Les 1001 Perversions De Nathalie (24) - Salope, Salope, Salope !

Nathalie sait immédiatement à quoi s‘en tenir lorsque Juan la fait venir dans son bureau.
- R. est un gros client… précise-t-il. Et Paul lui a parlé de toi…
Paul est un autre „gros client“, qui l‘a sodomisée lors de la réunion précédente.
Dans l‘ascenseur elle revoit R. lors de la conférence du matin : il appartient à la
catégorie “plutôt âgé, pas beau, sûrement vicieux“. Le type d’hommes qui parfois
l‘attire. Pourquoi ? Nathalie ne se pose même plus la question… Elle se débarrasse de sa
culotte et en pénétrant dans le bureau de Juan elle se sent déjà humide.
Affalé dans un fauteuil, R. entre sans ambages dans le vif du sujet :
- Elle a l’air d’avoir de beaux nichons… Je dis l’air, parce qu’avec ces soutien-gorges
pigeonnants, on est parfois volé.
Il s’éponge. Déboutonnée, la chemise révèle une poitrine grasse, des poils gris, des
mamelons aussi gros que ceux d’une adolescente.
- Tu me les montres ?
Nathalie sent l’excitation cogner dans son ventre. Elle déboutonne son corsage de
dentelle, attend quelques secondes pour dégrafer son soutien-gorge. Elle est excitée par
le frottement de la jupe contre la peau de son cul nu.
Les yeux rétrécis, le ventre en avant, R. perd un peu de sa placidité. Un soupir gonfle
sa poitrine en voyant que les seins sont gros et fermes, déjà gonflés par l’excitation.
D’une voix qui s’enroue, il demande à Nathalie de lui montrer sa chatte.
Comme elle relève avec empressement sa jupe, et qu‘il constate qu‘elle ne porte pas de
culotte, il s’écrie à l‘adresse de Juan :
- Tu avais raison, c‘est une vraie salope !
Ce n’est pas une insulte. Plutôt un compliment, prononcé avec une incrédulité presque
ravie.
- Montre-moi ta moule, écartes bien, je veux voir jusqu’au trou de ton cul...
Un jus brûlant inonde sa chatte. Elle se débarrasse de sa jupe et s‘allonge sur le tapis,
en pliant les genoux, ouvrant les cuisses pour s’exhiber totalement.


R. quitte son fauteuil. Penché sur elle, ses regards la fouillent avec autant d’intensité
que des doigts. Elle tire sur ses poils pour se découvrir encore, avance les reins pour
exposer son anus, soupire quand il pousse un doigt dedans. En le retirant, il l’enfonce
dans son vagin, puis le pose sur ses lèvres pour la contraindre à le lécher.
Elle aime le goût de sa mouille. Hors d‘elle, elle lèche le doigt de R. pendant que de sa
main libre, il pétrit ses seins en marmonnant des obscénités. L’ignominie de la situation
lui fait perdre la tête. Prise de vertige, elle cambre de nouveau les reins, ouvre ses
cuisses autant qu‘elle le peut.
- Tu as envie de te faire bouffer, hein ? Je suis un bon suceur...
Il effleure ses poils de sa langue :
- Mets-toi à quatre pattes, les fesses en l’air.
Nathalie obéit. La joue posée sur le sol, elle a un plaisir poisseux à se montrer à R.,
qui s’installe derrière elle. Elle frissonne quand sa langue épaisse s’écrase sur sa
vulve, que lentement elle passe entre les lèvres, se pousse à l’entrée de son vagin puis
titille le clitoris.
R. la lèche avec l’avidité d’un chien, sa salive coule en abondance, et ses bruits de
bouche prennent un caractère répugnant.
Une série de coups de langue rapides conduisent Nathalie au bord de l’orgasme, elle ne
peut retenir un grognement quand le visage de K. se décolle de sa chatte.
Les mains de R. écartent ses fesses. Elle les relèves en sentant ses lèvres sur son anus.
Elle crie de plaisir quand sa langue s’enfonce dans son cul, que la salive coule sur les
lèvres de sa chatte. Quand il aspire son clitoris, elle jouit si violemment, que ses
genoux flanchent.
- Tu as eu bon, hein ?
Le visage luisant, R. la regarde de ses yeux glauques. Saisissant sa main, il la pose sur
sa bite bandée.
- Sors-là !
Abasourdie par son orgasme, elle peine pour ouvrir les boutons.
Impatient, R. mêle ses
doigts aux siens, dégage une bite courte et trapue, dressée dans une touffe de poils
rares. Le gland décalotté est gros, comme les couilles dépourvues de poils.
- Lèche-moi un peu.
Ses petits yeux, encore rétrécis par le désir semblent se moquer. Elle se penche pour
donner quelques coups de langue à la queue et aux couilles. Pressée de s’immerger encore
dans une vague de plaisir sale, elle saisit le bout de la queue, le frotte contre sa
vulve avant de l’enfoncer dans son vagin.
Elle y va d’un coup. Elle ne peut retenir un cri au contact du membre aussi brûlant que
ses muqueuses.
Elle se trouve assise sur les cuisses de R. Il s’empare de ses seins avec la même
violence qu‘elle s’est empalée sur lui. Les pressant l’un contre l’autre, il mord les
pointes tandis qu‘elle fait tourner son bassin pour doser la montée du plaisir.
Il n’y a plus que cette bite qui pilonne son con, cette voix, qui inlassablement répète :
- Salope, salope, salope !
Il crie soudain :
- Je vais cracher !
Nathalie jouit quelques secondes avant que R. lâche son sperme. L’orgasme l‘atteint comme
un coup de poing. Affaissée sur la poitrine de R., elle reprend ses esprits en voyant,
sur le pas de la porte, cramponnée au chambranle, une main fourrée dans sa culotte,
Bianca qui jouit avec une petite plainte…

Juan, qui se contente (pour le moment), du rôle de maître de cérémonie, intervient :
- Joli préliminaire… Passons maintenant aux choses sérieuses… R. va vous montrer à toutes
les deux ce que c’est qu’un artiste de la fessée...
Il fait se pencher Nathalie et Bianca sur le grand bureau.
R., qui s‘est muni d‘un martinet aux lanières courtes mais épaisses, se poste derrière
les deux femmes. Le contraste entre le cul rond et potelé de Bianca et la croupe de femme
mûre de Nathalie semble l‘avoir remit en forme, car il bande à nouveau.
Il triture, il
pince, il assène de petites tapes.
Nathalie râle quand il enfonce ses doigts dans son cul et celui de Bianca, et les fait
tourner sans ménagement. Elle se cambre encore plus et geint qu'elle n’en peut plus
d’attendre.
- Tu as raison, inutile de traîner à présent…
D’une voix geignarde de gamine, Bianca le supplie de ne pas être trop méchant. Elle
pousse un cri quand il lui assène le premier coup.
Il n’a pas frappé pour rire et les marques rouges des lanières s’étalent en travers des
fesses dodues. Elle se cambre et remue son derrière en une invite obscène. 
Nathalie se sent devenir trempée. Comme elle, elle remue son derrière de droite à gauche.
Il y a une part de jeu dans son attitude, mais elle est de plus en plus excitée.  
Le premier coup la cingle. Sous la violence de la douleur, elle songe que c’est  trop
pour elle. Cependant, l’instant d’après, la brûlure sur ses fesses s’estompe et une
chaleur bien connue se répand dans son ventre. Elle se cambre, attendant la seconde
cinglée, mais c'est Bianca qui crie :
- Plus fort !
R. les fouettes alors alternativement. Au début, il retient les coups, mais bientôt il en
augmente progressivement la cadence et la force. Les élancements s’étendent, enflamment
tout le cul de Nathalie. Pourtant, son excitation ne fait que croître.
N’y tenant plus, elle prend appui d’une main sur la table et glisse l’autre entre ses
cuisses pour se branler. Bianca l'a précédée et va au devant des lanières en donnant des
coups de reins en arrière.
Elle manifeste son plaisir en poussant des plaintes de plus en plus stridentes. Pourtant
il ne la ménage pas. Il lève haut au-dessus de la tête le martinet et l’abat sèchement.
Les lanières rebondissent avec un claquement sonore. Elle accuse chaque coup en creusant
les reins mais elle ne jouit pas, alors que Nathalie atteint l’orgasme.

Il cesse de frapper. Nathalie se redresse et voit R, guidant sa queue vers l’anus de
Bianca, qui se cambre, en couinant :
- Viens ! Mets-la bien profond dans mon cul !
Il la lui met très lentement, vicieusement. Lorsque ses couilles viennent se coller
contre sa chatte, il cesse tout mouvement, son pieu calé au fond de son cul. Et
s'adressant à Nathalie :
- À toi, salope… Viens t'occuper de mon cul… Lèche !
À quatre pattes, elle rampe derrière lui. Lorsque il sent la langue de Nathalie se
faufiler entre la raie de ses fesses, il a un grognement :
- Suces bien partout, salope... Le trou… Ahhhr… Les couilles aussi… Le con de la petite…
Suces tout, pute !
Il reste immobile, sa queue calée au fond du cul de Bianca. Et Nathalie, assise entre
leurs jambes, trois doigts enfoncés dans son con en feu, se branle comme une folle en
léchant, en lapant, en suçant. Sa bouche et sa langue passent du con ouvert et
dégoulinant de Bianca, aux couilles et au cul de R.
Il râle et se met en mouvement, cette fois à grands coups de bite. Bianca couine, vagit,
se met à pisser et à crier :
- Je jouis ! Je pisse ! C'est si bon ! Oohhh, viens, viens ! Gicles ! Nathalie va nous
boire !!
Avec un mugissement d'animal, il extrait sa queue du cul de Bianca au moment où il se met
à gicler, et l'enfonce dans la bouche de Nathalie :
- Bois !!!
Il la couche, sa queue toujours enfoncée dans sa bouche, lui envoyant son foutre à
grandes giclées au fond de la gorge. Elle tète la pine comme un biberon et il finit
d'éjaculer, mais ne se retire pas. Il ordonne à Bianca :
- Viens faire jouir cette femelle, petite salope… Elle n'en peut plus !
C'est vrai, Nathalie n'en peut plus. Lorsque elle sent la bouche de Bianca venir se
plaquer sur sa chatte, et aspirer son clito et le mâcher, son con devient une fournaise
dégoulinante. Le pouce que Bianca enfonce dans son cul déclenche l'ouragan.
Comme une furie, inondée de pisse, elle se cambre, elle rue, elle trépigne. Elle serre
les jambes. La tête de Bianca emprisonnée entre ses cuisses, elle jouit en se roulant sur
le sol.
Juan, jusque-là spectateur, décide enfin de devenir acteur. Il bande comme un cerf. Il
saisit Nathalie, la retourne à plat ventre sur la moquette, et se couche sur elle de tout
son long. Lorsqu‘elle sent sa queue raide entre ses fesses qui cherche son trou du cul,
elle lui crie :
- Encule-moi !
Elle jette son derrière à la rencontre de la bite et pousse un hurlement de femelle
saillie lorsque il la lui enfonce d'un coup et se met à la sodomiser. 
Et ils remettent ça, longuement. Il rugit en giclant et Nathalie sanglote en sentant le
jus de son mâle lui remplir le cul…

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