loin possible dans sa bouche.
Au bout dun moment qui me sembla interminable, Carine retira le membre de sa bouche,
lattrapa avec sa main et commença à aller et venir, rapidement
- ah, jaime ta queue, elle est belle
Effectivement, ce salaud avait une belle queue, très droite, bien veinée, plus épaisse
que la mienne. Carine passait maintenant la main sur deux belles couilles, velues, et qui
semblaient prêtes à éclater.
- jai envie de vous
dit-il en se reculant, donnant limpression quil pouvait jouir à
tout moment.
Carine répondit sur un ton qui trahissait une grande excitation
- oui, viens me baiser, tu mas bien touchée, jai envie
Lhomme fut rapidement entre les cuisses de Carine, et laida à se débarrasser de son
jean.
pris du volume, pointait fièrement vers ma femme.
Il était pile à la bonne hauteur. Alors quil sapprochait elle leva, ses jambes, les
reposant sur les épaules.
Je le vis poser maintenant son pouce sur la chatte de ma femme, je voyais quil cherchait
son clitoris, puis il plongea son doigt dans sa chatte, la préparant pour la pénétrer.
Ce salaud navait même pas pris la peine denlever sa culotte, il lécartait simplement.
Je savais que Carine appréciait cette position. Il allait toucher ses zones les plus
sensibles.
Javais maintenant sorti ma queue. Je me branlais vigoureusement. Je voyais Carine, de
profil, jambes relevées. Elle fixait la queue de lhomme, que celui ci caressait
doucement alors quil sapprochait de sa chatte. Je le vis disparaitre en elle, dune
poussée. Les deux poussèrent un cri, comme une libération. Il ne bougea plus, restant
fiché en elle, semblant prendre beaucoup de plaisir au fond de son fourreau.
- Je veux voir vos seins, lui dit-il.
Je vis alors Carine relever son haut, laissant apparaitre son soutien-gorge. Jai
toujours été amoureux des seins de maremme, pleins, lourds, source inépuisable de
plaisir. Il se mit aussitôt, dune main, à en caresser un à travers le tissu, puis à
faire sortir le mamelon, dur, gonflé, quil pinça délicatement. Je savais que Carine
aimait ça, elle le fit entendre, dautant plus que lhomme, maintenant, commençait un
profond va-et-vient en elle.
- cest bon, dit-elle, oui, oui, va plus fort, mets la moi
Lui était concentré, une main maintenant fermement une cuisse de Carine, afin de bien
senfoncer en elle.
Ce fût à ce moment quinvolontairement - ou non - je fis du bruit contre la porte en me
touchant. Lhomme absorbé par sa baise, ne lentendit pas, mais ma femme tourna aussitôt
la tête vers lendroit où je me trouvais, et maperçu, queue à la main.
Elle ne paru pas surprise. Au contraire, son regard se troubla, sa bouche souvrit.
- Viens, dit elle en me fixant.
Au début hésitant, mais finalement très excité, je mavançais. Lhomme maperçut, parut
surpris, ralentit, sembla comprendre qui jétais, et voyant que ni Carine ni moi ne lui
demandions quoi que ce soit, reprit son mouvement, rassuré.
Jétais plus dur que jamais. Carine mattrapa de sa main libre, et me mit au fond de sa
bouche. Divine sensation, jétais prêt à exploser. Elle était maintenant baisée
puissamment, lhomme ne se retenant plus. Il la faisait gémir fort, à chaque coup. Elle
menleva de sa bouche, me branla, et les yeux clos, se mit à jouir tandis quil la
pilonnait
- oui, oui, baise
ahhh
jaime ça
vas-y ne tarrête pas
Elle semblait jouir encore, ne pas sarrêter. Elle se caressait les seins. De mon côté,
je me branlais, frottant ma queue sur son visage, ses lèvres, coulant abondamment.
- salauds, vous me faîtes jouir
jaime ça
Je pouvais voir quelle inondait la bite de lhomme.
- putain, je vais jouir dit-il.
- sur ma chatte, sur ma chatte, dit Carine, vas-y, mets men partout.
Aussitôt, lhomme sortit sa queue, énorme, trempée, et se mit à se branler le gland
contre la chatte de ma femme. De mon côte, jarrivais à mettre loin dans sa bouche,
jallais et venais.
Lhomme tendit bien sa bite avec sa main, ne bougea plus
une seconde, deux secondes
puis nous le vîmes, Carine et moi fixant son lextrémité
la fente souvrit, libérant un
premier jet, puissant, bref, avant quil ne se mette à éjaculer, cette fois ci
abondamment, en un flot continu, épais, qui coulait de sa bite au sexe ouvert de Carine.
Le salaud narrêtait pas, elle en avait partout
elle souffla
- oui, oui je sens, cest bon, cest chaud, encore, encore
La toison claire de ma femme était maintenant maculée de semence, ses lèvres inondées de
liquide blanc, compact
Lhomme secouait sa bite tout contre, expulsant les dernières gouttes, se vidant les
couilles.
Jétais moi-même au bord de lorgasme, tendu contre le visage de Carine, me branlant,
forçant sa bouche pour la baiser.
Lhomme queue à la main, se frottait encore contre la chatte de ma femme, étalant son
sperme sur elle
elle porta alors une main à sa chatte et se mit à se caresser le
clitoris, encore gluant de semence. Je vis à ce moment le gland de lhomme, trempé,
frotter le cul de ma femme.
- ah, salaud, salaud, oui, contre mon cul, vas-y, vas-y, jaime ça, je suis ouverte
Je nen revenais pas, Carine voulait maintenant quil lencule. Cétait trop pour moi
je
vis le dentiste forcer son anus, doucement, introduisant une bonne moitié de sa grosse
queue.
A ce moment, mon orgasme me faucha, juste contre le visage de Carine. Plusieurs jets
épais, je criais, malaxais ses seins, me vidais sur elle:
- oui chéri, je lui donne mon cul
regarde ta femme se faire enculer
mets men partout,
salaud
Je me branlais aussi fort que je pouvais
me vidant complètement à mon tour
Ma main avait remplacé celle de Carine sur sa chatte. Je branlais son clitoris avec la
semence de lhomme, sensation étrange. Lui prenait encore son cul.
- je vais jouir, dit-elle, ça monte, vous me faîtes partir, salauds
Je la vis se contracter, lever son bassin, crier
- je jouis, je jouis
Cen fut trop pour lhomme aussi, qui fiché en elle et sentant les contractions du cul de
ma femme qui jouissait, se mit à crier
il se retira, et vint exploser entre ses fesses,
à nouveau plusieurs jets quil étala avec sa bite
Il nous fallut dix bonnes minutes pour reprendre nos esprits. Sans un mot, nous nous
rhabillâmes.
Nous laissâmes le dentiste, non sans avoir pris un autre rendez-vous, dans la journée
cette fois ci.
Plus que jamais, jétais amoureux, comblé par ma femme.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!