Le Flagrant Delit...
Comme à chaque fois après avoir acheté une revue de cul, en compagnie de Manu nous nous
précipitions pour nous installer dans ma garçonnière. Un lieu bien à labri des yeux
indiscret, si vous voyez ce que je veux dire. Un local qui est situé dans la cave de
notre bâtiment. Que jai aménagé avec de vieux meubles. Des encombrants que les
locataires du hall, étaient heureux de sen débarrassés.
Une fois assis tout deux sur le vieux sommier, nous nous sommes lancé à
feuilleter page après page le magazine avec son lot dimages hard. Javais pour ma part,
eu un faible pour la belle femme blonde à genoux avec devant elle trois hommes qui se
tenaient debout, et qui à tour de rôle lui présentaient leur sexe pour quelle les
enfourne goulûment. Les clichés étaient des plus bandantes, les unes aux autres, et cela,
pour notre plus grand plaisir. Comme létait la photo qui immortalisé lhomme en train
dinonder le visage de la même blonde avec son foutre. Les pages suivantes étaient quant
à elle, inondé de gros-plans. Montrant elles-aussi la jouissance, mais là, des deux
autres compères. Qui crachèrent chacun leurs tours, leur plaisir, toujours sur le visage
de lhéroïne blonde. Jétais à la limite du supportable, tant mon érection était
puissante. À en faire exploser les coutures du slip que je portais.
Pour être plus à mon aise, et comme il marrivait de le faire malgré la compagnie
de Manu, jai ouvert mon pantalon et jai sortis ma queue sous son regard amusé. Qui
dailleurs, pour ne pas rester en reste a porté à son tour, une main à sa braguette pour
en extraire une queue bien raide. Une queue que javais à mainte fois déjà aperçu lors de
nos petites réunions dissolues. Emporté par ma forte excitation et sans la moindre gêne
je me suis penché et jai avalé le bel âtre. Je nétais pas à mon premier coup dessai.
Moi et Manu étions même des habitués de cette sorte dactivité, sans pour cela nous
catalogué dhomo. Tout au contraire nous adorions les femmes. Cétait juste une manière
comme une autre, et à défaut dautre chose de faire retomber notre trop plein
dexcitation. Après seulement quelques caresses buccales, javais la bouche pleine de son
foutre. À défaut de posséder une belle queue il était du genre éjaculation précoce.
Pas le temps de cuver son orgasme que déjà le coquin sest penché comme à son
habitude au-dessus de ma verge. Un besoin chez lui de me renvoyer lascenseur. Il a
ouvert grande sa bouche et a enfourné mon sexe. Tout de suite il sest mit à me pomper.
Jétais aux anges. À peine commençais-je à apprécier ma situation que brusquement jai
sursauté en apercevant du côté de lentrée une silhouette, à seulement quelques mètres
doù nous nous trouvions. Une étrange émotion ma gagné. Me maudissant de ne pas avoir
pris la précaution de verrouiller la porte.
La silhouette était celle dune femme. Que jai reconnu étant la même, qui plus
tôt dans la journée, nous avait encaissé la revue de cul. Corinne de son prénom, qui
pouvait avoir la quarantaine, petite boulotte. Maquillée plus quil le fallait, sans
doute pour se donner du charme. Brune, portant sur le nez des lunettes. Ainsi quun
incroyable râtelier, qui lui sortait de la bouche. On aurait bien dit, quelle portait un
dentier. Par contre, sa poitrine valait quon si attarde. De même son fessier. Un beau
petit cul bien potelé, porté par une belle paire de jambes de sportive. Que les talons
quelle portait aux pieds, accentué lindécence de sa posture. Corinne était aussi mère
dune fille. Quelle élevait seul. Prénommée Carole. Qui semblait mener une vie
relativement paisible.
Dun seul regard, elle nous a englobés avant de pénétrer le lieu, dun air
sauvage.
- En voilà un beau tableau. Si je mattendais à cela. Des gays ! Je nen avais
jamais vue jusquà maintenant !
Par pure réflexe, jai remis mes trois pièces dans mon slip, et par la même
occasion fermé ma braguette. Manu en fit de même de son côté. Et là, elle sest mise à
déboutonner son jean, tout en nous fixons.
- Je vous sens inquiet. Vous avez peur les pédales. Peur de vous trouvez face à
une chatte de femme ?
- Non Madame ! Ai-je entendu répondre, et cela malgré moi.
- Et bien tu devrais. Parce que jai là au fond de mon froc une chatte dévoreuse
de minet.
Comme si on nexisté pas, elle a fait glisser son vêtement, le long de ses belle
jambes. Elle ne portait rien dessous. Pas le moindre sous-vêtement pour couvrir sa chatte
bien touffue.
- Alors quest-ce que vous en dîtes ? Elle est belle, ma foufoune, non ? Mais
cest vrai. Vous préférez les bites, vous autres. Et bien, confidence pour confidence,
sachez, que moi aussi.
Puis sans nous quitter des yeux, elle sest accroupit.
- Mais avant, si vous le permettez, jai une chose urgente à
Faire ! Et cela ne peut pas attendre.
Et après quelques secondes dattente, dans un silence minéral, un jet a jaillit
de sa chatte. Je nen croyais pas mes yeux, elle urinait !
Très vite une large flaque sest matérialisée sous elle. Une fois son forfait
terminé, elle sest redressée, et cela, sans avoir pris la peine de sessuyer. Jai lus
sur son visage comme une forme de plaisir de sêtre exhibée de la sorte.
- Toi. Fit-elle en me désignant du doigt ! Approche, veux-tu.
Comme téléguidé jai quittais ma place et jai parcouru en quelques pas, la
distance qui nous séparé. Elle sest tout de suite sauter sur moi. Se frottant contre
moi. Faisant même courir ses mains sur tout mon corps.
cavité de mon pantalon, et tombée sur ma chose encore dur. Elle na pas manqué de me le
rappeler comiquement, en me chuchotant à loreille, un :
- Mais dis-moi mon cher Alain. Quest-ce qui te mets dans un état pareil ? Je
crois que tu es très excité.
- Je ne sais pas Mdame.
- Comment ça tu ne le sais pas... Tu ne vas pas me faire croire que tu ne le sens
pas quand tu bandes.
- Si, mais
- Mais dis donc, je... cest moi qui te fais cet effet ?
Pour toute réponse, jai affiché un petit sourire et jai répondu :
- Euh... javoue que le fait de vous voir uriner, ma émoustillé un peu.
Encouragé sans doute par ma réponse elle ma prit ma main et la conduit sur sa
cuisse.
- Caresse-moi. Ma-t-elle dit. Vois comme je suis trempée de partout, oui de
partout. Tu ne peux pas savoir. De vous voir faire votre petit affaire ma excité au plus
au point.
Pour me facilité la tache, la friponne a écarté les jambes, autant quelle le
pouvait pour ouvrir le passage. Dès lors, une folle attirance, complètement
déraisonnable, totalement coupable, mais dune rare puissance ma envahi. Je me suis
senti comme envoûter, et jai commencé à promener mes doigts. Du mieux que jai pu, étant
donné notre situation. Dabord au long de ses cuisses. Puis jai progressé jusquà me
rapprocher du Saint Graal. Jai atteint mon paroxysme lorsque jai sentis sous mes doigts
les poils rêches, et humide. Ça, ça ma rendu complètement dingue, à oublier qui je
caressais. Elle a commencé à frémir. À gémir. Des choses absolument délicieuses à
entendre.
Cela ma donné de lassurance. Cétait un peu comme si une sorte de fièvre était
en train de semparer de ma personne. Quelque chose qui ne pourrait plus être arrêté et
qui me ferait faire des folies. Tout dabord timides, mes caresses sont devenues
rapidement plus langoureuses et plus appuyées.
- Tu me rends dingue. Elles sont agréables tes caresses. Mets tes doigts à
lintérieur. Sil te plait. Jen peux plus dattendre !
Cétait pour entendre des choses comme ça que jai toujours porter mon dévolu aux
femmes mûres. Il y avait quelque chose en elles de sexy, une assurance émoustillante, une
confiance en elles que je ne trouvais pas chez les jeunes filles. Et puis, elles étaient
des affamées du sexe, en général.
À laide de mon majeur droit, jai doigté son sexe. Mais loin de la satisfaire,
la coquine ma supplié de lui en donner encore davantage. Je me suis alors exécuté. Elle
était tellement ouverte que jai pu glisser trois doigts dans son antre.
- Ne me laisse pas comme ça, connard. A-t-elle grogné. Bouge les, bordel de merde
! Vas-y enfonce, laboure-moi. Viens
oui viens ! Jai envie de te sentir partout
Je nai pas eu la répartit. Dailleurs je nai même pas cherché à lavoir, tant
jétais envouté par ce sexe qui souvrait comme une bouche affamée. Je lai pistonné
comme un furieux, avec les doigts de la main droite, alors quavec ceux de lautre main,
je lui caressais lanus. Elle sest mordu la lèvre. Pui a secoué la tête dans tous les
sens. Les cris quelle a poussé samplifier dans lespace. Jai regardé mes doigts, la
violer par tant de facilité.
- Vas-y, vas-y, encore ! Ma-t-elle jeté. Pousse tes doigts plus au fond, pousse-
les, oui plus loin. Je veux les sentir encore plus profondément en moi, défonce-moi, vas-
y
je nhésite pas, jadore cela
Et cest en exécutant son souhait que jai senti peu à peu la paume franchir
lentrée de son sexe. Chose incroyable, le reste de la main a lentement suivit,
senfonçant dans le ventre réceptacle. Je lai baissé avec ma main, comme la chienne
quelle était. Sans ménagement. Elle a hurlé, elle a suffoqué de plaisir. Puis elle en a
redemandé encore et encore, tandis que je continuais à la pilonner ardemment. Pour lui
donner encore plus de plaisir. Quest-ce que jaimais lentendre jouir. Cétait beau !
Puis elle ma supplié d'arrêter.
Jai attendus quelle reprenne vie pour brusquement retirer ma main de ses
entrailles. Elle était couverte dune bonne couche de mouille épaisse. Cela ressemblé à
mon sperme. Jai porté ma main jusquà ma bouche et je lai léché. Comme je laurai fait
avec une bonne glace à la crème. Et cela pour le plus grand plaisir de sa propriétaire.
Qui ma sourit bêtement.
Je nai pas pu me résigner de frotter mon visage sur le pubis, dont les poils
rêches moites. Puis jy ai frotté mes lèvres, avant de les prendre en bouche pour les
lécher. Puis sous ma langue jai sentis le gonflement presque imperceptible de son
clitoris. Jai bien aimais son odeur. Sa dureté, mais aussi sa chaleur. Je me suis laissé
plonger dans une contemplation fiévreuse. Elle sest abandonnée à ma bouche. Ses
paupières étaient lourdes, de la salive débordait de ses lèvres
- Vous aimez Mdame ? Lui ai-je lancé, abandonnant ma caresse par la même
occasion.
- Narrête pas ! Continue à me faire du bien !
Sous mes titillations habiles de ma langue, elle sest mise à haleter, projetant
son ventre en avant pour soffrir davantage au muscle frétillant qui la fouillait. Puis
elle a poussé un long cri de délivrance quand le plaisir la enfin atteint. Elle sest
cabrée comme une jument, alors que je buvais ses chairs. Quelques gémissements plus tard,
elle sen est allée, se laissant tomber sur le sommier, tout près de Manu. Lui qui
navait pas, pendant tout ce temps bouger de sa place.
- Je reconnais que tu mas épaté sur le coup. Jai pris un pied denfer. Cela
faisait longtemps que je nen avais pris un si bon ! Tu mérites une récompense. Que
diras-tu si je te la laisse me la mettre dans ma chatte ? Me dit-elle. Viens tasseoir
sur ce foutu sommier et laisse-moi à la manuvre.
Joignant le geste à la parole jai posé mon cul sur le sommier, pas loin de Manu,
toujours spectateur, attendant la suite du film.
- Je vais me la planter sauvagement. Ma-t-elle lancé. Jaime ça.
Elle a respiré fort, vite, comme une grosse chienne qui attendait dêtre saillie.
Puis elle ma regardé, tout en se saisissant de ma verge dune main, et de lautre, elle
a écarté les lèvres de son sexe pour présenter le gland à lentrée du vagin.
- Tu vas voir mon beau, je suis sûr que tu vas aimer !
Elle a enserré mon dos avec ses jambes, puis elle ma attiré vers elle. Mon sexe
a commencé à sintroduire dans la douce et chaude coquille. Elle sest tortillée du cul,
eut un imperceptible gémissement et elle a creusé davantage les reins, sempalant
complètement sur mon bâton de chair. Je me suis enfoncé sans mal, tant elle était trempée
comme une flaque. Dedans cétait chaud, et délicieusement enveloppé. Jétais envahi de
sensations inouïes dintensité. Puis elle sest lancée à la dégustation de ma verge. Se
déchaînant, me dominant comme une amazone. Les yeux révulsé, elle sest envolée jusquà
atterrir sur la case plaisir. Pour mon compte, jétais aux anges.
Je me suis souvent laissé dire que les laides avaient tendance de baiser mieux
que ses semblables belles. Parce quelle mettaient du cur à louvrage. Croyant quelles
tiraient là, leurs deniers coups.
- Viens, toi ! a-t-elle lancé à Manu. Viens mêtre ta nouille de pédé par
derrière. Je pense que tu sais faire cela.
Avec un brin de timidité dans le regard, que je ne lui connaissais pas encore, il
sest approché et sest agenouillé derrière le cul de la coquine. Après quelques
tâtonnements, il est arrivé à glisser sa queue droite dans la cible. Grâce à la fine
membrane qui nous séparé, jai pu sentir sa verge sagité. Tantôt rapides, tantôt
profonds. Un extrême plaisir a transpiré sur le visage de la femme, avant de se mettre à
gueuler alors que Manu sactivait à la bourrer avec vitesse.
Jai vibré de tout mon corps. Elle nous a entraîné, nous a encouragé et finalement nous a
supplié daller encore plus fort, plus vite.
Ses mamelles se sont balancées en rythme des coups de reins. Manu guéri de sa
timidité, la défonçais sauvagement, et cela pendant un bon moment, puis il sest arrêté
net. Transférant sa jouissance dans les entrailles de sa partenaire, dont un sourire
d'extase soulignait ses lèvres. Ils sont restés coller un long moment, savourant leur
jouissance, puis Manu sest retiré. Ma buraliste a passé sa main entre ses fesses et a
porté ses doigts à sa bouche. Quelle sest mise à sucer avidement. Encore excitée, elle
sest jetée sur la queue ramollie du pauvre Manu qui essayer tant bien que mal de
récupérer, et elle lui a prodigué une petite toilette à laide de sa langue. Puis ils se
sont embrassés avec fougue.
De mon côté, jai continué à ramoner ses entrailles, tant bien que mal. Chaque
coup de reins a élevé le niveau de mon excitation. Il ma semblé que ma queue avait
doublé de volume à chaque va-et-vient. Qui baigné dans un océan de volupté. Jai souhaité
fortement tout de même que cela ne se prolonge pas indéfiniment. Alors je me suis activé
pour en finir. Jai tiré son corps légèrement vers moi. La soutenant avec mes mains
placées sous ses fesses. Jai imprimé à mes coups de reins une amplitude de plus en plus
grande et un rythme de plus en plus rapide. Elle ma répondu à chacun de mes coups par un
gémissement. Jai continué mon traitement jusquà nos jouissances. Elle est restée un
moment comme bloqué.
- Pour deux tarlouzes vous vous démerdez bien. Nous a-t-elle balancé avant de
franchir la porte dentrée. Avant de revenir sur ses pas et dajouter.
- Il faudra que nous remettions cela, nest-ce les tarlouzes ?
Elle nous avait tant pompé notre jus quon na pas eu la force de répondre, et
elle a disparut de notre vue.
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